8 rue de l`Ermitage 75020 Paris 01 44 62 02 86

Transcription

8 rue de l`Ermitage 75020 Paris 01 44 62 02 86
8 rue de l’Ermitage
75020 Paris
01 44 62 02 86
DOSSIER DE PRESSE
Conception et réalisation Nina Lebalh Leïla Destin
Jazz
JAZZMAG 1er Avril 2009
3
2
Jazz
TÉLÉRAMA 26 Janvier 2010
3
Jazz
MONDOMIX Mai/Juin 2010
5
4
Jazz
TÉLÉRAMA SORTIR (5 au 11 Mai 2010)
Sélection critique Jazz par Michel
Contat
TÉLÉRAMA 19 Octobre 2010
TÉLÉRAMA 15 Juin 2010
5
Jazz
LIBÉRATION juin 2010
7
6
13 ET 14 OCTOBRE
15 OCTOBRE
Youn Minor
Sun Nah
Ursus
im
e piaci une
ie du
e New
Youn
Sun Nah
emploie ses formidables
qualités
Ce
groupe
américano-français
placé sous
le
vocales
pour
créer
des
atmosphères
variées.
signe du jazz, du funk, du hip-hop et du rock,
Mais si elle
capable
scatterle
à la
perfection,
comprend
le est
pianiste
TonydeHymas,
guitariste
c’estScott,
surtout
le registreFrançois
de la ballade
intimiste
Mike
le dans
saxophoniste
Corneloup
subjugue son
auditoire,
qu’elle
etqu’elle
le batteur-chanteur
Stokley
Williams,
deschante
musi- un
standard
de
Broadway,
un
air
coréen
traditionnel,
ciens déjà entendus dans de nombreuses forune reprise
de Metallica
si !), La
mations
inventives.
Ils sont(si,
rejoints
ici Chanson
par le
d’Hélène
de
Romy
Schneider
ou
ses
propres
rappeur Boots Riley de The Coup et la vocaliste
Desdamona.
I will
take "but"
for an
compositions.
Ellenot
se produit
ce soir
en answer
compagnie
(Nato).
du guitariste Ulf Wakenius. Same Girl (Act).
■ Studio de l’Ermitage. 8, rue de l’Ermitage, 20e.
Tél. 01 44 62 02 86.
116
© SUNG YULL NAH
1er.
■ Duc des Lombards. 42, rue des Lombards, 1er.
Tél. 01 42 33 22 88. A 20 h et 22 h. 28 €.
14 OCTOBRE
Eddie Gomez et Cesarius Alvim
Un duo d’artistes au sommet de leur art. Le pianiste brésilien Cesarius Alvim interprète ici une
série de ses compositions en compagnie du
contrebassiste Eddie Gomez, Portoricain de New
York. Forever (Plus Loin).
■ Espace Traversière. 15, rue Traversière, 12e.
Tél. 01 43 41 81 28. A 20 h 30. 25 €.
Jazz
Paris Jazz Club Festival
Durant neuf jours,
clubs et salles
de
De vingt-cinq
Séville à Belleville,
trois soirées
au program
concerts parisiens vous proposent cent cinquante
concerts au cours desquels vont jouer six cents
14 OCTOBRE
15 O
musiciens!
Ce programme est conçu par les lieux
Michel
Benita
Kel
adhérents
au Paris
Jazz Club, structure créée par
belleadresses
musique, de
pleine
de des
sérénité,
qui permet
Laur
les Une
célèbres
la rue
Lombards
à
Michel
Benita
et
ses
acolytes
de
poser
leurs
Mon
(Sunset/Sunside, Baiser Salé et Duc) dans le but
solos sur des
mélodies
traversées
Jone
de promouvoir
le jazz
vivant évanescentes
dans la capitale.
par Jazz
de délicats
éclatsTél.
de01groove.
partie
■ Paris
Club Festival.
83 06 61On
01. relèvera la
forte
présence
de
la
joueuse
de
koto
Mieko
Kelly
Programmation sur www.parisjazzclub.net.
Miyazaki
quintet
formé
aînée
1 pass
5 clubs dans
: 75 €.le
1 pass
9 clubs
: 135par
€. le bassiste.
Ethics (Zig Zag Territoires).
Nina
16 ■
ETStudio
17 OCTOBRE
de l’Ermitage. 8, rue de l’Ermitage, 20e.
L’Odyssée
de86.l’accordéon
Tél. 01 44 62 02
A 20 h 30. 22 €.
Une trentaine de musiciens sont réunis pour
célébrer
le AU
“piano
pauvre” dans des styles
DU 14
16 du
OCTOBRE
De Séville à Belleville
PARIStissent
CAPITALE
jazz octobre
2010
Trois concerts
un lien entre
l’Andalousie
et Paris en adoptant comme fil rouge le jazz à
la rom. Il y a d’abord la chanteuse de flamenco
Martirio en trio, avec piano et guitare (le 14 ; En
Directo, Le Chant du Monde), puis le guitariste
Raphaël Faÿs qui s’inspire autant des musiques
gitanes que manouches (le 15). On le retrouve
en trio avec ses confrères Yorgui Loeffler et
Steeve Laffont au sein du trio Django et Rien
d’Autre qui, vous l’aurez deviné, se consacre
entièrement au répertoire de Django Reinhardt
(le 16).
■ Alhambra. 21, rue Yves-Toudic, 10 .
Tél. 01 40 20 40 25. A 20 h 30. 30 €.
e
© MATT HOWE
■ Alhambra. 21, rue Yves-Toudic, 10e.
Tél. 01 45 23 51 41. A 20 h 30. 20 €.
Tél. 01 40 20 40 25. A 20 h 30. 30 €.
© FRANCIS VERHNET
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gitanes
que! manouches
15). nettement
On le retrouve
Andrews
Cela devrait(lealler
mieux
en
trio
avec
ses
confrères
Loeffler
et
après avoir écouté
ce jeuneYorgui
tromboniste
et tromer
Steeve
Laffont
au
sein
du
trio
Django
et
Rien
pettiste de La Nouvelle-Orléans, car dans sa ■ Sunset. 60, rue des Lombards, 1 .
d’Autre
qui,
l’aurezjazz
deviné,
seavec
consacre
musique
sevous
mélangent
et funk
un esprit Tél. 01 40 26 21 25. A 20 h et 22 h. 22 €.
entièrement
répertoire
de Django
Reinhardt
fanfare des au
plus
réjouissants.
Backatown
(Verve).
(le■16).
DU 15 AU 24 OCTOBRE
New Morning. 7-9, rue des Petites-Ecuries, 10e.
■ Su
Tél. 0
DU 1
Par
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conc
conc
15 OCTOBRE
musi
Ursus Minor
LE BONBON Novembre 2010
adhé
Ce groupe américano-français placé sous le
signe du jazz, du funk, du hip-hop et du rock,
les c
comprend le pianiste Tony Hymas, le guitariste
(Sun
Mike Scott, le saxophoniste François Corneloup
de pr
et le batteur-chanteur Stokley Williams, des musi■ Par
ciens déjà entendus dans de nombreuses forProg
mations inventives. Ils sont rejoints ici par le
1 pas
rappeur Boots Riley de The Coup et la vocaliste
Desdamona. I will not take "but" for an answer
16 E
(Nato).
L’O
■ Studio de l’Ermitage. 8, rue de l’Ermitage, 20e.
Une
céléb
Tél. 01 44 62 02 86.
116
7
World
ELLE avril 2009
TELERAMA SORTIR 9-15 septembre 2009
LA TERRASSE septembre 2009
TELERAMA SORTIR 16-22 septembre 2009
9
8
World
TÉLÉRAMA 26 Janvier 2010
TÉLÉRAMA 16 Avril 2010
TÉLÉRAMA Juin 2010
9
au Studio de l’Ermitage…
World
MONDOMIX MAI-JUIN 2010
MONDOMIX MAI-JUIN 2010
Ils ont joué au Studio de l’Ermitage…
Ils ont joué au Studio de l’Ermitage…
MONDOMIX MAI-JUIN 2010
Ils ont joué au Studio de l’Ermitage…
En concert au Studio de l’Ermitage :
En concert au Studio de l’Ermitage :
CASUARINA : Vendredi 30 juillet 2010
CASUARINA : Vendredi 30 juillet 2010
DARKO RUNDEK : Jeudi 22 avril 2010
DARKO RUNDEK : Jeudi 22 avril 2010
Studio de l’Ermitage :
Vendredi 30 juillet 2010
EK : Jeudi 22 avril 2010
En concert au Studio de l’Ermitage :
CASUARINA : Vendredi 30 juillet 2010
DARKO RUNDEK : Jeudi 22 avril 2010
11
10
World
TÉLÉRAMA 1er Juin 2010
TÉLÉRAMA 14 Septembre 2010
TÉLÉRAMA 8 Juin 2010
TÉLÉRAMA 8 Juin 2010
WORLD SOUND 2010
11
World
LE PARISIEN Septembre 2009
13
12
World
TÉLÉRAMA Janvier 2011
MONDOMIX Septembre 2010
13
Tango
TÉLÉRAMA SORTIR 14 Octobre 2009
TÉLÉRAMA SORTIR 16-22 Septembre 2009
14
Tango
numéro 68 avril-mai 2010
à la une
« Buenos Aires sur Scène »
persiste et signe
Nous vous présentons dans ces pages le travail de deux musiciens,
Leonardo Sánchez et Eduardo Garcia, tous deux écoutés récemment dans le cadre du
cycle « Buenos Aires sur Scène » lancé au printemps 2009 et qui se poursuit avec
bonheur sur la scène de L’Ermitage, à Paris.
Cette initiative, que l’on doit à l’enthousiasme et la volonté communicatifs du jeune
bandonéoniste argentin Matías González, offre une variété de propositions et une qualité d’ensemble remarquables, que « La Salida » a plaisir à accompagner dans ses
colonnes. Il lui faudrait presque devenir hebdomadaire pour rendre compte de tous les
travaux proposés, qu’ils s’inscrivent dans la tradition tanguera ou dans les directions
les plus contemporaines...
En attendant, ne manquez pas les prochaines cessions, le 1er avril avec le quintette
Horacero (compositeur Didier Goret) et le guitariste César Angeleri, rejoint par
Matías González et les pianistes Cristian Zárate et Gustavo Beytelmann ; puis le
15 avril, le même Beytelmann (en trio) et le quintette El Despuès (invité Henri
Demarquette).
Jean-Luc Thomas
Leonardo Sánchez,
des cordes et des visages
Un pied dans le classique, un autre
dans le tango, le guitariste et compositeur n’imagine pas d’autre musique
que celle jaillissant des rencontres.
Multiples, fructueuses.
Sur scène, dans l’écriture, Leonardo
Sánchez aurait tendance à viser de plus en
plus le dépouillement. Le guitariste et compositeur s’en explique dans une pirouette
qui signe sa modestie : « jeune, on a tendance à être un peu bavard. Plus vieux, les
doigts vont un peu moins vite, ce n’est pas
plus mal. On élague, on supprime les notes
inutiles. Je suis aujourd’hui davantage
dans l’ellipse que la logorrhée ». Lui qui a
beaucoup produit pour les autres n’a jamais
LA SALIDA
Et il en oublie d’enregistrer, accumule
les
projets, les tient au chaud, passe à autre
chose et devient – il en rit – « sans doute le
champion du non-enregistrement ». Là, ce
n’est plus de l’épure mais du masochisme.
Au téléphone en revanche, il est intarissable pour évoquer ses aventures musicales, humaines, le fait surtout que les unes
ne sont rien sans les autres et que, de prime
abord, à l’heure de noircir la portée, déjà
« elles ne font qu’un ». Joliment, il assure :
« je n’écris pas pour un instrument, mais
pour un visage », celui du futur interprète.
C’est au point qu’au-delà des engagements,
salles et publics, persiste la chaleur des
rencontres, leurs souvenirs impérissables,
quoique indicibles pour l’essentiel.
Leonardo Sánchez nous conte ainsi cet
après concert nîmois où au restaurant, les15
guitares sont ressorties des étuis. Il y avait
Variétés
Les nouveaux balocheurs remettent le bal au
Les nouveaux
centre
de la fêtebalocheurs remettent le bal au
centre
de--la
Créé
le 21.06.10 à 06h56
Mis àfête
jour le 21.06.10 à 06h56
Créé le 21.06.10 à 06h56 -- Mis à jour le 21.06.10 à 06h56
Le bal est bien plus qu'un genre musical ou un répertoire. C'est une manière de placer la fête sous le symbole de
la rencontre. BALTEL / SIPA
Le bal est bien plus qu'un genre musical ou un répertoire. C'est une manière de placer la fête sous le symbole de
/ SIPA
la rencontre.
Ringardisés
à BALTEL
partir des
années 1960 par l'adoubement du rock et de la pop, les bals populaires, à
l'instar des fanfares, s'offrent une seconde jeunesse depuis le passage au troisième millénaire.
Nombre
de jeunes
musiciens
se sont
ainsi
au sein
collectifs
d'orchestres
Ringardisés
à partir
des années
1960
parregroupés
l'adoubement
du de
rock
et de la ou
pop,
les bals populaires, à
joyeusement
avec pour
ambition jeunesse
de redonner
ses le
lettres
de noblesse
à unemillénaire.
certaine idée
l'instar des bordéliques
fanfares, s'offrent
une seconde
depuis
passage
au troisième
deNombre
la fête. de jeunes musiciens se sont ainsi regroupés au sein de collectifs ou d'orchestres
Signe
de l'évolution
du phénomène,
le ambition
bal désigne
aujourd'hui
aussi
bien
en lui-même
joyeusement
bordéliques
avec pour
de redonner
ses
lettres
del'événement
noblesse à une
certaine idée
que
qui s'y produit. Mais le terme regroupe une infinité de conceptions. Jean-Michel
delalaformation
fête.
Taliercia,
l'un
des chanteurs
du Bal desleMartines,
crééaujourd'hui
il y a 6 ans,
voit bien
dansl'événement
ce mode d'expression
la
Signe de
l'évolution
du phénomène,
bal désigne
aussi
en lui-même
possibilité
de placerqui
« 40
de compositions
originales
au une
milieu
d'un de
répertoire
de reprises
mettant à
que la formation
s'y%
produit.
Mais le terme
regroupe
infinité
conceptions.
Jean-Michel
l'honneur
sonorités
rythmes
latins
».
Taliercia,
l'un desklezmers
chanteursetdu
Bal des
Martines,
créé il y a 6 ans, voit dans ce mode d'expression la
Lepossibilité
collectif Bringuebal,
faitde
le compositions
plein au Studio
de l'Ermitage
(Paris,
une fois
par mois,mettant à
de placer « qui
40 %
originales
au milieu
d'un 20e)
répertoire
de reprises
propose
de «sonorités
revisiter klezmers
les classiques
de la chanson
l'honneur
et rythmes
latins ». française depuis les années 1930 ».Plus que dans
unLe
genre
musical
ou un répertoire,
une philosophie
de la
fête,
collectif
Bringuebal,
qui fait lec'est
pleinvéritablement
au Studio dedans
l'Ermitage
(Paris, 20e)
une
foisappréhendée
par mois,
comme
une
rencontre,
que
se
rejoint
cette
nouvelle
scène
musicale.
«
Convivialité
»,
«
événement
propose de « revisiter les classiques de la chanson française depuis les années 1930 ».Plus que dans
festif
populaire
», ou
« interaction
entrec'est
le public
et les musiciens
», philosophie
« brassage de
deslaorigines,
des
un et
genre
musical
un répertoire,
véritablement
dans une
fête, appréhendée
classes
sociales
et des générations
». cette nouvelle scène musicale. « Convivialité », « événement
comme
une rencontre,
que se rejoint
C'est
autour
de
ces
notions
que
se
fait
l'unanimité
nouveaux
balocheurs
» qui
s'éloignent
festif et populaire », « interaction entre
le public pour
et lesces
musiciens
», «« brassage
des
origines,
des 16
donc
des clichés
pour
livrer
leur réinterprétation
des valeurs originelles du bal. Face à une telle
classes
sociales
et des
générations
».
que la formation qui s'y produit. Mais le terme regroupe une infinité de conceptions. Jean-Michel
Taliercia, l'un des chanteurs du Bal des Martines, créé il y a 6 ans, voit dans ce mode d'expression la
possibilité de placer « 40 % de compositions originales au milieu d'un répertoire de reprises mettant à
Variétés
l'honneur sonorités klezmers et rythmes latins ».
Le collectif Bringuebal, qui fait le plein au Studio de l'Ermitage (Paris, 20e) une fois par mois,
propose de « revisiter les classiques de la chanson française depuis les années 1930 ».Plus que dans
un genre musical ou un répertoire, c'est véritablement dans une philosophie de la fête, appréhendée
comme une rencontre, que se rejoint cette nouvelle scène musicale. « Convivialité », « événement
festif et populaire », « interaction entre le public et les musiciens », « brassage des origines, des
classes sociales et des générations ».
C'est autour de ces notions que se fait l'unanimité pour ces nouveaux « balocheurs » qui s'éloignent
donc des clichés pour livrer leur réinterprétation des valeurs originelles du bal. Face à une telle
diversité, bien difficile d'isoler une raison à l'adhésion du public, qui ne se dément pas. Mais Norbert
Bouche, du collectif Bringuebal, avance une explication séduisante. « Ce qui fait la différence, c'est le
fait de danser à deux. Quand vous dansez face à votre partenaire, les yeux dans les yeux, le plaisir et
la joie prennent le dessus. ». Bal au centre.A. M.
TÉLÉRAMA Janvier 2011
17
Variétés
18
Classique
DIAPASON Septembre 2009
19

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