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La Lettre Innovation, Nouveautés, Evènements, et Pratiques des TI N° 12/52 24 Décembre 2012 La pensée de la semaine « Le problème, Gérard, c'est que tes sorties de route vont toujours dans le même fossé : celui du fric, des copains dictateurs, du pet foireux et de la miction aérienne, celui des saillies ultralibérales... » Philippe Torreton L'université de Tokyo développe un robot avec "des muscles et des os" http://www.clubic.com/robotique/actualite-530912-universite-tokyo-developpe-robot-muscles-os.html#ixzz2F15g0RV7 Des chercheurs de l'université de Tokyo ont développé un robot avec la physionomie d'un garçon de 12 ans. Nommé Kenshiro, ce dernier est doté d'un squelette et de muscles artificiels, et se rapproche au plus près de l'humain. Les concepteurs de robots cherchent depuis longtemps à rapprocher leur création de l'humain d'un point de vue esthétique, arpentant très souvent la vallée dérangeante, sentiment ressenti face à un robot dont la proximité avec l'humain fait ressortir de manière désagréable les imperfections de la machine. Avec Kenshiro, cette impression est accentuée par le fait que le robot n'a pas encore de tête. Mais le résultat s'avère néanmoins particulièrement impressionnant : développé depuis 2010, le robot est calqué sur la physionomie moyenne d'un garçon japonais de 12 ans : il mesure 158 cm, pèse 50 kg, dispose d'une armature en aluminium similaire au squelette humain, et intègre 160 mécanismes qui font office de muscles – 50 dans les jambes, 76 dans le tronc, 12 dans les épaules et 22 dans le cou, tous inspirés de la musculature humaine. Pour les chercheurs, se baser sur l'anatomie humaine pour concevoir ce robot était la clé pour améliorer le poids et le potentiel des modèles précédents. Une précédente création, baptisée Kenzoh, pesait 45 kg pour le haut du corps, en limitant les possibilités d'usage. S'inspirer des muscles humains a permis aux chercheurs d'adapter les mouvements et la vitesse de Kenshiro à des fonctions « humaines ». Kenshiro est un projet scientifique qui n'est pas prévu à la commercialisation, mais le développement d'un tel robot laisse songeur quant à l'évolution de la robotique et du rapprochement de ce type de machine avec l'humain dans le futur. Gestion des RH : la SNCF s’appuiera sur l’expertise de HR Access http://www.itespresso.fr/gestion-rh-sncf-sappuiera-expertise-hr-access-59897 La SNCF utilisera la solution de gestion des ressources humaines et de la paie HRa Suite 9 développée par HR Access au sein de ses 5 branches d’activité. HR Access, qui conçoit, développe et héberge des progiciels et solutions de gestion des ressources humaines et de gestion de la paie, a été choisi par la SNCF pour prendre en charge la gestion de son système d’information en ressources humaines (SIRH). Plus précisément, la solution HRa Suite 9 de HR Access permettra de gérer de façon plus harmonieuse l’ensemble des branches d’activités de l’entreprise française de transports et de logistique en matière de RH et de gestion des bulletins de paie des 165 000 collaborateurs. En effet, la SNCF, présente dans 120 pays, s’articule autour de 5 grandes activités : la gestion, l’exploitation , la maintenance et l’ingénierie d’infrastructure à dominante ferroviaire (SNCF Infra), le transport public de voyageurs urbain et régional (SNCF Proximités), le transport ferroviaire de voyageurs à grande vitesse (SNCF Voyages), le transport et la logistique de marchandises (SNCF Geodis) et la gestion et le développement des gares (Gares & Connexions). Le projet de la SNCF autour de la gestion des ressources humaines se compose de deux volets : l’accompagnement au recrutement et à la gestion de la formation, ainsi que la gestion administrative et de la paie. Ce premier volet a déjà commencé à être déployé en 2011 au sein de la SNCF, et est en cours de migration sur la solution HRa Suite 9. Le deuxième volet fera l’objet d’une intégration directe depuis le progiciel de gestion. Yahoo! lorgnerait sur la jeune pousse Summly http://pro.clubic.com/entreprises/yahoo/actualite-531126-yahoo-lorgnerait-jeune-summly.html#ixzz2F8sFgv6f La société Yahoo! reste à l'affût de la moindre société pouvant potentiellement dynamiser sa stratégie et lorgnerait du côté de Summly. « Il est très important que nous prenions la vague du mobile », tels sont les propos récemment tenus par Marissa Mayer, PDG de Yahoo! pour qui le marché du smartphone et de la tablette est l'occasion de dynamiser la société. Ainsi au mois d'octobre, la société a racheté Stamped, une application mobile spécialisée dans les recommandations. Cette semaine, le portail Internet a décliné Yahoo! Mail sur iOS et Modern UI tout en mettant à jour son application pour Android. Le blog AllThingsD rapporte de plusieurs sources que la direction de Yahoo! continue sa quête pour étendre ses activités sur ce marché florissant et serait désormais intéressée par Summly. Cette jeune pousse a développé un algorithme de langage naturel capable de rédiger des phrases pour résumer n'importe quel article en moins de 400 caractères. Summly se présente sous la forme d'une application mobile depuis laquelle le mobinaute sera en mesure de configurer le type d'actualités qu'il souhaite recevoir. Chaque article sera résumé avec la possibilité d'accéder facilement à la version originale. Summly permettrait donc à Yahoo! de développer sa stratégie média sur mobile. L'application a été développée par Nick D'Aloisio, un adolescent britannique de 17 ans qui a déjà reçu le soutien financier de l'acteur Ashton Kutcher, du PDG de Zynga Mark Pincus, du fondateur d'Automattic Matt Mullenweg ou encore du créateur d'Airbnb Brian Chesky. YotaPhone : un smartphone russe à écrans LCD et E Ink http://www.clubic.com/smartphone/android/actualite-531100-yotaphone-smartphone-russe-ecrans-lcd-eink.html#ixzz2F8u0LIha Un équipementier russe veut se lancer à l'international avec un smartphone innovant, répondant au nom de code « YotaPhone », qui présente la particularité d'être doté d'un écran E Ink en plus d'un écran conventionnel. Le PDG du fabricant Yota Devices est parti du constat que le tout-connecté imposait aux utilisateurs de constamment manipuler leurs smartphones pour surveiller l'arrivée de notifications, puisque les écrans conventionnels (LCD ou OLED) sont énergivores et requièrent une intervention humaine. En plus de l'écran LCD de 4,3 pouces occupant la quasi-totalité d'une face, le « YotaPhone » dispose donc sur l'autre face d'un second écran de même taille affichant constamment des informations. Il s'agit d'un écran à encre électronique, comme sur les lecteurs de livres électroniques, qui ne consomme de l'énergie que lorsqu'il change d'état. Les deux écrans n'affichent donc pas les mêmes informations et sont complémentaires. D'ailleurs seul l'écran LCD est tactile. C'est avec lui qu'on utilisera le terminal, comme avec n'importe quel smartphone Android. Mais en veille, l'écran E Ink peut afficher toutes sortes d'informations visibles sans aucune intervention de l'utilisateur. Le terminal n'interpelle donc pas l'utilisateur en allumant son écran à la réception d'une notification. Cet écran peut afficher la date et l'heure, les appels manqués, les derniers messages délivrés, etc. Un kit de développement (SDK) permettra aux éditeurs tiers de l'exploiter. L'appareil sera par ailleurs un smartphone conventionnel. Les premiers prototypes disposent d'un SoC Qualcomm Snapdragon S4 double cœur, de 2 Go de mémoire vive, d'un écran LCD HD (1280 x 720 pixels), d'un capteur principal à 12 millions de pixels, d'un capteur d'appoint pour les autoportraits et la visio, d'une connectivité 4G LTE et d'une batterie de 2100 mAh. Malheureusement Yota Devices ne pense commercialiser la version définitive d'un tel smartphone, avec la dernière version en date d'Android, qu'au quatrième trimestre 2013 ! D'ici là, il présentera en février une version préliminaire, au Mobile World Congress. Google recrute Ray Kurzweil, l'homme de la singularité technologique http://www.actualitte.com/acteurs-numeriques/google-recrute-ray-kurzweil-l-homme-de-la-singularite-technologique-38948.htm Des machines qui pensent et développent l'humanité, ça fait frémir ? C'est pour travailler à de nouveaux projets chez Google, impliquant « l'apprentissage automatisé et le traitement du langage » que Ray Kurzweil va entrer chez Google. Un communiqué de presse vient de confirmer l'information, et dès le 17 décembre, le scientifique viendra grossir les rangs de la société américaine. Pour remettre tout le monde à jour, il faut se savoir que Ray Kurzweil est à l'origine du développement d'un concept faramineux, la singularité technologique. Cette notion implique que, sous peu, l'intelligence artificielle va atteindre une croissance dépassant l'humain, et entraîner un mouvement planétaire d'évolution, permettant de transcender les limites humaines. La singularité technologique (ou simplement la Singularité) est un concept, selon lequel, à partir d'un point hypothétique de son évolution technologique, la civilisation humaine connaîtra une croissance technologique d'un ordre supérieur. Pour beaucoup, il est question d'intelligence artificielle, quelle que soit la méthode pour la créer. Au-delà de ce point, le progrès ne serait plus l'œuvre que d'intelligences artificielles, elles-mêmes en constante progression. Il induit des changements tels sur la société humaine que l'individu humain d'avant la singularité ne peut ni les appréhender ni les prédire de manière fiable. Le risque en est la perte de pouvoir humain, politique, sur son destin. (voir Wikipedia) Ray a beaucoup écrit sur le sujet, mais également sur la notion d'intelligence artificielle, ou plus encore le transhumanisme. Il est également créateur d'un instrument de musique, passionné de biologie et de santé, et a longtemps travaillé sur la reconnaissance optique de caractère ainsi que la technologie Text-to-Speech. Il est à ce titre parmi les premiers à avoir conçu une machine offrant de faire la lecture aux aveugles grâce à un système de synthèse vocal. Ces deux pans pourraient être les secteurs privilégiés de travail pour Kurzweil, chez Google, alors que la firme américaine a déjà recours à de multiples technologies du scientifique. Précisément dans le domaine de la reconnaissance d'images, de texte et de vidéo. S'il reconnaît que l'évolution technologique aujourd'hui peut nous blaser, considérant que nous l'avons presque toujours eue avec nous, son accélération permanente apporterait plus que de l'eau au moulin de la théorie de la Singularité. « Je suis ravi de faire équipe avec Google pour travailler sur certains des problèmes les plus complexes en informatique pour que nous puissions faire des visions irréalistes, une réalité au cours de la prochaine décennie. » Car si l'on parle évidemment de technologies pensantes et évoluantes, et d'intelligence artificielle, capable de se développer, impossible de croire que Google ne sera pas loin. La vidéo vectorielle pourrait stopper la course au MegaPixel http://www.generation-nt.com/codec-vectoriel-video-megapixel-revolution-animation-vecteur-mathematiques-actualite-1670852.html La course au Megapixel dans les capteurs vidéo pourrait arriver à son terme d'ici cinq ans et laisser la place à une nouvelle façon de voir et concevoir l'environnement. Une nouvelle façon de voir les choses sous un angle numérique pourrait révolutionner les capteurs de demain. En considérant que chaque chose que nous voyons est constituée de formes, de lignes, courbes et silhouettes, chaque forme étant un amas de pixels rapporté dans une grille. C'est ce que propose un nouveau codec vidéo fonctionnant sur le principe de l'image vectorielle, et qui pourrait enterrer la course au mégapixel une fois pour toutes. Une des façons les plus simples de visualiser la différence entre l'image vectorielle et le pixel standard peut être résumée en traçant une ligne. Avec des pixels, il faut tracer une ligne en commençant d'un pixel A puis ajouter autant de pixels qu'il faut pour arriver au point X souhaité. Un trait 2 fois plus grand implique alors 2 fois plus de pixels. Avec les vecteurs, la seule chose à indiquer à l'ordinateur pour tracer votre trait est l'équation mathématique qui correspond à sa caractéristique. Une technique qui se veut moins gourmande en ressource, et permet également tout un ensemble de manipulations mathématiques, dont le changement de résolution sans aucune perte en terme de qualité. La compression vectorielle est largement utilisée depuis de nombreuses années dans des images fixes et des animations flash, mais jamais implantée au domaine de la vidéo. L'Université de Bath en Angleterre est néanmoins parvenue à développer un codec vidéo très sophistiqué capable d'ingérer des vidéos HD pour en rendre une version extrêmement compressée sous forme vectorielle. Jusqu'à maintenant la plus grande difficulté pour le calcul vectoriel était de réussir à encoder les données situées entre les lignes et les silhouettes ( comme les couleurs par exemple ), mais la capacité de ce codec à réaliser cet exploit est une avancée significative dans le domaine et pourrait révolutionner la façon dont les vidéos seront capturées à l'avenir. Les étudiants à l'origine du projet espèrent voir leur codec appliqué à grande échelle d'ici cinq ans. Si tel est le cas, les capteurs photos pourraient se voir orientés vers de nouvelles caractéristiques, mais plus importants certainement, la taille des fichiers vidéos pourrait se voir considérablement réduits tout en proposant des contenus HD. De quoi nous affranchir des unités de stockage de gros volumes ou permettre la diffusion de flux vidéos avec une plus faible bande passante. Data centers will become the new 'cloud,' Woz predicts http://www.zdnet.com/data-centers-will-become-the-new-cloud-woz-predicts-7000008841/ "2013 is going to be the year of choice. Whether it’s your phone or the company’s, working from your office or the coffee shop, one option isn’t going to cut it anymore." That's the view of Apple co-founder Steve Wozniak, now chief scientist for Fusion-io, who sees a multi-platform, multi-technology tech world coming to fruition. He also says the data center -- with new collaborative and virtualized capabilities -- will be taking a front and center role in all this over the coming year. In a new post in Forbes, he outlines what's in store for enterprise IT. Data center technologies will be to 2013 what the cloud was for 2012. "The rapid transition from hard disk to NAND flash memories in the data center is drastically improving performance, reliability and the ability to distribute everything through virtual machines – which will lead to the de-centralization of cloud services," says Wozniak. "Enterprises with different offices in multiple cities will run the same cloud services out of each office and have the cloud services talk to each other to ensure synchronization – improving overall efficiency." Lots of emphasis on collaboration. "Companies will move away from deploying 'lite' collaboration apps in favor of all-in-one tools that fit nicely into existing structures and maximize this increasingly mobile workforce." Ease of use will still be a challenge, however, Wozniak adds. Plus, "it will be increasingly important for any given collaboration package or other app to run on a multitude of platforms – not just one. Taking the easy way out and developing for just one platform will not be acceptable." BYOD, BYOD, BYOD. "Businesses will learn that it is worth investing resources to diversify the platforms and devices they provide and support – not just for efficiency’s sake but to also increase morale. “Choice” is happiness and will become a motivational tool enterprises use to their advantage." Plus, expect to see consumer technologies blending with corporate systems in the workplace. "I honestly believe mobile devices will increasingly become our remote controls to the world. We’ll carry our software on our devices, but display it on these communal screens – including those installed in conference rooms." Un Américain construit un buggy télécommandé pour faire taire son perroquet http://dailygeekshow.com/2012/12/15/un-americain-construit-un-buggy-telecommande-pour-faire-taire-son-perroquet/ Cet étudiant américain a conçu un petit buggy électrique pour que son perroquet puisse se déplacer comme bon lui semble dans toute la maison ! Cette invention permet d'éviter à Pepper de crier partout lorsqu'on le laisse seul. Pepper est sûrement le roi du chantage. Dès qu'il se retrouvait seul dans la maison, ce petit perroquet criait pour qu'on revienne lui tenir compagnie. Son propriétaire, Andrew Gray raconte "Notre perroquet, quand il est laissé seul, hurle. Il nous perce les oreilles, même si vous n’êtes pas dans la même pièce" .Comment faire alors pour qu'il arrête de geindre ? Lui construire un buggy télécommandé qu'il pourrait conduire bien sûr ! Andrew est étudiant au département de génie électrique et informatique de l'Université de Floride. C'est pourquoi il a mis à profit ses talents pour créer un petit véhicule robotisé que Pepper puisse conduire simplement à l'aide de son bec. Grâce à un petit joystick, le perroquet peut rouler partout dans la maison et ne plus se sentir seul. Il aura fallu 4 mois à Andrew Gray pour concevoir le buggy. Et si par hasard l'oiseau décide de prendre un peu l'air, le véhicule le localise et se dirige tout seul sur une petite station de recharge indiquée par des sphères vertes et orange. Comme ça, Pepper ne pourra pas trouver une nouvelle excuse pour crier en cas de panne de son buggy. Après les chiens qui apprennent à conduire, maintenant ce sont les perroquets qui se mettent au volant ! Quel sera le prochain animal ? Oracle se renforce dans le Big Data pour le secteur de l’énergie http://www.lemagit.fr/economie/business/editeurs/2012/12/14/oracle-se-renforce-dans-le-big-data-pour-le-secteur-de-lenergie/ Oracle a décidé d’étendre son arsenal Big Data et annonce le rachat de DataRaker, société qui développe des services analytiques dans le Cloud pour le secteur prometteur des technologies de gestion de l’énergie. Le montant de la transaction n’a pas été précisé. DataRaker propose un ensemble de services Saas qui collectent et analysent des données en volume générées par les compteurs intelligents électriques, gaz ou eau. Avec ce rachat, Oracle souhaite proposer à l’industrie des fournisseurs d’énergie une plate-forme globale de gestion de l’énergie en y greffant une capacité de traitement Big Data. Cette plate-forme prendra en charge les données générées par les capteurs. Une façon d’adresser ainsi plus en profondeur le segment des objets connectés et du Machine-toMachine. Les outils de DataRaker seront associés aux solutions qu’Oracle destine déjà à ce secteur (Oracle Utilities). L’idée est de transformer ces données brutes en informations prévisionnelles capables d’influencer l’efficacité opérationnelle des fameux « utilities » et de leur donner des moyens de mettre en place des services (consommation, facturation, etc…). Blackberry retrouverait du crédit auprès de l'administration américaine http://www.zdnet.fr/actualites/blackberry-retrouverait-du-credit-aupres-de-l-administration-americaine-39785445.htm#EREC-103 La lumière au bout du tunnel ? L'année 2012 a été terrible pour Blackberry : chute des ventes, perte d'influence en entreprises, repli de l'action et administrations qui tournent le dos à la plate-forme... Mais l'horizon semble aujourd'hui un peu s'éclaircir à la faveur de l'arrivée de BB10 qui semble cristalliser de vraies attentes. Outre une action qui semble reprendre des couleurs, certaines administrations américaines semblent faire marche arrière. Sûrs mais ringards C'est le cas l’agence américaine en charge des services de l’immigration et des douanes (Immigration and Customs Enforcement agency). En octobre, elle a annoncé en effet qu’elle mettait fin à son contrat d’équipement avec RIM pour la fourniture de BlackBerry afin d'équiper ses 17 600 employés d’iPhone. Selon une dépêche Reuters, l’agence américaine a indiqué qu’elle avait travaillé avec RIM au cours des 8 dernières années mais que l’entreprise canadienne ne pouvait plus "satisfaire les besoins de l’agence en matière de technologie mobile". Traduction : les Blackberry sont sûrs mais ringards. Un contrat de $2,1 M qui sonnait comme une nouvelle victoire pour Apple sur un segment où les exigences en termes de sécurité sont élevées. Mais aujourd'hui, changement de ton. Selon nos collègues de ZDNet.com, l'agence en question semble être séduite par BB10 et va organiser un programme de test en grandeur nature. Un Facebook tout neuf pour Android http://www.zdnet.fr/actualites/un-facebook-tout-neuf-pour-android-39785440.htm#EREC-103 Facebook a enfin complètement réécrit son application pour le robot vert. Une version 2.0 qui se veut plus performante. Les utilisateurs d'Android l'ont tous remarqué, l'application Facebook est loin d'être une réussite. Mark Zuckerberg reconnaît d'ailleurs lui-même qu'elle n'est pas à la hauteur des attentes. Lorsqu'on connaît les ambitions de Facebook dans le mobile, cette situation ne pouvait pas durer. Le réseau social annonce la disponibilité d'une version 2.0 toute neuve qui fait table rase du passé. Elle profite en effet d'une reprogrammation complète, basée sur le code natif d'Android. Facebook promet donc plus de performances, plus de rapidité. Les actions de base seraient ainsi exécutées deux fois plus vite que dans la précédente version. Samsung Galaxy : une faille de sécurité importante pour plusieurs terminaux http://www.clubic.com/smartphone/android/actualite-531440-samsung-galaxy-exynos-faille-securite-critique.html#ixzz2FOd29tFl Une faille affectant quelques-uns des terminaux les plus populaires de Samsung a récemment été découverte. Elle permet d'obtenir un accès root très facilement, ce qui peut paraitre une bonne nouvelle mais constitue en fait une importante faille de sécurité. Un membre de la communauté XDA Developers a partagé samedi sa découverte : les terminaux qui exploitent une puce Samsung Exynos de la série 4 et les sources du noyau développées par Samsung offrent un accès total à la mémoire vive. Le périphérique /dev/exynos-mem est effectivement accessible en lecture et en écriture par tous les utilisateurs, alors qu'il ne devrait l'être que par le super utilisateur (root). Dès lors, il est extrêmement facile d'obtenir l'accès root, sans avoir à flasher le firmware comme c'est généralement le cas. Un autre membre du célèbre forum a ainsi rapidement publié une simple application, baptisée ExynosAbuse, permettant de rooter son terminal en y installant l'utilitaire SuperSU. Cette application permet aussi et surtout de combler partiellement la faille, ce qui a malheureusement pour effet d'empêcher l'appareil photo de fonctionner. Porte ouverte aux utilisations malveillantes Le root est à Android ce que le jailbreak est à iOS. Il permet d'obtenir une plus grande souplesse dans la modification du terminal et d'accéder à des fonctions autrement inaccessibles (prise en charge d'une plus grande variété de périphériques USB, blocage des publicités, etc.). Mais mal utilisé il présente des risques en matière de sécurité. En l'occurrence n'importe quelle application peut s'arroger tous les droits, sans l'aval de l'utilisateur, ce qui ouvre la voie à des utilisations malveillantes (cheval de Troie, botnet, vol de données personnelles et donc usurpation d'identité, etc.). Les Samsung Galaxy S III, Galaxy S II (sauf le GT-i9100G), Galaxy Note, Galaxy Note 2, Galaxy Note 10.1 et Galaxy Tab Plus sont concernés. Les possesseurs de ces terminaux sont donc invités à télécharger l'application susmentionnée pour désactiver la faille et à faire preuve de la plus grande prudence en attendant que Samsung ne réagisse. Des membres de XDA Developers ont alerté des développeurs du fabricant. Pi Store : un marché d'applications pour le Raspberry Pi http://www.clubic.com/ordinateur-pc/actualite-531488-pi-store-applications-raspberry-pi.html#ixzz2FOf5V4YD La fondation Raspberry vient de mettre à disposition des possesseurs d'un Raspberry Pi un marché d'applications visant à rassembler dans un endroit unique tous les logiciels développés pour la plateforme. « Nous avons été impressionnés par la variété des programmes que les gens ont développé ou porté sur le Raspberry Pi » explique la fondation Raspberry sur son site. En partenariat avec les plateformes IndieCity et Velocix, l'organisation a inauguré lundi le Pi Store, un marché de logiciels spécifiquement adaptés à l'ordinateur, qui coute toujours quelques dizaines d'euros. « Le magasin fonctionne comme une application sous Raspbian (la version de Debian optimisée pour le Raspberry, ndlr) et permet aux utilisateurs de télécharger du contenu et proposer leurs propres programmes à la modération » explique la fondation. Il est cependant possible d'explorer le catalogue via un navigateur traditionnel. Pour l'heure, l'offre est limitée : seules 25 applications sont proposées. 24 d'entre elles sont gratuites : on trouve notamment une version de LibreOffice dédiée au Raspberry Pi, OpenTTD, la version open-source du jeu Transport Tycoon Deluxe, ou encore un client Spotify. Seul un jeu, Storm in a Teacup, est payant. Les créateurs du Raspberry Pi ont bon espoir que le catalogue se développe rapidement, compte tenu de l'importante communauté de développeurs qui gravite autour de la machine. Rappelons qu'une variante à $25 est récemment entrée en production, alors que 850 000 exemplaires du modèle en vente depuis le début de l'année ont déjà trouvé preneurs. Emergence de rivaux Depuis l'introduction du Raspberry Pi plusieurs autres ordinateurs monocartes bon marché ont été introduits sur le marché. Pour $60 le Cubieboard, qui a été annoncé en septembre, intègre un processeur ARM cadencé à 1 GHz et 4 Go de RAM. Il tourne sous Android, Ubuntu et Linux. Dans le même temps, l'UG802 est apparu, au prix de $89. Ce mini PC tourne sous Android 4.0 par défaut. Il est équipé d'un processeur ARM dual-core cadencé à 1,6 GHz, de 1 Go de RAM, 4 Go de stockage, de ports USB, d'un connecteur HDMI et d'un slot microSD. Un autre modèle est sorti le mois dernier, l'A13-OLinuXino, vendu $57, avec un processeur ARM cadencé à 1 GHz, un processeur graphique 3D Mali400, et 512 Mo de RAM. Pendant ce temps, les développeurs continuent de trouver des applications intéressantes pour le Raspberry Pi. Ainsi, des chercheurs de l'Université de Southampton ont créé un mini-HPC en Lego avec des unités Raspberry Pi et ont également conçu un serveur Minecraft. Le W3C finalise le HTML5 et donne le coup d'envoi pour la version 5.1 http://pro.clubic.com/creation-de-site-web/langage-programmation/html-5/actualite-531534-w3c-finalise-html5-coup-envoi-5-1.html#ixzz2FOfoii12 Le langage HTML 5 amorce sa dernière ligne droite et les réflexions s'orientent déjà vers la mouture 5.1. Dans un communiqué officiel, le W3C, l'organisme chargé de réguler les standards du web, annonce que le langage HTML5 a été publié en version Candidate Recommendation c'est-à-dire en version pré-finale. Concrètement, les prochains travaux sur cette version se contenteront de corriger des bugs pour une standardisation prévue au quatrième trimestre 2014. Parallèlement, le W3C annonce la publication d'un premier brouillon pour le HTML5.1 qui regroupera les prochaines idées. Parallèlement le W3C annonce une version candidate recommendation de Canvas 2D permettant d'effectuer des représentations graphiques. Les développeurs disposent donc d'un document en version pré-finale afin de prendre connaissance des spécifications du HTML5 et selon Jeff Jaffe, PDG du W3C, les éditeurs ont réellement besoin de technologies standardisées et stables. En pratique les choses sont tout de même différentes et l'on pourrait s'interroger sur la nécessité de publier des versions numérotées. En effet plusieurs nouveautés du HTML5 sont déjà bien implémentées au sein de l'ensemble des navigateurs même si ces dernières ne seront pas standardisées avant 2 ans. C'est pour cette raison que le groupe WHATWG (Web Hypertext Application Technology Working Group) avait souhaité son indépendance après un désaccord avec les pratiques du W3C. WHATWG souhaite pour sa part faire évoluer le langage HTML de manière continue tandis que le W3C continuera à publier des versions arrêtées et numérotées du langage web. Ces évolutions resteront transparentes si les éditeurs de navigateurs synchroniseront leurs travaux avec les développeurs web. IBM : dans 5 ans, l'ordinateur se dotera des 5 sens http://www.lemondeinformatique.fr/actualites/lire-ibm-dans-5-ans-l-ordinateur-se-dotera-des-5-sens-51724.html Dans son rapport annuel baptisé 5in5, IBM étudie quelles seront les tendances pour les 5 prochaines années. L'ère des systèmes cognitifs arrive avec l'imitation des 5 sens des individus. Difficile de faire de la prospective dans le domaine informatique pour les 5 prochaines années. Pourtant, IBM se risque à l'exercice à travers son rapport 5in5 qui cherche les futures tendances IT. Cette année, Big Blue se concentre sur les systèmes cognitifs, c'est-àdire l'apprentissage d'une connaissance par l'ordinateur. Et dans le futur, les ordinateurs ou les smartphones devraient apprendre les 5 sens des êtres humains. Les technologies haptiques, infrarouges au service du toucher Au sein des laboratoires, les chercheurs d'IBM utilisent des technologies comme l'infrarouge, l'haptique ou la sensibilité à la pression pour développer des applications, capables de reproduire la sensation de toucher. Des tests ont été réalisés sur la texture ou le tissage d'un tissu. Ainsi, quand un acheteur passera son doigt sur l'image d'un objet, la fréquence et l'intensité des vibrations permettra de différencier la soie du lin ou du coton. La vue en quête du contexte Avec le développement croissant des images (vidéos, imagerie médicale, réseaux sociaux), les chercheurs travaillent sur l'interprétation et le sens des pixels. A travers des algorithmes, les ordinateurs seront capables d'analyser des caractéristiques comme la couleur, la texture, les contours des formes au sein des images afin d'extraire des informations utiles. Pour Big Blue, ces avancées devraient servir la santé, la distribution et l'agriculture. L'ouïe soutenue par les capteurs intelligents La prévision par le son d'évènements sur le point de se produire pourrait devenir une réalité dans les prochaines années. Pour cela, il faudra créer un système distribué de capteurs intelligents pour détecter des éléments sonores comme la pression acoustique, les vibrations, les ondes sonores. Ce système pourra interpréter ces informations pour prédire la chute d'un arbre, un glissement de terrain, des inondations. Des tests sont en cours dans la baie de Galway en Irlande afin de comprendre les sons et les vibrations émises par les machines hydroliennes et leur impact sur la vie sous-marine. Le goût ou l'analyse moléculaire Trouver la meilleure combinaison entre différents aliments sera chose possible à travers une analyse moléculaire. IBM élabore un système utilisant des algorithmes capables de déterminer la structure moléculaire précise de chaque aliment. Il sera aussi apte à savoir pourquoi certaines personnes préfèrent telles ou telles saveurs. Il devrait aider les chefs cuisiniers pour découvrir d'autres saveurs et des associations pour réaliser des recettes. Un diagnostic par l'odorat Selon IBM, des petits capteurs intégrés au smartphone ou à l'ordinateur détecteront si la personne est en train d'attraper un rhume ou une autre maladie. Par l'analyse des odeurs des milliers de molécules présentes dans l'haleine, les médecins pourront diagnostiquer certaines maladies comme les troubles du foie et des reins, l'asthme, le diabète et l'épilepsie. Cette technique de diagnostic pourra être étendue à l'agriculture pour sentir et analyser l'état du sol pour les cultures. Dématérialisation des factures : GREENBUREAU lève €800 00 http://www.itespresso.fr/dematerialisation-factures-greenbureau-leve-800000-euros-60017.html Le concept de la start-up parisienne pour favoriser la dématérialisation des factures (avec un brin de « green IT ») a séduit deux fonds de capital-risque : Omnes Capital et 3T Capital. Greenbureau, service Internet gratuit de centralisation des factures pour les particuliers, lève €800 000 auprès d’Omnes Capital (ex-Crédit Agricole Private Equity) et 3T Capital (soutenu par le Fonds Européen d’Investissement, CDC Entreprises et l’Institut Mines-Télécom). La jeune pousse est actuellement incubée à Télécom ParisTech (Institut Mines-Télécom). Sachant qu’elle est également soutenue par la Ville de Paris et Oséo. Sous un angle de gestion de la relation client numérique multimarques, Greenbureau s’inscrit dans une démarche green IT. Il permet aux grandes entreprises de réduire leurs coûts de gestion en démultipliant les usages numériques de leurs clients : facture électronique, gestion de compte en ligne, etc. Ce tour de table devrait permettre à Greenbureau de poursuivre l’innovation, explorer d’autres supports (smartphones, tablettes) et « accélérer sa conquête commerciale ». La société compte SFR, Numéricable, Direct Energie, Poweo, EDF et GDFSuez parmi ses premiers clients. Greenbureau a été créée en juillet 2011 par quatre professionnels de la relation client et d’Internet : Mathieu Delobelle, Frédéric Dermer, Yan Tamalet et Florian Nicourt. La société s’engage à stocker « toutes vos factures, relevés et documents en illimité en taille et en temps ». Il est toutefois précisé que : « tous les 10 ans nous vous donnons le choix de conserver ou de supprimer vos données les plus anciennes. ». Sur le front de la sécurité, de la confidentialité et propriété de vos données, la jeune pousse assure qu’elle travaille en partenariat avec la CNIL et avec les marques partenaires dans le process de dématérialisation des factures. Au total, 80 fournisseurs se sont ralliés à cette initiative. Une quinzaine ont été intégrés dans le courant du mois de novembre. Dans quelle mesure peut-on parler d’implication dans le développement durable au-delà de l’aspect dématérialisation ? Le petit geste pour la nature, c’est par ici : « Chaque fois que vous passez en facture 100% électronique chez l’une de nos marques partenaires, nous finançons une campagne de reforestation durable en partenariat avec l’organisme Trees for the Future. » Greenbureau compte surfer sur un marché de la dématérialisation des factures, qui pèse 1,5 milliard d’euros par an. Plus largement, Greenbureau vise tous les actes de relation client, encore capté à plus de 80% par des centres d’appels (dans cette vision, on passe à un marché de 12 milliards d’euros par an). Apple and Samsung's patent war: Can a settlement add up? http://www.zdnet.com/apple-and-samsungs-patent-war-can-a-settlement-add-up-7000008964/?s_cid=e539 That never-ending Apple vs. Samsung patent war being waged around the world has flared up again with a bevy of developments that could point both sides to at least ponder a settlement. Among the key developments: A U.S. judge denies Apple's permanent injunction request regarding Samsung. That same judge also denied Samsung's claims that it needed a new trial. In Australia, Samsung managed to keep private documents away from Apple. And now Samsung has dropped injunction requests against Apple in Europe. Combine these developments with Apple's recent patent agreement with HTC---another Android poster child---and perhaps this war can be put to rest. Meanwhile, Apple CEO Tim Cook told Bloomberg BusinessWeek that he hopes the Samsung litigation "works out over time." Cook is pragmatic and Samsung and Apple are great partners as well as competitors. That situation isn't sustainable over the long term. With the latest courtroom developments, I'd argue that chances are looking better that the two will settle. Simply put, there's more money for both sides being partners. Amazon aurait choisi Foxconn pour la production de son smartphone http://www.zdnet.fr/actualites/amazon-aurait-choisi-foxconn-pour-la-production-de-son-smartphone-39785550.htm#xtor=EPR-100 Le géant du e-commerce aurait passé un contrat avec le taiwanais Foxconn pour la fabrication de son futur smartphone qui pourrait être dévoilé mi-2013 à un tarif compris entre 100 et $200. Bien qu’Amazon ne l’ait pas encore annoncé officiellement, l’ajout d’un smartphone à sa gamme de terminaux semble de plus en plus probable. Et selon le Taiwan Economic News, les choses sont même très avancées puisque Foxconn, le sous-traitant d’Apple, aurait été choisi pour fabriquer l’appareil avec une commande de 5 millions d’unités. Le mois dernier déjà, Digitimes assurait que Foxconn avait été sélectionné par Amazon pour ce nouveau projet. Aucun détail technique n’a filtré mais l’on suppose que ce smartphone tournera, comme les tablettes Kindle, sur une version modifiée d’Android. D’après le Taiwan Economic News, le lancement interviendra entre le deuxième et le troisième trimestre 2013. Le prix de vente se situerait entre 100 et $200, Amazon restant fidèle à sa stratégie de prix agressive pour servir son écosystème (musique, applications, vidéos, livres électroniques). TEDI + AbulÉdu : une tablette made in France pour les écoles primaires http://education.tablette-tactile.net/tediabuledu-une-tablette-made-in-france-pour-les-ecoles-primaires-132643/ Les sociétés Ryxéo et UNOWHY ont conclu un partenariat pour proposer une tablette dédiée au monde de l’éducation dans laquelle un système d’exploitation et des logiciels libres sont installés. D’un côté le matériel avec TEDI (pour Tablette pour une Éducation Digitale Interactive) de l’autre les logiciels avec AbulEdu, un projet de logiciel libre spécialisé dans l’éducation. La tablette est celle de QooQ, qui est à la base un modèle destiné aux cuisiniers (elle embarque des recettes de cuisine). Elle a principalement été choisie pour sa robustesse, ses pieds antidérapants et sa résistance à l’eau (et vraisemblablement car elle est fabriquée en France). Bref idéal pour la mettre entre les mains des enfants d’école primaire. Pour rappel, elle est composée d’un écran 10,1’’ (1024 x 600), d’un processeur TI Cortex A9 1Ghz, 512 Mo de ram et d’une capacité de stockage de 8Go. Concernant la connectique elle a un port USB, un lecteur de carte SD, un connecteur Ethernet et le Wifi. Des caractéristiques plus que correctes pour l’usage qui en sera fait en classe. L’offre logiciel est assurée par la suite Abuledu-tablette qui propose des applications adaptées aux différents cycles scolaires mais aussi aux enseignants. Le projet Abuledu est validé par le ministère de l’éducation nationale ce qui permettra surement de viabiliser ce projet de tablette. Pour l’instant l’offre commerciale ne semble pas être prête et les tablettes sont disponibles pour un nombre restreint d’écoles ou de mairies qui en font la demande via le site Internet de Ryxéo. Si vous êtes intéressés par le projet vous pouvez contacter les responsables à l’adresse abuledu -at- ryxeo.com (remplacer -at- par @). YouTube Capture : une nouvelle application de Google pour iOS http://www.clubic.com/application-mobile/actualite-531600-youtube-capture-application-google-ios.html#ixzz2FVuu8ddQ L'équipe de YouTube annonce la publication d'une nouvelle application pour les détenteurs d'un iPhone ou d'un iPod. Google souhaite faciliter la prise de vidéos depuis un terminal iOS. Par défaut, les mobinautes doivent enclencher l'appareil photo puis passer en mode vidéo si ce dernier n'est pas déjà activé. Google présente de son côté YouTube Capture, une application prête à enregistrer un clip vidéo dès son démarrage et proposant des fonctionnalités de partage sur YouTube mais également Google+, Twitter et Facebook. YouTube Capture permet en outre d'optimiser « vos vidéos grâce à la correction automatique des couleurs, la stabilisation, le cadrage ». Reed Morse, ingénieur logiciel, ajoute que ces modifications pourront ensuite être retirées de la vidéo directement à partir de son compte sur le site YouTube.com. Google propose par ailleurs un choix de musiques de fond à ajouter aux clips vidéo. Il sera possible d'autoriser l'accès à ses clips précédemment enregistrés pour les optimiser et les publier sur YouTube en mode public ou privé. Ces fonctionnalités seront ensuite portées sur Android. Télécharger YouTube Capture pour iOS Galaxy Grand : Samsung fait du neuf avec du vieux http://www.zdnet.fr/actualites/galaxy-grand-samsung-fait-du-neuf-avec-du-vieux-39785568.htm#xtor=EPR-100 Ce nouveau terminal de milieu de gamme reprend les caractéristiques du Note et du S2. Samsung poursuit sa stratégie de multiplication des références pour prendre en tenaille Apple. Chez Samsung, on ne change pas une stratégie qui gagne. Quitte à la décliner jusqu'à la corde. Le numéro un mondial des mobiles annonce en effet une énième déclinaison de sa gamme Galaxy. Mais ce nouveau smartphone, baptisé Galaxy Grand, semble piocher allègrement dans les caractéristiques qui ont fait le succès de ses prédécesseurs, sans apporter de vraies nouveautés. Le smartphone reprend en effet le design du Note et du S3 et les spécifications techniques du S2. Il est doté d'un écran de 5’’ (800 x 480), un processeur double-cœur à 1,2 GHz, 1 Go de RAM, 8 Go de mémoire de stockage et d'Android 4.1.2. La 4G est absente, de même que le DualCarrier. Le terminal se positionne donc au milieu de la gamme et permet à Samsung d'occuper tous les segments de marché sans trop innover. Il s'agit surtout pour le coréen de multiplier les références afin de prendre en tenaille Apple. Mais cette stratégie est à double tranchant. Ce Galaxy Grand a tout d'un S3 mais ses caractéristiques sont moins puissantes. Le risque est donc de générer de la confusion. Les consommateurs devront donc être attentifs... Son prix n'a pas été dévoilé. La start-up française ePawn a levé €1 M http://www.itespresso.fr/start-up-francaise-epawn-a-leve-1-million-euros-60056.html La jeune pousse ePawn, qui a développé une interface numérique tactile liée aux jeux connectés, ePawn Arena, permettant d’utiliser de vrais pions, a levé €1 M auprès d’El aia Partners, spécialisée dans le financement de jeunes pousses du secteur de l’économie numérique Fondé en 2010 par Christophe Duteil et Valentin Lefèvre, ePawn se place sur le créneau du jeu vidéo couplé à la connexion homme/machine. En effet, la jeune pousse a mis au point une interface numérique tactile se présentant sous la forme d’un écran de 26 pouces, baptisé ePawn Arena. Connecté à un terminal (PC, Mac, iPhone, iPad, smartphone/tablette Android), cet écran tactile se transforme en plateau de jeu numérique où il est possible d’utiliser de vrais pions pour jouer. Ce tour de table de€1 M permettra à ePawn d’accélérer son développement commercial, en espérant nouer des partenariats avec des industriels de l’univers des jeux vidéo ou des jouets afin de pouvoir intégrer sa solution à leurs produits. Et l'on reparle d'une tablette Nokia http://www.zdnet.fr/actualites/et-l-on-reparle-d-une-tablette-nokia-39785613.htm#xtor=EPR-100 Digitimes avance que le finlandais pourrait présenter dans les premiers mois de l'année prochaine, une tablette de 10 pouces animée par Windows RT. Cela fait au moins deux ans que des rumeurs autour d'une tablette tactile fabriquée par Nokia circulent. Le finlandais a maintes fois démenti. Mais cette fois, les choses semblent se préciser. Il y a d'abord eu la confirmation à demi-mots d'un tel projet par un responsable de la firme en mars dernier. Et cette fois, c'est le toujours bien renseigné Digitimes qui annonce la présentation d'un modèle de 10 pouces au premier trimestre prochain, pourquoi pas lors du Mobile World Congress de Barcelone en février. Cette tablette serait logiquement animée par Windows RT, Microsoft et Nokia étant désormais intimement lié autour de la mobilité. Elle serait également équipée d'une puce SnapDragon S4 que l'on retrouve dans ses derniers smartphones. Reste que Nokia entend d'abord tâter le terrain, une prudence renforcée par les résultats encore mitigés de la tablette Surface de Microsoft. Selon Digitimes, 200 000 terminaux auraient d'abord été commandés à un sous-traitant pour tester le marché mais Nokia aurait décidé finalement de revoir ce chiffre à la baisse. RIM : BlackBerry 10 aura plus de 70 000 applications à sa sortie http://www.clubic.com/os-mobile/blackberry-os/actualite-531854-rim-blackberry-10-70-000-applications-sortie.html#ixzz2Fa3tS6qa Le constructeur canadien Research in Motion promet qu'au lancement de son prochain système d'exploitation mobile les consommateurs retrouveront d'emblée plusieurs dizaines de milliers d'applications compatibles. Aussi rapide, stable, sécurisé et novateur que puisse être un système d'exploitation mobile, ce dernier ne pourra cependant reposer sur ces seules qualités pour être populaire. C'est en tout cas ce que l'on peut tirer de l'histoire des systèmes Maemo, Meego ou encore WebOS. C'est également un phénomène que Research In Motion souhaite absolument éviter. Le 30 janvier à New York, le constructeur canadien lancera officiellement BlackBerry 10, la nouvelle mouture de son OS. Dans un entretien recueilli par le magazine Forbes, Frank Boulben, directeur du marketing, explique que ce lancement pourrait être perçu comme « le plus grand retour dans l'histoire technologique ». Lors du sommet Blackberry Jam, le PDG Thorsten Heins expliquait que BlackBerry 10 formera la base de l'évolution de la société pour les 10 prochaines années. M. Boulben précise que le lancement s'accompagnera d'au moins 70 000 applications spécialement conçues pour BlackBerry 10 au sein du BlackBerry World. Pour RIM, l’enjeu sera d'assurer la 3ème position face à WIndows Phone disposant d'environ 100 000 applications et derrière Android et iOS. What’s Left for Kodak After Its $525 Million Patent Sale? http://www.technologyreview.com/view/509031/whats-left-for-kodak-after-its-525-million-patent-sale/ Now that the struggling company is exiting consumer markets, it can turn its focus to technologies that matter to manufacturers. Eastman Kodak has finally found a buyer for its digital imaging patent portfolio for about $525 M today, as the 132-year-old company struggles to become solvent again after filing for bankruptcy protection in January. A consortium of 12 companies, including Intellectual Ventures, Apple, Google, Microsoft, and Facebook, agreed to the sale. The company that was synonymous with film and cameras, and even inspired a Paul Simon song, has already been planning to sell or end many of its consumer businesses, including in film, photo kiosks, online photo sharing, and inkjet printers. So what’s left for Kodak? According to Bloomberg, it still owns 9,600 patents, and will be using its portfolio to focus on commercial printing and packaging, as Kodak CEO Antonio Perez noted in an announcement today. As I wrote in a story in August (“Unsold Patents Hint at Kodak Comeback Strategy”), the company still has the potential to commercialize new technologies that are important to manufacturing: everything from solar cells and batteries to consumer electronic products. So Kodak will no longer be a household name, but if it is successful as a smaller, more streamlined business, it could remain a relevant technology company. Samsung présentera son écran flexible 5,5’’ au CES http://www.zdnet.fr/actualites/samsung-presentera-son-ecran-flexible-55-pouces-au-ces-39785625.htm#xtor=EPR-100 Les années passent et apportent chacune la preuve que si l'écran flexible n'est pas près d'arriver, on s'en approche. Cette fois, le coup part de Samsung. Ecran AMOLED de 5,5’’, utilisable pour les smartphones, avec une définition de 1280 par 720 pixels et une densité de 267 pixels. A priori, rien de bien neuf dans ces spécifications avancées par CNET USA... A la différence que ce sont celles d'un écran flexible. Démonstration au CES Et depuis le temps qu'on en parle, Samsung devrait enfin montrer un modèle proche de l'exploitable au grand public. A l'occasion du Consumer Electronic Show, en janvier, le fabricant sud-coréen va dévoiler deux écrans flexibles. L'un aux dimensions citées plus haut, et l'autre de 55’’, destiné aux téléviseurs. Samsung Display, la filiale du géant en charge des écrans, avait déjà produit plusieurs écrans flexibles. Mais jamais aucun ne s'était approché des spécifications minimales permettant d'envisager une commercialisation. Cet écran ne sera pas utilisable tel quel - sans capacité tactile - mais il y a fort à parier que les délégations envoyées par LG et Nokia, concurrents de Samsung sur les smartphones et sur les programmes de recherche autour de l'écran flexible, viendront visiter le stand Samsung avec une certaine curiosité. Crowdsourcing : 7 bonnes pratiques pour solliciter l’intelligence collective http://www.indexel.net/management/crowdsourcing-7-bonnes-pratiques-pour-solliciter-l-intelligence-collective-3712.html Le crowdsourcing permet de résoudre une problématique ou développer un produit en faisant appel à une communauté. Voici sept bonnes pratiques à respecter pour réussir son projet. Le crowdsourcing, ou innovation ouverte, consiste à faire appel à l'intelligence collective des employés de l'entreprise ou de ses clients et partenaires, pour résoudre un problème ou développer un produit. Son champ d'action est de plus en plus vaste. "Il s'applique à tous les domaines d'activités, de l'agroalimentaire à l'industrie du luxe", estime Simon Schneider, chez Innocentive. 1. Se concentrer sur un objectif précis 2. Fédérer une communauté autour du projet 3. Choisir les canaux de communication 4. Soumettre la problématique à la communauté et l'animer 5. Mettre en place une démarche d'évaluation 6. Mettre en place un système de récompense transparent 7. Préciser le cadre juridique Qugo urban transporter is “like skiing on the road” http://www.gizmag.com/qugo-electric-urban-transporter/24950/ Dutch company Urban Mobility Europe has created a personal electric transporter that offers a silent and eco-friendly mode for getting around the city or parklands. Named Qugo, the three-wheeled transporter has a top speed of 25 km/h (15.5 mph) and features a patented construction that offers a flexible and smooth ride, which according to the makers is “like skiing on the road." The lightweight aluminum-framed Qugo features front wheel drive, a three-disc braking system, and is powered by a lithium-ion battery pack. The two smaller rear wheels are connected to the larger front balance wheel by swing arms, offering the rider a secure central position to confidently travel and maneuver the vehicle. This system also allows the rider to travel in a zig-zag ski-like pattern at faster speeds, as opposed to traveling in a simple straight line (which is also an option). Furthermore, the handlebar can fold down in order to save space for storage or easy transport. While the idea behind the Qugo is not that dissimilar to the Segway, it does look like it could offer more in terms of stability, flexibility and above all fun. Here's a quick look at its specifications: Weight (excluding battery): 25 kg (55 lbs) Top speed: 25 km/h (15.5 mph) Single charge range: 25 km (15.5 miles) Dimensions operational: 1150 x 580 x 1350 mm (45 x 23 x 53 inches) Dimensions folded: 1150 x 580 x 780 mm (45 x 23 x 31 inches) Drive line: 1 kW BLDC hub-motor Power pack: li-ion 36V or 48V, 9-12Ah Charging time: 3 - 4 hours Braking system: three disc brakes The Qugo is currently available for purchase from limited outlets around the world, with prices to be confirmed. You can have a look at it in action in the promo video. http://youtu.be/pmGaXau78j0 Big Data: Après PSS Systems et Vivismo, IBM s'offre StoredIQ http://pro.clubic.com/it-business/actualite-532200-big-data-vivismo-ibm-offre-storediq.html#ixzz2FfxvXGb9 Face à la prolifération des données non structurées en entreprise, IBM veut renforcer l'offre de sa division Information Lifecycle Governance, avec le rachat de StoredIQ. IBM a annoncé mercredi le rachat de la société texane StoredIQ, fondée en 2001, et spécialiste de la gestion des données non structurées (emails, données RH, graphiques, données critiques...), un savoir-faire essentiel pour le Big Data. Grâce à cet accord, IBM renforce son portfolio de « gouvernance du cycle de vie de l'information » (Information Lifecycle Governance), et déjà consolidé en avril dernier avec le rachat de Vivismo et en octobre 2010 avec l'acquisition de PSS Systems. StoredIQ permet à ses clients d'y voir plus clair dans leurs données non structurées et propose d'indexer, d'analyser, de surveiller et de dédupliquer de gros volumes de données – plusieurs pétaoctets. « En outre, la solution est aussi capable de supprimer des données non nécessaires, dont le stockage et le traitement s'avèrent coûteux en infrastructures, précise IBM, le tout en conformité avec la réglementation ». « Les DSI et les directeurs juridiques sont débordés par le volume d'informations qui dépasse leur budget et leur capacité à répondre aux exigences légales », estime Deidre Paknad, vice-président de la division Information Lifecycle Governance chez IBM. « Grâce à cette acquisition, nous aiderons les DSI et les avocats à réduire les coûts et l'excès d'informations, mais nous atténuerons aussi les risques juridiques tout en améliorant l'utilité des données pour l'entreprise », ajoute-t-il. D'après une étude menée par Gartner le nombre de données a augmenté de 650% depuis 2010. Mais surtout, 85% d'entre elles ne seraient pas structurées. En conséquence, 80% des recherches de documents manqueraient leur cible, d'après une étude complémentaire de Blair & Maron. « Alors que certains systèmes réclament des mois pour indexer les données et des années pour les configurer, les installer et les adresser, StoredIQ peut être opérationnel en quelques heures », fait valoir son p-dg, Phil Myers. Parmi ses 120 clients, la société indique recenser des grands comptes dans le domaine de la finance, de la santé et de l'administration. IBM précise qu'il incorporera l'offre StoredIQ dans sa branche logicielle, au sein de la division Information Lifecycle Governance, d'ici le premier trimestre 2013. Le montant de l'opération n'a pas été divulgué. Un iPhone 5S est déjà attendu au printemps 2013 http://www.lemondeinformatique.fr/actualites/lire-un-iphone-5s-est-deja-attendu-au-printemps-2013-51782.html Une analyse se base sur les récents commentaires de l'ancien CEO d'Apple, John Sculley, à propos de l'accélération du cycle de production de l'entreprise californienne, pour faire cette hypothèse. Des rumeurs laissant entendre qu'Apple avait réduit ses commandes d'iPhone 5 auprès de ses fournisseurs ont donné lieu, ces derniers temps, à quelques interrogations sur le niveau de la demande pour le dernier iPhone d'Apple. Cependant, un ex-PDG d'Apple a récemment suggéré que l'entreprise californienne pourrait adopter un cycle de production de six mois. Si bien qu'un analyste, spécialiste d'Apple, avance que, si la production d'iPhone 5 a ralenti, c'est qu'Apple prépare déjà la sortie d'un iPhone 5S ou 6. La semaine dernière, l'ancien CEO d'Apple, John Sculley, a déclaré à CNBC : « Je pense qu'Apple va fondamentalement faire évoluer son cycle de production. Jusqu'ici, l'entreprise lançait ses produits une fois par an, mais elle s'oriente vraiment vers un cycle de lancement de produits à deux fois par an ». Celui-ci a ajouté : « La complexité pour organiser une chaîne d'approvisionnement en conséquence est énorme, mais Apple semble bien se débrouiller. Je pense que les gens sous-estiment à quel point l'entreprise est bien dirigée, et le succès qu'elle pourra rencontrer quand elle adoptera ce cycle de lancement de produits à deux fois par an ». Des déclarations jugées très crédibles Selon les déclarations de l'ancien CEO d'Apple, la manière dont l'entreprise gère sa production d'iPhone 5 se passe beaucoup mieux que ce que l'on imagine. Au contraire, cela pourrait indiquer que l'entreprise prépare un nouvel iPhone 5S ou 6 pour l'année à venir et n'a donc pas besoin de produire autant d'iPhone 5. Horace Dediu d'Asymco estime que les déclarations de l'ancien CEO d'Apple sont très crédibles. Il écrit : « les déclarations de John Sculley m'ont incité à considérer qu'Apple pourrait bien être en train de passer à un cycle de production semi-annuel ». Et il a relevé tous les signes annonciateurs de ce changement. 1) Tous les principaux produits d'Apple ont été mis à jour cet automne, ce qui est « sans précédent », selon l'analyste. 2) L'iPhone a déjà été lancé dans « presque tous les canaux de distribution » et l'analyste pense qu'il ne se passera plus grandchose au-delà du premier trimestre 2013. 3) Le cycle annuel de production d'Apple met l'entreprise à la fois « dans l'incapacité à répondre à la demande pendant une moitié de l'année et se traduit par une baisse des ventes l'autre moitié. C'est clairement contre-productif », écrit l'analyste d'Asymco. 4) Horace Dediu fait encore remarquer : « Le tempo de la production d'Apple se passe « en rafale » avec au commencement une course contre la montre, suivie par des pauses et des périodes de remise en route. Ce n'est pas seulement inefficace. Cela crée aussi des contraintes et du stress et entame le moral ». 5) Il note aussi des sursauts dans les investissements courants et suggère qu'« il y a peut-être un rapport avec la mise à l'écart de Samsung comme fournisseur de l'iPhone 5 », ou « ils peuvent également indiquer le passage à un cycle de production plus rapide ». 6) Enfin, il y a ces rumeurs selon lesquelles un iPhone 5S serait déjà en pré-production. Horace Dediu note que ces points constituent tous des « éléments de preuve circonstanciels », et qu'« ils corroborent les déclarations de John Sculley sur le passage d'Apple à un cycle de production à six mois ».