MOTDU MAIRE - Ville de Rivière-du-Loup
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MOTDU MAIRE - Ville de Rivière-du-Loup
TOUTE LA VILLE EN PARLE! Septembre 2016 MOT DU MAIRE La révision du plan d’urbanisme de la ville de Rivière-du-Loup a été un exercice extrêmement stimulant auquel les citoyens ont participé en grand nombre et avec un intérêt des plus inspirants. Aussi, le message livré au terme des consultations était clair, limpide : la priorité des Louperivois, c’est la qualité de vie. Ils veulent se déplacer en sécurité, dans des aménagements qui mettent en valeur les atouts spectaculaires de notre ville. Pour concrétiser cette volonté collective, il faut y mettre le temps, les efforts, les moyens. Dans ce bulletin municipal, vous lirez à propos des travaux que nous effectuons sur le territoire. Vous en saurez davantage sur la vision, la manière de faire les choses, les tendances urbanistiques. Nous aborderons également des questions importantes comme la réduction de la vitesse des déplacements ou la sécurité sur les chantiers. Bien sûr, concevoir des plans et réaliser des travaux ne sont pas chose simple. Nous le faisons en gardant l’équilibre dans nos finances, tout en favorisant un développement cohérent et en insufflant le dynamisme qui nous sert si bien. Et puis, nous disposons d’équipes compétentes et dévouées qui veillent à satisfaire les attentes légitimes des citoyens. Au final, nous nous retrouvons avec une ville encore plus belle, où l’on peut se déplacer en toute sécurité, dans des aménagements judicieux, appropriés, qui font la fierté de tous. Voilà un héritage durable et une extraordinaire motivation pour tous ceux et celles qui travaillent tous les jours pour les citoyens de Rivière-du-Loup. Gaétan Gamache POUR UNE VILLE QUI MARCHE! Lorsque vous étiez enfant, vous pouviez jouer dans la rue en toute quiétude? Vous avez l’impression que ce sentiment de liberté et de sécurité s’est dissipé pour laisser place au stress véhiculé par la motorisation de masse? Aujourd’hui, les tendances urbanistiques visent justement à corriger la situation. SUITE EN PAGE 2 Réseau routier Travaux publics Denis Lagacé LA SÉCURITÉ RÉSOUDRE LE RESSOURCES PAGE 3 PAGE 4 AVANT TOUT CASSE-TÊTE VRAIMENT HUMAINES PAGE 6 POUR UNE VILLE QUI MARCHE! SÉCURITÉ AVANT TOUT LA Partout, dans toutes les villes, on vit sensiblement la même chose : la préoccupation la plus importante des citoyens est la sécurité, c’est-à-dire, la capacité de se déplacer sur le réseau routier sans risque. Lorsque vous étiez enfant, vous pouviez jouer dans la rue en toute quiétude? Vous avez l’impression que ce sentiment de liberté et de sécurité s’est dissipé pour laisser place au stress véhiculé par la motorisation de masse? Aujourd’hui, les tendances urbanistiques visent justement à corriger la situation. Planifier et organiser les déplacements de l’ensemble des usagers de la route (voitures, camions, vélos, piétons, enfants, adultes, ainés, personnes à mobilité réduite, personne en fauteuil roulant, etc.) nécessite un certain doigté et une bonne vision d’ensemble. Il faut penser à la signalisation, aux aménagements appropriés, choisir les moyens qui répondront aux attentes des citoyens, tout en pensant à l’impact de ces choix sur la circulation. Il faut aussi tenir compte du fait que, parfois, des demandes citoyennes s’opposent : ce qui fait l’affaire de l’un ne fait pas forcément l’affaire de l’autre. Dans tous les cas, la Ville cherche à satisfaire le plus grand nombre de citoyens possible. Des pas… précaires Autrefois, nos villes étaient à l’échelle du piéton et de l’usager des transports en commun. La motorisation a vite fait éclater cela, les villes prenant des proportions quasi inhumaines, nécessitant de recourir à l’automobile pour le moindre déplacement. Pour éviter la congestion, un investissement massif a été effectué dans le réseau routier, entraînant un cercle vicieux qui a favorisé l’étalement urbain et les déplacements motorisés. Ainsi, depuis la Deuxième Guerre mondiale, les voies de circulation sont conçues en fonction des voitures afin qu’elles roulent confortablement (rues très larges), souvent aux dépens de la sécurité des autres usagers. Aujourd’hui, les villes veulent recréer des quartiers à l’échelle humaine qui sont paisibles, agréables, efficaces et où les gens peuvent se rendre aisément à pied ou à vélo aux commerces, aux services et aux équipements collectifs composant leur cadre de vie. Les quartiers doivent donner envie aux citoyens de s'enraciner, de participer à la vie collective et de contribuer au développement économique, social et environnemental de leur milieu. C’est pourquoi il est primordial de réduire le nombre et la largeur des voies des artères afin de redistribuer l’espace excédentaire au profit des transports actifs. Évidemment, la vitesse dans les rues est une préoccupation importante des citoyens. Et pour y voir, c’est surtout la configuration des rues qui joue un rôle fondamental. « On croit à tort que ce sont les panneaux d’indication de vitesse qui gèrent la limite. C’est plutôt l’aménagement de la rue qui modifie les comportements. Sans cela, le seul moyen de faire respecter la limite de vitesse, c’est la présence policière. Celle-ci, évidemment, a ses limites, explique Gérald Tremblay, directeur du Service des travaux publics à la Ville. En sécurisant la circulation des piétons et des cyclistes, nous réduisons le confort des automobilistes (rues plus étroites), mais la configuration encourage la réduction de la vitesse des voitures, ce qui augmente automatiquement la sécurité des autres usagers de la route. » Il faut retrouver cet esprit de la ville centré sur l’être humain. Ce dernier doit absolument se réapproprier la rue. « Le rétrécissement des rues, c’est une question de sécurité pour les piétons et les cyclistes. L’ajout d’ilots protecteurs pour piétons, de pistes cyclables et de trottoirs élargis munis d’avancées, provoquera automatiquement une réduction de vitesse et une augmentation de la protection des autres usagers. Il faut retrouver cet esprit de la ville centré sur l’être humain. Ce dernier doit absolument se réapproprier la rue », affirme le chargé de projet en aménagement au Service de l’urbanisme et du développement de la Ville de Rivière-du-Loup, Nicolas Gagnon. La reconfiguration de nos rues n’est pas qu’une question d’esthétique! Oui, le réaménagement de ces dernières permet d’embellir la ville et offre souvent de l’espace pour y ajouter un arbre, un arbuste, des fleurs ou de la pelouse, mais ce n’est pas la raison principale pour laquelle une telle décision doit être prise. C’est d’abord pour optimiser la qualité de vie des résidents et accroître la sécurité de tous les usagers de la rue. «Le rétrécissement des rues, c’est une question de sécurité pour les piétons et les cyclistes.» C’est un fait observable : les gens ont tendance à conduire plus vite dans des rues larges, droites, sans obstacle, jouant ainsi avec les limites permises. Pourquoi risquer la vie des citoyens, de nos enfants ? Ainsi, cette tendance au réaménagement des rues, qui se voit de plus en plus dans les villes du Québec, n’est pas appelée à diminuer, afin d’assurer la sécurité de l’ensemble des citoyens. Pour une communauté solidaire et active! Le partage de l’espace public entre les voitures, les piétons et les cyclistes, permet également de retrouver l’esprit de la ville, soit avec des citoyens qui favorisent les échanges entre eux et donc, qui démontrent une volonté de vivre ensemble. La marche est le mode de déplacement le plus universel. 16 % des ménages louperivois n’ont pas de voiture, ce qui représente une personne sur trois au centre-ville. « Or, en aménageant la ville à l’usage exclusif des automobilistes, on a condamné ces ménages, souvent plus âgés et moins fortunés à une forme d’exclusion sociale. Une ville solidaire doit donner aux résidents non motorisés un environnement sécuritaire leur permettant d’accéder facilement à tous les services et de participer pleinement à la vie de leur communauté », explique Nicolas Gagnon. La reconfiguration du réseau routier permet également à la population de se tourner davantage vers un mode de transport actif. Collectivement, elle contribuera à la diminution des émissions de gaz à effets de serre, à l’intégration de l’activité physique quotidienne (marche et vélo), à l’enrayement de l’isolement et à la renaissance de la fonction sociale et politique de la rue pour une meilleure solidarité sociale. Resituer l’humain au cœur de la vie de la Cité constitue la clef de l’avenir des villes en ce début du XXIe siècle. Et la Ville de Rivière-du-Loup continuera, au cours des prochaines années, à travailler dans cette voie. SEPT 2016 2 ville.riviere-du-loup.qc.ca 3 Planifier les travaux publics RÉSOUDRE LE CASSE-TÊTE PORTONS ATTENTION À NOS Pourquoi les travaux commencent-ils maintenant? Pourquoi cette rue? Quel est le plan? Il peut surgir bien des questions lorsqu’un citoyen constate que des travaux sont effectués dans son secteur. Ça tombe bien, le directeur du Service des travaux publics à la Ville de Rivière-du-Loup, Gérald Tremblay, y répond! Ce dernier sait fort bien à quel point planifier les travaux publics est complexe et ne se fait surtout pas à la dernière minute. Bien sûr, lorsqu’il survient un bris ou une requête d’un citoyen, les équipes réagissent rapidement et effectuent des travaux qui n’étaient pas planifiés. Mais, pour le reste, le directeur doit y voir longtemps d’avance. « Nous discutons du scénario dès le mois de novembre, pour des travaux prévus l’été suivant, explique Gérald Tremblay. L’échéancier estival est connu en février, début mars, afin que l’on puisse dès que possible aller en appel d’offres. Les dates font partie des devis, nous savons donc exactement où nous allons. » Lors de la planification des travaux, ce n’est pas la Ville qui définit le périmètre de sécurité, mais bien les normes de santé et sécurité (Loi) qui dictent : • les distances minimales à observer entre la machinerie présente et l’excavation à faire; • les normes à respecter concernant la circulation automobile et l’excavation; • les normes en matière de signalisation des travaux qui visent à protéger les travailleurs présents sur les chantiers, le tout, édictés par le ministère des Transports (règlement sur la signalisation routière). Évidemment, des imprévus surviennent et sont, par définition, imprévisibles, comme les intempéries, par exemple. Et ce qui vient compliquer le casse-tête, outre les contraintes, les normes et les règles, c’est la notion de voisinage. Pour sa part, la Ville s’assure que le Service visé par un chantier respecte ces différentes normes. « Les normes font en sorte que nous avons besoin de beaucoup d’espace pour travailler. C’est pourquoi nous fermons des rues, davantage qu’autrefois. On a pas le choix! C’est vrai dans le monde municipal, mais c’est vrai aussi dans le monde industriel, dans la construction. Nous vivons tous la même chose et c’est ainsi que ça fonctionne », explique Gérald Tremblay, directeur du Service des travaux publics à la Ville. « Vous savez, quand on fait des travaux chez soi sur la ligne du voisin, c’est pas long que celui-ci demande à être au courant. Nous, il y a toujours plusieurs voisins et il faut coordonner tout ça. » À propos des règles, Gérald Tremblay estime qu’elles sont nécessaires. « Il en faut. On ne peut pas faire n’importe quoi. Il y a des normes de qualité et nos devis doivent s’y tenir. Le cahier des charges et devis généraux, du ministère des Transports, est un peu comme notre bible et on s’y réfère constamment. » Il faut tout organiser, car les travaux sont exécutés entre la mi-mai et la fin octobre et les entrepreneurs sont débordés. « Tout le monde veut faire ses travaux en même temps. C’est tout un défi! » Le choix des rues n’est pas aléatoire. Une grille de dégradation permet d’évaluer l’état du réseau et de classer les rues en ordre de priorité. « On a environ 700 tronçons de rue, à Rivière-du-Loup. Nous n’avons pas le budget pour tout réaliser, alors il faut faire des choix. » TRAVAILLEURS Ne perdons pas de vue que l’objectif est d’effectuer les travaux de manière efficiente, sans nuire à la sécurité de tous. La Ville de Rivière-du-Loup est un employeur, il est donc de sa responsabilité de veiller à la santé et la sécurité au travail de l’ensemble de ses employés. Partager la route, c’est aussi accepter les contraintes occasionnées par les réparations de rues ou les installations souterraines. Lorsque la Ville prend la décision de fermer des rues, de limiter ou de dévier la circulation, c’est pour protéger la vie des travailleurs à l’œuvre sur le réseau routier et pour assurer la sécurité des citoyens. Comme tout le monde, nous souhaitons que notre personnel puisse retourner sain et sauf à la maison… et nous faisons tous partie de la solution! OFFRIR LA MÊME CHANCE À TOUS Le programme Accès-Loisirs Rivière-du-Loup repose sur l’engagement des organismes et des institutions qui croient en l’importance d’offrir à tous une chance de s’épanouir, de se sentir valorisés, d’accroître son estime de soi et de développer ses talents. Ensemble, ils s’associent afin de proposer aux personnes à revenu modeste des activités de loisirs gratuites et accessibles, dans un cadre totalement confidentiel. faire ses travaux en même temps. « Tout le monde veutC’est tout un défi! » SEPT 2016 4 Depuis le printemps dernier, ce programme est offert chez nous, aux familles et aux personnes à faible revenu de tous les âges. Grâce à la générosité de nos organismes, une foule d’activités sportives, culturelles, et communautaires sont proposées aux citoyens. Le programme est chapeauté par l’organisme Les Grands Amis du KRTB et soutenu par la Ville de Rivière-du-Loup. ville.riviere-du-loup.qc.ca 5 Denis Lagacé La Bibliothèque Françoise-Bédard est de plus en plus utilisée. DES RESSOURCES VRAIMENT HUMAINES Si vous demandez à Denis Lagacé de vous parler de l’affection qu’il porte à la Ville et ses employés, vous verrez ses yeux s’humecter et son sourire afficher son état d’esprit : sa fierté est apparente et sincère. La même émotion surgira s’il vous parle de sa famille ou du Chœur Amisol, dans lequel ce ténor connait une certaine notoriété régionale. Celui qui est directeur du Service des ressources humaines à la Ville de Rivière-du-Loup depuis 2006 aime son boulot et communique fort bien cet attachement. Pour lui, « une ville, c’est d’abord et surtout des gens. Les colonnes de chiffres, c’est moins mon style. Ce que j’aime, c’est travailler avec les gens. » Par bonheur, des gens, il y a en à la Ville et les défis sont bien réels. Denis Lagacé rappelle que Rivière-du-Loup, « c’est 210 employés, une masse salariale de 11 200 000 $, pas moins de 70 corps de métiers et 5 conventions collectives différentes. C’est très diversifié. On s’occupe de l’embauche, de la gestion des effectifs, des relations de travail, des différents régimes (retraite, assurance, etc.), mais aussi de la santé et la sécurité de nos employés et plus encore. C’est vaste. » Denis Lagacé, entouré d’une petite partie de l’équipe de la Ville. «Des gens et des services, au service de gens» Ce natif de la municipalité voisine de Saint-Hubert constate certains changements dans sa profession, survenus avec le temps. Notamment, la place qu’occupent les aspects humains, psychologiques, dans le recrutement. « Avant, on misait à peu près juste sur le savoir-faire. On regardait le CV, le candidat a ce qu’il faut, on embauche. Aujourd’hui, le savoir-être est extrêmement important. Nous menons de sérieux tests psychométriques pour évaluer la candidature sur le plan émotionnel, savoir comment il ou elle réagit dans certaines situations, pour savoir si cette personne convient à la chimie et aux dispositions de l’équipe en place. » Chose certaine, oubliez le népotisme (favoriser des gens de la famille ou des amis dans l’embauche) pour Denis Lagacé. « Le seul critère qui compte ici, c’est de dénicher la meilleure personne, aux meilleures compétences et au meilleur comportement. » Le défi de la main-d’œuvre Cependant, le directeur des RH n’a surtout pas la tête dans le sable. Attirer des jeunes, de la relève, dans le milieu municipal n’est pas une mince tâche. L’époque est marquée par une instabilité qu’on ne voyait pas, autrefois. « Les nouvelles générations magasinent continuellement, ce qui n’était pas le cas il y a 15 ou 20 ans. Et puis, faut le dire : travailler pour le Cirque du Soleil, c’est sexy. Pour une ville? Moins. Alors, on se retrouve dans la Petite Séduction, à l’état pur. Il faut faire valoir nos atouts, nos forces. La bonne nouvelle, c’est que nous en avons d’énormes. » Des commentaires désobligeants envers la fonction publique ne plaisent évidemment pas à Denis Lagacé. « Les gens qui s’en prennent à la fonction publique ne se rendent pas compte des dommages que ça peut causer », dit-il. Toutefois, ces commentaires ne le déstabilisent pas. Au contraire, « ça nous pousse à l’excellence. La Ville est proactive, on n’est pas parfait, mais on n’a pas peur d’essayer des choses, de s’ajuster, d’innover. » Et quand on lui parle du poids de la masse salariale, il répond : « une ville, ça offre des services. Pour offrir des services, ça prend des gens. Quand on se compare à d’autres villes, il faut savoir qu’ailleurs, la masse salariale représente environ 45% du budget, alors qu’ici, c’est 35%. Nous favorisons, lorsque c’est avantageux, l’impartition, la sous-traitance, mais sans tenir la chose pour acquise non plus. Nous nous remettons constamment en question, réévaluons sans cesse, pour nous assurer de faire le meilleur choix pour nos citoyens. » Pas étonnant alors de constater que chacun de ses courriels se termine par cette phrase révélatrice : des gens et des services, au service de gens! LA PETITE SÉDUCTION Selon le directeur du Service des ressources humaines, voici les raisons qui devraient motiver quiconque songe à venir s’établir et travailler à Rivière-du-Loup à faire le saut : 1- C’est la plus belle ville du monde! (rien de moins) 2- Les gens sont exceptionnels. Travailler pour les citoyens de Rivière-du-Loup est un honneur et un privilège. 3- C’est une ville innovante, qui n’a pas peur d’essayer, de se dépasser. 4- Vous êtes une personne de défis? Votre place est ici. 5- La qualité de vie incomparable. Les deux heures perdues au quotidien dans le trafic, ici, vous les passez avec vos proches, à vivre des choses importantes. UNE BIBLIOTHÈQUE À LA PAGE! Du 15 au 22 octobre, à l’occasion de la Semaine des bibliothèques publiques, ajoutez à votre calendrier une activité à la Bibliothèque Françoise-Bédard! SAVIEZ 1 sur 5 « Les bibliothèques publiques sortent de plus en plus leurs livres de leurs murs. Par exemple, à Rivière-du-Loup, la Bibliothèque visite des résidences pour personnes âgées et des lieux communautaires (tels que l’ABC des Portages et l’Association Multi-Défis) afin de leur présenter des livres adaptés à leur clientèle. En plus, de beaux projets ont été réalisés comme celui de la tente à lire et des petites bibliothèques gratuites », affirme la bibliothécaire de la Bibliothèque Françoise-Bédard, Sylvie Michaud. 85 est abonné grâce au programme Une naissance, un livre? des bibliothèques publiques autonomes offrent l’adhésion gratuite à leurs citoyens? il s’agit de l’institution culturelle la plus fréquentée, devançant les salles de cinéma, de spectacles, les Musées et la saison régulière du Canadien de Montréal? La bibliothèque publique est devenue un milieu de vie accessible à tout type de personnes. Avec ses heures d’ouverture plus étendues, les travailleurs tout comme les personnes retraitées y entrent davantage. Elle est fréquentée principalement pour la lecture, dans le but d’acquérir des compétences (exemple, en informatique) ou pour compléter une formation. Cette institution culturelle est un lieu de rencontre, de partage et de socialisation, accessible gratuitement. Activités à ne pas manquer à votre biblio : - Je t’écris de ma biblio! (Toute la semaine) Passe à la biblio, procure-toi une carte postale spéciale, écris à quelqu’un que tu connais qui habite le plus loin possible de Rivière-du-Loup et nous la posterons pour toi! La Bibliothèque Françoise-Bédard est de plus en plus utilisée. Entre 2008 et 2015, les prêts ont bondi de 26 % et la fréquentation de 32 %. Elle compte 8 200 abonnés, ce qui représente 40 % de la population, soit un peu plus que la moyenne nationale qui se situe à 35,1 %. « L’impact économique positif des bibliothèques publiques sur leur communauté a été démontré. Elles sont un des investissements les plus futés qu’un gouvernement puisse faire », affirme madame Michaud. LE CŒUR GROS % VOUS QUE? - Brico livre! ( le samedi 22 octobre, pour les 6 à 10 ans) Entre 10 h et midi, viens faire un super bricolage à partir d’un livre! Inscription obligatoire! 2 $ par enfant. - Vente de livres à 1 $ la livre (21 octobre, 17 h à 20 h, 22 octobre, 10 h à 17 h) Procurez-vous de nouveaux livres à lire pour la modique somme de 1 $ chacun (2e étage de la Maison de la culture). COMME UNE MONTAGNE Le 16 octobre prochain, le maire de Rivière-du-Loup attachera ses espadrilles pour relever le défi de l’ascension de la montagne du site d’escalade de Saint-André-de-Kamouraska, afin de contribuer à la collecte de fonds nationale pour l’éducation au don d’organes et de tissus. Il fera partie de l’équipe porte-étendard de la région qui transportera le drapeau jusqu’au sommet. Celle-ci sera composée d’un médecin, d’une personne greffée, d’une famille de donneurs, d’un enseignant, d’élèves, de grimpeurs et d’une personnalité publique. J’invite toute la population à s’inscrire sur le site defi.chainedevie.org et à marcher avec notre équipe », affirme le maire Gaétan Gamache. SEPT 2016 6 ville.riviere-du-loup.qc.ca 7 En 4 ans, le Défi Everest a permis d’amasser plus d’un demi-million $. DÉPASSEMENT DE SOI La chaleur a monté d’un cran le dimanche 4 septembre, alors que des centaines de personnes étaient réunies au pied de la côte Saint-Pierre à l’occasion du Défi Everest 2016. Plus les minutes passaient, plus le souffle des participants s’emballait. Un désir commun régnait : la réussite de l’objectif fixé exigeant le dépassement de soi. « Chaque année, l’événement motive et sensibilise les citoyens aux saines habitudes de vie, un principe que prône la Ville de Rivière-du-Loup. Un nombre important de citoyens a relevé ce défi sportif qui demande de la volonté et de la persévérance, félicitations! J’encourage la population à s’inscrire l’an prochain », affirme le maire Gamache. Cette année, deux équipes de quinze personnes représentaient fièrement la Ville de Rivière-du-Loup. Chacun des services y était représenté. L’AUTOMNE, QUELQUES DATES EN SEPTEMBRE NOVEMBRE 17 septembre 40e anniversaire de la Joujouthèque Grande ouverture annuelle, église Saint-François 29 septembre Salon des aînés et des proches aidants Maison de la culture 3 au 6 novembre Noël chez nous à Rivière-du-Loup 24 au 27 novembre Tournoi Bantam McDonald’s Centre Premier Tech DÉCEMBRE 1er octobre Journée de la culture Rallye à la découverte de nos trésors culturels 3 et 4 décembre Vente de jouets usagés 9 h à 16 h, Chalet de loisirs du parc Cartier 15 octobre Collecte de jouets usagés 9 h à 16 h, Chalet de loisirs du parc Cartier 18 décembre Marche intergénérationnelle 13 h 30, départ de l’hôtel de ville 15 au 22 octobre Semaine des bibliothèques publiques du Québec PRODUCTION Publié par la Ville de Rivière-du-Loup en septembre 2016 978-2-924095-19-5 (imprimé) 978-2-924095-20-1 (pdf) Dépôt légal – Bibliothèque et Archives nationales du Québec, 2016 POUR NOUS JOINDRE Rivière-du-Loup, leader en développement durable! Ville de Rivière-du-Loup 418 867-6700 · [email protected] www.ville.riviere-du-loup.qc.ca Ce bulletin est publié sur du papier Enviro 100, 100% postconsommation 8 Conception : Gigrafe/AvecStyle OCTOBRE