Commission scientifique consultative de

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Commission scientifique consultative de
Commission scientifique consultative
de documentation en Psychologie et Sciences de l’éducation
Jeudi 3 juin 2010, BU de Bron
Présents: Marie-Annick BERNARD (Acquéreur en Sciences et techniques de réadaptation, SCD
Lyon 1), Isabelle BONTEMPS (Politique documentaire, SCD Lyon 2), Catherine BRISOU
(Acquéreur en sciences de l’éducation, SCD Lyon 2), Sofiane BOUMAZA (Bibliothèque de
l’INRP), Christelle CHEVAL (Service formation, SCD Lyon 2), Stéphanie COLIN (Enseignantchercheur, Sciences de l’éducation), Anne-Christine COLLET (Responsable des bibliothèques de
l’IUFM, SCD Lyon 1), Gabriela COMTE (Responsable de la documentation du CRPPC),
Madeleine DOREL (Acquéreur en Psychologie, SCD Lyon 2), Béatrice GAILLARD (Politique
documentaire, SCD Lyon 1), Caroline GAYRAL (Directrice du SCD Lyon 2), Raymonde
GRIVOLAT (Correspondante ISPEF au SCD Lyon 2), Rommel MENDES-LEITE (Enseignantchercheur, Psychologie), Isabelle TAPIERO (Directrice de l’Institut de Psychologie).
Archives ouvertes:
Christelle Cheval rappelle la définition d'une archive ouverte et les intérêts du dépôt.
Qu'est-ce qu'une Archive ouverte?
"Le terme archive ouverte désigne un réservoir où sont déposées des données issues de la
recherche scientifique et de l’enseignement et dont l’accès se veut ouvert, c’est-à-dire sans
barrière. Cette ouverture est rendue possible par l’utilisation de protocoles communs qui
facilitent l’accessibilité de contenus provenant de plusieurs entrepôts maintenus par différents
fournisseurs de données. (source Inist)"
En bref, il s'agit d’une base où sont déposées des données issues de la Recherche et de
l’Enseignement Supérieur (pré-publications et publications en particulier), accessibles
librement sur Internet.
Le mouvement a été initié en 1991 par les physiciens avec leur plateforme ArXiV. En 2002 a eu
lieu "l'initiative de Budapest" pour l'accès ouvert, et en 2003 la "Déclaration de Berlin pour le
libre-accès à la connaissance", dont l'Université Lyon 2 est la première université française
signataire.
En mai 2010, 16 634 entrepôts d'archives ouvertes sont recensés dans le monde.
Pourquoi déposer sa production scientifique?
Les intérêts sont multiples :

Meilleure visibilité de la production scientifique

Accès immédiat et universel à cette production scientifique

Gratuité d'accès
1

Augmentation du facteur d'impact (par une citabilité plus élevée)

Délais de diffusion réduits

Pérennité des données (réplication des données au CINES dans le cas de HAL-SHS)

Ré-appropriation des travaux de la recherche par les chercheurs eux-mêmes
Concernant la question de la visibilité des travaux déposés, Rommel Mendes-Leite demande si
on peut trouver via Google les documents entreposés dans HAL. Christelle Cheval précise
qu’effectivement les Archives ouvertes sont « moissonnables », et les articles déposés dans
HAL apparaissent donc dans la liste des résultats lors de l'interrogation de Google scholar
(version « académique » de Google: http://scholar.google.fr/).
Une collection Lyon 2 a été ouverte dans l'archive HAL-SHS : elle regroupe l'ensemble des
publications des chercheurs et enseignants-chercheurs de l’ensemble des unités de recherche
dont l’Université Lumière Lyon 2 est établissement support ou partenaire. Cette collection est
disponible pour la consultation et pour les services (exports de listes de publication, création
de page Web d'auteur ou de laboratoire, alerte thématique par email, abonnement à des flux
RSS), à l'adresse suivante : http://hal.archives-ouvertes.fr/UNIV-LYON2/fr/
Le dépôt de documents scientifiques s'effectue quant à lui directement dans HAL-SHS, selon
une procédure très simple et très rapide (15 minutes environ pour le premier dépôt, puis 5
minutes environ par document) :
http://halshs.archivesouvertes.fr/index.php?halsid=6tloopfqidin2sc4k14pls1or4&action_todo=menu&to_open=depos
ed
Caroline Gayral intervient pour souligner que les travaux déposés dans HAL sont désormais
pris en compte par l’AERES, qui est sensible particulièrement au dépôt institutionnel. Elle
rappelle que le CNRS a donné à ses chercheurs l’injonction de déposer.
Sur la question des droits, Christelle Cheval renvoie au site Web du projet Sherpa Romeo, qui
recense les droits que les éditeurs anglo-saxons accordent aux auteurs pour le dépôt dans une
archive ouverte : http://www.sherpa.ac.uk/romeo/
De façon générale, le plus simple reste de s’adresser à l’éditeur pour s’assurer que le dépôt en
archive ouverte est autorisé, et sous quelle forme.
Gabriela Comte demande si les mêmes règles juridiques s’appliquent pour le dépôt de
chapitres d’ouvrages : en effet. Sofiane Boumaza demande s’il est possible de ne déposer que
la notice d’un document : c’est en effet possible (suite à un désaccord avec l’éditeur ou pour
faire du simple référencement bibliographique par exemple), mais le principe reste de déposer
prioritairement du texte intégral.
Christelle Cheval signale enfin un site Web réalisé par le consortium Couperin, qui fournit de
nombreuses informations sur les archives ouvertes :
http://www.couperin.org/archivesouvertes/
Une plaquette qui présente en particulier la collection Lyon 2 créée dans HAL-SHS est
distribuée. Elle est également disponible à l'adresse suivante :
http://www.univlyon2.fr/servlet/com.univ.collaboratif.utils.LectureFichiergw?ID_FICHE=48764&OBJET=0015&I
D_FICHIER=37680
Christelle Cheval indique qu’il est possible de former les enseignants-chercheurs à la demande,
2
ou par labo. Pour toute demande de formation / d'intervention / de communication, trois
personnes-ressources sont disponibles:
SCD : [email protected]
ISH : [email protected]
MOM : [email protected]
Pour toute information sur la collection Lyon 2 dans HAL-SHS : [email protected]
Formation :
Le service formation du SCD s’implique à la fois dans la formation des étudiants et dans celle
des enseignants.
Ainsi, 475 étudiants de Psychologie et 307 étudiants de Sciences de l’éducation ont été
formés à la documentation en 2009, hors dispositif L1.
Isabelle Tapiero demande comment va se passer le Prologue à la rentrée 2010/2011 ;
Christelle Cheval répond qu’à sa connaissance les amphis de rentrée sont maintenus, et que
des visites de bibliothèques seront organisées. Le SCD proposera également de former des
formateurs pour intervenir sur la documentation dans le cadre des UE de méthodologie.
Isabelle Tapiero déplore qu’il n’y ait pas de correspondant unique ni de formation homogène
pour tous les L1, et suggère de soumettre la question à la Commission formation.
En 2009 ont été mises en place de nouvelles formations pour les doctorants, dont une
réalisée en direction de l'école doctorale EPIC : une cinquantaine d'étudiants ont été formés à
la recherche documentaire et à l'interrogation des bases de données, ont suivi une
présentation de l’utilisation de la feuille de style pour la rédaction de leur thèse, et ont été
sensibilisés au dépôt de leurs recherches dans les archives ouvertes.
Cette formation pourrait être étendue à d'autres disciplines.
Le SCD a assuré de nombreuses heures de formation dans le cadre des UE Méthodologie en
2009; il n’est toutefois pas possible, faute de moyens, de reconduire cette formation dans le
cadre de l’UE Méthodologie. En revanche, depuis janvier 2010, le SCD propose aux
enseignants qui le demandent un support de cours et l’accès aux salles de formation de la BU
Chevreul. Les enseignants qui souhaitent disposer de cette formation de formateurs (supports
de cours, guides méthodologiques, utilisation des salles) doivent se manifester le plus tôt
possible auprès de Christelle Cheval : [email protected]
Par ailleurs, une offre de formation ciblée en direction des L3 et des masters est mise
en place dans les pôles de référence documentaire (musicologie, sociologie et anthropologie,
psychologie, économie, histoire de l’art). Il s’agit de présenter, lors de 3 séances d'1h45 (il est
possible de s'adapter à d'autres créneaux), les ressources disciplinaires, de proposer des
exercices pratiques et de faire un rappel sur la présentation des références bibliographiques.
Stéphanie Colin s’interroge sur la taille maximale des groupes que peut accueillir le SCD ;
Christelle répond qu’on peut recevoir jusqu’à 40 étudiants pour un cours magistral, et environ
25 étudiants pour un TD.
Pour les enseignants et enseignants-chercheurs, le SCD organise à la demande des
présentations des ressources documentaires de leur discipline, sous la forme qui leur convient
le mieux (rendez-vous individuel ou en séminaire…). Cela peut concerner particulièrement les
enseignants nouveaux arrivants à Lyon 2.
Enfin, l’Université s’est abonnée à Refworks qui est un puissant outil de gestion de références
bibliographiques ; des formations ouvertes à tous ont donc déjà eu lieu, et d’autres seront
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programmées à la rentrée. Des formations sur rendez-vous peuvent aussi être organisées, là
encore selon les modalités qui conviennent le mieux aux formés : individuel, en séminaire...
Pour toute demande de formation, s’adresser à Christelle Cheval.
Bilan des acquisitions en sciences de l’éducation :
Le public potentiel pour les collections de sciences de l'éducation est - pour 2009/2010 - de
1 624 étudiants à l'ISPEF, auxquels il convient d'ajouter les étudiants ayant choisi les
sciences de l'éducation en option en 1ère et 2ème année de leur parcours en sociologie,
anthropologie et sciences du langage, soit 315 étudiants. Au total nous desservons donc un
public de 1 939 étudiants.
Bilan des acquisitions, 2009-2010 :
En 2009 :
 A Chevreul (15 000 €): nous avons acquis 768 volumes (678 titres), pour 15 150 €
 A Bron (2 000 €): nous avons acquis 105 volumes (98 titres), pour 1 948 €
Soit un total de 873 volumes pour la somme de 17 098 €
En 2010 (janvier-avril) :
 A Chevreul
Monographies (14 000 €): de janvier à avril 2010, nous avons acheté 244 volumes (224
titres). Avec les commandes en cours, le montant du budget engagé est actuellement de
8 700 €, et il reste 5 200 € disponibles (soit 37% du budget initial).
Périodiques : un nouveau titre souscrit en 2010 : Journal of Deaf Studies and Deaf Education
(368 €). En tout 44 titres disponibles, dont 24 payés par le SCD (1 686 €), et 19 par l'ISPEF
(979€).
 A Bron
Monographies (4 000 €): de janvier à avril 2010, nous avons acquis 60 volumes (37 titres). Le
montant engagé à ce jour est de 2 402 €, et il reste environ 1 600 € disponibles (soit 40% du
budget initial).
Périodiques : 27 titres disponibles pour un budget de 5 892 €.
A Chevreul les acquisitions sont directement liées aux programmes d'enseignement et aux
demandes des enseignants qui franchissent souvent les frontières strictes des sciences de
l'éducation (sociologie, psychologie, anthropologie, domaine de la santé, etc.). Pour la
préparation au concours d'entrée à l'IUFM, 2 exemplaires des manuels sont mis en rayon.
Concernant la réforme de la formation des enseignants, Anne-Christine Collet fait une
mise au point éclairante sur toutes les modifications en cours, tant en termes de calendrier que
de contenus des enseignements. Une quarantaine de masters Enseignement sont en attente
de validation au sein du PRES Lyon Saint-Etienne, et la situation est extraordinairement
complexe.
La conséquence majeure de la réforme au niveau documentaire est que les collections
professionnelles sur l’enseignement se trouvent dans les bibliothèques de l’IUFM (par exemple,
des fonds très riches sur la scolarisation des enfants en situation de handicap), alors que
désormais les étudiants seront localisés à l’Université. Il faudra donc veiller à les orienter le
plus possible vers les bibliothèques de formation des maîtres.
Ainsi à Lyon 2 seront créés deux masters professionnels Métiers de l'enseignement scolaire, de
la formation et de la culture, avec deux spécialités: éducation et diversité, et éducation et
langages.
A Bron les acquisitions visent plus à maintenir un fond de proximité en sciences de l'éducation
pour les étudiants de sociologie, psychologie, anthropologie, et sciences du langage, disciplines
proposant une option sciences de l'éducation. On achète également les manuels de préparation
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au concours d'entrée à l'IUFM (1 exemplaire). Dans les deux bibliothèques les collections sont
bien utilisées, puisqu'on enregistre pour 2009 7 234 prêts à Chevreul (pour 5 341 volumes)
et 3 200 prêts à Bron (pour 3295 volumes).
Enfin, dans le cadre du Plan de Développement des Collections en sciences de l’éducation, les
acquisitions dans le domaine de la formation et des enseignements liés aux masters
professionnels (administration d'établissements éducatifs, conception et réalisation de
formations, didactique de l'apprentissage du langage, éducation pour la santé) ont été
renforcées.
Bilan des acquisitions en psychologie :
Ouvrages :
Le budget prévisionnel alloué pour l'année 2010 s’élève à 45 000 € pour les ouvrages et à
2 000 € pour les DVD.
A ce jour, 60% du budget est engagé.
Bilan de l'année 2009 :
 868 titres français, soit 1 617 volumes
 41 titres étrangers, représentant environ 10% du budget annuel alloué
Bilan des acquisitions entre janvier et mai 2010 :
 environ 400 titres français, parmi lesquels de nombreux ouvrages de Freud ou sur
Freud ; en effet, l'année 2009 a été marquée par le 70ème anniversaire de la
disparition de Freud, ce qui veut dire qu'à partir du 1er janvier 2010 l’œuvre de Freud
est tombée dans le domaine public et est ainsi devenue libre de droits. On assiste à
l'assaut des ouvrages en format de poche : les Presses Universitaires de France ont
déjà fait paraître 12 titres dans la collection Quadrige ; Gallimard a publié 5 titres en
Folio et la Petite Bibliothèque Payot, 3 titres. Ces trois éditeurs « se partageaient »
l’œuvre de Freud ; Le Seuil et Flammarion se positionnent à présent avec trois titres
dans la collection Points (Editions du Seuil) et une quinzaine de titres dans la collection
Champs de Garnier Flammarion. L'intérêt réside pour beaucoup dans l'apparition de
nouvelles traductions.
Toute cette production va bien dans le sens de l'usage de notre public (cette année, comme les
précédentes, parmi les 53 titres sortis plus de 100 fois, figurent 23 ouvrages de Freud) et de
nos collections (presque 5% du fonds en libre accès est composé d'ouvrages de Freud ou sur
Freud, soit presque 1100 volumes).
 une trentaine d'ouvrages étrangers suite à des demandes d'achat d'enseignants, de
doctorants et des nouveautés en neuropsychologie, sciences cognitives et
psychopathologie (Oxford University Press, APA, Routledge...)
Toute suggestion, concernant les ouvrages français ou étrangers, à condition d'être de niveau
universitaire, est achetée.
Pour répondre à une question de Rommel Mendès-Leite posée l'année dernière sur les livres
électroniques, nous avons eu en avril et en mai 2 présentations de e-books, qui nous ont
familiarisé à ce média : actuellement, l'édition anglo-saxonne est très largement représentée
et le niveau est essentiellement celui de la recherche. D’autres présentations suivront, et un
test sera organisé à la rentrée pour recueillir l’avis des enseignants-chercheurs sur ce nouveau
support, et observer les pratiques des étudiants.
DVD : La collection se compose de plus de 100 DVD, qui sont tous des documentaires. C'est
un fonds bien utilisé : 21 sont actuellement en prêt, soit 1/5 de la collection. 4 DVD sont
sortis plus de 10 fois.
Avec un budget de 2 000 € annuels, la constitution de ce fonds se poursuit.
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Revues :
Une demande d'abonnement a été faite par un lecteur : il s’agit de Journal of reproductive and
infant psychology (disponible à l'INIST seulement, coût : 628€ (papier + on-line), de rang B
dans le classement AERES).
Gabriela Comte indique qu’il vaut mieux s’abonner prioritairement à des revues de rang A.
Isabelle Tapiero de son côté rappelle que les demandes d’abonnement doivent transiter par les
enseignants (qui les valident), et que les demandes isolées d’étudiants doivent être examinées
avec prudence.
Tests de psychologie :
La réflexion sur les tests s'est poursuivie : une réunion consacrée aux tests de psychologie
s'est tenue à la testothèque, le mardi 13 octobre 2009, en présence d'Isabelle Bontemps,
Nicolas Baltenneck et Madeleine Dorel.
Il en ressort les points suivants :
 actuellement, plus de 50 tests sont disponibles à l'Institut de Psychologie (la liste est
consultable sur le site Web)
 le signalement des tests permettrait une meilleure visibilité des tests disponibles à
l'Institut de psychologie et faciliterait la gestion courante des prêts en les informatisant,
(ce qui sera possible dans le prochain système informatique qui sera mis en place en
janvier 2011) ; bien sûr, l'accès à ces documents resterait limité aux étudiants en
master de psychologie. Le catalogage des tests débutera mi- juin.
 l'acquisition de tests à la BU, en étroite collaboration avec l'Institut de Psychologie
(sélection des tests à commander, validation d'une charte de fonctionnement et d'un
règlement...), est à étudier, et pourrait se mettre en place à l’occasion de la
construction d’une nouvelle bibliothèque universitaire (espace dédié).
Une réunion pédagogique de l'Institut de Psychologie le mardi 26 janvier 2010 a ensuite
permis de continuer à avancer sur cette question (validation du projet de catalogage des tests,
constitution d'un groupe de travail sur les tests, projet d’un Centre de ressources sur la
mesure dans la future BU).
Par ailleurs le fonctionnement des différentes testothèques universitaires déjà en service a été
étudié, et des contacts sont pris avec la testothécaire de la bibliothèque Henri Piéron
(Université Paris V-René Descartes).
Gabriela Comte juge important, dans cette logique, de veiller à signaler également la dizaine
de tests projectifs qui sont actuellement consultables au CRPPC.
Enfin, une réunion est prévue le 5 juillet sur les besoins des étudiants à l'Institut des
Sciences et Techniques de Réadaptation en matière de sciences humaines et plus
particulièrement en psychologie (la question des tests sera également abordée).
Isabelle Tapiero estime la collaboration à venir avec l’ISTR très intéressante, et se dit
favorable à un renforcement des liens entre Lyon 2 et Lyon 1 sur le thème de la santé (dans le
cadre du Grand Emprunt par exemple). De façon générale,, il lui semble qu’il faut raisonner
au-delà des établissements et privilégier plutôt l’approche thématique.
I. Bontemps, 11/06/2010
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