hommage à joe dassin hommage à joe dassin
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HOMMAGE À JOE DASSIN Medley de chansons interprétées par Joe Dassin LE PETIT PAIN AU CHOCOLAT Tous les matins, il achetait son p’tit pain au chocolat Yaille, yaille, yaille, yaille La boulangère lui souriait, il ne la regardait pas Yaille, yaille, yaille, yaille Et pourtant, elle était belle Les clients, ne voyaient qu’elle Et quand on y pense, la vie est très bien faite Il suffit de si peu D’une simple paire de lunettes Pour rapprocher deux êtres Et pour qu’ils soient heureux AUX CHAMPS-ÉLYSÉES Aux Champs-Élysées, aux Champs-Élysées Au soleil, sous la pluie, À midi ou à minuit Il y a tout c’que vous voulez, aux Champs-Élysées Je m’baladais, sur l’avenue, Le cœur ouvert à l’inconnu J’avais envie de dire bonjour, à n’importe qui N’importe qui et ce fut toi Et je t’ai dit n’importe quoi Il suffisait de te parler pour t’apprivoiser Aux Champs-Élysées, aux Champs-Élysées Au soleil, sous la pluie, A midi ou à minuit Il y a tout c’que vous voulez, aux Champs-Élysées HOMMAGE À JOE DASSIN Page 2 ET SI TU N’EXISTAIS PAS… Et si tu n’existais pas, Dis-moi pourquoi j’existerais Pour traîner dans un monde sans toi Sans espoir et sans regrets Et si tu n’existais pas, J’essaierais d’inventer l’amour Comme un peintre qui voit sous ses doigts Naître les couleurs du jour Et qui n’en revient pas. IL ÉTAIT UNE FOIS NOUS DEUX Souviens-toi, c’était un jeudi Souviens-toi, on avait suivi Le chemin des amoureux, C’était, il était une fois nous deux Souviens-toi, c’était le grand jour Le grand pas vers le grand amour C’était encore mieux que ça C’était nous deux, il était une fois ÇA VA PAS CHANGER LE MONDE Ça va pas changer le monde Il a trop tourné sans nous Il pleuvra toujours sur Londres Ça va rien changer du tout Les poussières d’une étoile C’est ça qui fait briller la voie lactée On s’est aimés, n’en parlons plus Et la vie continue HOMMAGE À JOE DASSIN Page 3 SI TU T’APPELLES MÉLANCOLIE Si tu t’appelles Mélancolie Si l’amour, n’est plus qu’une habitude Ne me racontes pas ta vie Je la connais, ta solitude… L’ÉTÉ INDIEN On ira, où tu voudras Quand tu voudras Et on s’aimera encore Lorsque l’amour sera mort Toute la vie, Sera pareille à ce matin Aux couleurs, de l’été indien LE MOUSTIQUE No me moleste mosquito No me moleste mosquito No me moleste mosquito Retourne chez toi Je fais la sieste moustique, Arrête un peu ta musique Ne sois pas antipathique, ne me pique pas Moustique, mon vieux, Tu vois trop petit Tu as des ailes, Va voir du pays J’ai un patron Plus large que moi, Vas-y de confiance, C’est moi qui t’envoie HOMMAGE À JOE DASSIN Page 4 SALUT LES AMOUREUX Les matins se suivent et se ressemblent Quand l’amour fait place au quotidien On n’était pas fait pour vivre ensemble Ça n’suffit pas toujours de s’aimer bien C’est drôle, hier on s’ennuyait et c’est à peine si on trouvait Des mots pour se parler du mauvais temps Et maintenant qu’il faut partir, on a cent mille choses à dire Qui tiennent trop à cœur pour si peu de temps On s’est aimé, comme on se quitte Tout simplement sans penser à demain À demain qui vient toujours un peu trop vite Aux adieux qui quelque fois se passent un peu trop bien L’AMÉRIQUE Mes amis, je dois m’en aller, je n’ai plus qu’à jeter les clés Car elle m’attend depuis que je suis né, l’Amérique J’abandonne sur mon chemin, tant de choses que j’aimais bien Cela commence par un peu de chagrin, l’Amérique L’Amérique, l’Amérique, je veux l’avoir, et je l’aurai L’Amérique, l’Amérique si c’est un rêve je le saurai Tous les sifflets des trains, tout(es) les sirènes de bateaux M’ont chanté cent fois la chanson de l’Eldorado, de l’Amérique Un beau jour, tu nous a quitté, tes chansons, tu nous as laissées Des mélodies qui nous ont bien marquées, ta musique Tes refrains, on les aime bien, on les chant(e) avec beaucoup d’entrain Aujourd’hui nous te disons merci pour ta musique La musique, la musique je veux l’avoir et je l’aurai La musique, la musique, un beau grand rêve que t’as partagé Tous les sifflets des trains, tout(es) les sirènes de bateaux Ont chanté cent fois la chanson de l’Eldorado, de ta musique