MOTDU MAIRE - Ville de Rivière-du-Loup

Transcription

MOTDU MAIRE - Ville de Rivière-du-Loup
TOUTE
LA VILLE
EN PARLE!
Septembre 2016
MOT DU MAIRE
La révision du plan d’urbanisme de la ville de Rivière-du-Loup
a été un exercice extrêmement stimulant auquel les citoyens
ont participé en grand nombre et avec un intérêt des
plus inspirants.
Aussi, le message livré au terme des consultations était clair,
limpide : la priorité des Louperivois, c’est la qualité de vie.
Ils veulent se déplacer en sécurité, dans des aménagements
qui mettent en valeur les atouts spectaculaires de notre ville.
Pour concrétiser cette volonté collective, il faut y mettre le
temps, les efforts, les moyens. Dans ce bulletin municipal, vous
lirez à propos des travaux que nous effectuons sur le territoire.
Vous en saurez davantage sur la vision, la manière de faire
les choses, les tendances urbanistiques. Nous aborderons
également des questions importantes comme la réduction de
la vitesse des déplacements ou la sécurité sur les chantiers.
Bien sûr, concevoir des plans et réaliser des travaux ne sont
pas chose simple. Nous le faisons en gardant l’équilibre dans
nos finances, tout en favorisant un développement cohérent
et en insufflant le dynamisme qui nous sert si bien. Et puis,
nous disposons d’équipes compétentes et dévouées qui
veillent à satisfaire les attentes légitimes des citoyens.
Au final, nous nous retrouvons avec une ville encore plus belle,
où l’on peut se déplacer en toute sécurité, dans des aménagements judicieux, appropriés, qui font la fierté de tous.
Voilà un héritage durable et une extraordinaire motivation
pour tous ceux et celles qui travaillent tous les jours pour les
citoyens de Rivière-du-Loup.
Gaétan Gamache
POUR
UNE VILLE QUI MARCHE!
Lorsque vous étiez enfant, vous pouviez jouer dans la rue en toute quiétude? Vous avez l’impression que ce sentiment
de liberté et de sécurité s’est dissipé pour laisser place au stress véhiculé par la motorisation de masse? Aujourd’hui, les
tendances urbanistiques visent justement à corriger la situation.
SUITE EN PAGE 2
Réseau routier
Travaux publics
Denis Lagacé
LA SÉCURITÉ
RÉSOUDRE LE
RESSOURCES
PAGE 3
PAGE 4
AVANT TOUT
CASSE-TÊTE
VRAIMENT
HUMAINES
PAGE 6
POUR UNE VILLE
QUI MARCHE!
SÉCURITÉ
AVANT TOUT
LA
Partout, dans toutes les villes, on vit sensiblement la même chose : la préoccupation la plus importante des citoyens est la sécurité, c’est-à-dire, la capacité
de se déplacer sur le réseau routier sans risque.
Lorsque vous étiez enfant, vous pouviez jouer dans la rue en toute
quiétude? Vous avez l’impression que ce sentiment de liberté et de
sécurité s’est dissipé pour laisser place au stress véhiculé par la
motorisation de masse? Aujourd’hui, les tendances urbanistiques
visent justement à corriger la situation.
Planifier et organiser les déplacements de l’ensemble des usagers de la route
(voitures, camions, vélos, piétons, enfants, adultes, ainés, personnes à mobilité
réduite, personne en fauteuil roulant, etc.) nécessite un certain doigté et une
bonne vision d’ensemble. Il faut penser à la signalisation, aux aménagements
appropriés, choisir les moyens qui répondront aux attentes des citoyens, tout
en pensant à l’impact de ces choix sur la circulation. Il faut aussi tenir compte
du fait que, parfois, des demandes citoyennes s’opposent : ce qui fait l’affaire
de l’un ne fait pas forcément l’affaire de l’autre. Dans tous les cas, la Ville
cherche à satisfaire le plus grand nombre de citoyens possible.
Des pas… précaires
Autrefois, nos villes étaient à l’échelle du piéton et de l’usager des transports
en commun. La motorisation a vite fait éclater cela, les villes prenant des
proportions quasi inhumaines, nécessitant de recourir à l’automobile pour le
moindre déplacement. Pour éviter la congestion, un investissement massif a
été effectué dans le réseau routier, entraînant un cercle vicieux qui a favorisé
l’étalement urbain et les déplacements motorisés. Ainsi, depuis la Deuxième
Guerre mondiale, les voies de circulation sont conçues en fonction des voitures
afin qu’elles roulent confortablement (rues très larges), souvent aux dépens
de la sécurité des autres usagers.
Aujourd’hui, les villes veulent recréer des quartiers à l’échelle humaine qui sont
paisibles, agréables, efficaces et où les gens peuvent se rendre aisément à
pied ou à vélo aux commerces, aux services et aux équipements collectifs
composant leur cadre de vie. Les quartiers doivent donner envie aux citoyens
de s'enraciner, de participer à la vie collective et de contribuer au développement
économique, social et environnemental de leur milieu. C’est pourquoi il est
primordial de réduire le nombre et la largeur des voies des artères afin de
redistribuer l’espace excédentaire au profit des transports actifs.
Évidemment, la vitesse
dans les rues est une
préoccupation importante des citoyens. Et
pour y voir, c’est surtout
la configuration des
rues qui joue un rôle
fondamental. « On croit
à tort que ce sont les
panneaux d’indication
de vitesse qui gèrent la
limite. C’est plutôt
l’aménagement de la
rue qui modifie les
comportements. Sans
cela, le seul moyen de faire respecter la limite de vitesse, c’est la présence
policière. Celle-ci, évidemment, a ses limites, explique Gérald Tremblay, directeur
du Service des travaux publics à la Ville. En sécurisant la circulation des piétons
et des cyclistes, nous réduisons le confort des automobilistes (rues plus étroites),
mais la configuration encourage la réduction de la vitesse des voitures, ce qui
augmente automatiquement la sécurité des autres usagers de la route. »
Il faut retrouver
cet esprit de la ville
centré sur l’être humain.
Ce dernier doit absolument
se réapproprier la rue.
« Le rétrécissement des rues, c’est une question de sécurité pour les piétons et
les cyclistes. L’ajout d’ilots protecteurs pour piétons, de pistes cyclables et
de trottoirs élargis munis d’avancées, provoquera automatiquement une
réduction de vitesse et une augmentation de la protection des autres usagers.
Il faut retrouver cet esprit de la ville centré sur l’être humain. Ce dernier doit
absolument se réapproprier la rue », affirme le chargé de projet en aménagement
au Service de l’urbanisme et du développement de la Ville de Rivière-du-Loup,
Nicolas Gagnon.
La reconfiguration de nos rues n’est pas qu’une question d’esthétique! Oui, le réaménagement de ces dernières permet d’embellir la ville et offre souvent de l’espace
pour y ajouter un arbre, un arbuste, des fleurs ou de la pelouse, mais ce n’est pas la raison principale pour laquelle une telle décision doit être prise. C’est d’abord
pour optimiser la qualité de vie des résidents et accroître la sécurité de tous les usagers de la rue.
«Le rétrécissement des rues, c’est une question
de sécurité pour les piétons et les cyclistes.»
C’est un fait observable : les gens ont tendance à conduire plus vite dans des rues larges, droites, sans obstacle, jouant ainsi avec les limites
permises. Pourquoi risquer la vie des citoyens, de nos enfants ? Ainsi, cette tendance au réaménagement des rues, qui se voit de plus en plus
dans les villes du Québec, n’est pas appelée à diminuer, afin d’assurer la sécurité de l’ensemble des citoyens.
Pour une communauté solidaire et active!
Le partage de l’espace public entre les voitures, les piétons et les cyclistes, permet également de retrouver
l’esprit de la ville, soit avec des citoyens qui favorisent les échanges entre eux et donc, qui démontrent une
volonté de vivre ensemble. La marche est le mode de déplacement le plus universel. 16 % des ménages
louperivois n’ont pas de voiture, ce qui représente une personne sur trois au centre-ville. « Or, en aménageant
la ville à l’usage exclusif des automobilistes, on a condamné ces ménages, souvent plus âgés et moins
fortunés à une forme d’exclusion sociale. Une ville solidaire doit donner aux résidents non motorisés un
environnement sécuritaire leur permettant d’accéder facilement à tous les services et de participer
pleinement à la vie de leur communauté », explique Nicolas Gagnon.
La reconfiguration du réseau routier permet également à la population de se tourner davantage vers un
mode de transport actif. Collectivement, elle contribuera à la diminution des émissions de gaz à effets de
serre, à l’intégration de l’activité physique quotidienne (marche et vélo), à l’enrayement de l’isolement et
à la renaissance de la fonction sociale et politique de la rue pour une meilleure solidarité sociale.
Resituer l’humain au cœur de la vie de la Cité constitue la clef de l’avenir des villes en ce début du XXIe siècle.
Et la Ville de Rivière-du-Loup continuera, au cours des prochaines années, à travailler dans cette voie.
SEPT 2016
2
ville.riviere-du-loup.qc.ca
3
Planifier les travaux publics
RÉSOUDRE
LE CASSE-TÊTE
PORTONS
ATTENTION
À NOS
Pourquoi les travaux commencent-ils maintenant? Pourquoi cette rue? Quel est le plan? Il peut surgir bien des questions lorsqu’un citoyen
constate que des travaux sont effectués dans son secteur. Ça tombe bien, le directeur du Service des travaux publics à la Ville de Rivière-du-Loup,
Gérald Tremblay, y répond!
Ce dernier sait fort bien à quel point planifier
les travaux publics est complexe et ne se fait
surtout pas à la dernière minute. Bien sûr,
lorsqu’il survient un bris ou une requête d’un
citoyen, les équipes réagissent rapidement et
effectuent des travaux qui n’étaient pas planifiés. Mais, pour le reste, le directeur doit y
voir longtemps d’avance. « Nous discutons
du scénario dès le mois de novembre, pour
des travaux prévus l’été suivant, explique
Gérald Tremblay. L’échéancier estival est
connu en février, début mars, afin que l’on
puisse dès que possible aller en appel
d’offres. Les dates font partie des devis, nous
savons donc exactement où nous allons. »
Lors de la planification des travaux, ce n’est pas la Ville qui définit le périmètre
de sécurité, mais bien les normes de santé et sécurité (Loi) qui dictent :
• les distances minimales à observer entre la machinerie présente et
l’excavation à faire;
• les normes à respecter concernant la circulation automobile et l’excavation;
• les normes en matière de signalisation des travaux qui visent à protéger
les travailleurs présents sur les chantiers, le tout, édictés par le ministère
des Transports (règlement sur la signalisation routière).
Évidemment, des imprévus surviennent et
sont, par définition, imprévisibles, comme les
intempéries, par exemple. Et ce qui vient
compliquer le casse-tête, outre les
contraintes, les normes et les règles, c’est la
notion de voisinage.
Pour sa part, la Ville s’assure que le Service visé par un chantier respecte
ces différentes normes. « Les normes font en sorte que nous avons besoin de
beaucoup d’espace pour travailler. C’est pourquoi nous fermons des rues,
davantage qu’autrefois. On a pas le choix! C’est vrai dans le monde municipal,
mais c’est vrai aussi dans le monde industriel, dans la construction. Nous
vivons tous la même chose et c’est ainsi que ça fonctionne », explique
Gérald Tremblay, directeur du Service des travaux publics à la Ville.
« Vous savez, quand on fait des travaux chez
soi sur la ligne du voisin, c’est pas long que
celui-ci demande à être au courant. Nous,
il y a toujours plusieurs voisins et il faut
coordonner tout ça. »
À propos des règles, Gérald Tremblay estime
qu’elles sont nécessaires. « Il en faut. On ne
peut pas faire n’importe quoi. Il y a des
normes de qualité et nos devis doivent s’y
tenir. Le cahier des charges et devis
généraux, du ministère des Transports,
est un peu comme notre bible et on s’y
réfère constamment. »
Il faut tout organiser, car les travaux sont
exécutés entre la mi-mai et la fin octobre et
les entrepreneurs sont débordés. « Tout le
monde veut faire ses travaux en même
temps. C’est tout un défi! »
Le choix des rues n’est pas aléatoire. Une
grille de dégradation permet d’évaluer l’état
du réseau et de classer les rues en ordre de
priorité. « On a environ 700 tronçons de rue,
à Rivière-du-Loup. Nous n’avons pas le
budget pour tout réaliser, alors il faut faire
des choix. »
TRAVAILLEURS
Ne perdons pas de vue que l’objectif est d’effectuer les travaux de manière
efficiente, sans nuire à la sécurité de tous. La Ville de Rivière-du-Loup est un
employeur, il est donc de sa responsabilité de veiller à la santé et la sécurité au
travail de l’ensemble de ses employés.
Partager la route, c’est aussi accepter les contraintes occasionnées par
les réparations de rues ou les installations souterraines. Lorsque la Ville
prend la décision de fermer des rues, de limiter ou de dévier la circulation, c’est pour protéger la vie des travailleurs à l’œuvre sur le réseau
routier et pour assurer la sécurité des citoyens.
Comme tout le monde, nous souhaitons que notre personnel puisse retourner
sain et sauf à la maison… et nous faisons tous partie de la solution!
OFFRIR LA MÊME CHANCE À TOUS
Le programme Accès-Loisirs Rivière-du-Loup repose sur l’engagement des organismes et des institutions qui croient
en l’importance d’offrir à tous une chance de s’épanouir, de se sentir valorisés, d’accroître son estime de soi et de
développer ses talents. Ensemble, ils s’associent afin de proposer aux personnes à revenu modeste des activités
de loisirs gratuites et accessibles, dans un cadre totalement confidentiel.
faire ses travaux en même temps.
« Tout le monde veutC’est
tout un défi! »
SEPT 2016
4
Depuis le printemps dernier, ce programme est offert chez nous, aux familles et aux personnes à faible revenu de
tous les âges. Grâce à la générosité de nos organismes, une foule d’activités sportives, culturelles, et communautaires
sont proposées aux citoyens.
Le programme est chapeauté par l’organisme Les Grands Amis du KRTB et soutenu par la Ville de Rivière-du-Loup.
ville.riviere-du-loup.qc.ca
5
Denis Lagacé
La Bibliothèque
Françoise-Bédard est de
plus en plus utilisée.
DES RESSOURCES VRAIMENT HUMAINES
Si vous demandez à Denis Lagacé de vous parler de l’affection qu’il
porte à la Ville et ses employés, vous verrez ses yeux s’humecter et son
sourire afficher son état d’esprit : sa fierté est apparente et sincère. La
même émotion surgira s’il vous parle de sa famille ou du Chœur Amisol,
dans lequel ce ténor connait une certaine notoriété régionale.
Celui qui est directeur du Service des ressources humaines à la Ville de
Rivière-du-Loup depuis 2006 aime son boulot et communique fort bien cet
attachement. Pour lui, « une ville, c’est d’abord et surtout des gens. Les
colonnes de chiffres, c’est moins mon style. Ce que j’aime, c’est travailler
avec les gens. »
Par bonheur, des gens, il y a en à la Ville et les défis sont bien réels. Denis
Lagacé rappelle que Rivière-du-Loup, « c’est 210 employés, une masse salariale
de 11 200 000 $, pas moins de 70 corps de métiers et 5 conventions collectives
différentes. C’est très diversifié. On s’occupe de l’embauche, de la gestion des
effectifs, des relations de travail, des différents régimes (retraite, assurance,
etc.), mais aussi de la santé et la sécurité de nos employés et plus encore.
C’est vaste. »
Denis Lagacé, entouré d’une petite
partie de l’équipe de la Ville.
«Des gens et des services, au service de gens»
Ce natif de la municipalité voisine de Saint-Hubert constate certains changements dans sa profession, survenus avec le temps. Notamment, la place qu’occupent les
aspects humains, psychologiques, dans le recrutement. « Avant, on misait à peu près juste sur le savoir-faire. On regardait le CV, le candidat a ce qu’il faut, on
embauche. Aujourd’hui, le savoir-être est extrêmement important. Nous menons de sérieux tests psychométriques pour évaluer la candidature sur le plan émotionnel,
savoir comment il ou elle réagit dans certaines situations, pour savoir si cette personne convient à la chimie et aux dispositions de l’équipe en place. »
Chose certaine, oubliez le népotisme (favoriser des gens de la famille ou des amis dans l’embauche) pour Denis Lagacé. « Le seul critère qui compte ici, c’est de
dénicher la meilleure personne, aux meilleures compétences et au meilleur comportement. »
Le défi de la main-d’œuvre
Cependant, le directeur des RH n’a surtout pas la tête dans le sable. Attirer des jeunes, de la relève, dans le milieu municipal n’est pas une mince tâche. L’époque est
marquée par une instabilité qu’on ne voyait pas, autrefois. « Les nouvelles générations magasinent continuellement, ce qui n’était pas le cas il y a 15 ou 20 ans. Et
puis, faut le dire : travailler pour le Cirque du Soleil, c’est sexy. Pour une ville? Moins. Alors, on se retrouve dans la Petite Séduction, à l’état pur. Il faut faire valoir
nos atouts, nos forces. La bonne nouvelle, c’est que nous en avons d’énormes. »
Des commentaires désobligeants envers la fonction publique ne plaisent évidemment pas à Denis Lagacé. « Les gens qui s’en prennent à la fonction publique ne se
rendent pas compte des dommages que ça peut causer », dit-il. Toutefois, ces commentaires ne le déstabilisent pas. Au contraire, « ça nous pousse à l’excellence. La
Ville est proactive, on n’est pas parfait, mais on n’a pas peur d’essayer des choses, de s’ajuster, d’innover. »
Et quand on lui parle du poids de la masse salariale, il répond : « une ville, ça offre des services. Pour offrir des services, ça prend des gens. Quand on se compare
à d’autres villes, il faut savoir qu’ailleurs, la masse salariale représente environ 45% du budget, alors qu’ici, c’est 35%. Nous favorisons, lorsque c’est avantageux,
l’impartition, la sous-traitance, mais sans tenir la chose pour acquise non plus. Nous nous remettons constamment en question, réévaluons sans cesse, pour nous
assurer de faire le meilleur choix pour nos citoyens. »
Pas étonnant alors de constater que chacun de ses courriels se termine par cette phrase révélatrice : des gens et des services, au service de gens!
LA PETITE SÉDUCTION
Selon le directeur du Service des ressources humaines, voici les raisons qui devraient motiver quiconque songe à
venir s’établir et travailler à Rivière-du-Loup à faire le saut :
1-
C’est la plus belle ville du monde! (rien de moins)
2-
Les gens sont exceptionnels. Travailler pour les citoyens de Rivière-du-Loup est un honneur et un privilège.
3-
C’est une ville innovante, qui n’a pas peur d’essayer, de se dépasser.
4-
Vous êtes une personne de défis? Votre place est ici.
5-
La qualité de vie incomparable. Les deux heures perdues au quotidien dans le trafic, ici, vous les passez avec
vos proches, à vivre des choses importantes.
UNE BIBLIOTHÈQUE À LA PAGE!
Du 15 au 22 octobre, à l’occasion de la Semaine des bibliothèques
publiques, ajoutez à votre calendrier une activité à la Bibliothèque
Françoise-Bédard!
SAVIEZ
1 sur 5
« Les bibliothèques publiques sortent de plus en plus leurs livres de leurs murs.
Par exemple, à Rivière-du-Loup, la Bibliothèque visite des résidences pour
personnes âgées et des lieux communautaires (tels que l’ABC des Portages et
l’Association Multi-Défis) afin de leur présenter des livres adaptés à leur
clientèle. En plus, de beaux projets ont été réalisés comme celui de la tente à
lire et des petites bibliothèques gratuites », affirme la bibliothécaire de la
Bibliothèque Françoise-Bédard, Sylvie Michaud.
85
est abonné grâce au programme Une naissance, un livre?
des bibliothèques publiques autonomes offrent l’adhésion
gratuite à leurs citoyens?
il s’agit de l’institution culturelle la plus fréquentée,
devançant les salles de cinéma, de spectacles, les Musées et
la saison régulière du Canadien de Montréal?
La bibliothèque publique est devenue un milieu de vie accessible à tout type
de personnes. Avec ses heures d’ouverture plus étendues, les travailleurs tout
comme les personnes retraitées y entrent davantage. Elle est fréquentée principalement pour la lecture, dans le but d’acquérir des compétences (exemple,
en informatique) ou pour compléter une formation. Cette institution culturelle
est un lieu de rencontre, de partage et de socialisation, accessible gratuitement.
Activités à ne pas manquer à votre biblio :
- Je t’écris de ma biblio! (Toute la semaine)
Passe à la biblio, procure-toi une carte postale spéciale, écris à quelqu’un
que tu connais qui habite le plus loin possible de Rivière-du-Loup et nous
la posterons pour toi!
La Bibliothèque Françoise-Bédard est de plus en plus utilisée. Entre 2008 et
2015, les prêts ont bondi de 26 % et la fréquentation de 32 %. Elle compte
8 200 abonnés, ce qui représente 40 % de la population, soit un peu plus que
la moyenne nationale qui se situe à 35,1 %. « L’impact économique positif des
bibliothèques publiques sur leur communauté a été démontré. Elles sont un
des investissements les plus futés qu’un gouvernement puisse faire », affirme
madame Michaud.
LE CŒUR GROS
%
VOUS QUE?
- Brico livre! ( le samedi 22 octobre, pour les 6 à 10 ans)
Entre 10 h et midi, viens faire un super bricolage à partir d’un livre!
Inscription obligatoire! 2 $ par enfant.
- Vente de livres à 1 $ la livre (21 octobre, 17 h à 20 h, 22 octobre, 10 h à 17 h)
Procurez-vous de nouveaux livres à lire pour la modique somme de 1 $
chacun (2e étage de la Maison de la culture).
COMME UNE
MONTAGNE
Le 16 octobre prochain, le maire de Rivière-du-Loup attachera ses espadrilles pour relever le défi de l’ascension de la
montagne du site d’escalade de Saint-André-de-Kamouraska, afin de contribuer à la collecte de fonds nationale pour
l’éducation au don d’organes et de tissus.
Il fera partie de l’équipe porte-étendard de la région qui transportera le drapeau jusqu’au sommet. Celle-ci sera composée d’un médecin,
d’une personne greffée, d’une famille de donneurs, d’un enseignant, d’élèves, de grimpeurs et d’une personnalité publique. J’invite
toute la population à s’inscrire sur le site defi.chainedevie.org et à marcher avec notre équipe », affirme le maire Gaétan Gamache.
SEPT 2016
6
ville.riviere-du-loup.qc.ca
7
En 4 ans, le Défi Everest
a permis d’amasser plus
d’un demi-million $.
DÉPASSEMENT DE SOI
La chaleur a monté d’un cran le dimanche 4 septembre, alors que des centaines de personnes étaient réunies au pied de la côte Saint-Pierre
à l’occasion du Défi Everest 2016. Plus les minutes passaient, plus le souffle des participants s’emballait. Un désir commun régnait : la réussite de
l’objectif fixé exigeant le dépassement de soi.
« Chaque année, l’événement motive et sensibilise les citoyens aux saines habitudes de vie, un principe que prône la Ville de Rivière-du-Loup. Un nombre important
de citoyens a relevé ce défi sportif qui demande de la volonté et de la persévérance, félicitations! J’encourage la population à s’inscrire l’an prochain », affirme le
maire Gamache. Cette année, deux équipes de quinze personnes représentaient fièrement la Ville de Rivière-du-Loup. Chacun des services y était représenté.
L’AUTOMNE, QUELQUES DATES
EN
SEPTEMBRE
NOVEMBRE
17 septembre
40e anniversaire de la Joujouthèque
Grande ouverture annuelle, église Saint-François
29 septembre
Salon des aînés et des proches aidants
Maison de la culture
3 au 6 novembre
Noël chez nous à Rivière-du-Loup
24 au 27 novembre Tournoi Bantam McDonald’s
Centre Premier Tech
DÉCEMBRE
1er octobre
Journée de la culture
Rallye à la découverte de nos trésors culturels
3 et 4 décembre
Vente de jouets usagés
9 h à 16 h, Chalet de loisirs du parc Cartier
15 octobre
Collecte de jouets usagés
9 h à 16 h, Chalet de loisirs du parc Cartier
18 décembre
Marche intergénérationnelle
13 h 30, départ de l’hôtel de ville
15 au 22 octobre
Semaine des bibliothèques publiques du Québec
PRODUCTION
Publié par la Ville de Rivière-du-Loup en septembre 2016
978-2-924095-19-5 (imprimé)
978-2-924095-20-1 (pdf)
Dépôt légal – Bibliothèque et Archives nationales du Québec, 2016
POUR NOUS JOINDRE
Rivière-du-Loup,
leader en développement durable!
Ville de Rivière-du-Loup
418 867-6700 · [email protected]
www.ville.riviere-du-loup.qc.ca
Ce bulletin est publié sur du papier Enviro 100,
100% postconsommation
8
Conception : Gigrafe/AvecStyle
OCTOBRE