Décembre 2010 - Etablissement de formation de Valdoie

[ QUELET GENERATION ]
N’hésitez pas à utiliser votre
journal pour faire entendre votre
voix ! C’est votre média ...
L’airsoft par George
3
QG
.
N° 13
La boxe par Alexandre et Fabien
4
ACTU
Des traditions qui perdurent...
8
avec Théo et Anthony
Voyages d’études : La Rochelle et Paris 9
MANGER Sain...
Rédaction :
Les apprenants, P. Beaufils-Testa,
I. Debarnot, J.-F. Debarnot, M. Fillon,
L. Guizard, S. Jarrot, G. Kaemmerlen,
E. Mathiot et A.Quentin.
Responsable de publication: I. Debarnot
Journal interne du Lycée Lucien Quelet,
90300 Valdoie.
Les articles n'engagent que leurs auteurs.
10
2010
Haut-Doubs, où sont nos traditions ?
De nos jours, à l’heure de la mondialisation et de la communication, le HautDoubs se démarque en perpétuant diverses traditions (tuer le cochon, faire la
« goutte », les conscrits). Rapide état
des lieux de ce qui subsiste de ce patrimoine si typique.
Coup de cœur
Stargate : voyage au cœur de la série
DECEMBRE
.
D
ébut de l’h iver dans le Haut-Doubs, après
une saison d’e ngraissement, il est temps de
tuer le cochon. On le sort alors de l’étable, lui
qui n’a encore jamais vu le jour, afin de l’approcher du bassin d’eau bouilla nte. D’un geste
précis, le cochon est assommé et plongé dans
l’eau afin de retirer le s soies. Ensuite , on découpe l’a nimal en deux en récupérant le sang
pour le boudin. Dans le cochon, tout est bon
c’est bien connu ! Voilà encore une des nombreuses traditions qui reste et se pratiq ue souvent dans cette région. Mais pourquoi ici et pas
ailleurs ? Eh bie n sûrement parce que cette
régio n, un peu « perdue » a su garder ses habitants qui tiennent à le urs racin es, et aujourd’h ui
les jeunes, fiers de le ur « village » tentent de les
conserver et ont même tendance parfo is à les
ressusciter. Ainsi, encore aujourd’hui, on entend
sonner le cla iron des conscrits le jour de l’an.
Cette traditio n d’orig ine militaire voit donc passer
les jeunes, l’année de leurs 20 ans, dans les maisons du villa ge. On offre un petit verre (ou plus) et
quelq ues étrennes, pratiquement toujours avec le
sourire, car la plu part des habita nts ayant fait les
conscrits dans leur jeune temps, savent comme il
est important de garder de telles traditions.
Autre tradition, peut-être un peu moins festive, le
tarot. Mener le petit au bout, « le chien », « faire
une petite », auta nt d’expressions encore prononcées si souvent du côté de Pontarlier, capitale du
tarot, ville organisatrice des championnats de
France. Un jeu encore pratiq ué la rgement par les
personnes âgées, mais aussi beaucoup par les
plus jeunes, in itiés au tarot grâce à le urs grandsparents. Et oui, co mbien de collèges ne comptent
pas au sein de l’établissement un « club tarot » ? Et
bien, ils ne sont pas nombreux (s’ il y en a !).
Le Haut-Doubs est aussi réputé pour ses bals ;
pratiquement disparus à la fin des années 80, avec
l’expansio n de la mode des discoth èques, voilà un
peu moins de dix ans que le s salle s se remplissent
à nouveau. Tous le s week-ends, on retrouve donc
facilement un ou deux bals faisant le ple in. Organisés par des associa tions caritatives, sportives,
scolaires avec des prix d’e ntrée et de boissons
moins chers. Voilà ce qui fait aujourd’hui le succès
de ces soirées.
On pourrait ainsi citer des dizain es de traditions qui
rassemblent toute la profession agricole et les mil-
LE BIO EST A VOTRE PORTE !
Dans le cadre de notre BTS, nous avons à
réaliser un ou plu sieurs PIC (Projet, Initiative
et Communication). Dans la lig née de la
promotion précédente, nous avons décid é de
poursuivre la démarche de communication
autour du potager biologique du lycée. Effectivement, le lycée est doté d’u n potager entretenu par des élèves sous la tutelle de
Mme Bredmestre. Les lé gumes issus du
potager sont utilisés pour la confection des
repas à la cantine. Notre objectif est de promouvoir le s bienfa its des légumes biolo giques en améliorant la communication autour
du jardin. Pour ce faire, nous utiliserons
divers outils de communication type panneaux, power-point ou par un article sur le
site du lycée. Il est in téressant et importa nt
de pouvoir valoriser le travail de chacun des
acteurs qui interviennent de près ou de loin
sur le potager.
Antonin & Pierre-Etienne, BTS 2 AP(FI)
liers de touristes ou encore le « Pont ». Boisson alcoolisée à
l’anis, le Pont est la boisson du Haut-Doubs. Qui osera venir
demander un pastis chez un Haut-Doubien ? Et après le
Pont et le repas, reste bie n sûr la goutte toujours fabriq uée
par de nombreuses personnes ; la gentia ne reste une des
gouttes les plu s consommées. Mais, aujourd’hui, avec la
présence toujours plu s nombreuse des frontaliers et autres
nouveaux arrivants, certa ines de ces traditions n’o nt pas su
résister et ont ainsi quasiment disparu.
Adieu les « 4 heures »
L’école qui finit à 16 h 30, les activités extra scolaires ont
contribué à la disparitio n des 4 heures. C’est terminé le
temps où l’on sorta it le pain, le comté et le café afin de faire
une pause après un après-midi de travail. Il ne reste aujourd’hui que les agriculteurs qui pratiquent encore cette
tradition pour faire une coupure entre l’a près-midi de travail
et la traite du soir. Autre traditio n agricole à avoir disparu, la
« Foire Franche». Incontournable , le monde agricole n’e n
manquait pas une. La « foire franche » est une manifestatio n
qui consiste à vendre aux enchères le matérie l d’u n agriculteur qui cesse son activité sans repreneur. Avec l’évolu tion et la modernisation de l’agriculture, cette pratique a
totalement disparu.
Rajeunie s, ressuscitées ou disparues, les traditio ns du HautDoubs restent à part. Avec une popula tion très attachée, et
fière de ses terres, on peut être certain qu’elles ne sont pas
prêtes de disparaître totalement et revie ndront sûrement à la
mode. Et pour ne pas nous faire oublier, il nous reste bie n
sûr notre accent et nos expressions (ramasser le ch’ni, daubot, viôsse ou beuillot) qui en font rire ou en laissent incrédules plus d’u n !
Bastien, BTS AP (FI), promo 2008-2010.
Coucou !
Si v ous souhaitez écrire un article pour notre journal,
n’hésitez pas ! Votre tex te peut être manuscrit ou dacty lographié. Transmettez-le à l’équipe du CDI ou à v os
professeurs de français qui feront le relais. Lâchezv ous sur les thèmes qui v ous touchent, v ous préoccupent, v ous font plaisir… Un journal, dans un établissement scolaire, c’est av ant tout un moment de partage… Vous pouv ez également transmettre un dessin,
une photo, une courte nouv elle, un poème, une petite
annonce ou une recette de cuisine…
C’est également possible de contacter le « club reporters » v ia Lucie Guizard et Isabelle Debarnot.
[email protected]
[email protected]
Le prochain n° paraîtra en avril 2011. On compte
sur vous !
2
Edito
Salut !
M ercredi 24 novembre 2010, nous som-
CLUB MUSCU
Dans le cadre de l’ASC,
Association sportive et culturelle
de notre établissement , Pierre
Chevrolat et Benjamin Tudeau
vous proposent un atelier
musculation le lundi soir de
17h15 à 19h.
Tout apprenant est accepté avec
un suivi individualisé et un
programme à la clef.
Remise en forme assurée...
Benjamin, BTS AP2 (FI)
STEP
Au gymnase, le lundi de 17h30 à
18h30 avec Sylvie Pater.
N’hésite pas et viens te défouler !
mes nombreux à participer au cross départemental qui s’est déroulé dans le parc de
la Douce. Maximilien en 1ère STAV et Louis
en seconde G T ont représenté brillamment
Valdoie dans la catégorie « cadets » en
remportant les 4ème et 9ème places…
Le sport a une place essentielle dans la vie
de notre lycée. Le lundi soir, on va au gymnase pour faire de la musculation, jouer au
volley ou au foot. Pendant ce temps, des
filles font du STEP et s’éclatent sur la musique de Fatal Bazooka, Shakira et Black
eyes Peas… Aves l’aide de Sylv ie Pater,
elles créent leurs propres chorégraphies
sur la musique de leur choix… D’autres
préfèrent s’initier au théâtre avec un artiste
qui vient au lycée le lundi soir, un professionnel, Frédéric Liénard.
Dans ce n°, on vous parlera également de
musique avec un coup de cœur pour Johnny Cash, le Visual Key (courant musical
japonais qui connaît de plus en plus de
fans)… On vous dévoilera aussi nos passions comme l’air soft, des films qui nous
ont marqués : Street danse 3D et Stargate… On parlera aussi Littérature avec la
rencontre de l’écrivaine Fabienne Swiatly
qui est venue au lycée dernièrement, dans
le cadre du festival des Petites Fugues. On
a découvert un auteur très sympa, drôle,
ouvert, détendu…
Bonne lecture et à bientôt ! On vous souhaite de belles fêtes de fin d’année, des
chocolats et de la NEIGE… !
La classe de seconde G T
Graff proposé par Thomas
Si, si, il y a bien une fête de Noël en préparation… celle-ci se déroulera au lycée le
jeudi 16 décembre 2010 (en soirée).
L’UNSS au lycée
Les
mercredis 22 et 29 septembre étaient
consacrés à des sorties VTT.
Départ du lycée vers 13h30 en direction du
Malsaucy. Après une première pause aux
alentours du fort de Giromagny , les élèves ont
arpenté les premières pentes des Vosges
av ant de redescendre vers Valdoie pour
17h30.
Le 6 octobre était consacré à une journée de
brassage au Stade Serzian à Belfort dans le
cadre du championnat départemental de Football.
Mercredi 6 Octobre un groupe de 8 élèv es est
parti du côté de la Malcombe à Besançon
pour participer au Comté Vert (épreuve qui
a l li e le VT T e t l a c ou rs e ).
Il s’agissait par binôme de parcourir le plus
rapidement possible une boucle d’environ
1500m av ec un cyclis te et un coureur à pieds.
Les 2 élèv es pouvant se relayer quand ils v oulaient et autant de fois qu’ils le souhaitaient.
L’équipe de Valdoie ci-dessous était composée de 4 binômes qui se sont donc succédés
pendant 1 heure de temps en accumulant un
max imum de tours. Nos coureurs terminent au
pied du podium en décrochant une 4ème place.
Le 20 Octobre un groupe de 8 footeux se déplaçait au stade Serzian pour jouer et gagner
contre le ly cée Courbet par 8 buts à 5 après
un début un peu poussif. En effet après un
premier but encaissé au bout de 30 secondes,
les coéquipiers d’Antonin GAULME (BTS2AP)
encaissent un second puis un troisième but en
moins de 5 minutes. Jouant plus collectif et
av ec dav antage de réussite, ils rev iennent à 3
buts à 2 au repos, av ant de dominer totalement la seconde période. Très bon comportement sur le terrain de l’ensemble de nos
joueurs qui gagnent donc leur premier match
de ce championnat catégorie juniors garçons.
Malheureusement et par manque d’effectif,
l’équipe de cadet garçons a dû être retirée de
la compétition.
Pour la fin d’année 2010 les principales épreuv es sont :
la suite du championnat départemental de football,
le début des championnats de basket en garçons et en filles,
le cross départemental le 24 nov embre et académique à Besançon le 8 décembre.
Tournoi de foot en salle dans le cadre du challenge FORNY (Handball masculin) le dernier
mercredi des cours.
G. Kaemmerlen
VTT
Le VTT est un v élo fait pour arpenter n’importe quel ty pe de terrain. Il fut inv enté vers
1930. Sa première appellation fut Mountain
bike.
Puis, on a fait du VTT un sport à part entière,
que l’on div ise en cinq sections, dont une com-
porte plusieurs dis ciplines.
On v a décrire ci-dessous la section enduro et
ses quatre disciplines. L’enduro est la section
s’intéressant plus à l’aspect sportif , découv erte, contrairement au Dirt qui cible plutôt les
figures artistiques.
En enduro, on retrouv e alors ces 4 dis ciplines :
Le hard-trail : c’est la dis cipline visant un grand
kilométrage sur les déniv elés relativ ement
aléatoires ; c’est la plus répandue des disciplines.
Le All-mountains : cette discipline concerne
déjà les sportifs bien entrainés ; elle concerne
des distances modérées mais sur un déniv elé
très important. Il faut donc apprendre à gérer
ses efforts, son ry thme, son souffle, et les techniques facilitent les grandes montées, c’est
l’une des sections VTT les plus difficiles.
Le Race : C’est la discipline de compétition ; ce
sont de longues distances intenses ; il faut
donc savoir s’économiser pour arriv er au bout.
Le Marathon : c’est une course ty pée pour les
grandes distances.
Rémi et Louis , 2nde GT.
Vivre la Transterritoire…
La Transterritoire est
une randonnée VTT organisée par le CBL (Club Belfort Loisir) ; c’est
une randonnée conviv iale, où il faut amener des
amis pour bien s’amuser. Les parcours changent toujours d’une année sur l’autre ; cette année, il y avait 5 parcours, div is és en 4 sections,
selon les difficultés :
Les parcours familiaux concernent le 25 et 30
km
Le parcours découverte de 40 km
Le sportif de 50 km
L’ex pert de 80 km
Le 50 et 80 km sont réserv és à ceux qui pratiquent le VTT régulièrement ; cette année, ce fut
la 21ème Transterritoire organisée.
Rémi et Louis , 2nde GT.
Prochain départ : OCTOBRE 2011...
3
Skate : les contests
Le mot « contest » veut dire compétition
Chaque année ont lieu les contests de skate dans les grandes et petites v illes. Le principe est d’accumuler le plus de
figures possibles en un temps lim ité. C’est aussi un très bon
moy en d’évaluer son niv eau dans cette discipline. Bien sûr
quand il y a des compétitions, les sponsors de skate sont présents pour faire de la public ité, il y aussi des photographes
spécialisés.
Ce qui est bien dans les contests c’est que l’on skate av ec
d’autres concurrents de niv eaux différents.
On peut classer ces manifestations de la manière suiv ante :
Contest régional ex. « Contest de Besançon »
Contest de France ex « SK8 rout 2010/2011 » à Lille, Marseille, Nantes, Annecy…
Contest Mondial : « Goofie vs Regular »
Certains s’organis ent sous forme de OUT, soit de STREET,
soit de RAMPE.
Voici quelques figures que l’on peut retrouv er soit en street ou
en rampe :
STREET : ollie morth, kickflip, inward heelflip, sw itch bigspin,
gailslide, flip to 5-0.
RAMPE : shifty, indy, benihama, melon
LE OUT est un jeu en skate où l’un des skateurs présente
une figure et les autres doiv ent faire la même.
Le STREET : dans un contest le street ou le flat est composé
de table, curb, mais sans rampe.
Le OLLIE est un saut en skate.
Le KICKFLIP : la planche tourne horiz ontalement.
Toutes ces figures remportent des points : ex Best Trick oumaintien en l’air.
Le Best Tric k : meilleur trick.
Le maintien en air :
maintien que l’on tient
en l’air.
Vincent, 2nde NJPF.
Stade Bonal
A
uguste Bonal fut dirigeant du FCSM dès sa création en
1928, occupant même la fonction de directeur sportif du club
de juillet 1941 à juin 1943.
Auguste Bonal ne reviendra jamais des camps d'ex termination.
Jusque là nommé stade de la Forge grâce a la proximité des
forges des automobiles Peugeot, l'enceinte du FC Sochaux fut
rebaptisée stade Bonal.
Ce stade n’est jamais plein car Sochaux est av ant tout un club
formateur et tous ses meilleurs joueurs partent dans des clubs
plus ambitieux mais l’ambiance est familiale et chaleureuse;
dernièrement, nous sommes allés voir le match Sochaux -Nice
qui était super car v ic toire de Sochaux 3 à 0.
Nous continuerons à fréquenter le stade Bonal malgré quelques secteurs fermés (gradins fermés au public pour év iter de
pay er le serv ic e de nettoy age) qui fâchent tout le stade et incitent quelques abonnés à ne pas reprendre l’abonnement pour
contester.
Le prochain match à domic ile est Toulouse et ensuite à l’ex térieur Sochaux affrontera Ly on.
Félix et Nicolas 2°G.T
Pagayons, pagayez !
C’est au club de canoë-kayak de Gray que pas moins de 35 athlètes s’entrainent sur la Saône pour décrocher les prochaines médailles
aux championnats de France 2010.
Le k2 tu relances, le c4 cadence EB2, les filles on stabilise !
Contrairement à ce que l’on pourrait penser, ceci n’est pas du
charabia mais un entrainement de canoë-kay ak au club
gray lois .
Eh oui, en effet, cela fait bientôt 29 ans que les bateaux du club
de Claudine Rigolot glis sent sur de nombreuses riv ières de
France. « Le club s’est créé en 1991 à Rigny av ec 3 lic enciés »
ex plique Claudine. Aujourd’hui, il est situé à Gray dans des locaux prêtés par la commune. On peut comptabiliser pour la saison 2009-2010, pas moins de 35 lic enciés dont une grande partie de jeunes. Le club pratique le canoë-kayak en course en
ligne où il s’est spécialisé au fil des années de vogue sur l’eau
de la Saône. Mais il n’y a pas de différence entre un kay ak et
canoë, allez-vous dire, eh bien si ! Mais alors comment peut-on
différencier les bateaux ? Mais ce n’est pas tellement au niv eau
des bateaux que la différence se fait signale Cédric, cadre au
club, mais c’est la personne qui agit différemment. Certes, les
embarcations diffèrent un peu car l’une dis pose d’un siège et
d’un gouv ernail alors que l’autre semble nue hormis un bout de
bois et de mousse au fond du bateau.
« C’est très simple » ex plique une petite fille, « en kay ak on a
une barre à pied qui fait tourner le gouv ernail et ton bateau en
même temps, en canoë tu dois faire des cols de cy gnes pour
redresser le bateau mais c’est dur au début ». Tout cela paraît
bien compliqué, donc la différence que l’on peut retenir, c’est
que le kayak se pratique assis avec une pagaie double et le canoë se pratique à genou avec une pagaie simple.
« Cette année, les juniors ont gagné une médaille d’or aux
championnats de France » annonce Claudine mais nous n’oublions pas le temps où le club de Gray exposait ses couleurs aux
Jeux Oly mpiques avec Anne Mic haud. « Le club graylois se situe
en nationale 2 grâce aux jeunes » signale Claudine, mais un
jeune athlète ne peut s’empêcher d’ex poser les résultats de la
présidente av ec au total 14 médailles aux championnats de
France ce qui est un bon exemple pour la jeunesse du club !
Pour les amateurs de glisse sur l’eau, les entrainements se font
C’est en observ ant des jeunes sur l’eau que l’on comprend la le mercredi et le samedi de 14h à 16h mais des séances de dédifférence. En canoë, la personne a un genou au fond du bateau couverte sont proposées toute la semaine ainsi que des locaet ne pagaie que d’un côté de l’embarcation alors qu’en kayak, tions de bateaux.
David , BTS AP2 (FI)
la personne est assise les jambes légèrement pliées et pagaie
des deux côtés. Mais alors comment font-ils pour se diriger ?
L’Airsoft
L’airsoft est dev enu un sport très à la mode
mais aussi un jeu. Cette pratique v ient tout
droit du Japon. Les joueurs utilisent des répliques d’armes très réalistes à billes qui sont
projetées grâce à un système à air comprim é
ou av ec des cartouches de gaz. Ces répliques
peuv ent coûter de 100 à plus de 1000 euros.
Ces répliques sont plus ou moins puissantes
(leur puissance est ex prim ée en joule). Qu’on
joue av ec des amis ou en compétition av ec
plus de 50 personnes dans chaque camp, on
s’éclate toujours, ça défoule. Mais il faut beaucoup d’argent pour penser à pratiquer. Une
assez bonne réplique coûte environ 200 euros
et les billes sont coûteuses : il en faut beaucoup surtout si la réplique tire plus de 200
coups minutes ; il faut aussi compter les protections surtout le masque (une quarantaine
d’euros). .En compétition les parties sont intéressantes car on ne fait pas que de
« s’entretuer » car il y a différents scenarios
par ex emple on peut avoir différents objectifs,
prendre cette position, libérer des otages…
L’équipe de France de Foot
tout est possible selon votre imagination. Pour
la compétition par contre il faut être majeur
donc av ant de se lancer, on peut toujours jouer
entre amis.
George 2nd GT
Après la Coupe du Monde ex trêmement nulle de la part des
Français... , une grande partie du public ne v oulait plus entendre parler de l’équipe nationale.
Av ec l’arriv ée de Laurent Blanc, un grand ménage a été fait
dans l’équipe.
Il a ex clu des joueurs et a intégré des jeunes pour amener de la
jeunesse et de la fraîcheur. Des sanctions ont été pris es pour
les cadres qui ont prov oqué la déroute de la Coupe du Monde.
Le nouv eau sélectionneur a eu des débuts difficiles face à la
Norv ège devant laquelle les Français se sont inclinés 2-1 et
face au Belarus où ils ont perdu 1-0. Mais ils ont retrouv é un
fond de jeu et de l’envie, c’est ainsi que lors du match suiv ant ,
ils ont gagné 2-0 face à la Bosnie.
Samedi soir face à la Roumanie, la France, par une belle v ic toire 2-0 a retrouv é la confiance des supporters en lançant
des jeunes joueurs.
Pour l’instant, la France est première de son groupe de qualification pour l’EURO 2012.
Il faudra encore les motiv er, les supporter pour les matchs im portants qui v ont suiv re et pour qu’elle reste à la première
place.
Mathieu et Clément, 2nde GT.
4
La boxe
La box e est un art martial très répandu en
Europe et dans le monde. Il ex is te plusieurs
sortes de boxe :
- Box e anglais e qui consis te à n’utiliser que les
poings,
- Box e française qui utilise les poings et les
pieds sur le haut du corps de l’adv ersaire,
- Box e thaïlandaise qui utilise en plus les coudes et les genoux,
- Kick box ing ce sont les mêmes règles que la
box e français e sauf qu’on peut taper sur le
corps de l’adv ersaire (sauf av ec les poings
au-dessus de la ceinture).
BOXE ANGLAISE : pour la pratiquer, il faut un
équipement spécifique qui est constitué d’
- un protège dents,
- une paire de bandes pour les poignets,
- une paire de gants,
- une paire de chaussures spécifiques,
- une coquille (pour les compétitions).
KICK BOXING : il faut également un équipement particulier :
- un protège-dents,
- une paire de bandes pour les poignets,
- une paire de gants,
- une coquille (pour l’entrainement et les compétitions),
- un protège-tibias et pieds (pour l’entrainement).
Nos réussites dans notre sport :
Alexandre pratique la box e anglaise depuis 3
années. A connu sa première « compet’ » la
première année, ce qui est rare. Il a terminé
champion de Franche-Comté grâce aux points,
deux juges à un. En deuxième année, il gagne
le championnat régional aux points 2 juges à 1.
Il a perdu en finale nationale contre le tenant
du titre, aux points également. Puis quelques
combats de gala. Entraîneur Carerre Ptte à
l’ASCAP à Sochaux.
Fabien pratique le kick-box ing depuis 3 ans
également. A connu son premier combat la
deux ième année et l’a remporté par KO au
4ème round. Ensuite il est parti à Ly on au
championnat de France et a fini par perdre
aux points après une « compet’ » gagnée as-
sez facilement (sur 4 combats
3 K.O.). Entraîneurs Jean-Pierre Brichi (ceinture
noire 3ème degré) et Dav id Radeff (2 fois champion du monde) au Montceau à Valdoie.
Alex andre et Fabien, 2nde NJPF
TOURNOI DE VOLLEY
Vendredi 17 décembre 2010 au
gymnase de 8h30 à 12h.
Rencontre sportiv e organisée par
les BTS AP2 (FI) et plus particulièrement Joanne, Fanny et PierreAdrien.
Une équipe par classe est souhaitée. Les cours sont maintenus. Pour
plus d’infos, n’hésitez pas à venir
nous rencontrer dans la salle B11.
A bientôt !
Joanne, Fanny et Pierre-Adrien,
BTS AP2 (FI).
Projets autour de la santé au lycée
Actions concernant le lycée
Plusieurs stages santé vont être organisés durant cette année
scolaire 2010-2011.
-stage santé des 1 ère STAV
Ce stage aura lieu les 22-23 et 24 novembre 2010. Il sera encadré par Mme Ma mmou, M. Chovrelat et Mme Quentin. Les thèmes suivants seront abordés :
L’alimentation sera vue sous différents aspects :
- quizz sur l’équilib re alimentaire puis travail sur des menus
types,
- Excès et carences alimentaires et leurs conséquences,
- les régimes musculaires énergétiq ues.
La sexualité et le s IST : abordées à travers un photola ngage,
Le mal de dos : partie théorique et mise en pratique des
bonnes postures,
Les addictions sous forme de débat,
Vidéo débat sur l’intérêt de bouger,
Participation au cross départemental pour clôturer ce stage,
ainsi que la réalisation d’affiches humoristiques et power point sur un des thèmes abordés pendant le stage.
-stage santé/sécurité/développement durable des 1ères BAC
PRO
Ce stage aura lieu la 1 ère semaine de janvie r du 3 au 7 janvier
2011. Les 4 classes de BAC PRO 1 (AP 1 A, AP 1 B, PH et
TCVA) tourneront sur les ate liers suivants :
Ateliers divers sur le développement durable
Sortie raquettes au Ballon d’Alsace
Sécurité routiè re animée par un moniteur d’auto-école qui
travaille en lien avec la préfecture du Territo ire de Belfort.
Sensibilisation au don d’organes, par l’Association
« Marine »,
Sensibilisation aux handicaps physiques et mentaux, par
l’interventio n de Vale ntin Escalier (personne non
voyante) pour le handicap physique, et des résidents de
l’IME de Giromagny, pour le handicap mental.
Atelier autour du fruit en collaboration avec Sandrine Nafziger (économe), Claudie Cartier (cuisinie r), Isabelle Brigand, Sébastien Bouget et des élè ves de BTS 2 AP,
Maxime Lorentz, Vincent Sattler et Benjamin Tudeau.
-stage santé des 2 ndes professionnelles
Les 2 classes de 2 ndes professio nnelle s ( filières Nature Jardin
Paysage Forêt et Conseil vente en animalerie), particip eront également à un stage collectif santé, sécurité et développement durable la semain e du 14 au 18 mars 2011.
Durant cette semaine, les élèves to urneront sur différents atelie rs
où les thèmes suivants seront abordés :
Travail sur les déchets de pain à la cantine,
Ateliers divers développement durable,
Jeu sur la sexualité (type « trivial poursuit grandeur nature »),
Atelier sur la manutention, le mal de dos, animé par les
enseig nants d’é ducation physiq ue,
Séance in formation/d ébat sur le thème des addictions animée par M. Grandmougin
( animateur exerçant à
l’ANPAA 90),
Théâtre forum sur le thème des addictions animé par la
troupe de comédiens « Cafarnaüm »
Concernant les autres actions santé, certaines vont être menées
lors de PIC, par les BTS 2 AP.
PIC. secourisme
Cette action est un « projet, initiative et communication » porté par
des élè ves de BTS 2 AP, Coralie Dih o, Coralie Faivre, Léonie
Grosjean et Lise Hyenne. La formation sera délivrée par Mme
QUENTIN et aura lieu courant décembre 2010.
Notre souhait : légaliser le tabac au lycée
Les élèves sont bien conscients des problèmes liés au
tabac (nombreux cancers, vieillissement de la peau, tartre
sur les dents, perte des cheveux …). En effet nous savons
que le proviseur doit veiller à la santé publique et faire
respecter la loi au sein de son établissement. Mais ce n’est
pas en interdisant aux élèves de fumer qu’ils ne fumeront
pas... Nous pensons que les élèves peuvent fumer librement
tout comme les professeurs et le personnel du lycée, dans
un coin fumeur pour ne pas déranger les non-fumeurs.
Nous laisser fumer dans la rue ou sur un parking, c’est
déplacer le problème…B ref, on ne
comprend pas trop le bien-fondé de
cette loi ? Est-ce que cela réduit le
nombre de fumeurs ?
Fumer tue mais chacun est libre
d’être lui - même.
Seconde NJPF
Interdiction de fumer dans tous les lieux publics
Décret n°2006-1386 du 15 novembre 2006
Fix ant les conditions d’application de l’interdiction de fumer dans les
lieux affectés à un usage collectif.
A compter du 1er février 2007, il est interdit de fumer :
"dans tous les lieux fermés et couverts qui accueillent du public
ou qui constituent des lieux de travail" ;
"dans les moyens de transports collectifs" ;
"dans les espaces non couverts des écoles, collèges et lycées
publics et privés, ainsi que des établissements destinés à l’accueil, à la formation et à
l’hébergement des mineurs".
Pour arr êter de fumer , faites-vous aider
en appelant le 0825 309 310 (0.15€ /mn :
Tabac Info Ser vice).
PIC don du sang
Cette action est un projet, initiative et communication réalisé par 3
élèves de la classe de BTS 2 AP, David Ougier, Mathieu Rota et
Valentin Prost-Boucle
La colle cte de sang aura lieu le 18 janvier 2011, et sera organisée
en partenaria t avec l’EFS de Besançon et l’ADOSEN.
Actions concernant le CFA
Intervention sécurité routière
Très prochainement, entre mars et mai 2011, vont être organisées
des séances sur la sécurité routiè re (en colla boratio n avec la préfecture), à destinatio n des BAC PR O AP et BTS AP apprentis.
Intervention sexualité
Tous les apprentis de BAC PRO 1 toutes filières confondues auront
une interventio n (par Mme Quentin) sur la sexualité et les IST à
travers un photola ngage, durant leur pla ge horaire d’individualisation.
Interventio n de prévention sur la maladie de Lyme
Une séance d’in formation/p révention sur la maladie de
Lyme sera organisée le jeudi 2 décembre 2010 à destination
des BAC PR O 32 et 33 AP . Cette animation sera conduite par
des élèves du lycée Follereau qui sont en Terminale BAC
sanitaire et social, dans le cadre de le ur projet.
Actions concernant l’EPL
Chaque mardi a lieu la commission menu, où les élè ves
particip ent à l’éla boration des menus délivrés à la cantine, y
apportent leurs idées, leurs critiques, en colla boration avec
Sandrin e NAFZIGER, Adélaïde QUENTIN, et Jean-Marc DUMONT.
Adélaïde Quentin
Les Conteurs du Léman
Mues par cette passion et par une envie irrépressible de conter, deux étudiantes en BTS Aménagements paysagers ont formé une troupe composée de
jeunes d’ic i et d’ailleurs. Accompagnées de trois suis ses romands et d’un autre als acien, elles ont fait découvrir aux passants, par le chant et les his toriettes, des petits bouts de Moyen-âge. Une très bonne expérience et un très bon
souvenir car, le temps d’un
instant, tous ont pu être acteurs de la fête et ne comptent pas s’arrêter là ! D’autres
fêtes sont à venir comme
celles de Rougemont-leChâteau (mai 2011) et SaintUrsanne en Suisse (juillet
2011).
5
Stage santé en 1ère STAV
La semaine du 22 au 28 novembre 2010, nous
avons consacré lundi mardi et mercredi à un stage santé
afin d’approfondir nos connaissances sur l’a limentation, les
muscles, la prévention du mal de dos, mais aussi sur les
IST, ce qui nous concerne particuliè rement étant adolescents.
Du 22 au 24 novembre, nous fûmes encadrés
par l’in firmière accompagnée de sa stagiaire, Mme Ma mmou et M. Chovrelat, dans l’o bjectif de nous sensibiliser à
divers problèmes de l’adole scence, tels que l’obésité, le
mal de dos, mais encore une maladie particulièrement
virulentes pendant l’a dolescence: le SIDA (syndrome d’immunodéficie nce acquise), infe ction mortelle transmissible
par des rapports sexuels non-protégés.
Ces deux jours nous ont permis d’ouvrir les yeux
sur les problèmes de poids, en particulier l’o bésité ,car à
l’adolescence, nous avons tendance à manger relativement déséquilibré (fastfood par exemple) ou à grig noter,
ces heures-ci nous ont fait réfléchir, nous ont permis de
prendre conscie nce que sur des années, nous pouvons
détruire notre dos (surcharge pondérale), qui entraîne une
mauvaise posture. Ceci fut le sujet des heures suivantes,
où nous avons appris comment nous tenir et respecter la
chaîne dorsale.
Nous avions aussi parlé des addictio ns et approfondi nos connaissances sur les différentes drogues malheureusement omniprésentes et particuliè rement consommées durant notre tranche d’â ge. Malgré la prévention,
nous ne comprenons toujours pas pourquoi la drogue est
encore auta nt consommée, l’insouciance et les dangers
que cela implique relè ve de l’immaturité ! La cigarette et
l’alcool sont surtout utilisés afin de se démarquer et d’être
remarqués au sein de la société. Ce fut assez impressionnant car cette consommation excessive peut conduire (cf.
le témoignage de Franck) à être tétraplé giq ue… Ou encore
Bruno, qui narra son ancie nne vie de toxicomane
(héroïnomane précisément). Le tabagisme entraine plus de
65000 personnes à la mort, un chiffre exorbita nt… ! Nous
avons trouvé cela bien de nous mettre au « pie d du mur » ;
ces chiffres sont vraiment choquants.
Nous fûmes aussi info rmés sur le s maladies
psychiques qui affectent les jeunes adole scente s en parti-
culier, notamment à cause du stéréotype féminin dans le s médias
et des complexes : l’anorexie et la boulimie qui amènent à un sujet
que nous avons traité : les carences alimentaires, ce sont des
maladies qui empêchent la personne de se nourrir, ce qui entrain e
des carences importantes voire la mort. En Afrique les carences
alimentaires entrain ent des maladies telle s que le marasme ou le
Kwashiorkor : ce sont des carences protid iques qui entrain ent
aussi d’a utres carences par exemple en fer (anémie), en acides
aminés comme le tryptophane (difficulté de sécrétion de sérotonine) et en potassium (arrêt cardia que si trop importante s).
Nous avons fini ce stage sur les IST. Ces deux dernières
heures furent un peu ennuyeuses ; il n’y a eu qu’une seule IST
citée car faute de temps : le Sida, les autres furent à peine prononcées (syphilis, chlamydia) ; nous n’avons pas entendu parle r des
morpions ou la Gonorrhée pourtant elles sont assez répandues…
Et les images c’e st du déjà vu, nous préférerions un cours plus
approfondi, quelque chose de plus démonstratif (cause de la maladie, type d’in fection…). Mais certain s ont appris l’existence d’u n
traitement d’u rgence contre le sida, très bonne in itiative de la part
de nos enseig nants.
L'avortement fut aussi un sujet de débat, cet acte est
pour certain un meurtre, pour d'autres un acte rationnel quand on
ne pourra assumer l'e nfa nt ou si il n'est pas voulu.
C'est vraiment dommage qu'il y ait eu un manque de
temps, nous aurions pus approfondir le sujet des IST qui malheureusement fut écourté, mais le s poin ts importants furent bie n abordés, c'est le princip al.
Nous avons beaucoup apprécié ce stage qui fut in structif et
éclectique. Nous vous remercio ns de nous avoir consacré du
temps pour ce stage.
Quentin, Mathilde, Johan et Edouard pour la classe de première STAV.
Le tabac, une drogue pas si douce que ça !
Puis le mercredi, nous avons particip é à un cross durant
l'après-midi, le temps n’éta it pas propice pour cette activité, mais
nous avons quand même couru nos quatre kilo mètres dans le parc
de la Douce à Belfort après quelq ues échauffements. Ce cross
était divisé en plu sieurs catégories : Homme sénior et cadet puis
Femme sénior et cadet (qui sont partis à 14h30). Après cela les
séniors sont repartis en bus à 15h et les juniors en minibus. L'a mbiance était vraiment agréable, ce cross fut tout à fait sympathique
et convivial!
Au final, nous avons appris beaucoup, et l’objectif de
nous sensibiliser fut un succès. Il n’y a pas eu de censure sur le
rachitisme des fe mmes par exemple. Ces images et vidéos plutô t
choquantes ou démonstratives nous ont permis d’ouvrir les yeux
sur certaines faces cachées de la société qui sont presque in existantes dans les média s ; et les reporta ges sont peu fréquents sur
se genre de sujets.
« Oyez, oyez bonnes gens … »
D’une simple fête …
Que retentissent haut et fort trompettes et tambours, il
est dit qu’en ces jours bénis du 26 et 27 juin de l’an de
grâce 2010, une fête a eu lieu à Ferrette.
Cette petite v ille sundgauv ienne, v estige du royaume
des Habsbourg, perchée sur des falaises calcaires et
nichée dans les contreforts du Jura a décidé de faire
rev iv re le temps d’un week-end son Histoire, et celle de
son ancêtre Frédéric II.
Chacun a pu ouvrir sa malle à trésors pour revêtir robes
et tuniques et déambuler à sa guis e dans les rues de la
Vieille Ville. Des ruines du château surplombant la ville,
à la lice où se tenaient des jeux équestres, l’esprit du
Moy en-Age, était partout !
Le thème, cette année, était multiple : la fête s’inscrit
dans une sorte de tripty que suiv ant la vie de Frédéric II,
ancien comte de Ferrette et descendant de la famille de
Montbéliard (XIIIème siècle). Connu pour son caractère
quelque peu impuls if, Frédéric II est aussi célèbre pour
av oir eu la présence d’esprit d’enlev er l’évêque de Bâle,
très influant à l’époque. Pour se repentir de son geste il
a du faire Ferrette-Bâle (une v ingtaine de kilomètres
quand même !) sur les genoux.
L’année 2010 symbolis e donc sa jeunesse, (il était alors
page), 2011 son passage comme chevalier et 2012 la
fin de son règne.
Le cav alier et son destrier étaient aussi mis à l’honneur
lors de cette fête par un tournoi de chev alerie. Des jeux
équestres ont été organisés pendant ces deux jours
pour élire LE chevalier de Ferrette. C’est la jeune Camille Luttenauer qui a remporté le tournoi et qui s’est
v ue offrir une épée.
Une touche de Fantastique a été apportée, entre deux
tirs au trébuchet, par la présence des Oies du Capitole,
les péripéties des Chiens de Berger, les récits du Grand
Cornu et des Conteurs du Léman, mais aussi par les faran- C’est ce qui a poussé, et pousse encore tous les jours des
doles des Pieds Gauches (troupe de danse médiévale passionnés à parcourir les routes, de fête en fête pour
suisse allemande).
partager et répandre cette nostalgie du temps passé,
par l’artisanat, la reconstitution ou la musique.
… A une véritable passion !
Car participer à une fête médiév ale c’est comme ouv rir une
porte qui mène à un tout autre monde. C’est un petit bout
de rêv e que des bénévoles et troupes de professionnels
tentent de partager.
La musique, entrainante, y retentit à chaque coin de rue,
ry thmée par le bruit du marteau du forgeron !
L’odeur du feu et du sanglier cuit à la broche, la bière qui
remplit les gobelets, tout cela vient s’ajouter au canevas.
Les échoppes se suiv ent les unes derrière les autres, remplies de produits div ers : épices, saucissons, fromages,
macarons mais aussi jouets en bois , sacoches en cuir,
chaussures, casques, épées…
C’est viv re le temps d’un w eek-end hors du temps et du
stress ; faire un détour fugace de l’autoroute de la vie pour
se rendre compte qu’il y a tout juste cinq siècles les choses
étaient bien différentes, peut-être plus sim ples, plus vraies.
Aller à une fête médiévale, c’est aussi élargir sa vision du
Moy en-Age et v oir que les fiers chevaliers ne sont pas les
seuls êtres remarquables de cette époque. Sa ric hesse
transpire aussi à trav ers l’artisanat, la taille de pierre, la
sculpture sur bois, la ferronnerie, l’enluminure !
Joanne -BTS 2 AP (FI)
Les Papillons Blancs
Invitée sur la fête, l’association des Papillons Blancs
(prise en charge de personnes handicapées mentales
et/ou physiques) a présenté au public les activités
qu’elle a préparé tout au long de l’année. Danse, cuisine, bricolage étaient visibles à côté de la lice. Cette
action est dans la lignée d’un des objectifs de l’association, c’est-à-dire permettre à chacun de découvrir
le Moyen-âge et participer activement à la fête.
6
L’Odyssée… revisitée par la classe de seconde GT
Sonnet sur Ulysse
Uly sse est un héros grec qui se bat très
bien.
Il est très justement surnommé le malin.
Il a souv ent essayé de rentrer en vain,
Mais le dieu Poséidon lui tue ses marins.
Après la guerre qui a duré dix ans à Troie,
Uly sse a fâché les dieux, il les affronta.
Pendant dix ans il se battit contre Athéna,
Contre Poséidon, qui ne le lâchait pas.
Dans toutes ses batailles, il perdait ses
compagnons.
Circé la sorcière les changea même en
cochons !
Les sirènes chantaient, il se clouait au
pont.
Graff de Thomas, BTS AP
Quand il rev int, il v it son chien après vingt
ans.
La fidèle serv ante le prit pour un rev enant.
Il banda son arc et tua les prétendants.
Félix , 2nde GT.
Parti de l’île d’Ithaque faire la guerre,
Uly sse arriva sur l’île des grands cyclopes,
Uly sse très courageux sur son radeau de
bois,
Affronta et tua les troy ens sur leur terre,
Av ec l’espoir un jour de retrouv er son toit.
Il pensait à son île, à sa femme Pénélope…
Grâce à sa ruse légendaire, Poly phème fut
v aincu.
Il irrita son père qui lui rendit son dû…
D’un immense chagrin, il craignait pour les
siens,
Car sa demeure fut env ahie de v auriens,
Galérant v ingt ans pour en venir à ses fins,
Athéna la déesse l’aida sur son chemin.
Poséidon, comme punition, fut très sévère.
Il le condamna pour dix ans à la galère…
A subir de rudes épreuv es jusqu’à son retour…
Uly sse lui espérait revoir son île un jour.
De retour dans sa maison, un nouv eau
combat…
Uly sse tua les prétendants de ses flèches,
Le carnage terminé, le Grec soupira…
Une fois que la grande salle fut nettoy ée,
Lui et sa famille firent un grand festin,
Tous les villageois étaient là jusqu’au matin.
Nicolas, 2nde GT
Av ant, il dut affronter la magic ienne Circé,
Descendre dans le Roy aume souterrain d’Hadès,
Pour v oir le dev in Tirésias et lui parler.
Retenu par Caly pso, sauv é par Hermès,
Il put espérer rev oir son île bien aim ée.
Car Pénélope l’attendait dans sa plus grande
tristesse.
George, 2nde GT
De la Zik dans les zonzons !
Le fameux concert donné par Johny Cash à la prison de Folsom a
marqué les esprits. Un homme en noir , au milieu des « Taulards », la
fièvre rock comme échappatoire... Depuis, on fantasme beaucoup sur
les concerts en détention, on s'imagine de shows endiablés, les prisonniers électrisés, les gardiens perdant tout contrôle, la même
transe que dehors... Qu'en est-il réellement ? La musique a-t-elle vraiment sa place derrière les barreaux ? Concerts, projections de films,
représentations théâtrales, arts de la rue, ou arts plastiques... De plus
en plus, les artistes franchissent les murs des établissements pénitenciers ...
L'information fait le tour des campings: Bertrand Cantat, emprisonné pour l'homicide inv olontaire de
l'actrice Marie Trintignant, donne
un concert à ses camarades de
prison à Vilnus, en Lituanie. S'accompagnant à la guitare et à l'harmonica, l'ex -chanteur de Noir Désir
aurait chanté des chansons de son
groupe et des reprises de John
Lenon, Edith Piaf, Rod Stew art et
U2. C'est bien la première fois
qu'un concert en prison défraie la
chronique...
Le reste du temps, c'est plutôt
silence-radio. En mars 2007, la
Fédurock, (Fédération Nationale
des Musiques Actuelles), est chargée par l'administration pénitentiaire, en partenariat av ec l'ADCEP
( Agence du Minis tère de la Culture
chargée de la fête de la musique),
d'organiser une série de spectacles
dans le cadre de la fête de la musique, afin de fav oriser le dév eloppement culturel en milieu carcéral.
Chanson française, rock, pop rock,
hip hop, pop folk, reggae, w orld
music, l'association organise une
quinzaine de concerts dans autant
de mais ons d 'arrêts, et publie un
rapport dans la foulée, « Musique
en prison » qui fait référence sur le
sujet. Le but de ces opérations ?
Créer des passerelles entre le
« dedans » et le « dehors », selon
la Férudock.
Graff d’Eliott, BTS
Renaud, Pauline Croze,
Sansév érino, Diam's , Jeanne Cheral, les Wampas, Eiffel, de nombreuses têtes d'affiches se sont inv itées
chez les « bad boys ». Le record
d'influence rev ient à Renaud, qui a
donné deux concerts, l'un ouv ert aux
femmes, et un ouv ert aux hommes.
Une heure de show av ec ses musiciens, et un objectif : offrir de la musique, de la culture, de la poésie, et
de l'évasion. Mais il s'agit là d'événements exceptionnels, la majorité
des artistes acceptant de se déplacer en milieu carcéral n'étant pas
des têtes d'affiches. Ce sont des
artistes qui ont av ant tout une démarche citoy enne car les cachets
sont peu élev és, par rapport à la
normale. Grâce à la musique, les
portes du pénitencier ne sont pas
prêtes de se refermer.
Florian, ancien BTS AP.
Ressources :
Internet: Wikipédia
Site ministère de la culture
Google image : Image: Affiche du
film Sin City , mot clef «Sin City prison »
Magazine: Guitar Unplugged n°13
GUITAR Part Volume 27.
Le visual Key
Le v isual kei ( v isual vient du slan du
groupe X JAPAN qui était : Psychedelic Violence Crime of Vis ual Shock
et 系 = kei en japonais signifie
"groupement") est né dans les années
80 av ec pour groupe fondateur Xjapan
qui a atteint la plus grande popularité.
Le v is ual kei est très dur à décrire car
il regroupe plusieurs v ariétés de
musiques qui vont du métal à la pop
rock en passant par le sy mphonique et
encore plein d'autres sty les et aussi à
cause des tenues vestimentaires des
groupes qui sont aussi très différentes
mais souv ent sty lées, trav aillées,
ex trav agantes av ec des artis tes
androgy nes qui s ont parfois à
l'ex trême. Ils mettent aussi l'accent sur
leurs coiffures qui sont colorées,
v oyantes et excentriques.
Le v is ual kei cherche à tout mélanger
tant dans les sty les musicaux que vestimentaires. La scène du v is ual kei
s'ouv re en Europe et en Amérique
grâce à la création de filières européennes de labels japonais qui permettent la v enue de groupes tels que
d'espairsRay kagerou dir en grey,
mucc, moi dix moix … Ils se font
connaître en Europe grâce à internet
et aux magazines. Les Japonais eux
les v oient directement en concert, les
fans de v isu. En Europe, ce sont aussi
bien des femmes que des hommes et
la majorité sont des adolescents ou de
jeunes adultes. Il n'y a pas un mais de
nombreux sty les de Visual Kei
(comme le oshare kei L'Angura Kei le
White Kei le Kote Kei le Cy ber Kei le
Kurofuku Kei le Gosu Kei. ..)
Pour découv rir cette musique je vous
conseille d'écouter des groupes tels
que moi dix moix , the gazette, dir en
grey, d'espairsRay, ay abie, dio distraught ov erlord, girugämesh, heidi,
Max imum the Hormone...
Cependant, on ne peut pas limiter le
mouv ement à ces groupes et il faut
av oir écouté au moins 20 groupes
pour se faire une bonne idée du Visual
Kei.
Méganne, Seconde GT.
7
Grizzly Man
Werner Herzog, 2005.
Timothy
Treadwell a vécu treize étés
consécutifs en Alaska, afin d’observer,
photographier, filmer les grizzlys. Entre
deux expéditions, il menait des campagnes
de sensibilisation auprès des enfants pour
contribuer à la protection des animaux. Il
fut dévoré par un ours en octobre 2003. Le
cinéaste Werner Herzog, à partir des nombreuses images tournées par Treadwell et
en interrogeant ses proches, dresse le portrait de ce personnage complexe.
Le film se présente comme une
investigation autour de la figure fascinante
de Treadwell : habité par un idéal, il entretient un rapport paranoïaque avec les hommes et un rapport affectif naïf, voire inconséquent, avec les animaux. Sa fin tragique, annoncée d’emblée, donne une autre
ampleur à ce curieux Don Quichotte. Herzog s’interroge sur les circonstances de sa
mort, mais aussi sur les motivations de cet
homme qui se définissait comme un
« gentil guerrier » de la cause des ours. Un
dialogue s’instaure entre Treadwell et Herzog, par le biais de leurs discours et de
leurs images. Le film devient un monstre à
deux têtes où la voix-off du cinéaste admire
ou tempère l’exaltation du personnage qui
se met en scène devant la caméra.
Film découvert dans le cadre de
l’action Lycéens au cinéma en octobre
2010.
Cette année encore l'ASC poursuit ses activités culturelles
Récompensés par un franc succès lors du
spectacle de fin d'année auprès de leurs professeurs et de leurs camarades, les élèves et
apprentis de l'atelier théâtre renouv ellent l'ex périence. La nouv eauté, c'est que l'atelier est
animé cette année par Frédéric Liénard, un
professionnel.
La programmation théâtre 2010-2011 avec
le granit s'annonce à nouveau riche et variée.
Deux spectacles vous ont déjà été proposés :
"Notre besoin de consolation" de Julie Bérès
v u le 14
Octobre; cela nous a questionnés sur la bioéthique mais nous a aussi fortement im pressionnés au niv eau de la mis e en scène, des
décors et des effets spéciaux.
Le second spectacle le 18 novembre était un
concert du trio, "Aufgang", jeunes artistes de
formation classique qui forgent une musique à
la fois acoustique et électronique.
Trois autres spectacles seront proposés :
"l'instinct de l'instant" de Nadia Xerri L. en
mars, suiv ra en av ril le classique "Médée" rev i-
sité par Max Rouquette. La sais on s'achèvera
av ec "Jungles" de Patrice Thibaud que nous
av ions déjà applaudi en mars 2010, lors de son
spectacle humoristique "Cocorico".
Alors suiv ez l'affichage pour ne pas manquer
ces spectacles!
sélectionnés par des élèv es et apprentis. Au
programme des films d'av enture, d'action, de
guerre, his toriques, des comédies,
des thrillers, du fantastique et de l'ani- « AUFGANG », ça dépote, ça déménage, ça fait
vibrer… ! Un mélange de musique éle ctro et clasmation.
A bientôt au théâtre ou au cinéma…
Quant aux sorties cinéma, un petit groupe
d'élèv es a répondu présent pour aller voir
« Elle s'appelait Sarah » de Gilles PaquetBrenner av ec Kristin Scott Thomas. Très émus
par cette période sombre de notre histoire,
nous avons échangé nos impressions lors du
trajet retour. A noter que le liv re de Tatiana de
Rosnay dont est inspiré le film est en prêt au
C.D.I. N'hésitez pas à l'emprunter !
J'attends v os propositions pour découvrir d'autres films. J'ai déjà eu écho du dernier « Harry
Potter et les reliques de la mort » de Dav id
Yates.
sique détonant !
C’est génial…!
Méganne, 2de GT
Sabine Jarrot, Enseignante E.S.C.
Enfin, prochainement, au ly cée, des soirées
TV seront proposées, c'est plus de 20 films qui
ont été
Petit rappel !
Il est indispensable de cotiser à
l’ASC pour participer à ses activités et assurer la pérennité de son
fonctionnement...
Une semaine salée
La semaine du 3 au 7 mai 2010, nous sommes allés à la Saline Royale d’Arc-et-Senans
dans le but d’aider à réaliser 3 jardins dessinés
par les BTS sur le thème de l’utopie.
Quartier libre
Nous avons joué au foot, joué au tarot et à
différents jeux de société. Nous avons beaucoup dormi pour récupérer du trav ail fatigant.
Au travail !
Nous avons été répartis en 3 groupes : l’un
chargé du terrassement, l’autre de la peinture
et le dernier groupe de la préparation de la
terre. Pendant notre séjour, nous étions encadrés par MM. Bouv ier, Nonotte et Persechini,
nos trois professeurs de trav aux pratiques ainsi que le jardinier responsable du site.
Journée au musée
Au matin du mercredi, un guide nous fait découv rir l’histoire de la Saline d’Arc-et-Senans à
trav ers la visite du Musée, consacré au site.
Grâce à plusieurs maquettes, on a v u les différents projets d’architecture de la Saline du projet initial au projet réalisé.
La veillée à l’ancienne et la plantation
Mardi soir, un groupe de personnes a présenté
les traditions populaires que l’on pratiquait
autrefois lors des v eillées hiv ernales. Les habitants se retrouv aient afin de préparer le maïs,
les broderies, les habits pour l’hiv er et les sabots.
Le jeudi, nous av ons fait la plantation sur les
trois jardins différents.
Dans les dortoirs
Une fois le repas terminé, le cirque s’est installé dans les dortoirs. Bataille de polochons, jeux
de société, réflex ion comique… heureusement
que les professeurs sont interv enus pour
rétablir l’ordre ou nous aurions passé une nuit
blanche...
Les élèv es de seconde NJPF
Promotion 2009/2010
8
Une disparition inquiétante …. une nouvelle terrifiante par Morgane et Maéva
Tout commença, au mois de Janvier, au lycée Lu-
L’amour est une île, Claudie Gallay
C'est une saison singulière pour Avignon et les amoureux
cien Quéle t à Valdoie.
Un jour , Sophie et Lucas, les deux délégués de la
classe de 2ndGT, remarquèrent l’étrange disparition
de le ur professeur de Biolo gie , Madame Karin e
Sourra.
Alors, ils commencèrent leur enquête dans l’établissement.
Ils allèrent voir en salle des profe sseurs, mais aucun
d’eux ne savait le s causes de son absence, sauf un
professeur, enseignant dans les serres, qui l’avait vu
ce matin se dirigeant vers l’étang où elle avait fait
une expérience la veille. Il ne l’a vait pas revu après.
En allant enquêter vers l’étang, les deux élèves remarquèrent, en passant vers le parking, que la voiture de le ur profe sseur était présente .
Leur raisonnement fut si mple, Mme Soura n’avait
pas quitté le lycée…
Seulement personne ne l’a jamais revue, même
avec l’aid e de la police, la disparition de ce professeur n’é tait pas élucid ée.
Ce n’est qu’au début du mois de Juillet, quand le lac s’est asséché, que
l’on retrouva le corps de l’e nseignante ,
avec des lé sions ; on supposa qu’e lle
avait été attaquée par des cygnes, qui
se trouvaient à côté… Elle aurait donc
basculé dans l’é tang et se serait assommée sur une pierre et se serait
noyée...
Maéva & Morgan, 2nde GT
du théâtre : la grève des in termittents paralyse le festival.
Un à un les spectacles sont annulés. Les visiteurs déambulent sous un soleil de plo mb, à la recherche des rares lie ux
où joueront quand même quelques comédiens. Comme
Mathilde, dite la jogar : devenue célèbre depuis qu'elle a
quitté Avignon, elle est enfin de retour dans cette ville où
elle a grandi, et pour un rôle magnifique. L'h omme qu'elle a
tant aimé, et qui l'a tant aimée, Odon Schnadel, a appris sa
présence par la rumeur. Lui-même vit ici en permanence,
entre sa péniche sur le fle uve et le petit théâtre qu'il dirig e.
Cette année-là, avec sa compagnie, Odon a pris tous les
risques. Il met en scène une pièce d'un auteur in connu,
mort dans des circonstances équivoques : un certain Paul
Selliès dont la jeune sœur Marie - une écorchée vive - vient
elle aussi d'a rriver à Avignon, un peu perdue, ple ine d'e spérances confuses... ou de questions insidieuses. Car autour de l'œuvre de Paul Selliès pla ne un mystère que ces
personnages dissimule nt ou au contraire effleurent, parfois
sans faire exprès, souvent dans la souffrance.
« Un roman fascin ant sur la création littéraire et le festival
d’Avignon. A découvrir ! »
Isabelle Debarnot
Stargate
La
série Stargate est à la base un film de
science-fictio n sorti en 1994 ; trois années plu s
tard , la firme relance un pilo te de 1h30 qui engendrera par la suite la série avec 10 saisons. La série
est basée sur un artefact ancien trouvé à Gizeh en
1928. Dans le s années 1990, l’US Air Force recrute un archéolo gue du nom de Daniel Jackson
qui déchiffrera l’appareil. Il découvre que l’appareil
permet de voyager sur d’autres planètes grâce à
une série de 37 symbole s et 9 chevrons. Une
équip e d’exploration du nom de SG1 est mise en
place avec à sa tête le Colonel Jack O’Neill
(Richard Dean Anderson), le docteur Daniel Jackson (Mickael Shanks) et le capitain e Samantha
Carter (Amanda Tapping). Lors de le urs explo rations, ils découvrent des races extrate rrestres
comme les Goa’uld qui sont en fait des parasites
qui se servent d’hôtes humains pour vivre et qui se
font passer pour des die ux. Il y a aussi les Jaffa qui
sont esclaves des Goa’uld. Par la suite, un Jaffa
du nom de Teal’c trahira les faux die ux pour rejoindre la terre. Ensuite, l’équip e SG1 trouvera des
peuples animaux comme les Asgard qui sont le s
seules espèces à rivaliser technolo giq uement avec
les Goa’uld.
Les combats contre les Goa’uld feront rage jusqu’à
la fin de la 7ème saison où ils seront détruits par
Street Dance 3D
Ce film est le tout premier film de danse en 3D , il
est sorti en salle le 19 mai 2010 .
L’histoire se passe à Londres où une troupe de
Street Dance menée par Jay doit répéter sa chorégraphie pour gagner la finale de Street Dance et
partir en Amérique.
Alors qu’ils viennent de réussir le s sélections pour la
finale ils apprennent que Jay ,le leader du groupe,
veut faire une « pause » et qu‘il décide de les quitter .Il confie donc le groupe à Carly sa petite amie.
Le problème c’est qu’ils n’o nt plus aucune salle pour
leurs répétitions. Par défaut ils se retrouvent dans
l’école de balle t de le ur ville où la Directrice veut
bien leur louer un studio gratuite ment mais seulement si ses élèves sont inclus dans la chorégraphie .
Malheureusement des tensions éclate nt entre les
deux groupes à cause de leur style de danse trop
différent.
Puis quand ils arrivent enfin à s’entendre, Carly
apprend que Jay , qui devait faire « pause » a finalement décidé de rejoindre sa rivale. Se tournant
vers Thomas, un garçon du groupe ballet, elle reprend espoir et décid e de quand même faire la finale avec ses amis en mélangeant le ballet et la
Street Dance pour donner une chorégraphie pour le
moins étrange et ple ine de rebondissements.
Ce film démontre qu’o n peut vivre la mê me passion
de deux façons différentes et arriver au même rêve.
Juliette 2ndGT
SG1 grâce à une armée trouvée en Antarctiq ue et
ou les Jaffa seront libérés de l’o ppressio n.
Pour les 3 derniè res saisons, un nouvel ennemi
appelé ORI fera son apparition et donnera du fil à
retordre à SG1. Ils seront détruits dans un téléfilm
appelé « l’Arche de la vérité ».
En 2004, une nouvelle série est créée basée sur
Stargate SG1 : Stargate Atlantis.
Celle-ci aura un moindre succès que son aînée avec
ses cinq saisons mais actuellement un film serait en
cours de réalisation et se nommerait « Extinctio n ».
Lors de la 7 ème saison de SG1, le docteur Danie l
Jackson, découvre un 8 ème chevron pour la porte
des étoiles permettant d’o uvrir un vortex vers une
autre galaxie : Pégase. Dans celle-ci, se trouverait la
Cité des Anciens, plus connue sous le nom de la cité
perdue d’Atlantis. Avec l’autorisation du général
Jack O’Neil, le SGC envoie une équipe composée
de scientifiq ues et de militaires à travers la porte
pour une expédition dirig ée par une scientifique : le
docteur Elisabeth Weir (Torri Higginson). Elle fait
alors appel à un pilo te de l’armée américain e, le
major John Sheppard, pour rejoindre ce voyage car
d’après les recherches du docteur Jackson, la cité
pourrait n’ê tre contrôlé e que par des personnes
ayant le gène des Anciens et ce major aurait ce
gène. Dès leur arrivée, ils découvrent la cité et commencent leur exploration sur toute sa longueur
(environ 6 km). Peu de temps plus tard, la responsable du projet met en pla ce une équipe d’e xploratio n
composée du major John Sheppard, du lieutenant
Aiden Ford( Rainbow Sun Franks) remplacé à la
saison 2 par Ronon Dex (Jason Momoa), de Ceyla
Emmagan (Rachel Lutrell), et du docteur Rodney
Mckay (David Hewlett) pour découvrir le s planètes et
les peuples de cette nouvelle galaxie . Lors de leur
expédition, ils découvrent une race d’ « alie ns »,
nommée Wreith, qui est née d’u ne fusio n entre un
humain et un ectoparasyte. Ceux-ci se nourrissent
de la force vitale du corps humain grâce à un orifice
de leur main. Tout au long de la série, l’ennemi principal sera cette civilisation, car celle-ci connaît une
planète où la nourriture serait plu s riche et plus
abondante : la Terre ; mais pour y parvenir, ils doivent traverser la porte des étoiles d’Atlantis (c’est le
seul moyen de passer de la galaxie de Pégase à la
voie la ctée). L’équip e de Sheppard découvre égale ment d’autres peuples comme les Genii et mê me les
Anciens eux-mêmes qui s’allie ront à Atlantis face à
la menace Wreith.
Anthony & Théo, STAV.
9
Voyage à la Rochelle
Un peu de géographie
Nous sommes partis
le lundi 20 septembre à 8 h 30 et
sommes arriv és à destination en fin d’après-midi à 18 h 30
après av oir parcouru 843 km.
Confortablement installés dans une auberge de jeunesse
face au port de plaisance, la Rochelle possède aussi un
port de pêche et un port de commerce, nous av ons pris des
moules (une des spécialités locales). La Rochelle est la préfecture de la Charente Maritime 17 en Poitou Charente. Les
Rochelais sont 76 848. Outre les moules de Bouchot, les
huîtres de Marennes, le pinot des Charentes, les charentaises, les ânes en culottes du Poitou, la région est aussi réputée pour son sel. Direction l’Ile de Ré reliée à la Rochelle par
un v iaduc long de 2,9 km et haut de 30 m, et les marais salants.
Septembre. La production se fait en plusieurs bassins où
petit à petit la teneur en sel augmentera et le v olume d’eau
diminuera.
d’autres. L’aménagement des bassins, la mise en scène, l’assortiment des espèces sont autant de pistes qu’ils peuvent
ex ploiter dans leur entreprise.
Sur l’Ile de Ré à St-Clément-des-Baleines, nous avons visité
le phare construit en 1854 par Léonce Rey naud et grav i les
257 marches pour mériter le panorama sur l’océan Atlantique. A côté, un musée ex plique, par le biais de v idéos animées par Jamy Gourmand (« C’est pas sorcier »), l’histoire
du phare, le fonctionnement et l’intérêt des phares.
Des souvenirs plein les sacs et la tête...
Pour terminer cette première journée, escale à St-Martin de
Ré pour déguster une glace sur le port de plaisance. Cette
petite v ille est connue pour ses fortifications de Vauban,
v aste ensemble défensif entrepris en 1681, mais aussi son
église anciennement fortifiée et disputée entre Anglais et
Français lors de la guerre de Cent Ans. Les nombreux bombardements, les tempêtes successiv es, l’incendie de charpente en 1964 lui confèrent son intérêt, du fait de la superposition des sty les roman et gothique.
Après trois jours riches, il a fallu faire le chemin dans le sens
inv erse, le 24 Septembre au matin. Nous av ons chargé notre
v éhic ule de gros sel et de fleur de sel, de caramels salés, de
coquillages ramassés sur la plage… les cartes mémoires des
appareils photos remplies et aussi la tête pleine de bons moments passés ensemble. De retour au CFAA, le soir même,
nous étions, certes, fatigués mais décidés à attaquer cette
dernière année de bac pro.
Sabine Jarrot
Beaucoup de passion
Un peu de culture
Nous avons visité les marais salants de Loix sur l’Ile de Ré.
La récolte de gros sel et de fleur de sel se fait de Juin à
C’est le deux ième jour que les apprentis ont particulièrement
apprécié av ec la v isite du Zoo de la Palmy re. Ce zoo priv é,
construit en 1967 par un couple passionné d’animaux , recense 1600 animaux installés dans un env ironnement proche de leur milieu naturel. Une promenade de 7 heures nous
a permis de v oir une multitude d’espèces : singes, girafes,
éléphants, ours, rhinocéros, loups, lions, panthères, otaries,
loutres, manchots, autruches et de nombreux ois eaux. Enfin,
le séjour s’est terminé par la v is ite de l’aquarium de la Rochelle, objet de notre destination. Aquarium priv é construit
en 1988, il compte 10 000 spécimens, 65 bassins dont le
bassin des requins qui fait 1,5 million de litres. Les apprentis
ont su apprécier, retrouv er les espèces qu’ils connaissent
dans un écosystème qui leur correspond et en découvrir
Paris
Le lundi 6 septembre 2010, la classe de BAC
PRO 2 s’est rendue à la gare de Belfort de
bonne heure afin de prendre le train en direction de Paris pour y passer une semaine de
voyage scolaire. Accompagnés de M. Chevrolat, professeur d’EPS et de M. Parisot,
professeur de TP, nous avons visité plusieurs
parcs et jardins situés dans la capitale ; parmi
eux, le parc de Versailles, le parc St Cloud et
les superbes jardins d’Albert Kahn. Chaque
jour, nous nous rendions à pied ou en métro à
l’endroit que nous allions visiter. Nous avons
beaucoup marché pendant ce voyage surtout
pour la visite du parc de Versailles qui est
assez immense car il s’étend sur 15000 hectares, nous n’avons donc pas tout visité, bien
entendu. Cette semaine s’est déroulée dans
la bonne humeur et sans problème mis à part
quelques maux de ventre et de tête sans
doute dus à la pollution et aussi des soucis de
nourriture.
Comme vous pouvez l’imaginer, un voyage à
Paris ne se passe pas sans un petit tour au
pied de la Tour Eiffel où nous avons déjeuné
le jeudi midi.
Malheureusement, toute bonne chose a une
fin et le vendredi à 16h 41, nous reprenions le
train direction Belfort et nous arrivions à destination à 21 h après 4h de voyage.
J’ai aimé...
Spectacle du Théâtre du Pilier
Flamenco Vivo
Chant : Luis de la Carrasca
Guitare : José Luis Dominguez
Danse : Melinda Sala et Antonio Martinez
Production : Association Andalouse Alhambra
Porté par la voix chaude et suave de ce chanteur-compositeur envoûtant, et accompagné par le talentueux guitariste, le couple de danseurs nous transmet toute
la vitalité de cet art andalou.
Musiques saccadées, voix pleine d’humanité et solos joyeux des danseurs.
Que vous soyez initiés ou non à l’univers du
Flamenco, vous avez devant vous des virtuoses qui s’amusent ensemble pour votre plus
grand plaisir.
Qu’ils dansent ensemble ou seuls, on a toujours l’impression qu’ils vont s’envoler. Ils dansent l’amour, le désir, la passion, la mort et la
vie sans avoir besoin de mots pour se faire
comprendre.
Ce spectacle oscille entre modernité et tradition, et c’est une joie toujours renouvelée de se
laisser porter par la fougue et la sincérité de
Luis Carrasca et de sa troupe.
Ce spectacle nous transporte littéralement.
Corentin, Bac PRO 2 TP.
Pascaline Beaufils-Testa
10
Les BP Fleuristes à l’honneur en Belgique…
Eh oui, Manon Turillon, BP fleuriste 2, a obtenu le 2ème prix avec son magnifique chapeau
lors de la journée des chapeaux durant les rencontres internationales d'art floral qui ont eu
lieu à Alden Biesen (durant le voyage pédagogique en Belgique).
Nous étions toutes très fières et ne sommes pas passées inaperçues ce jour là...
Nadine Loones, enseignante arts plastiques.
MANGER SAIN...
P.I.C . : Projet, initiative et communication
Sensibilisation à la consommation d’une alimentation saine dans une colonie de vacances se
déroulant à « La Fourmilière » de Lepuix-Gy.
Le lieu :
Celui-ci se déroulait lors de la première semaine des vacances de Pâques du 4 au 11 avril 2010 au
centre in diq ué ci-dessus. Ce lie u d’hébergement est mis en place par l’associa tion AEP des Résidences « La fourmilière » 5 rue de Madrid à BELFORT. La semaine est organisée dans le but d’accueillir un collectif de mineurs avec nuitées. Les enfants accueillis ont entre 6 et 13 ans. 25 enfants y
particip ent et sont orig inaires des environs. Une équip e d’a nimation composée de 6 animateurs et
d’un directeur éta it chargée de l’e ncadrement.
Le thème de ce séjour joue beaucoup sur l’imagin air e, ainsi, chaque année, une problématique est
choisie. Cette année le déroulement de cette semaine tourne autour d’une histoire qui est la suivante : Les enfants arrivent dans une maison qui n’est pas la leur, en effet c’est celle de « Super
Mamie », une « accro » du ménage et des bonnes manières, qui interdit formellement à tout le
monde de boire le contenu de la fiole magique posée en ple in milieu de la salle à manger, qui selon
elle, produit des effets terribles sur toute personne la consommant. Cette fiole malheureusement
accessible à tous, attire tous les animateurs qui chaque jour ne peuvent s’empêcher de la boire en
en subissant les
conséquences. En effet après avoir goutté à cet élixir, l’é quipe d’animation se transforme : on se
retrouve un jour entouré de pirates, le lendemain de légumes, puis de super héros, ensuite de personnes de la jet set, et enfin de vacancie rs. Au milieu de tout ça « super Mamie » essaie de remettre
de l’ordre.
Le projet :
Nous avons choisi d’orienter notre PIC sur le thème de la santé. Ainsi, sachant que cette colonie de
vacances réalisait tous ses repas avec les enfants, nous avons décid é de sensib iliser ce public à la
consommation d’une alimentation saine. Il fallait s’intégrer à cette petite tribu et surtout à cet i maginaire. Notre histoire : « Super Mamie » se sent ballonnée, surtout après Pâques, elle a mangé beaucoup de chocola ts ! Elle a besoin d’a ide pour manger équilibré et arrêter les « cochonneries ». Alors
elle appelle ses copines : Monique, Simone qui quand elle est contrarié e se met dans son coin et
sort son tricot, et enfin Odette qui a tendance à attraper tout ce qu’elle peut raccommoder (pantalon
des enfants, nappe de table…). Avec cette équipe les « Supers Mamies » annoncent à to ut le
monde qu’elle s veule nt ajouter des contrain tes à l’éla boratio n des repas aussi vont-elles jete r un œil
aux propositions de menus.
Les règles de d’or à respecter sont :
Ne pas manger trop gras, ni trop sucré ou trop salé et enfin consommer 5 fruits et légumes par jour !
Et un jeu est mis en place dont le but est de compter chaque fruit et légume mangés à chaque repas. Une fois le s comptes effectués, chaque personne se dirige après le repas vers un table au sur
lequel un chemin est dessin é menant jusqu’à une coupe de fruits et marque sur ce chemin à l’aide
d’une éponge le nombre de points par fruit et légume absorbés. L’accumulatio n de points mène
jusqu’aux fruits. Arrivés à la fin de la se maine, les enfant, s’ils on bien mangé des fruits et légumes
quotid iennement, atteignent « le bout du chemin » et gagnent un petit cadeau. « Super Mamie, satisfaite, leur donne le droit de se laisser alle r à manger bonbons et gâteaux le soir de la boum.
Déroulement du projet
- Les copin es de « Super Mamie » arrivent dans la matinée du mardi 6 avril 2010
- Elles organisent les menus avec le s enfants et le s animateurs. Les enfants proposent ce qui le ur
plaît et le repas est valid é ou non par le s mamies.
Mise en place du jeu
Les « Super Mamies » vérifie nt si les repas valid és sont bien respectés, le mercredi elles sont de
retour à midi. Et mangent avec les enfants. « Super Mamie » vérifie chaque jour si les fruits et légumes sont bien comptés et ses copin es revie nnent une dernière fois le vendredi, où le chemin est
terminé et pour donner la récompense.
Cadeau: une pomme
Coralie F, Lise , Coralie D et Léonie, BTS2 AP (FI)
DON DU SANG au LYCEE
Les BTS AP2 (FI), dans le cadre d’un projet d’ESC, organis ent le don du sang.
Une réunion d’informations est prév ue le mardi 11 janvier à 11h15 dans la salle de
réunion du bâtiment A. La collecte se fera le mardi 18 janvier de 8h30 à 12h. Elle
concerne les majeurs.
Nous passerons vous v oir dans les classes pour v ous donner des informations et
prendre les inscriptions.
Mathieu, Dav id et Valentin, BTS AP2 (FI), salle de classe B11.
11
Struthof
Nous
avons visité le camp de
concentration du Struthof ; tout
d’abord, le musée, très intéressant
qui retrace l’évolution de l’expansion nazie et qui montre comment
la politique de racisme s’est mise
en place. Les images montrées
sont choquantes.
Les hommes déportés étaient
traités comme des animaux. Puis,
nous avons visité le camp ; c’est un
camp très difficile d’accès car il est
en pente très raide. Le fait de voir
le lieu de pendaison, le four
crématoire ou la table de tabassage fait très mal. Toutes les tombes exposées au dessus du camp
représentent en partie le nombre
de morts dans les différents
camps ; c’est donc très choquant à
voir.
Anthony, Antoine et Christophe,
Terminale STAV.
Le festival des Petites Fugues à Valdoie
A l’occasion du festival des Petites Fugues,
notre lycée a accueilli l’auteur Fabienne Swiatly. Elle est venue rencontrer la classe de seconde GT qui avait étudié une de ses œuvres.
Impression ou apriori
Lors d’un cours de français, on a appris que Fabienne Swiatly était née en 1960. On imaginait
donc une personne sérieuse parlant un langage
soutenu… Lors de la rencontre, on a été surpris
par sa personnalité très accessible ; elle s’est
révélée ouverte, généreuse, spontanée avec un
langage bien à elle… On se sentait bien.
L’auteur
Une femme d’origine franco-polonaise par son
père et allemande par sa mère… Elle a vécu en
Lorraine puis est partie à l’âge de 17 ans avec
une amie. Elle a fait différents « boulots » pour
Gagner sa vie (son premier roman) avant de se
lancer dans l’écriture.
Nous avons accueilli l’écrivaine dans le CDI du
lycée. Elle était accompagnée de Mario Morisi,
du Centre régional du Livre. L’ambiance était
décontractée car elle était ouverte à toutes nos
questions ; il n’y avait pas de tabous.
Le roman, Une femme allemande
Nous avons étudié son roman Une femme allemande. Ce roman ressemble à un récit retraçant
la vie de sa mère et une partie de la sienne. Là,
elle évoque une femme allemande, en 1945, perdue au milieu des ruines de sa ville dévastée par
les bombardements. Le premier chapitre, « le
retour du ciel », évoque le retour des allemands
à la lumière du jour… Ils peuvent enfin quitter
l’obscurité des caves et redécouvrir le
ciel…
Le
second
chapitre,
« L’épuisement des tubercules » évoque la famine, les « vieux légumes »
comestibles après une longue cuisson… Le roman parle donc d’une génération et en particulier d’une femme
cabossée par la guerre. Elle est l’exilée, l’incomprise… Enceinte, la jeune
allemande part en Lorraine épouser le
soldat franco-polonais. Elle se heurtera dès les premiers instants au rejet
de la belle famille et de la France. Le
soldat n’est pas le prince charmant de
ses rêves…
Ce roman évoque ainsi, avec pudeur
et simplicité, de nombreux sujets
comme la contraception, la misère
des populations dans des pays en
guerre, les amours cachés, interdits
ou le délaissement et l’usure du
corps, l’enlisement dans l’alcool.
L’œuvre est en partie inventée mais
retrace également la vie de l’auteur
ou de ses proches.
Des projets…
Fabienne Swiatly souhaite publier
deux nouveaux romans : un sur l’avortement car elle-même est le fruit
d’un « avortement raté » comme elle
le dit avec simplicité et humour et un
second sur la maladie d’Alzheimer car
sa belle-mère qu’elle aime beaucoup
en est atteinte.
Ce furent deux belles heures passées
avec cet auteur ouvert à toutes les
critiques et qui a plein de projets en tête.
On remercie toutes les personnes qui
ont contribué à la réalisation de cette
rencontre… Merci aussi à cette écrivaine
qui a montré qu’un auteur peut s’intéresser à des lycéens, qu’il peut les comprendre, être accessible, faire des fautes
d’orthographe (avoir connu le zéro en
dictée !)… Merci de nous avoir dit qu’on
ne doit jamais renoncer à nos rêves…
Merci pour toutes les dédicaces personnalisées pour chacun… On a vraiment
passé un bon moment !
La classe de 2nde GT
Photo/André Sachet
Google loue 200 chèvres pour ses pelouses
Aussi bête que cela puisse paraître, Google affirme son côté éco-
Pour la généralisation du broutage !
logiq ue en réalisant une idée pour le moins inhabituelle : Un recrutement de chèvres, au sens propre du terme s'il vous plaît ! L'ami
Google souhaitait tondre ses pelo uses (et un peu tout ce qui s'y
trouve) près du campus de Moutain View en Californie, afin d'é viter
d'éventuels incendie s, ravageant souvent la régio n et, de limiter
l'effet du CO2 rejeté dans l' air par le s tondeuses à gazon, Google a
fait un recrutement intéressant : 200 chèvres.
L’idée de la chèvre pour tondre son jardin n’e st pas nouvelle, pour
autant, « faire brouter son jardin » était une pratique margin ale…
réservée aux petites annonces et à des habitués habitant en campagne. Face à un tel engouement, le site e-lo ue.com met facilement en
relatio n les proprié taires de chèvres et des locataires-soigneurs
intéressés pour héberger une chèvre pendant un jour ou un weekend.
Le siège socia l californie n de Google est écolo , et il le prouve. Au
lieu d'acheter une tondeuse bruyante et pollu ante , ce sont 200 chèvres, bruyantes certes, mais plus respectueuses de l'e nvironnement,
qui se chargeront de brouter l'h erbe.
En tout cas, si vous avez une chèvre au chômage, envoyez sa candidatu re au plu s vite !
Emilie BTSA 2 AP(FI)
COTE CUISINE : La recette du gâteau au yaourt
LES INGREDIENTS
1 y aourt nature
1 pot de y aourt d’huile
2 œufs
200 g de sucre
250 g de farine
2 paquets de sucre v anillé
1 paquet de lev ure chim ique
300 g de noix ou de pommes (tout ce qu’on v eut)
"Nous avons certain s terrains que nous devons tondre à l'o ccasio n
pour élimin er les mauvaises herbes et les broussaille s pour réduire
les risques d'incendie " explique un responsable de la société. "Au
lieu d'utiliser des tondeuses électriq ues bruyantes, nous avons loué
des chèvres".
PREPARATION
Il faut mélanger le sucre et les œufs. Ensuite, incorporer le y aourt et
l’huile et puis la lev ure et la farine et enfin le sucre vanillé et mélanger le tout. Ajouter des noix ou des pommes ou d’autres fruits et
mélanger une dernière fois. Pour finir, mettre le four à 180° et le
thermostat à 6. Faire cuire 25-30 minutes.
Et puis, une chèvre c'est tout de même plus joli qu'une tondeuse, un
argument qui a lu i aussi pesé dans la bala nce. "Elles nous coûtent à
peu près la même chose que le passage de la tondeuse et les chèvres sont très mignonnes à voir, bie n plu s que les tondeuses à gazon !"
CONSEILS
Vous pouv ez l’accompagner d’une boule de glace.
Pour v oir si v otre gâteau est cuit, planter la pointe d’un couteau.
Sinon, remettre au four 5 à 10 mm.
Justine 2ème GT
Le chat était l’animal de compagnie favori des Français, la chèvre
pourrait le remplacer. Exit la tondeuse fonctionnant aux « énergie s
grises », il est maintenant possible de lo uer une chèvre « tondeusebrouteuse » pour s’occuper de son jardin.
Pêche dans les étangs du lycée
Et si on oubliait notre bonne vie ille tondeuse électriq ue ou à essence ? Un site internet nous propose maintenant de louer une chèvre, ou deux, ou trois. Le temps d’un week-end en famille, en plus
d’avoir une chèvre qui broute votre jardin, vous pourrez aussi vous
occuper d’u n animal !
« Ma vie à poil sur Internet » ou les dangers du w eb 2.0
Documentaire d’Y.Eudes, journaliste au Monde, visionné par
et ce qui peut être dangereux pour nous ». (Rola nd)
« La géolo calisation peut avoir un impact dangereux […],
augmente r le nombre de rackets, viols, trafic de drogue… ».
(Kévin.P)
« Ce documentaire nous montre la face cachée de toutes ces
nouvelles choses qui peuvent gâcher la vie si on ne fait pas
attention aux informatio ns que l’on met à disposition ».
(Thimothé)
la classe de Première Bac Pro AP1 dans le cadre du module
MG1 (documentation). Résumé et impressions.
Ce documentaire parle des dangers des réseaux
sociaux comme Facebook ou tout simplement des dérives
d’Internet. Le réalisateur in terroge des personnes dont la réputation et la vie professionnelle ont été brisées par le Net. Il
rencontre des patrons de start-up ou des hackers endossant
le rôle de protecteurs de la vie privée des inte rnautes.
Entre les chasseurs de tête qui traquent votre vie 1ère Bac Pro AP1 avec E. Mathiot
sur la toile , les patrons qui y vérifient votre loyauté…peut-on
encore consid érer Internet comme un espace où la liberté
d’expressio n et de communication peut s’épanouir sans risque ?
« Reputation Defenders » est une jeune entreprise
américaine florissante : appelée à la rescousse (moyennant
une grosse somme d’argent) par des victimes d’Internet, elle
leur recrée une virgin ité sur la toile (in sertio n de nouveaux
profils, effacement de certa ines données). Que dire également du « projet TOR » mené par des hackers dont le but et
de proposer à ses adhérents une navigation tota lement anonyme sur le Web ?
Les applicatio ns pour portables ne sont pas en
reste : à Berlin le réseau « Aka Aki » surfe sur la nouvelle
vague de la géolocalisatio n pour mieux exploite r vos données
personnelle s.
D’après Céline, Nicolas, Alex, Maxime, Jonathan,
Kévin M. ,1ère Bac Pro.
« […] j’ai été surpris par les nouvelles applications qui permettent de nous lo caliser…pour moi c’est assez inquiétant car
dans quelq ues années notre vie privée n’a ura plu s de secret ». (Thibaut)
« Je trouve injuste que des personnes aie nt perdu leur emploi
à cause d’Internet. Pour moi ce sont des in formations à prendre au second degré et qui font partie de la vie privée ».
(Thibaut)
« Avant de visionner cette vidéo je n’avais pas conscie nce
des répercussions et des conséquences que pouvaient avoir
ces sites sur le squels nous parta geons notre vie, nos photos…et que cela pouvait aussi pénaliser notre avenir professionnel ». (Julien)
« [ …] apprendre que nos moin dres « clics » peuvent être
épiés […] me fait peur . Même les entreprises se servent des
réseaux sociaux pour connaître les profils et les capacités des
personnes […]. C’est alarmant ! ». (Florian).
« Ce film nous donne aussi une le çon […] sur les nouvelles
technologies car on ne sait pas ce qui se cache derrière elle
L
'équipe aquacole (formateurs + apprenants de la section BP REA aquaculture du
CFPPA) a proposé une pêche d'étang sur l'un des plans d'eau du ly cée agric ole Lucien Quélet
le v endredi 22 octobre 2010. La journée a commencé v ers 8 heures, le temps d'installer l'ensemble du matériel nécessaire à la pêche, table de tri, filet, épuisette, bassines, balance etc...
Les premières classes ont commencé à arriv er v ers 9H00 (Bac Pro AP 32 B, Bac Pro TCVPHJ
32, Bac Pro AP 32 A, Bac Pro TCVPHJ 33, BTS TC 1, BTS TC 2, Bac Pro TCVA 1 et 32, BPA
TAP, 2nde CV, Term STAV, 2nde Pro NJPF, BTS 2 AP, 2nde GT, CAPA 2 TP). C'est env iron 14
classes qui ont pu échanger sur les pratiques piscicoles qui s'effectuent sur l'établissement.
Les nombreux élèv es se sont succédés dans la joie et la bonne humeur, sous un ciel relativ ement clément. Chacun a pu observ er les différentes v ariétés de poissons présents dans les
étangs du ly cée ainsi que l'im portance de ces milieux aquatiques sur notre env ironnement. Un bac
de 1000 litres a été installé pour présenter de plus
gros spécimens de perches, carpes et brochets.
Résultat de la pêche de l'étang E2 :
Carpes de 2 étés de 300 grammes soit 150 kg
Tanches de 2 étés : 20 kg
Petits poissons blancs : environ 30 kilos et quelques poissons rouges
L'équipe aquacole tient à remercier les différents
personnels qui ont concouru au bon déroulement
de cette journée de découv erte et remercie également les apprentis et élèves pour leur curiosité et
les formateurs / enseignants ayant pris le temps de
les accompagner.
Benoît Quentin
Les articles n'engagent que leurs auteurs.
Ne pas jeter sur la voie publique.