Octobre 2007

Transcription

Octobre 2007
business focus for top ict professionals
Q3-2007
personnalités
Peter Hinssen
Danielle Jacobs
Jos Polleunis
Luc Verbist
Marc Verhofstede
entreprises
A.S. Adventure
Ferrero
Mensura
OTAN
applications
Application Delivery
Explore
Smartphones
Telepresence
Wireless Office
un homme de vision
Luc Beirens
“Beaucoup de réseaux d’entreprises
sont des paniers percés”
A magazine by
DOSSIER
Belgacom, Proximus et Telindus ou la somme de ONE
edito
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Q3-2007
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Publication de Belgacom-Proximus-Telindus
Année 1 / numéro 1 / septembre 2007
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Editeur responsable:
Belgacom nv de droit public
Bld du Roi Albert II 27, 1030 Bruxelles
Concept et réalisation:
Propaganda SA
J.F. Kennedyplein 1A, 1930 Zaventem
www.propaganda.be
Coordination :
Nathalie Bernard, Caroline Boutelier,
Kelly De Groote, Marc Ewbank,
Erik Hubin, Erik Keustermans,
Ingrid Lippens, Rob Vanhees
Ont collaboré à ce numéro :
Adept Vormgeving, Hans Baeyens,
Filip Claessens, Filip Clarisse,
François-René Dechamps,
Frank Depreitere, Michel Devester,
Kristel De Beuckeleer, Klaar De Groote,
Frans Godden, Thierry Goedseels,
Peter Hinssen, Danielle Jacobs,
Bruno Koninckx, Hubert Lahaut,
Bart Lasuy, Anneke Stoffels,
Filip Van Loock, Valérie Vernimmen
Pour plus d’informations, contactez :
Caroline Boutelier
tél. + 32 2 202 92 94
[email protected]
Régie publicitaire :
Propaganda SA
Annick Laporte
tél. +32 2 714 89 73
[email protected]
ISO 9001 Certified
Bienvenue chez ONE
L’expression “événement historique” est parfois
galvaudée. Pourtant, j’ose à présent parler d’un
véritable tournant. Car l’intégration de Belgacom,
Proximus et Telindus est un événement de
première importance, qui va changer énormément
de choses. Une ère nouvelle s’ouvre, non seulement
pour nous, mais aussi, et surtout, pour vous !
C’est avec un bel enthousiasme que nous
travaillons à la mise sur pied de nouvelles
structures permettant de vous aider de manière
encore plus efficace et innovante. Ce nouveau magazine – bienvenue ! –
est le reflet de notre enthousiasme. Chaque page est l’expression d’une
de nos principales valeurs : chez nous, chaque client – donc vous aussi –
est unique, et mérite le meilleur service possible.
Le nouveau Groupe Belgacom est également fondé sur ce principe.
Et il est vraiment réconfortant de voir que de nombreux clients
apprécient déjà nos efforts : cela nous incite à accélérer encore la mise en
œuvre de l’intégration.
Nous sommes fermement décidés à continuer à jouer un rôle de
pionnier dans le monde international des télécommunications. C’est
précisément pour cette raison que nous nous muons en une entreprise
qui propose des solutions intégrées. Des solutions qui permettront à
votre infrastructure ICT de contribuer réellement à la réalisation de vos
objectifs opérationnels. Votre organisation deviendra ainsi une véritable
entreprise en temps réel.
Ensemble, nous allons pouvoir réaliser de très beaux projets.
Bonne lecture !
Bridget Cosgrave
Executive Vice-President
Enterprise Business Unit
Belgacom Group
Bel ons gratis nummer om een exemplaar van
dit magazine in het Nederlands te ontvangen:
0800 22 200
PS : Votre avis nous intéresse. Merci de nous faire savoir ce qui préoccupe votre entreprise en
If you want a copy of this magazine in English,
please call our free line: 0800 55 200
Et, bien entendu, ce que vous pensez de ce tout nouveau magazine. N’hésitez pas à envoyer un
matière d’ICT, quels sont vos besoins et vos attentes, et ce que Belgacom peut faire pour vous.
e-mail à [email protected].
Les spécifications techniques sont fournies uniquement à titre indicatif. Belgacom se réserve
le droit de les modifier sans avis préalable.
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www.onemagazine.be
Q3 - 2007
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3
content
business focus for top ict professionals
Q3-2007
40 LUC BEIRENS (FCCU): “De nombreuses entreprises sont de véritables passoires”
Il est grand temps d’investir dans la sécurisation de votre Internet.
43 TELEPRESENCE Des réunions simples et sans frais avec vos
collègues à l’étranger.
44 MY TEAM Marc Verhofstede et le backoffice de Kinepolis: “La clef du
succès pour une équipe motivée ? La communication. ”
clientèle au moyen d’un PDA et d’un CRMobile d’Euremis.
Management
Solutions
Community
Cases
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03
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LE CAS
18
LE CAS
32
LE CAS
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LE CAS
COLUMN Peter Hinssen
17.576 et la fin des ICT.
07
COCKPIT
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Faits & chiffres
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MEDIA REVIEW
23
Une sélection de la presse spécialisée
internationale.
PEOPLE & VISION Luc Beirens
Votre investissement dans la sécurité
informatique est-il suffisant? Luc Beirens
(Federal Computer Crime Unit) nous livre
10 précieux conseils.
MANAGEMENT Convaincre votre CFO
Augmentez les chances de réussite de
vos propositions de projets.
BOOK REVIEW Wikinomics
“Le meilleur devient du dehors de
l’entreprise”, selon Don Tapscott,
auteur de ‘Wikinomics’.
COLUMN Danielle Jacobs
Défis et opportunités
DOSSIER
35
39
43
SOLUTIONS Wireless Office
Améliorez l’accessibilité de vos collaborateurs
et réduisez votre facture télécom.
SOLUTIONS Vodafone Mobile Connect
Accès ultra rapide au bureau et à Internet.
PRODUCTS Bureaux Mobiles
Découvrez les smartphones dernier cri dotés de
fonctions professionnelles étendues.
SOLUTIONS Belgacom Explore
Tous les services ICT réunis au sein d’une
seule plate-forme de connectivité.
SOLUTIONS Les services intégrés LAN/WAN.
Une expérience réseau unique.
SOLUTIONS Application Delivery
Répondez aux besoins de vos utilisateurs
avec les solutions e-Billing.
SOLUTIONS e-Billing
Les factures électroniques – un gain de papier
et de temps.
SOLUTIONS Telepresence
Bien plus qu’une simple vidéoconférence.
10
44
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52
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ÉDITORIAL Bridget Cosgrave
Bienvenue chez ONE
ONE ON ONE Aveve et le Groupe Presse
Dix questions posées à deux CIO. Un aperçu
de l’homme au-delà de sa fonction.
MY TEAM Kinepolis
ICT & Performance Director
Marc Verhofstede présente son équipe.
EVENTS Une rencontre entre clients
Un compte rendu de la Journée InDigO
2007, Star Conference, ICT Academy et
événement Safety & Security.
CORPORATE NEWS
Reprise du spécialiste néerlandais du
stockage de données, collaboration avec
Maroc Telecom et nouveaux centres
de données.
CALENDRIER À ne pas manquer
Un aperçu des principaux événements
nationaux et internationaux.
Belgacom, Proximus et Telindus = ONE
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DOSSIER Intégration et convergence pour une
prestation de services encore améliorée
28
4
36 FERRERO Les représentants de Ferrero gèrent déjà leurs relations avec la
one
Q3 - 2007
ROUND TABLE Une table ronde sur la nouvelle
organisation du Groupe Belgacom
“L’intégration de Belgacom, Proximus et Telindus
représente une plus grande valeur ajoutée pour le client.”
OTAN
“IP, un protocole incontournable
qui a prouvé sa valeur.”
Raymond Laurent, system manager
pour la vidéoconférence au sein de l’OTAN
Mensura
“Pas question de nous lancer dans un
outsourcing aveugle.”
Eric Deroloffe, directeur Information &
Process Management, Mensura
A.S. Adventure
“Explore nous aide à croître plus vite.”
Peter Demets, group IT manager,
A.S. Adventure
Ferrero
“Un PDA et un CRMobile d’Euremis pour
chacun de nos représentants.”
Gian-Carlo Monachino, Company Project
Manager, Ferrero
Q3 - 2007
one
5
column
cockpit
17.576 est sans doute le nombre le plus important dans
le monde de l’informatique et des télécommunications.
Non, il ne s’agit pas du salaire mensuel du CIO le mieux
payé de Belgique, c’est beaucoup plus fondamental que
cela. Ce nombre est inscrit dans les gènes des ICT. 17.576,
c’est en effet 26 au cube, 26 x 26 x 26, le nombre maximal
d’abréviations de trois lettres que nous puissions imaginer. On ne peut créer plus de 17.576 sigles de trois lettres.
Et il faut bien reconnaître que nous avons déjà épuisé un
grand nombre de nos possibilités en la matière, parfois au
grand dam de nos collègues business.
Nous, spécialistes de l’informatique et des télécommunications, ne brillons pas particulièrement par
notre capacité à communiquer avec nos collègues non
informaticiens, et c’est un fameux euphémisme. Il existe
un vieux dicton dans notre branche, qui a toujours
cours : “If we can’t convince them, we’ll confuse them”.
Et ‘les embrouiller’ ne nous a jamais posé aucun problème
de conscience. Mais il souffle aujourd’hui un vent nou-
et la fin des ICT
veau. Nous prenons conscience, dans l’informatique et
les télécommunications, de la nécessité de communiquer
davantage et mieux, nos collègues business veulent, de
leur côté, en savoir plus sur les ICT et le potentiel d’innovation qu’elles recèlent.
Des analystes comme Gartner, entre autres, sont également d’accord sur ce point : le rôle des ICT va évoluer en
profondeur dans les années à venir. Les ICT ne sont plus un
club d’obsédés de la technologie qui ne s’intéressent à rien
d’autre. Elles deviennent de plus en plus un groupement
d’innovateurs qui utilisent leur technologie, mais s’occupent surtout d’innovations opérationnelles. Les membres
des départements ICT doivent donc cesser d’être des ‘techniciens’ très bons dans leur domaine et se transformer
en ‘marchands’ capables également
Les ICT ne sont plus un club d’obsédés de vendre leurs produits au business.
de la technologie qui ne s’intéressent à Voilà pourquoi nous devrions peut-être
rien d’autre. Elles deviennent de plus en cesser de parler en acronymes de trois
plus un groupement d’innovateurs qui, lettres. Il n’en reste d’ailleurs plus telcertes, utilisent leur technologie, mais lement, sur les 17.576 disponibles. Le
s’occupent surtout d’innovations premier sigle que nous devrions supopérationnelles. primer est peut-être ICT. Le terme ICT
(ou TIC, en Français) n’est d’ailleurs
utilisé qu’en Europe : il est inconnu aux
États-Unis, où l’on parle uniquement d’IT, la convergence y
étant plus avancée. L’appellation ICT – et, d’ailleurs, IT – ne
se justifie plus : nous ne faisons pas que de la technologie.
D’ailleurs, il faut se demander par quoi le remplacer.
Selon Forrester, nous devrions plutôt parler de BT, Business Technology. Mais pourquoi remplacer une abréviation par une autre ? Faisons preuve de créativité ! Les ICT
sont mortes, longue vie à… A qui ?
Peter Hinssen
QUI EST PETER HINSSEN
Peter Hinssen est un spécialiste
pure souche de l’informatique et
des télécommunications. Il a été
un des pionniers de l’Internet en
Belgique lorsqu’il a fondé e-COM en
1995, plus tard rachetée par Alcatel.
Il est un des cofondateurs et le
président de Porthus, une entreprise
Software-as-a-service cotée en
Bourse, et est CEO d’Across, une
entreprise active dans l’alignement
et la communication entre les
organisations IT et le business.
6
one
Q3 - 2007
Les États-Unis en tête des menaces informatiques
ÉTATS-UNIS
.......................................
CHINE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
ALLEMAGNE
FRANCE
CORÉE DU SUD
4
...........................
.....................................
CANADA. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
ESPAGNE
2007
1
........................................
................................................
GRANDE-BRETAGNE
De plus en plus de postes
vacants dans les ICT
31 %
10 %
7%
4%
4%
4%
3%
3%
3%
3%
..............................................
TAIWAN . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
0
0
0
0
0
0
ITALIE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
Selon une étude menée par le spécialiste
de la sécurité Symantec, les États-Unis arrivaient l’an dernier en tête des menaces informatiques. C’est non seulement le pays où
l’on observe le plus grand nombre de virus,
de malware, de spams et d’autres menaces,
mais aussi la source de la plupart de ces risques pour les ordinateurs. La Chine échoue
en deuxième position, suivie de l’Allemagne.
SOURCE : Symantec
2006
1
3
Actuellement, on recense plus de 14 000 postes
vacants dans le secteur de l’informatique et des télécommunications, qui emploie 141 000 personnes.
C’est une hausse de 1000 unités par rapport à l’an
dernier. 5000 emplois ont été créés dans ce secteur
entre-temps.
SOURCE : Agoria
Les sites Web les plus
populaires en Belgique
1.000.000.000 de PC’S
En 2008, nous dépasserons le cap du milliard de PC dans le monde. Le PC existe
depuis 1981. S’il a ainsi fallu attendre 27 ans pour dépasser le cap du milliard
d’unités, avec une croissance annuelle de 12 %, sept années suffiront pour dépasser celui des 2 milliards de PC. Cette énorme croissance émane de plusieurs pays
qui sont aujourd’hui en plein développement économique, comme le Brésil, la
Russie, l’Inde et la Chine, où l’on recensera en 2015 775 millions de PC au total.
SOURCE
: Forrester Research
Nombre de visiteurs par jour
MSN HOTMAIL
................................................
MSN BELGIUM . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
SKYBLOG.COM. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
SKYNET WEBSITE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
HLN - 7 SUR 7 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
ZITA . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
820.873
657.273
515.248
395.993
274.808
219.933
191.131
140.367
129.068
125.067
Plus de 500 millions d’utilisateurs de GSM en Europe
90
NETLOG . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
80
KAPAZA . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
70
VRT NIEUWS . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
ZATTE VRIENDEN . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
Nombres de pages visitées par jour
SKYBLOG.COM
.............................................
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ALLEMAGNE
ITALIE
GRANDE-BRETAGNE
TURQUIE
UKRAINE
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FRANCE
ESPAGNE
40
9.996.334
9.965.427
9.176.852
4.207.711
3.597.432
2.695.972
2.644.974
1.241.541
1.629.595
798.466
POLOGNE
30
NETLOG . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
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MSN HOTMAIL . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
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ROUMANIE
PAYS-BAS
KAPAZA . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
MSN BELGIUM . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
SKYNET WEBSITE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
HLN - 7 SUR 7 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
ZITA . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
VRT NIEUWS . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
ZATTE VRIENDEN . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
SOURCE
: Metriweb, week 26
NOMBRE D’UTILISATEURS DE GSM
POPULATION TOTALE
Alors que le taux de pénétration frôle, voire dépasse les
100 % dans de nombreux pays
européens, il est logique de
supposer que les plus grands
pays sont aussi ceux qui comptent le plus grand nombre d’utilisateurs de GSM. L’Allemagne,
l’Italie et la Grande-Bretagne
occupent donc le podium, et
comptent ensemble près de
233 millions de GSM.
Ensuite, les résultats deviennent moins prévisibles. Les numéros 4 et 5 sont respectivement la Turquie et
l’Ukraine. De plus, on constate que la Turquie recèle encore un fort potentiel de croissance, puisque le taux de
pénétration des GSM vient seulement d’y dépasser la barre des 75 %. Nouvel arrivant dans le top cinq, depuis
2007, l’Ukraine compte davantage de GSM que la France, qui est pourtant beaucoup plus peuplée, mais reste
“sous-développée” en matière de pénétration du GSM, selon l’étude.
SOURCE : The Mobile World
Q3 - 2007
one
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media review
insideweb
La moitié des projets ICT ne portent pas leurs fruits
Il ressort d’une étude qu’aux Pays-Bas moins de la moitié (48 %) des projets
ICT sont un succès total. 48 % échouent partiellement, voire totalement dans 4
% des cas. Les sondés ont donné plusieurs explications à ces échecs. L’application ne résiste pas aux problèmes, techniques ou non, au sein de l’organisation
(37 %). Le projet ne répond souvent pas aux attentes (28 %) ou doit être prolongé (23 %). À cela vient s’ajouter le dépassement du budget initial (11 %).
Le Baromètre ICT bimestriel de Ernst & Young a sondé quelque 600 directeurs, managers et professionnels du monde des entreprises et du secteur
parastatal néerlandais. Le rapport intégral de juin 2007 détaille plus avant les
projets concernés.
insidemagazines
Comment gérer le budget
télécoms ?
8
Source: www.ict-barometer.nl
Pour plus d’informations surfez sur
www.onemagazine.be
Quid de la sous-traitance ?
Un investissement simple
et gratuit
La nouvelle version ITIL –
davantage axée sur le service
Pour éviter le vol d’ordinateurs portables
Une enquête révèle que dans près de 65 %
des entreprises, la personne en charge de la
gestion du budget consacré aux télécommunications n’est pas clairement déterminée. La
responsabilité en incombe dès lors au CIO.
Que doit savoir un CIO lorsqu’il se voit décerner ce rôle? Comment veiller au contrôle des
dépenses en télécommunications? Le présent article vous livre deux conseils en or :
ordre et économies. Une bonne stratégie en
télécommunications passe immanquablement par un contrôle opérationnel total et
une anticipation des changements à venir.
En ce sens, les bons fournisseurs sont essentiels puisqu’ils adaptent l’infrastructure de
télécommunications de votre entreprise avec
ses objectifs et peuvent vous conseiller sur
les investissements nécessaires.
Désormais, sous-traitance ne rime plus avec
main-d’œuvre bon marché. Il s’agit de faire
faire le travail au meilleur endroit possible, avec pour résultat le meilleur avantage
concurrentiel possible. Votre entreprise
pourra ainsi être plus flexible et anticiper
plus rapidement les besoins en constante
évolution du monde des affaires. Mais comment décider des tâches et processus à soustraiter ou à effectuer en interne? Dans cet
article, les CIO de grandes entreprises internationales feront part de leur expérience en
matière d’externalisation et vous donneront
quelques lignes directrices quant aux questions à vous poser pour décider de l’intérêt
éventuel de ce système pour votre propre
entreprise.
Selon Vincent Everts, chasseur de tendance,
les grandes organisations affectent une part
bien trop importante de leur budget au maintien des anciens systèmes. Elles consacrent à
l’innovation moins de 30 % de leur budget
et, bien souvent, ces dépenses sont vaines.
Selon Vincent Everts, la raison en est qu’on
“voit souvent trop grand”, avec notamment
de gigantesques implémentations de systèmes CRM et ERP, qui ne permettent pas de
répondre aux attentes. Comment procéder?
Vincent Everts recommande la simplicité et
le recours aux applications disponibles gratuitement sur la toile, comme Google Docs,
Google Analytics, MSN et Skype. Lisez cet
article pour découvrir les autres précieux
conseils de ce gourou des ICT.
Fin mai 2007 est sortie la version 3 d’ITIL.
Parmi les nouveautés de cette version, citons
notamment l’approche plus axée sur le service. ITEL 3 propose en outre un modèle permettant à une organisation IT de comparer
son niveau de maturité en termes de gestion
des services à celui d’autres organisations.
Contrairement à son prédécesseur, ITIL 3
implique une approche descendante depuis
le point de vue des entreprises du secteur
des services IT. Les organisations rompues à
l’utilisation d’ITIL 2 feront aisément la transition vers la nouvelle version. Cette nouvelle
version, plus complexe, est toutefois moins
adaptée aux PME. Cet article recense les
points auxquels il faut prêter attention lors
de la transition vers ITIL 3.
Selon une récente étude, un ordinateur portable est dérobé toutes les 53 secondes quelque part en Europe. Le vol d’un ordinateur
portable implique souvent bien plus que la
simple perte d’un appareil. Cela entraîne
généralement la perte de documents uniques, d’e-mails et d’informations sensibles
pour l’entreprise. Tous frais compris, la perte
et le remplacement d’un ordinateur portable
coûtent la bagatelle de 16 000 euros.
Cet article analyse les circonstances dans lesquelles le vol se produit et donne 10 conseils
pratiques aux entreprises quant à la protection de leurs équipements. La sensibilisation
des collaborateurs est primordiale dans la
prévention du vol. Outre les back-ups quotidiens, les entreprises ont également tout
intérêt à prévoir sur les ordinateurs portables le cryptage des informations confidentielles.
Les CIO doivent anticiper les tendances technologiques mais aussi intégrer les changements dans les systèmes d’information. Ce
n’est pas tant une question de capacité à pratiquer la veille technologique qu’une question d’habilité à adapter son organisation
aux changements de l’environnement. Selon
ce dossier, les CIO sont confrontés à quatre
challenges. Pour répondre aux exigences des
utilisateurs et de sa direction générale, les
CIO se transforment de plus en plus en prestataire de services internes. Dans le domaine
des logiciels, le modèle classique de consommation bascule vers la flexibilité. Côté télécoms, les CIO doivent anticiper et se préparer à la convergence quasi totale des réseaux.
Enfin, pour les infrastructures, les systèmes
informatiques sont victimes d’une consumérisation.
Source: ‘Essential Technology’,
CIO Business Technology Leadership, Juin 2007
Source: ‘Extreme outsourcing’,
CIO Business Technology Leadership, Mai 2007
Source: ‘Innovatie pluk je van internet’,
CIO – IT in the boardroom, Mai-juin 2007
Source: ‘ITIL 3: Complex maar niet te moeilijk’,
Automatisering Gids, 15-06-2007
Source: ‘Laptop kan op veel manieren
achter slot en grendel’,
De Tijd, 09-06-2007
Source: ‘Tendances de l’offre 2007 … et au-delà’,
CIO Management des Systèmes
d’Information, Novembre 2006
one
Q3 - 2007
Les futurs défis
pour les CIO
Q3 - 2007
one
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one on one
10 questions à 2 CIO
1 Comment décririez-vous votre travail ?
J’ai un travail difficile mais passionnant. Les challenges y sont divers, tant en
interne (au sein du groupe Aveve) qu’en externe (en tant que directeur de IT
Omni). Ils se complètent et me donnent toute satisfaction.
2 Quelle personne ou quel événement a donné un tournant décisif à votre
carrière ?
Au fil de ma carrière, on m’a toujours accordé l’espace suffisant pour réaliser de
nouvelles idées et de nouveaux défis.
Dans chaque numéro, ONE révèle les personnes qui se cachent derrière
les fonctions et les titres. Découvrez leurs réponses surprenantes et
souvent sources d’inspiration. Qui sait ? La prochaine fois ce sera
peut-être votre tour…
1 Comment décririez-vous votre travail ?
Mon rôle est de résoudre les problèmes avec diplomatie et d’avoir une vision de
l’informatique et de l’entreprise.
2 Quelle personne ou quel événement a donné un tournant décisif à votre
carrière ?
Wilfried Grommen, qui m’a permis de devenir CIO de CIMAD-IBM. Cette
fonction m’a permis d’apprendre énormément en une année. C’était le
tremplin vers ma fonction actuelle…
3 Vous êtes-vous déjà ‘googlé’ ?
Non, pas encore. J’attache plus d’importance à l’estime concrète que me
témoignent collègues et clients.
4 Quel est selon vous le développement le plus important de ces dernières
Tout seul on ne peut rien faire.
Jos Polleunis
ICT-MANAGER DU GROUPE AVEVE ET DIRECTEUR D’IT OMNI
années ?
L’essor ultrarapide d’Internet, aussi bien pour les particuliers que pour
les entreprises. Pour ne donner qu’un exemple : les agriculteurs peuvent
désormais suivre les ventes à la criée sur Internet…
5 Quel GSM utilisez-vous ?
Un Nokia tout simple – il est pratique, fonctionnel et peu encombrant. J’ai
essayé d’autres types d’appareils avec davantage de fonctionnalités, mais pour
mon usage quotidien je préfère le Nokia.
Personnalité Jos Polleunis est un manager dynamique qui apprécie particulièrement le travail en équipe.
À chacun de ses succès, il ne manque jamais de souligner le soutien qu’il reçoit de collaborateurs loyaux
et compétents. Ces dernières années, il s’est découvert des talents commerciaux insoupçonnés. Carrière
Jos Polleunis a débuté dans le service informatique
d’Aveve et a gravi les échelons pour devenir ICT-manager. Depuis 2000, il est en outre directeur d’IT Omni,
une société de développement de logiciels spécialisée
dans la distribution et les produits Microsoft et issue du
3 Vous êtes-vous déjà ‘googlé’ ?
Je l’ai fait récemment pour la première fois. Si j’introduis mon nom suivi de la
mention “Persgroep”, j’obtiens 45 résultats. Mais à vrai dire je n’y attache pas
beaucoup d’importance. Je ne suis pas vaniteux.
4 Quel est selon vous le développement le plus important de ces dernières
années ?
La percée de la technologie du haut débit sans fi l.
5 Quel GSM utilisez-vous ?
Un Nokia tout simple. Je préfère un appareil tout simple, facile à porter et à
ranger.
6 Avec qui aimeriez-vous prendre l’avion, et quelle question lui poseriez-vous ?
6 Avec qui aimeriez-vous prendre l’avion, et quelle question lui poseriez-vous ?
Avec Bill Gates, l’homme qui a accéléré la révolution informatique. Je lui
demanderais quels grands changements il prévoit dans le monde de l’ICT au
cours des dix prochaines années et quel impact ces changements auront sur la
vie quotidienne.
Avec mon père, qui est décédé il y a quelques années. Les conversations
philosophiques père-fi ls que nous avions quand il était malade me manquent
beaucoup.
7 À quelle marque êtes-vous éternellement fidèle ?
À Armani. L’élégance sobre de la coupe italienne me convient parfaitement.
7 À quelle marque êtes-vous éternellement fidèle ?
Je suis fidèle à mon épouse et dans une certaine mesure à BMW. La notion de
‘fidélité éternelle’ ne me paraît pas pertinente.
une solution ergonomique pour la traçabilité et la
communication de données. Entreprise Le Groupe Aveve
se compose d’une soixantaine de sociétés aux activités diverses. Chiffre d’affaires Aveve réalise un chiffre
d’affaires de 700 millions d’euros par an. Deux tiers de
ces revenus proviennent du secteur agricole et horticole
belge. Ces résultats placent le Groupe Aveve parmi les
50 plus grosses entreprises de Belgique. Salariés
Le Groupe Aveve emploie 1.500 personnes.
Luc Verbist
DIRECTEUR ICT DE PERSGROEP
Personnalité Luc Verbist est partisan d’une approche réfléchie. Il se montre ouvert vis-à-vis de ses collaborateurs et adopte un style de management
participatif. Il n’aime pas les feux de la rampe et
accorde
beaucoup
d’importance
à
la
diplomatie.
Carrière Luc Verbist a découvert le monde des médias
en 1987 en tant que collaborateur du directeur commercial de la Vlaamse Uitgevers Maatschappij (VUM).
Au sein de la VUM, il était également chargé de la réali-
8 Quelles sont vos plus importantes réalisations professionnelles ?
L’accompagnement de la fusion entre les journaux De Tijd et L’Echo.
sation des projets informatiques. En 1997, il est devenu
CIO de CIMAD-IBM. Depuis 1998, Luc défi nit la stratégie
ICT pour l’unité ‘impression’ de De Persgroep. Avec ses
Service Central Informatique d’Aveve. IT Omni et Belgacom SA ont développé conjointement FoodWorld,
Je me vois bien moniteur de plongée.
8 Quelles sont vos plus importantes réalisations professionnelles ?
La standardisation de l’infrastructure et des systèmes informatiques au sein
du groupe Aveve, l’automatisation du réseau de franchises Aveve et de ses 250
indépendants et la mise en route de la société de logiciels IT Omni.
9 Quel est le meilleur conseil que vous ayez jamais reçu ?
L’un de mes anciens collègues-managers m’a appris un jour qu’une meilleure
collaboration augmente la productivité, la motivation et les bénéfices. Tout seul
on ne peut rien faire…
9 Quel est le meilleur conseil que vous ayez jamais reçu ?
Mes chefs m’ont toujours protégé contre mon obsession de la perfection. Ils
m’ont souvent dit : “Ce qui est fait est fait. À trop analyser, on risque de ne plus
rien faire. Vous avez la vie devant vous.”
10 Que feriez-vous si vous n’exerciez pas ce métier ?
Je me vois bien moniteur de plongée. La plongée demande une grande maîtrise
de soi, mais les paysages sous-marins sont magnifiques et apaisants.
La plongée est à la fois captivante et relaxante.
80 collaborateurs et une dizaine d’experts extérieurs,
il est responsable du développement de la plate-forme
ICT. Le département soutient la politique de croissance
de De Persgroep. Entreprise La société De Persgroep est
active dans les médias audiovisuels (VTM, Q-Music...),
la presse écrite (De Tijd, L’Écho, Het Laatste Nieuws,
De Morgen, Dag Allemaal…) et sur Internet (Hln.be…).
Chiffre d’affaires De Persgroep réalise un chiffre d’affaires annuel de 498 millions d’euros. Salariés De Persgroep
emploie environ 1.500 personnes.
10 Que feriez-vous si vous n’exerciez pas ce métier ?
J’aurais sans aucun doute une fonction plus commerciale, que ce soit dans ce
secteur ou un autre. Le fait de remporter un contrat m’apporte une grande
satisfaction, et j’en redemande toujours plus.
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Q3 - 2007
Q3 - 2007
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OTAN
LES YEUX DANS LES YEUX
“IP, un protocole incontournable
qui a prouvé sa valeur”
RAYMOND LAURENT, SYSTEM MANAGER POUR LA VISIOCONFÉRENCE À L’OTAN
Le commandant suprême de l’OTAN en Europe
désirait s’entretenir les yeux dans les yeux avec
ses subordonnés installés dans une série de
sites européens et de zones de conflit. La solution? La visioconférence en haute définition.
A eux deux, Telindus et Tandberg
avaient une solide longueur d’avance.
RAYMOND LAURENT, SYSTEM MANAGER POUR LA VISIOCONFÉRENCE À L’OTAN
Plusieurs quartiers généraux et états-majors de l’OTAN
(Organisation du Traité de l’Atlantique Nord) sont depuis
peu reliés par un système de visioconférence de très haute
qualité mis en place par Telindus. Il s’agit du secrétariat
général implanté à Bruxelles, du SHAPE (Supreme Headquarters Allied Powers Europe) à Mons, d’une série de
sites localisés en Europe comme Naples, Lisbonne, Brunssum et, enfin, des sièges de commandement situés dans
des zones de conflit comme l’Afghanistan ou le Kosovo.
En tout, onze implantations sont concernées et huit autres
dans un avenir proche.
Passer à IP
Le project desktop a commencé en 2006. “Le Saceur
(Supreme Allied Commander Europe) voulait pouvoir
entrer en communication avec ses commandants sur le
terrain à tout moment et avec la meilleure qualité possible. Et il désirait leur parler les yeux dans les yeux, pour
observer leurs réactions”, raconte Raymond Laurent, system manager pour la visioconférence à l’OTAN. Informé
de la volonté de son supérieur, Raymond Laurent se met
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one
Q3 - 2007
aussitôt au travail. Il se plonge dans un examen approfondi des solutions existant sur le marché afin de préparer la rédaction d’un appel d’offre. “Il va de soi que nous
ne découvrions pas la visioconférence à l’occasion de la
demande du général”, précise-t-il d’emblée. “Nous l’utilisions déjà depuis plus de dix ans. Mais c’était encore en
commutation de circuits”.
Cette fois, il décide qu’il est temps de passer au mode
IP. D’abord parce que, en ce domaine comme dans bien
d’autres, ce protocole a prouvé sa valeur et est devenu pour
ainsi dire incontournable. Ensuite parce qu’il estime qu’IP
rendra plus aisé le contrôle de l’ensemble des stations de
visioconférence au départ d’un site unique. Les techniciens dispersés auparavant sur chacun des sites pourront
progressivement être regroupés et leur effectif total pourra
même être réduit. Ce n’est pas tout : à terme, IP entraînera
d’autres avantages dans son sillage. Comme la diminution
du nombre de Multipoint Control Units (MCU), ces commutateurs vidéo sur lesquels les équipements finals des
usagers viennent se brancher. Ils resteront indispensables
pour établir des visioconférences en multipoint et assurer
EXECUTIVE SUMMARY
Pour communiquer plus directement
et personnellement avec les
différents états-majors en Europe et
en mission dans le monde, l’OTAN
a choisi la visioconférence haute
définition via IP. La très haute qualité
de la communication et la facilité
d’utilisation en ont fait en quelques
mois un outil indispensable dans les
contacts journaliers entre les onze
premiers états-majors reliés.
La solution a été développée et mise
en place en un temps record par
Telindus avec du matériel Tandberg.
Q3 - 2007
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OTAN
Six semaines
L’OTAN n’alloue en effet que six semaines pour réaliser
l’installation. C’est très court. Trop court même, car ce laps
de temps équivaut en temps normal au délai de réception
des terminaux chez Telindus. L’intégrateur va pourtant se
démener et faire jouer toute sa force de négociation auprès
du fournisseur. Pari gagné : la livraison pourra exceptionnellement être accélérée. Les techniciens vont alors travailler d’arrache-pied pour installer les machines, paramétrer leur adressage IP et configurer un routeur dédié
sur chaque site. Finalement, le système sera placé, testé
et pleinement opérationnel dans le délai imparti. “Nous
en avons été extrêmement contents”, se réjouit Raymond
Laurent, “Telindus nous a fourni un excellent service à
tout instant, et ils se sont montrés très réactifs dès qu’une
difficulté survenait”. “Je dois dire que nous n’avons pas
toujours obtenu ce niveau de satisfaction avec d’autres
sociétés”, remarque-t-il encore.
ORGANISATION PROFILE
Tout le parc à renouveler
Organisation du Traité
de l’Atlantique Nord
• Organisation politique et militaire
Siège politique de l’OTAN à Evere, Bruxelles.
fondée en 1949
• 26 pays membres
• Siège politique à Bruxelles et
militaire à Mons
les conversions lorsque les échanges mettent en présence à
la fois des systèmes à commutation de circuits et IP. Dans
le cas de liaisons d’un poste IP à un autre, ils n’auront par
contre plus de raison d’être. Ipso facto, les liens qui relient
les MCU entre eux et qui sont très sollicités pourront être
allégés.
Normalisé à 100 %
Le protocole choisi, Raymond Laurent poursuit ses recherches et remarque que certains fabricants proposent des produits dotés de fonctions parfois intéressantes mais propriétaires. “C’est bien joli”, explique le responsable, “mais cela
constitue un obstacle à l’interopérabilité et on se retrouve
par la suite quasi lié à ces firmes”. Aussi préconise-t-il des
systèmes normalisés à 100 %. “J’y tenais absolument, quitte
à avoir légèrement moins de fonctionnalités à disposition”,
poursuit-il. La haute définition fait aussi partie des conditions. Parce qu’il fallait d’une part rencontrer l’exigence
de qualité posée par le Saceur. Mais aussi parce que “dans
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le cas contraire, on risquait d’acheter des produits dont le
cycle de vie touchait à sa fin”, ajoute Raymond Laurent.
Telindus emporte le marché avec du matériel Tandberg. “A
eux deux, ils avaient une solide longueur d’avance”, juget-il. Le contrat est signé fin mars et tout se déroule alors
très vite.
IMPACT ON THE ORGANISATION
Difficile sinon impossible pour l’instant de chiffrer le gain apporté à
l’OTAN par la visioconférence. Le futur calendrier centralisé devra
livrer des informations beaucoup plus précises sur l’usage qui est fait
de la technique. Ceci dit, l’organisation constate déjà de façon empirique que certaines salles de visioconférence sont déjà parfois fréquentées intensivement. Et qu’une réunion par visioconférence permet de rassembler davantage de personnes que celles qui
seraient normalement éligibles pour un voyage physique : des subordonnés, des techniciens,… Qu’enfin, certains affectionnent déjà ce
moyen plus complet que le téléphone pour communiquer.
Ceci expliquant sans doute cela, Telindus sera chargé
de l’extension du réseau à huit sites supplémentaires en
Europe et en Amérique du Nord. Ultérieurement, c’est
tout le parc de visioconférence de l’OTAN qu’il faudra
sans doute renouveler. “Mais ce ne sera pas simple”, prévient déjà Raymond Laurent. Il faudra émettre un nouvel appel d’offre dont la confection nécessitera sans doute
un certain temps. Et puis l’ampleur de la tâche s’annonce
considérable : après inventaire on a répertorié pas moins
de 200 systèmes. “Beaucoup de matériel Polycom que
Telindus nous a fourni antérieurement mais également
d’autres produits, acquis ici et là”, précise-t-il. Du matériel
a parfois été acheté en dehors des procédures classiques,
les normes n’ont pas toujours été respectées, les mises à
jour ont quelquefois été négligées,… On a aussi au fi l du
temps conclu de multiples contrats de maintenance qui ne
ADVANTAGES
Visioconférence
1. Haute définition
2. Protocole IP “incontournable”
3. Respect complet des normes
4. Gestion centralisée
5. L’écran peut servir de moniteur pour le PC
6. Absence de mémoire, une condition pour la sécurité
7. Calendrier centralisé des visioconférences (futur)
8. Suppression prévisible d’une partie des Multipoint Control
Units, les commutateurs vidéo intermédiaires.
correspondent plus toujours à la réalité des choses. Bref, il
faudra, dans une première phase, mettre un peu d’ordre
dans tout cela et Telindus sera chargé de la maintenance
de l’ensemble des équipements de visioconférence. Un
contrat unique et suffisamment souple pour tenir compte
des évolutions devra être signé à cet effet dans les mois
qui suivent.
Par ailleurs, Raymond Laurent aimerait aussi pouvoir établir et gérer un système de gestion des visioconférences de
façon centralisée. Il pourrait ainsi mieux mesurer l’usage
que les différents sites font de la technique. Mais pour
cela, il faudra un logiciel ad hoc et donc rédiger un nouvel
appel d’offre. On le voit, l’amélioration du réseau de visioconférence est un processus continu à l’OTAN et le contrat
de mars dernier, pour innovateur qu’il soit, n’en constitue
qu’une étape.
BITS & BYTES
Les systèmes de visioconférence que Telindus a placés sur
les bureaux des hauts gradés de l’OTAN sont des Tandberg
1700 MXP. Ces appareils équipés d’une caméra à haute
définition et d’un écran LCD de 20 pouces fonctionnent en
point à point comme en multipoint. Les visioconférences sont
chiffrées et transitent par le réseau privé de l’OTAN sur des
liens à 384 Kbit/s, le débit minimum pour assurer une bonne
qualité. Pour l’heure, onze sites de commandement sont
équipés mais la solution sera étendue à huit autres. Telindus
est également pressenti pour assurer la maintenance de
tout le parc de visioconférence de l’OTAN, soit près
de 200 systèmes.
Q3 - 2007
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solutions
WIRELESS OFFICE:
DES COLLABORATEURS
MOBILES MOINS CHERS
ainsi de belles économies sur vos factures
Avec Wireless Office, pas de surprise.
La tarification est parfaitement claire.
Les collaborateurs s’appellent gratuitement au sein de l’entreprise, vers
un numéro fi xe ou mobile. Ils téléphonent vers une ligne fi xe en Belgique et vers une ligne fi xe ou mobile
à l’étranger à un tarif comparable à
celui d’une ligne fi xe. Enfin, ils peuvent envoyer des SMS à tarif réduit.
Autre attention pratique : Wireless
Office peut être installé dans des
entreprises occupant plusieurs sites
distincts. Et c’est vous qui choisissez
les bureaux concernés.
de télécommunications, et vous rendez vos
Belles économies
Par habitude ou par paresse, nombre d’entre
nous téléphonent toujours avec leur portable.
Avec Wireless Office de Proximus,
l’appareil utilisé par le collaborateur n’a plus
d’importance : le tarif pour la téléphonie
fixe ou mobile est identique. Vous faites
collaborateurs plus accessibles.
Wireless Office permettra à votre
entreprise de réaliser de belles économies. En effet, avec Wireless Office,
il est inutile d’investir dans des appareils fi xes, du câblage ou une extension du central téléphonique. Et le
recrutement de nouveaux collaborateurs, une extension ou un déménagement interne n’entraînent plus
de frais supplémentaires. De plus, il
n’est pas nécessaire d’acquérir de nouveaux appareils mobiles pour bénéficier de Wireless Office. Tous les GSM
existants sont en effet compatibles.
Pour vos collaborateurs aussi, Wireless Office est intéressant : ils peuvent
en effet continuer à utiliser leur GSM
familier, avec leurs listes de contacts
personnelles.
Joignables partout
Grâce à Wireless Office, vos collaborateurs ont accès sur leurs appareils
mobiles aux fonctions pratiques dont
ils sont familiers sur leurs lignes
fi xes. Ils peuvent très simplement
dévier les appels à destination de
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one
Q3 - 2007
leur GSM sur une autre ligne, ou les
transférer automatiquement. Ils peuvent tout aussi facilement organiser
une conférence téléphonique entre
un maximum de cinq participants
sur leur GSM. Enfin, ils peuvent traiter deux appels simultanément et utiliser des numéros abrégés pour appeler des collègues. Wireless Office
contribue également à accroître la
productivité de vos collaborataeurs :
ceux-ci sont en effet joignables partout, même lorsqu’ils circulent dans
les bâtiments ou travaillent à l’extérieur, puisque leur seul téléphone est
toujours à portée de main.
Explore, les appels d’un téléphone
fi xe vers un téléphone mobile Wireless Office de votre entreprise qui se
trouve dans la cellule de téléphonie
mobile de votre entreprise seront gratuits. La connexion directe peut se
faire par une ligne louée 2Mo (Virtual ProxiNet) ou par connectivité IP
(portefeuille Explore).
Pour obtenir de plus amples information, surfez
sur www.onemagazine.be/Wireless_Office
ou contactez votre interloculeur habituel.
Nouvelles fonctions
Cet automne, Proximus lance plusieurs importantes extensions de
Wireless Office. Les deux principales sont Mobile Call Center et Fix to
Mobile Wireless Office. Le Mobile
Call Center est un outil Web qui, via
une sorte de centre d’appels mobile,
vous permet de mieux gérer les
appels entrants. Ainsi, vous pouvez
joindre un groupe de collaborateurs
sur un numéro unique. En fonction
de la disponibilité des différents collaborateurs, l’appel pourra être placé
en liste d’attente ou dévié vers un
autre membre du groupe. Le gestionnaire peut gérer le statut des agents
et même enregistrer des messages
audio (heures d’ouverture, tonalité
d’attente…). Il peut également tenir
des statistiques par groupe ou collaborateurs (nombre moyen d’appels traités, temps d’attente…). Fix to
Mobile Wireless Office vous offre un
avantage supplémentaire : si vous disposez d’une connexion directe entre
votre PBX et le réseau Proximus par
OPTION CHOISIT WIRELESS OFFICE
L’entreprise technologique louvaniste Option, un des leaders
mondiaux en matière de produits de communications de données
mobiles, a été un des premiers utilisateurs de Wireless Office. Selon
Paul Van Wassenhove, Facility Manager chez Option, il y a une
bonne raison à cela : “Nous avions déjà participé aux trial cases.
Nous avons dès lors souscrit à Wireless Office dès son lancement.
Notre entreprise compte de nombreux commerciaux et ingénieurs.
La plupart d’entre eux téléphonent toujours avec un GSM. Grâce à
Wireless Office, nous bénéficions de tarifs intéressants.” Paul Van
Wassenhove a été rapidement convaincu des économies réalisées :
“J’ai immédiatement remarqué que l’on faisait de substantielles
économies sur la facture. Nous économisons au moins 20 %, rien
qu’en faisant appel à Wireless Office pour les communications. De
plus, nous n’avons dû faire aucun investissement. Il a suffi d’activer
l’option.” Les collaborateurs sont aussi enthousiastes : “La plupart
des collègues estiment que l’expérience est positive. À présent
qu’ils savent que le prix de revient est identique, ils emportent
plus souvent leur GSM et sont
donc plus accessibles.”
Q3 - 2007
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Mensura
EXTERNALISATION SUR-MESURE
“Pas question de nous lancer
dans un outsourcing aveugle”
Grâce à notre partenaire,
nous avons ce qu’il faut pour grandir.
ERIC DEROLOFFE, DIRECTEUR INFORMATION & PROCESS MANAGEMENT MENSURA
ERIC DEROLOFFE, DIRECTEUR INFORMATION & PROCESS MANAGEMENT
Le nouveau groupe d’assurances Mensura a confié à Telindus
Belgacom ICT l’ensemble de son infrastructure informatique
et télécoms. Le contrat, d’une durée de 6 ans, permettra à
Mensura de déployer sa stratégie de croissance en s’appuyant
sur un environnement robuste, sécurisé et évolutif.
EXECUTIVE SUMMARY
Le groupe Mensura a confié à
Telindus-Belgacom l’ensemble de
son infrastructure informatique et
télécoms. Le contrat d’externalisation
a une durée de 6 ans. La société reste
maître du développement de ses
applications critiques.
Constitué en mai 2007 dans la foulée
de la fusion d’Assubel et d’Apra, le
groupe Mensura réunit plusieurs entités spécialisées en matière de prévention, d’assurance et d’assistance
liées au travail. Schématiquement,
les activités de Mensura s’articulent
sur deux grands pôles, explique Eric
Deroloffe, directeur Information &
Process Management: “Les assurances accidents du travail et les couvertures complémentaires d’une part, et
les activités liées à la prévention et à
la protection au travail d’autre part.
Ces activités s’inscrivent dans la philosophie plus large du bien-être au
travail, qui englobe notamment les
risques psychosociaux. Nos activités
reposent sur le concept : ‘Protecting
your human capital’.”
Souplesse
La fusion des activités assurances
accidents du travail d’Assubel et
d’Apra allait inévitablement avoir un
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one
Q3 - 2007
impact sur l’arsenal informatique
du groupe. “Pendant des années,
l’informatique d’Assubel, développement excepté, avait été assurée par
le groupe AGF à notre plus grande
satisfaction”, rappelle Eric Deroloffe.
“La sortie d’Assubel du groupe AGF
a entraîné l’indépendance de notre
informatique et une refonte complète
de celle-ci, avec le passage d’un environnement mainframe à un environnement Unix. En 2005, parallèlement
au projet de fusion avec Apra, qui avait
lui-même son propre département IT,
nous avons lancé un cahier de charges en vue d’externaliser l’ensemble
de l’informatique, à l’exception des
activités de développement que nous
considérons comme critiques.” Elaboré avec l’aide de Comparex en tant
que consultant, l’appel d’offres aboutit en juin 2006 au choix de TelindusBelgacom, parmi 7 candidats, pour la
prise en charge de l’informatique liée
aux activités d’assurances (1er pôle).
L’informatique liée au second pôle
(prévention et protection) fait quant à
elle l’objet pour son développement et
l’infrastructure d’un ‘insourcing’ confié à un autre fournisseur, Mobyus.
Pourquoi l’externalisation ? “Nous
sou haitons concentrer nos efforts sur
nos activités de base. De plus, il fallait une informatique à l’échelle du
groupe. Pour faire aussi bien que des
professionnels, il eût fallu consentir
des investissements disproportionnés. Le budget aurait quasi doublé.
Nous avons donc cherché et trouvé
un partenaire fort, capable de soutenir l’évolution de nos activités dans
une collaboration structurelle et à
long terme.”
COMPANY PROFILE
Mensura propose aux employeurs
des solutions globales en matière
de prévention, d’assurance et
d’assistance dans le domaine des
risques physiques et psychosociaux
au travail. Le groupe compte 500
collaborateurs et 70.000 membres
affiliés qui emploient au total quelque
600.000 travailleurs dans tous les
secteurs. Mensura pèse environ
Des SLA très stricts
190 millions d’euros en chiffre
Après plusieurs mois de négociations
visant à peaufiner le projet, Mensura
a conclu avec Telindus-Belgacom un
contrat d’outsourcing global (hors
développements logiciels) d’une
d’affaires annuel, dont 160 millions
d’encaissement (ce qui le situe en
deuxième position dans son secteur).
Q3 - 2007
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Mensura
ADVANTAGES
Externalisation
1. Partenariat à long terme pour une solution évolutive, alignée
sur la stratégie de l’entreprise.
2. Economies d’échelle, diminution des coûts, maîtrise du budget
informatique.
3. Robustesse, sécurité, technologies les plus récentes.
4. Simplification de la gouvernance informatique.
COMPACT, INTELLIGENT ET ÉLÉGANT
COMPACT,
INTELLIGENT
ET ÉLÉGANT
JE
PEUX TOUT
FAIRE
JE PEUX TOUT FAIRE
E-MAIL
E-MAIL
WEB
WEB
€100
TCHAT
€100
REMBOURSÉS
SUR L’ACHAT
TCHAT
REMBOURSÉS
SUR L’ACHAT
D’UN BLACKBERRY®
VIDÉOS
D’UN BLACKBERRY®
PEARL 8100
VIDÉOS
PHOTOS
PEARL 8100
PHOTOS
JEUX
JEUX
MESSAGES
MESSAGES
BLOGS
BLOGS
ÉCRIRE
ÉCRIRE
ÉCOUTER
ÉCOUTER
SURFER
SURFER
LIRE
LIRE
TROUVER
TROUVER
DISCUTER
DISCUTER
CONSULTER
CONSULTER
ACCÉDER
ACCÉDER
CLASSER
CLASSER
VENDRE
VENDRE
ORGANISER
ORGANISER
AFFICHER
AFFICHER
TM
durée de 6 ans. Le projet représente
un investissement/setup initial de
quelque 500.000 euros et de 2,7 millions TTC par an pour les services.
Ce contrat porte, entre autres, sur
un service desk, l’hébergement des
applications business et techniques
(y compris les solutions de stockage
et de gestion d’infrastructure), les
réseaux (LAN, WAN, téléphonie IP),
la sécurité, la gestion du changement
et la gouvernance IT. Le déploiement
du projet s’est appuyé sur la méthodologie Telindus Object If. “Cette solution d’outsourcing global s’aligne sur
les objectifs business de Mensura et
leur évolution Elle se concentre sur
les 4 axes importants en la matière à
savoir la technologie, les ressources
humaines, les processus et le contrôle
des coûts”, soulignent Fabrice Feyten,
account manager, et Jean-Hugues
Henneghien, business consultant
chez Telindus. “Les services sont
fournis sur base de SLA (Service
Level Agreements) très stricts.” Pourquoi avoir choisi Telindus Belgacom
ICT ? “Telindus Belgacom ICT nous a
proposé, pour un prix compétitif, un
modèle d’externalisation plus souple
que celui de son concurrent le plus
direct”, explique Eric Deroloffe. “Ce
modèle offre plus de latitude dans
la manière de construire la solution,
avec des caractéristiques de cogestion
qui permettent non seulement de
valoriser nos compétences en interne
mais également d’intervenir dans les
fondamentaux de notre évolution.
La taille de notre partenaire permet
aussi de traiter d’égal à égal. L’aspect
humain et relationnel est important.
L’outsourcing exige de l’écoute de la
part du partenaire. Nous sommes
tombés sur ‘des gens bien’ qui nous
ont donné confiance. L’évolution de la
situation et les perspectives futures
sont prises en compte dans le cadre
d’une relation stable et structurée, à
long terme, entre des hommes clés de
part et d’autre.”
Un choix heureux
La migration s’est déroulée en quatre phases : le service desk en novembre 2006, la téléphonie IP (VoIP)
en décembre, les réseaux locaux et
stations de travail en janvier 2007,
et la migration du mainframe vers
un environnement Unix en mai. Le
contrat d’outsourcing n’a pas provoqué de transfert de personnel. Mensura conserve une quarantaine de
personnes pour le développement et
la maintenance de ses applications
critiques. Eric Deroloffe ne nie pas
les difficultés du projet. “L’avantage
de l’externalisation globale est que
nous ne devons nous occuper de
rien. Par contre, il n’était pas question de nous lancer dans un outsourcing aveugle”, souligne le directeur informatique. “Pour inscrire ce
partenariat dans la durée, il fallait
structurer la relation de la manière
la plus complète et détaillée possible, et définir des SLA précis en vue
d’obtenir des résultats précis. Ce ne
fut pas facile, mais l’exercice a été
salutaire. Chaque processus est suivi
de très près par un owner interne
chargé de vérifier, sur base d’un référentiel précis, si le service rendu est
bien conforme aux SLA convenus. Il
s’agit d’un projet complexe avec une
multitude d’interactions. Notre gestion de projet a permis de surmonter
les difficultés survenues en cours de
route et elles ont été légion dans les
premier mois d’implémentation du
projet. Malgré ces difficultés – liées
aux moyens à mettre en œuvre – le
projet a été mis en production par
étapes dans les délais et les budgets
prévus. Aujourd’hui, nous sommes
pleinement satisfaits. On a fait un
choix heureux.” Au vu des bons résultats obtenus, le groupe envisage une
extension du contrat Telindus Belgacom ICT à l’informatique du second
pôle d’activités. Le retour sur investissement réside essentiellement,
outre les économies d’échelle, dans la
capacité de construire l’avenir. “Une
bonne gouvernance, de même qu’une
infrastructure robuste et sécurisée
nous permettent de réaliser un plan
informatique conforme à notre stratégie”, précise Eric Deroloffe. “Nous
sommes attentifs aux opportunités de croissance interne et externe.
Grâce à un partenaire capable d’intégrer les extensions de capacité nécessaires, nous avons ce qu’il faut pour
grandir. Et nous voulons grandir…”
BITS & BYTES
Le contrat fait appel à l’ensemble des services d’externalisation et ressources du groupe (Telindus, Belgacom FLS,
Proximus…). Il s’agit d’une solution outsourcing gobale
basée sur la méthodologie Telindus Object If, couvrant les
services suivants :
• le service desk complet avec gestion des utilisateurs et de
leurs équipements (environ 300 stations de travail,
téléphones IP, PDA, etc.),
• l’hébergement des applications dans les data centers de
Belgacom et la gestion de l’infrastructure (serveurs Unix et
Windows, unités de stockage, backup,…),
• l’installation et la gestion des réseaux sécurisés LAN et
TM
Offre valable
du 15/09/07
au 30/11/07 inclus
Offre valable
dans
les
boutiques
Proximus
du 15/09/07 au 30/11/07 inclus
dans les boutiques Proximus
WAN, téléphonie IP, des liaisons Belgacom Explore
(ex-BiLAN) vers les data centers de Belgacom.
L’infrastructure est constituée d’équipements de pointe de
différents fournisseurs (Cisco, Juniper, HP, IBM, NetApp,
Vmware, Commvault,…).
©2007
LesLes
marques,
la famille
familleBlackBerry
BlackBerry
RIM
demeurent
la propriété
exclusive
de Research
In Motion
©2007
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et et
RIM
demeurent
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service
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respective
owners.
names,
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servicemarks
marksare
are the
the properties
properties ofoftheir
owners.
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Q3 - 2007
solutions
products
DESKTOPS
MOBILES
VODAFONE
MOBILE CONNECT
HTC TyTN II
Titane à usage professionnel
Accès ultra-rapide au bureau et à l’internet
Le HTC TyTN II est, comme son nom l’indique, le successeur du HTC TyTN.
Les principaux changements sont le mécanisme coulissant amélioré, Windows
Mobile 6.0*, 128 Mo de RAM, le GPS intégré et un appareil photo 3 mégapixels.
L’écran d’accueil du HTC TyTN II offre un accès direct à la messagerie, aux SMS,
à l’agenda, aux contacts et aux diverses applications multimédias. Sans oublier
l’écran tactile, le clavier Qwerty*, la molette de navigation et le logiciel Office
inclus. Un PDA idéal pour l’utilisateur professionnel.
Grâce à Vodafone Mobile Connect, vos collaborateurs peuvent se connecter au réseau de votre entreprise
via leur ordinateur portable, où qu’ils se trouvent. Ils disposent d’un accès rapide à leur messagerie, à
l’internet et à toutes les informations professionnelles dont ils ont besoin lors des rendez-vous chez les
clients. Une manière constructive de passer les temps morts. La rapidité de Vodafone Mobile Connect
est comparable à celle d’une connexion ASDL. Cette solution est extrêmement conviviale et nécessite un
modem USB Vodafone Mobile Connect ou une carte de données Vodafone Mobile Connect.
Un système qui rime avec simplicité
SPÉCIFICATIONS
Le modem USB Vodafone Mobile Connect est d’une grande simplicité : vos collaborateurs insèrent tout
simplement le modem USB dans le port USB de leur ordinateur portable. L’installation de la carte de données Vodafone Mobile Connect est également très facile : la carte est insérée dans le port PCMCIA de l’ordinateur portable. L’envoi, la réception et la lecture des e-mails et pièces jointes se passent en temps réel
par le biais d’un réseau à large bande 3G. Vodafone Mobile Connect utilise les réseaux mobiles de Proximus : à la fois l’excellent réseau GPRS et le nouveau réseau HSDPA/UMTS. Un succès garanti.
Autonomie d’appel : jusqu’à 6 heures
Autonomie en veille : jusqu’à 400 heures
Poids : 190 g
Dimensions : 112 x 59 x 19 mm
Fréquences : 850 / 900 / 1800 / 1900
Résolution d’écran : 240 x 320
E-mail : oui
Connexions : GPRS / UMTS / HSDPA
Mémoire : 128 MB RAM, 256 MB ROM
AVANTAGES POUR LES ENTREPRISES
Vodafone Mobile Connect
1. Accès généralisé au réseau de l’entreprise, à la
messagerie et à l’internet
2. Disponibilité immédiate de toutes les informations
3. Connexion au moyen d’un modem USB ou d’une
carte de données
Appareil photo : 3 mégapixels
Pour de plus amples informations à propos
de Vodafone Mobile Connect, rendez-vous sur
www.onemagazine.be/VMC ou renseignezvous auprès de votre personne de contact.
Plus : GPS intégré
Roi du tout en un, le TyTN est un appareil
compact et multifonctionnel.
* Clavier Qwerty avec système d’exploitation en néerlandais ou en anglais ou
clavier Azerty avec système d’exploitation en français.
BlackBerry® Curve™ 8310
La combinaison ultime entre la communication et les affaires.
Ce smartphone allie les fonctionnalités de la téléphonie, de la messagerie, du GPS, de l’appareil photo numérique, du multimédia, d’un accès à l’internet et d’un calendrier dans un
appareil à la fois discret et stylisé. Grâce à la molette de navigation, vous vous déplacez rapidement et avec précision entre les applications. Push E-mail et le clavier Qwerty complet
permettent de recevoir et de répondre rapidement aux e-mails. Vous pouvez en outre visualiser facilement les pièces jointes aux formats JPEG, PDF, Word et Excel grâce à la visionneuse intégrée. Sa forme esthétique, sa bonne autonomie et l’excellente activation vocale en
font un outil à la fois pratique et élégant.
SPÉCIFICATIONS
Autonomie d’appel : jusqu’à 4 heures
Autonomie en veille : jusqu’à 408 heures
Poids : 111 g
Dimensions : 107 x 60 x 16 mm
Fréquences : 850 / 900 / 1800 / 1900
Résolution d’écran : 240 x 320
E-mail : oui
Connexions : GPRS
Mémoire : 64 MB
Appareil photo : 2 mégapixels
Stylisé, leger et pratique, le Curve est
un appareil très complet.
Plus : GPS intégré
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Q3 - 2007
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dossier ‘ONE’
EXECUTIVE SUMMARY
Le nouveau groupe Belgacom
poursuit un seul but dans
l’intégration de ses trois entités : se
focaliser encore plus sur le client.
Une structure matricielle
complètement neuve garantira une
qualité accrue du service et une
valeur ajoutée supérieure pour les
clients. La conjugaison des talents de
Belgacom, Proximus et Telindus fera
du groupe Belgacom le partenaire
PLACEZ LE CLIENT AU CENTRE DE VOTRE NOUVELLE STRUCTURE
Intégration et convergence,
pour un service de qualité
supérieure
‘ONE’ est le nom de l’opération de grande envergure mise en œuvre par le groupe
Belgacom afin d’encore améliorer l’intégration de ses trois entités – Belgacom,
Proximus et Telindus. Une opération essentiellement placée sous le signe de la
convergence. Objectif principal : placer le client encore plus au centre de notre travail.
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idéal pour aider nos entreprises
clientes à devenir de véritables
entreprises en temps réel.
William Mosseray, Chief Strategy
Officer de Belgacom, n’a laissé aucune
place au doute dans une allocution
faite au début cette année : “Si Belgacom veut continuer à remplir son
rôle de pionnier, le groupe doit encore
accélérer sa mutation en une entreprise proposant des solutions haut
débit intégrées. Les frontières entre
mobile, fi xe et haut débit sont en effet
en train de fondre comme neige au
soleil, et la convergence des différentes technologies se dessine de plus en
plus nettement. C’est pourquoi nous
devrons développer une nouvelle
structure en 2007, avec une organisation marketing et commerciale
unique, mais totalement segmentée,
reposant sur une division services
intégrée, dans le but de placer encore
plus le client au centre de nos préoccupations”, selon Mosseray.
Nouvelle structure matricielle
Au centre de la nouvelle stratégie du
groupe Belgacom, on trouve la nouvelle structure matricielle développée
par le groupe. Le groupe Belgacom est
dorénavant subdivisé en trois grandes
divisions : une division consomma-
teurs (pour les besoins individuels de
chaque utilisateur dans son environnement privé), une division entreprises (pour le développement des solutions ICT supportant la convergence
fi xe-mobile), et une division Service
Delivery Engine (comprenant tous
les spécialistes techniques, soit une
collection de ‘best pratices’). Dans
chacune de ces divisions, toutes les
activités sont à leur tour regroupées
autour de la consultance, des ventes,
de l’après-vente et du marketing pour
Belgacom, Proximus et Telindus.
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dossier ‘ONE’
Chaque entreprise est unique
Les différents réseaux de Belgacom,
Proximus et Telindus seront intégrés en une
seule infrastructure tournée vers l’avenir,
baptisée Belgacom Explore, qui permettra
d’évoluer d’une connectivité basique vers
une plate-forme de services intelligente.
BRIDGET COSGRAVE,
EXECUTIVE VICE-PRESIDENT ENTERPRISE BUSINESS UNIT
Chez Belgacom, chaque client (business) est unique. Pour être à même
de proposer à chaque entreprise le
meilleur service possible, la division
entreprise est subdivisée en trois
segments : clients corporate, clients
moyens et PME. L’organisation ‘clientcentrique’ garantit un fonctionnement rapide et flexible, une grande
capacité d’adaptation et une structure
matricielle centrée autour des marchés, des solutions et des services.
Belgacom va également travailler avec
des équipes régionales, proches des
clients. Chaque client se voit doté d’un
Account Manager unique. Puisqu’il
lui est impossible de connaître toutes
les spécialités de chaque client, ce dernier pourra faire appel à une armée de
véritables spécialistes.
De nombreux clients apprécient
d’ores et déjà les efforts déployés par
le groupe Belgacom pour améliorer
la qualité du service proposé. Jan De
Schepper, vice-président de Telindus
et responsable du segment corporate
au sein du groupe Belgacom, n’y voit
que des avantages : “En cherchant à
améliorer notre service, nous recevons également de nombreuses informations de la part de nos clients, que
nous pouvons utiliser comme base
pour notre stratégie. Le client exerce
ainsi une importante fonction de
guide dans les nouvelles initiatives.”
Vers une offre de services
intégrée
Bridget Cosgrave, Executive VicePresident Enterprise Business Unit,
est convaincue que la nouvelle structure présente de nombreux avantages pour les clients : “La combinaison de talents, l’expertise et les atouts
de Belgacom, Proximus et Telindus
permettent de procurer une expérience client unique.” Belgacom veut
désormais fonctionner comme un
groupe doté d’une vision globale.
Bridget Cosgrave : “Avec la conver-
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Q3 - 2007
gence comme principal moteur de
l’innovation, nous voulons fournir à
nos entreprises clientes une gamme
de services totalement intégrée, et, de
cette manière, devenir un partenaire
privilégié pour la voix, les données et
les ICT.” Mais pour réaliser cet objectif, Belgacom doit encore plus investir dans la convergence de la téléphonie fi xe et mobile, affirme-t-elle. “La
convergence du fi xe et du mobile a
avant tout pour but de faciliter la vie
de nos clients ”, explique-t-elle.
La pierre angulaire de ce système est
Belgacom Explore, la plate-forme qui
permet à un client d’avoir accès, en
fi xe ou mobile, à tous les services de
Belgacom, Proximus et Telindus. Les
différents réseaux sont ainsi intégrés
dans une infrastructure unique, tournée vers l’avenir, qui permet d’évoluer
d’une connectivité basique vers une
plate-forme de services intelligente.
Le client n’a plus à choisir entre différentes technologies, mais en faveur
de la solution la meilleure et la plus
transparente sur la base de la technologie présente. Afin de garantir
une flexibilité maximale, Belgacom,
Proximus et Telindus vont intervenir
vis-à-vis du monde extérieur comme
un partenaire unique.
Outsourcing sélectif
Bridget Cosgrave estime qu’il est
important que les entreprises collaborent étroitement avec le groupe
Belgacom dans la sous-traitance de
(certaines parties de) leurs activités
ICT : elles sont certaines d’atteindre
les résultats attendus. Jan De Schepper,
Vice-President Enterprise Business
Unit, Corporate Market, poursuit :
“Belgacom est un partisan absolu
de l’outsourcing sélectif. Souvent, il
n’y a en effet aucun sens, pour une
entreprise, à sous-traiter l’ensemble
de ses ICT. Pourtant, il ne fait aucun
doute que la plupart des organisations
devront tôt ou tard se résoudre à soustraiter. Dès aujourd’hui, il manquerait
plus de 10 000 informaticiens en Belgique. À peu près chaque entreprise
va donc être confrontée à ce déficit. Et
si c’est son cas, votre entreprise frappe
chez nous à la bonne adresse : nous
faisons partie du top trois en matière
d’outsourcing en Belgique. De plus,
nous pouvons présenter des références qui prouvent que notre approche
sélective de l’outsourcing fonctionne
parfaitement – regardez par exemple notre collaboration avec EDS à la
Communauté flamande”, affirme Jan
De Schepper.
Real-Time Enterprises
Cela fait longtemps que Belgacom a
pris conscience de la demande sans
cesse accrue d’une meilleure intégration des technologies de l’information et des télécommunications et des
activités économiques. Pour résister à
la concurrence, l’accroissement de la
dépendance, à l’avenir, des entreprises
à leur environnement ICT ne soulève
aucun doute, selon Jan De Schepper.
“Cela signifie surtout que nous allons
devoir combler l’écart entre le business
et les ICT pour obtenir de véritables
entreprises en temps réel”, expliquet-il. “Le groupe Belgacom est excellemment placé pour aider les entreprises
dans cette tâche. Les Next Generation
Solutions de Belgacom sont en effet
le reflet des besoins du marché et
de nos compétences : sécurité, ITgovernance, collaboration, intégration
des applications, et sécurisation et
bonne gestion des réseaux.”
Ambitions internationales
Par ailleurs, Jan De Schepper ne cache
pas que le groupe Belgacom nourrit
de sérieuses ambitions internationales, surtout afin de servir à l’étranger ses clients opérant à l’échelle
internationale. “N’oubliez pas que
par l’intermédiaire de Telindus, nous
sommes déjà actifs dans 14 pays
européens plus la Chine, et que nous
avons déjà développé plusieurs initiatives destinées à faciliter la vie de
nos clients internationaux. Citons,
à titre d’exemple, notre single point
of contact et un numéro 0800 international. Grâce à l’alliance de Proximus et de Vodafone, nous posons
le pied sur 26 pays répartis sur les
cinq continents, avec le gros avantage
supplémentaire de pouvoir proposer
partout une stratégie cohérente en
matière de réseaux 3G.”
Pour Jan De Schepper, il ne fait aucun
doute que les cœurs d’activité de
Telindus et de Belgacom se complètent parfaitement, et que la fusion des
entreprises offre le meilleur de deux
mondes : un leader belge en télécommunications et un champion européen en matière d’ ICT, capables de
proposer à leurs clients une solution
convergente par une interface unique.
sélectif. Et, comme nous l’avons dit,
nous désirons également nous atteler
à notre internationalisation, surtout
pour mieux pouvoir accompagner
nos clients internationaux à l’étranger. Enfin, nous voulons introduire
une ‘customer culture’ et encore
accroître le service à nos meilleurs
clients. Pour cela, nous allons mettre sur pied des équipes régionales
et nous optons résolument pour une
approche personnalisée. Nous voulons tout simplement combler autant
que possible l’écart entre Belgacom et
le client. La ‘customer intimacy’ est
ici notre mot d’ordre .”
Quantum leap
Pour Jan De Schepper, il est clair
que Belgacom va désormais peu à
peu évoluer d’une position d’opérateur vers une fonction d’intégrateur
de services à part entière, alors que
Telindus pourra elle aussi progresser
dans la chaîne de valeur en dépassant son rôle d’intégrateur de systèmes pour devenir un partenaire complet en matière de sourcing. “Je crois
pouvoir affirmer sans faire preuve
d’exagération que nous vivons un
moment particulièrement passionnant : la conjugaison des talents de
Belgacom, Proximus et Telindus
va inaugurer un bouleversement
prodigieux. Elle doit déboucher sur
quatre nouvelles initiatives. En premier lieu, davantage de solutions
end-to-end, notamment et surtout
par des partenariats forts avec à la
fois des petites et des moyennes entreprises innovantes. Dans ce cadre,
nous allons également engager et former davantage de business consultants et recruter des connaissances
software et middleware supplémentaires. En outre, nous désirons élargir largement notre service, notamment en proposant de l’outsourcing
Nous devons combler l’écart entre le business
et les ICT pour disposer de véritables entreprises
en temps réel. Le groupe Belgacom est
excellemment placé pour aider les entreprises
dans cette tâche.
JAN DE SCHEPPER,
VICE-PRESIDENT ENTERPRISE BUSINESS UNIT, CORPORATE MARKET
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round table ‘ONE’
Belgacom, Proximus et Telindus
la somme de
Réunies au sein d’une même société, Belgacom, Proximus et
Telindus entendent plus que jamais répondre aux besoins de
leurs clients. L’organisation de consommateurs Beltug a réuni
autour de la table une délégation du Groupe Belgacom et
quelques clients pour discuter des implications de la nouvelle
organisation. Cet échange a permis de clarifier les choses.
Une délégation du Groupe Belgacom et quelques clients ont débattu de la nouvelle
organisation sous la direction de Danielle Jacobs, directrice de Beltug.
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round table ‘ONE’
L’intégration de Belgacom,
Proximus et Telindus représente
une grande valeur ajoutée
pour le client.
GRÉGOIRE VAN CUTSEM, VICE-PRESIDENT PRODUCT &
SOLUTIONS ENTERPRISE BUSINESS UNIT
La nouvelle structure du Groupe Belgacom se compose de
trois grandes entités : Consumer, Enterprise et une division
Service Delivery Engine – le grand bloc technique, en quelque sorte. Bon nombre de clients se demandent comment
les relations seront organisées dans un ensemble aussi
grand. Ils peuvent dormir sur leurs deux oreilles : les gros
clients se verront attribuer un account manager unique,
qui pourra tout aussi bien être issu de Belgacom que de Proximus ou de Telindus. En outre, il sera à terme flanqué d’un
service manager, et une ligne verte (0800) sera ouverte.
Dans l’ensemble, la structure fait la part belle au segment
‘Entreprises’. D’après Kris Vervaet, Vice President Enterprise Business Unit, SME Market, cela est tout à fait logique : les clients professionnels – qu’il s’agisse de grandes
entreprises ou des professions libérales – représentent en
effet un chiffre d’affaires de trois milliards d’euros, soit la
moitié du chiffres d’affaires total du Groupe Belgacom. Les
moins grandes entreprises auront également droit à un
interlocuteur principal, qui sera lui aussi assisté. Comme
il est en effet impossible aux accounts managers de connaître tous les détails techniques, ils pourront faire appel à
des spécialistes. Le nouveau Groupe Belgacom s’emploie
donc à renforcer ses services de vente. Et c’est bien là une
nécessité, car les solutions gagnent constamment en complexité. L’intégration arrive donc au bon moment.
Contrats
Plus que la somme de trois entités
Et pourtant, la nouvelle organisation suscite une certaine
confusion chez quelques clients : ils ont par exemple un
contrat chez Belgacom, mais sont désormais suivis par
un collaborateur de Telindus. Peter Joos, Vice-President
Enterprise Business Unit, Large, veut rassurer les clients :
“D’un point de vue juridique, les trois entreprises restent
encore trois entités distinctes, mais elles forment désormais un seul groupe. Les accords conclus avec les clients
ne sont pas affectés. Seul le suivi sera effectué d’une
autre manière, et souvent par d’autres personnes ou par
un autre département. Ce qui change, c’est donc le visage
commercial lié aux contrats”.
L’intégration de la technologie vient à peine de commencer, mais déjà, elle suscite de nombreuses attentes chez les
clients, qui aspirent à juste titre à une valeur ajoutée importante. Ils attendent davantage que la somme de trois entités.
Grégoire Van Cutsem, Vice-President Product & Solutions
Enterprise Business Unit, se rend bien compte que ces
attentes sont fortes, mais il est convaincu que le Groupe
Belgacom pourra réaliser de splendides projets : “Il existe
de nombreux exemples de la synergie qui existe désormais
au sein du Groupe Belgacom. Je pense ainsi au SPF Finances,
où nous pouvons assurer une gestion centrale de tous les
réseaux grâce à notre intégration. Nous y avons flexibilisé
les systèmes et amélioré la sécurisation. En outre, nous
prouvons que nous pouvons travailler avec des accords sur
les niveaux de service (SLA) qui donnent des coûts prévisibles. Nous avons rendu l’infrastructure accessible tant à
partir de réseaux fi xes que mobiles. Le projet prouve que
l’intégration de Belgacom, Proximus et Telindus représente
une grande valeur ajoutée pour le client”.
Facturation
La facturation préoccupe aussi beaucoup de clients. En
effet, la gestion des coûts devient de plus en plus importante pour les entreprises, qui souhaitent dès lors avoir
des factures correctes et transparentes. Ce n’est pas une
tâche facile, étant donné que les factures reposent sur des
solutions souvent très complexes. Jan Smets : “Pour l’instant, nous ne pouvons émettre une facture unique, car
cela poserait des problèmes tant sur le plan opérationnel
que juridique. Par contre, il y aura un interlocuteur unique pour toutes les questions concernant la facturation”.
Les accords conclus avec les clients ne sont pas affectés.
Seul le visage commercial lié aux contrats peut changer.
PETER JOOS, VICE-PRESIDENT ENTERPRISE BUSINESS UNIT, LARGE
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A.S. Adventure
ments importants : la concentration de toutes les facettes
de la solution auprès du même opérateur (solution endto-end), le rapport qualité/prix plus avantageux, l’excellent
service d’installation et de support, l’ouverture du réseau
vers l’avenir et la possibilité d’accès au réseau Proximus.”
L’installation d’Explore s’est effectuée pendant les heures d’ouverture. Tout s’est déroulé sans accrocs : après
6 semaines à peine, les 27 boutiques étaient en ligne.
SUIVI CONTINU DES VENTES
“Explore nous aide
à croître plus vite”
PETER DEMETS, GROUP IT MANAGER A.S. ADVENTURE
Meilleur service
COMPANY PROFILE
A.S. Adventure compte 46 points de
vente : 22 en Belgique, 1 au GrandDuché de Luxembourg et
23 au Royaume-Uni. 12 ouvertures
sont prévues cette année, dont 7 en
A.S. Adventure sortait d’une période de forte croissance. De ce fait, il lui était parfois difficile
d’assurer un suivi rapide de toutes les données relatives aux stocks et aux ventes. Avec la nouvelle
Belgique. Chaque boutique compte
entre quatre et huit ordinateurs.
plate-forme Explore, ce n’est plus le cas. Plus encore : la stabilité du réseau est à la base d’une
nouvelle accélération de la croissance.
Le service à la clientèle, chez A.S. Adventure, n’est pas une
notion vide de sens. À tout moment, on veut connaître le
stock disponible pour chaque article. Avec des boutiques
de plus en plus nombreuses, la tâche s’avérait plus délicate.
Peter Demets, Group IT Manager, estimait qu’il était nécessaire d’intervenir. Ce qui lui a également permis de résoudre d’autres problèmes. “Le système de paiement tombait
souvent en panne, et les flux de trésorerie ne faisaient pas
l’objet d’un suivi en temps réel. Enfin, les deux réseaux
séparés généraient des coûts inutiles”, explique Peter
Demets. A.S. Adventure est passé à Belgacom Explore, basé
sur IP. Le changement a rapidement fait sentir ses effets.
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Suivi des ventes par GSM
Chaque boutique A.S. Adventure dispose désormais d’un
accès haut débit à toutes les applications internes et à l’Internet. La construction, qui repose sur des bases des données en ligne, fournit à tout moment des informations
correctes et complètes sur les stocks. De même, les transferts d’articles d’une boutique à l’autre sont désormais
parfaitement gérables. Peter Demets: “Le point positif est
que Belgacom Explore traite les informations sur les ventes non pas la nuit, mais en temps réel. De ce fait, la direction peut assurer un suivi continu des ventes, même par
GSM. C’est très pratique, surtout pendant les soldes. De
même, plus aucun back-up n’est nécessaire. Et les paiements ne sont plus envoyés par des lignes louées, mais
par l’Internet. A.S. Adventure est un des pionniers dans
ce domaine en Belgique. Le système est fiable à 100 %. Et
c’est terriblement important : lorsque Bancontact ne fonctionne pas, les clients renoncent à leurs achats.”
Une installation sans accrocs
Pour choisir son partenaire réseau, A.S. Adventure a
mené une étude de marché approfondie. Peter Demets:
“Nous avons passé au crible les offres de tous les grands
opérateurs. Belgacom a remporté la partie grâce à 5 argu-
Les résultats ont été immédiatement visibles. “Avec
Explore, nous pouvons mieux informer le client et nous
réduisons les temps d’attente aux caisses. Le réseau et
le trafic de paiements nous coûtent moins cher. Le rapport coût/profit d’Explore est clairement positif : le prix
de revient de la solution est largement inférieur à celui
de nos efforts internes pour faire tourner un réseau. De
plus, la direction dispose plus rapidement des informations nécessaires, ce qui lui permet d’être plus réactive.
Le réseau est également très stable : le downtime est nul.
Depuis que nous sous-traitons nos activités réseaux à Belgacom, nous avons opérationnalisé pas moins de quatre
nouvelles boutiques en un mois. Explore nous permet
ainsi d’accélérer notre croissance”, explique Peter Demets.
Il y a cependant un inconvénient : Explore n’étant pas
encore disponible à l’étranger, A.S. Adventure doit trouver
une solution interne pour ses boutiques anglaises. “Nous
attendons impatiemment que Belgacom y lance aussi sa
solution.”
BUSINESS ADVANTAGES
Explore
1. Amélioration de l’efficacité et de la productivité
2. Réduction des coûts
3. Amélioration du service clientèle
4. Fin des problèmes réseau
5. Disponibilité plus rapide de données précises
sur les stocks et les ventes
6. Réduction du temps d’attente aux caisses
7. Stabilité accrue du réseau
8. Meilleure fiabilité du système de paiement
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solutions
Go fast forward as ONE
and join the ICT event for
business professionals
34e ICT Symposium
25-26 Octobre 2007 | Tour & Taxis | Bruxelles | Belgique
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précisément la raison pour laquelle Belgacom a
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qui n’a jamais été aussi flexible, sûr et orienté
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à tous les services ICT du Groupe Belgacom.
Belgacom Explore est donc moins une solution réseau qu’une gigantesque plate-forme de
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Jeudi 25 Octobre 2007
Vendredi 26 Octobre 2007
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�������
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���������� Plus de 35 stands de partenaires ICT
��������
Plus de 30 plages horaires avec des pistes
pour l’industrie, la distribution & le secteur
des médias
Patrick Dixon, stratège en business
international & futurologue
���������� Plus de 35 stands de partenaires ICT
��������
Plus de 45 plages horaires avec des pistes
pour les autorités, le secteur financier & les
soins de santé
56
du 34e Symposium ICT organisé par le Groupe
Belgacom, les 25 & 26 octobre 2007. Une
combinaison dynamique d’orateurs principaux,
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axées sur le marché permettra à toutes les
personnes exerçant des responsabilités dans les
one
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domaines de l’ICT de tirer profit de cette mise à
jour stratégique et technologique.
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> www.ictsymposium.eu
Ceux qui optent pour Belgacom
Explore bénéficient d’un accès
à un large assortiment de services et d’applications.
Les services WAN/LAN intégrés
de Belgacom et Telindus constituent la figure de proue de
cette nouvelle approche.
Belgacom Explore abolit les frontières entre les
différents réseaux : LAN et WAN sont désormais considérés et gérés comme un seul grand
ensemble. Ce qui vous procure une expérience
unique d’un ou de plusieurs LAN virtuels, et
comporte de nombreux avantages. Le principal atout est sans doute le fait que vous disposez partout d’un accès transparent au même
réseau d’entreprise. En termes de processus,
de rapports et de points de contact aussi, tout
devient beaucoup plus simple. Les installations
et l’entretien font en effet l’objet d’une approche intégrée. Cela vous permet non seulement
d’économiser du temps et de l’argent, mais
aussi d’établir des SLA et des rapports intégrés.
Une approche WAN/LAN intégrée vous assure
une expérience réseau unique. En outre, vous
bénéficiez de notre excellent service pour l’équipement LAN, comme les PC, les serveurs et les
installations de téléphonie IP.
Pour obtenir de plus amples information, surfez sur www.onemagazine.be/LAN_WAN.
25-26 Octobre 2007 | Tour & Taxis | Bruxelles | Belgique
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Ferrero
LA RECETTE DE L’EFFICACITÉ
“Notre partenaire idéal,
clé en main”
GIAN-CARLO MONACHINO, COMPANY PROJECT MANAGER FERRERO
La firme italienne Ferrero, à qui l’on doit les célèbres Nutella, Kinder, Tic-Tac et
autres Ferrero Rocher, a choisi une recette très efficace pour sa force de vente :
des PDA et le CRMobile d’Euremis.
COMPANY PROFILE
Le chocolatier confiseur Ferrero emploie une vingtaine de vendeurs
• Chocolatier confiseur italien
en Belgique.
• Fabrique les produits Nutella,
Depuis le début
Kinder, Tic-Tac, Ferrero Rocher, …
de l’année, ceux-ci
gèrent tous leurs
• 150 millions d’euros de chiffre
relations par l’ind’affaires en Belgique
termédiaire d’un
et aux Pays-Bas
simple PDA et du
• Numéro 4 mondial
CRMobile d’Euremis. Ils se servaient auparavant
de PC portables, “mais ce n’était guère
pratique”, se remémore Gian-Carlo
Monachino, Company Project Manager
chez Ferrero et en charge de l’IT. “L’ordinateur était assez encombrant; il fallait une table pour le poser ce qui n’est
pas toujours facile dans la grande distribution, et les fonctionnalités de l’application étaient réduites”, explique-t-il. La
solution d’Euremis a été adoptée par l’organisation belge.
Aux Pays-Bas, les dix personnes qui
composent l’équipe de vente travaillaient
encore sur… papier! Séduite par l’application belge, l’organisation Hollandaise l’a
elle aussi adoptée depuis lors.
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Solution complète
“CRMobile est une solution complète,
compacte et conviviale”, poursuit le
responsable. Complète, car les délégués peuvent y introduire toute une
série d’opérations : gérer les commandes et les retours, tenir le registre de
leurs visites chez les clients, consulter
et modifier les coordonnées des points
de vente, suivre de près les promotions
et le facing, c’est-à-dire l’agencement
des produits sur les rayons du magasin. Compacte, puisqu’elle ne nécessite qu’un PDA intégrant un appareil
photo et un téléphone. Conviviale,
parce que tout est piloté par icônes,
dans un environnement très intuitif. Ajoutons que la formule génère
un gain de confort et de productivité.
“Avant, le représentant devait réunir
toutes ses informations à la maison le
soir, puis les envoyer. Maintenant, il
les encode tout au long de la journée”,
souligne Gian-Carlo Monachino. Il ne
lui reste plus alors qu’à se relier une
fois par jour au serveur pour les transmettre, ce qui lui épargne une heure
de travail à domicile.
Les vendeurs ne sont toutefois pas
les seuls à tirer profit de CRMobile.
La direction de Ferrero a elle aussi
recours au back office de la solution,
cette fois pour délivrer ses instructions. Elle charge par exemple les responsables d’une enseigne particulière
d’y organiser une promotion.
cours d’une troisième étape, les flux
de commandes et de retours seront
interfacés avec SAP, sur laquelle Ferrero vient de migrer. On le voit, la collaboration entre Ferrero et Euremis
a encore de beaux jours devant elle.
Suivi dynamique
De cette façon, “Ferrero peut suivre
dynamiquement sa force de vente, réagir par rapport à l’environnement du
marché et s’améliorer”, indique notre
interlocuteur. Tout cela, sans se soucier
de l’aspect technique. Euremis héberge
en effet l’application, les serveurs et les
données, assure le support et, en cas
de problème, peut intervenir à distance
via GPRS, directement sur le PDA.
“Euremis est également un spécialiste
du PDA”, poursuit-il, “et ce n’est pas
rien : il s’agit d’une technique récente,
les applications qui sont développées
dessus nécessitent donc un savoir-faire
très particulier”. Bref, “c’est le partenaire idéal clé en main”, se réjouit-il.
Une seconde étape est d’ailleurs déjà
programmée. Depuis août, les paramètres de gestion des points de vente
ont été encore affinés et un module de
prise de photos est adjoint. Enfin, au
EUREMIS, SPÉCIALISTE DES
SOLUTIONS MOBILES
BUSINESS ADVANTAGES
PDA et CRMobile d’Euremis
Euremis est le spécialiste en solutions
mobiles innovantes et efficaces sur PDA
pour représentants sur le terrain (équipes
commerciales, équipes techniques...).
L’entreprise, créée en 2002, a été rachetée
l’an dernier par Proximus. Grâce à l’acquisition d’Euremis, Proximus peut répondre
à l’évolution des besoins de ses clients et
élargir sa palette de produits en proposant
des solutions mobiles totales. De plus en
plus d’entreprises de différents secteurs
optent pour ces applications conviviales,
dont CRMobile, pour accroître la productivité de leurs effectifs et
générer un ROI rapide.
1. Euremis, filiale de Belgacom, partenaire unique
2. Suivi dynamique des vendeurs pour la direction
3. PDA compact, convivial avec téléphone et appareil photo
4. Suivi des commandes et retours pour chaque point de vente
5. Suivi des promotions, du facing
6. Productivité accrue
7. Formation courte
8. Interface avec SAP (futur)
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solutions
Optimisez vos applications
Parviendrez-vous à pérenniser le succès de votre entreprise ? Il est en
tout cas certain que votre capacité à innover et votre infrastructure IT
joueront un rôle important dans le futur de votre entreprise.
faites la différence
en affaires
Personnalité et efficacité sont essentielles au succès professionnel.
Les Nokia E61i et Nokia E90 Communicator sont particulièrement
esthétiques et munis d’un clavier complet et de divers dispositifs de
gestion. Ils peuvent intégrer les logiciels de votre entreprise.
Le Nokia E90 Communicator est même équipé avec GPS.
Ainsi, aucune question ne reste sans réponse, même en-dehors du
bureau. Voici donc les nouveaux Nokia Eseries. E pour Efficacité.
La collaboration intelligente.
© 2007 Nokia.
www.nokiaforbusiness.com/emea
Les entreprises du futur sont des entreprises en temps
réel : des entreprises qui sentent opportunités et obstacles et qui y réagissent immédiatement. Dans ce cadre,
les applications revêtent un intérêt crucial pour vos
clients et utilisateurs. Mais il n’est pas toujours facile
de bien les gérer. Les applications doivent être disponibles et accessibles en permanence, tout en offrant une
grande facilité d’utilisation. C’est ici que Telindus vous
vient en aide. Qu’il s’agisse de systèmes ERP ou SCM,
d’un simple programme de courrier électronique ou
d’applications sur mesure, des spécialistes contrôlent
les performances de vos systèmes et vous délivrent des
avis utiles qui vous permettront d’accélérer votre service,
d’améliorer votre gestion et d’adapter votre architecture. Telindus offre un large assortiment de services et
crée un accès rapide et sûr aux applications. Avec vous,
Telindus établit la meilleure stratégie et vous fournit des
solutions adaptées à l’infrastructure de votre entreprise
et aux besoins des utilisateurs finaux. De cette manière,
vous pouvez, en tant qu’organisation, réagir plus rapidement aux nouvelles conditions du marché.
Pour de plus amples informations, surfez sur
www.onemagazine.be/Application_Delivery.
Économisez grâce à la facturation électronique
Vous souhaitez recevoir des factures par e-mail ? Avec le nouveau service de facturation
électronique de Belgacom, vous économisez du temps et du papier.
Cela fait plusieurs années que Belgacom utilise les possibilités technologiques de l’EDI – Electronic Data Interchange – pour remplacer vos factures papier par un
fichier électronique. Vos factures papier sont gratuitement transformées en fichiers électroniques, qui vous
sont envoyés. Il vous est ainsi très facile d’intégrer vos
factures dans votre système de comptabilité. Pour ce service, Belgacom va désormais travailler avec la plate-forme
CertiONE de Certipost. Cette solution offre non seulement toutes les garanties juridiques nécessaires, mais est
aussi totalement sûre. De plus, elle est écologique et vous
permet d’économiser du temps, puisque le contrôle de
vos factures est désormais beaucoup plus rapide.
Une fois inscrit pour ce service, vous ne recevez plus de
factures papier, mais uniquement des factures électroniques qui ont force juridique. Ce service est mis gratuitement à la disposition des entreprises. Si vous souhaitez
quand même recevoir des factures papier, vous pouvez
vous faire envoyer les factures électroniques comme
duplicata. Vous pouvez prendre gratuitement ce service
à l’essai pendant trois mois. À la fin de la période d’essai,
vous choisirez de continuer à recevoir les deux versions
(10 €/mois) ou de passer à la facturation électronique.
Pour de plus amples informations, ainsi que pour obtenir le formulaire d’inscription, surfez sur www.onemagazine.be/e-Billing.
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people & vision
Les entreprises s’interrogent encore trop peu sur leurs points
faibles. La nonchalance de certaines est criante.
LUC BEIRENS, CHEF DE LA FEDERAL COMPUTER CRIME UNIT (FCCU)
LUC BEIRENS, DIRECTEUR DE LA FEDERAL COMPUTER CRIME UNIT
“DE NOMBREUSES
ENTREPRISES SONT DE
VÉRITABLES PASSOIRES”
INVESTISSEZ-VOUS ASSEZ
DANS LA SÉCURITÉ INTERNET ?
De nombreuses entreprises investissent toujours
insuffisamment dans la sécurité Internet. Le budget qui y est
consacré ne constitue qu’une fraction – généralement, entre
5 % et 13 % – des dépenses informatiques totales. Et ce,
alors que les risques s’accroissent sans cesse. Luc Beirens, de
la police fédérale, nous dit tout sur le sujet.
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“Auparavant, 70 % à 80 % des risques étaient internes. Ces risques
existent toujours. Mais je constate,
par ailleurs, une augmentation des
risques qui proviennent de l’extérieur. En reliant vos systèmes à l’Internet, vous créez une menace supplémentaire.” Le commissaire en
chef Luc Beirens, est, en tant que
chef de l’unité informatique de la
police fédérale belge (FCCU), très au
fait des risques qui planent au-dessus
des réseaux. “Nous devons être plus
vigilants”, affirme-t-il.
Selon lui, plusieurs évolutions accroissent sensiblement les risques pour la
sécurité des entreprises. D’une part,
nous assistons à l’émergence d’une
nouvelle génération de criminels de
l’Internet, mais l’évolution vers les
standards ouverts renferme également des risques. De plus, les réseaux
sont de plus en plus souvent interconnectés. “Plus votre activité opérationnelle dépend de votre connexion
Internet, plus la menace est grande.”
Selon Luc Beirens, la criminalité
Internet n’en est qu’à ses balbutiements : “Les criminels sont seulement en train de découvrir l’Internet.”
Son message est dès lors surtout un
message de sensibilisation : “Les
entreprises s’interrogent encore trop
peu sur leurs points faibles. La nonchalance de certaines organisations
est criante. De nombreuses entreprises sont de véritables passoires.”
Tous pirates
C’est surtout le passage des systèmes
spécialisés vers des standards ouverts
qui inquiète Luc Beirens. “Avec cette
évolution vers des applications COTS
(Common Off The Shelf), il est subitement beaucoup plus facile de pénétrer sur les réseaux. Les standards fer-
més ne sont pas suffisants pour être
à l’abri des criminels, mais en utilisant des standards ouverts, on accroît
les risques. En effet, il existe de très
nombreuses ressources et méthodes
permettant de craquer ces protocoles
et systèmes plus connus. Dès qu’un
internaute rencontre un problème
dans le logiciel, un ‘exploit’ est aussitôt mis en ligne : c’est un programme
qui exploite le problème pour pénétrer dans le système.
Pour les systèmes fermés, il n’existe
guère d’exploits, car ces systèmes
sont trop peu utilisés. Pour les systèmes d’exploitation Windows, on
trouve en revanche de très nombreux
exploits. Mettre sur pied une attaque
devient alors à la portée de tout un
chacun.”
Internet aide les criminels
L’Internet lui-même donne un coup
de main aux criminels. On y trouve
en effet des programmes qui identifient en un rien de temps les points
faibles des systèmes. Nessus, par
exemple, est un programme gratuit
qui décèle les patches manquants.
Luc Beirens : “Les programmes antivirus et les pare-feu sont un must.
Les pare-feu servent de contrôle aux
frontières entre deux réseaux. Ils sont
indispensables, mais hélas insuffisants. Généralement, les applications
de votre serveur Web sont craquées à
partir de l’Internet. On utilise ensuite
le lien entre votre serveur Web et vos
systèmes internes pour manipuler
ces derniers à travers le pare-feu.
On trouve aussi de trop nombreuses
applications mal écrites. Généralement, elles ne font l’objet que d’exigences fonctionnelles. Pourtant, des
exigences de sécurité sont également
nécessaires.”
Eviter les poursuites
L’équipe de la FCCU constate chaque
jour que des personnes mal intentionnées tirent profit de la mauvaise sécurité informatique des entreprises. Luc
Beirens: “Les criminels pénètrent
dans des réseaux et utilisent l’espace
disque pour, par exemple, stocker ou
échanger des fichiers pédophiles. Ils
utilisent également les systèmes des
entreprises pour envoyer des spams,
proposer des logiciels illégaux ou tester des virus agressifs.” Il arrive également que l’on craque des réseaux
téléphoniques, ce qui fait exploser les
factures télécom des entreprises.
Non seulement votre entreprise risque de graves dommages en cas de
sécurité insuffisante, mais dans certains cas, elle pourrait également faire
l’objet de poursuites. Malgré tous ces
avertissements, certaines entreprises continuent à ne guère prêter d’attention à leur sécurité informatique,
affirme Luc Beirens. “Je n’invente
rien. Je vois ce qui se passe à l’étranger, et j’essaie d’estimer les conséquences de ces évolutions en Belgique. On peut se demander si nous
sommes capables de contrer une attaque sur notre système informatique.
J’en doute.”
QUI EST LUC BEIRENS
Le commissaire en chef Luc Beirens dirige la Federal Computer
Crime Unit (FCCU). La FCCU fait partie de la direction de la lutte
contre la criminalité financière et économique de la police
fédérale. Ce service s’occupe surtout de l’expertise légale des
systèmes informatiques complexes utilisés par des criminels
ou qui en sont la cible. L’analyse se fait en appoint des
services d’investigation centraux et des Computer Crime Units
régionaux. En outre, la FCCU assure le suivi des phénomènes
et activités criminels dans le cyberspace.
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people & vision
solutions
Ne dites pas vidéoconférence,
dites Téléprésence
10 CONSEILS DE LUC BEIRENS
1. Évitez les copies illégales et contrôlez les partages de fichiers.
De nombreuses entreprises empêchent techniquement l’installation
d’autres programmes informatiques que ceux expressément admis dans
leurs ordinateurs : c’est une manière simple d’éviter les problèmes juridiques et de réduire les risques. Il existe divers logiciels sur le marché qui
scannent votre ordinateur et bloquent ou effacent les services d’échanges de
fichier non souhaités.
2. Adaptez les paramètres de votre pare-feu.
Un pare-feu empêche les pirates de pénétrer dans votre système. Il existe de
nombreux pare-feu sur le marché. Certains sont même gratuits. Une fois le
pare-feu installé et activé, n’hésitez pas à procéder à un scannage des ports.
Vous pouvez ainsi contrôler si les pirates peuvent pénétrer sur votre ordinateur
par un port ouvert. Vous pouvez configurer votre pare-feu de manière à filtrer
les fichiers et/ou sites illégaux de différentes manières. Des activités, ports ou
protocoles souvent utilisés pour le partage de fichiers peuvent être bloqués. Il
existe également des programmes informatiques spécialement conçus pour
assurer un filtrage sélectif du matériel protégé par les droits d’auteur.
3. Surveillez vos connexions sans fil et l’intensité de votre trafic de
données.
Un logiciel de surveillance de votre trafic de données – généralement fourni
avec votre installation réseau – vous permet de vérifier les programmes
informatiques ou les utilisateurs qui utilisent votre largeur de bande.
Contrôlez les hot spots du trafic de données : vous décèlerez ainsi les problèmes de système ou les activités illégales. Un fonctionnement trop lent de
votre réseau peut indiquer que votre largeur de bande interne est accaparée
par un trafic non sollicité.
4. Protégez votre réseau contre les virus.
Les virus sont un des grands problèmes du Web. Un logiciel antivirus
scanne le contenu de votre ordinateur et détecte les fichiers qui contiennent
virus, spyware et autres programmes dangereux. Les logiciels les plus efficaces travaillent en continu. Des mises à jour automatiques garantissent
généralement la protection contre le nouveau virus. Votre antivirus n’est pas
automatiquement mis à jour ? Téléchargez vous-même de nouvelles mises
à jour régulièrement.
5. Faites des back-ups fréquents de vos données sensibles.
Faites des copies de vos fichiers de données et des autres informations sensibles, en particulier des fichiers spécialement conçus pour votre entreprise.
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6. Instaurez un règlement informatique dans votre entreprise.
La plate-forme flamande de collaboration informatique ADM
a rédigé un code déontologique pour les administrateurs de
systèmes informatiques. Celui-ci établit des règles garantissant
un usage correct et responsable des informations et systèmes
informatiques au sein d’une organisation. Trois principes de base
y occupent une position centrale : intégrité, protection des informations et obligations d’information. Vous pouvez consulter et/ou
télécharger le document sur www.adm.be
7. Veillez à ce que vos collaborateurs sachent ce qui est autorisé et ce qui est défendu.
Ne tolérez pas que vos collaborateurs téléchargent des programmes illégaux. Ils mettent en effet l’organisation même en danger.
Émettez un signal fort en faisant figurer des règles claires dans le
règlement de travail. Toute personne qui travaille dans votre entreprise doit être consciente de l’importance d’une sécurité intégrée.
8. Elaborez une procédure standard en cas de problème avec
vos applications ICT.
Rédigez un plan de restauration d’urgence en cas de problème
(grave) avec votre structure informatique. Identifiez toutes les
menaces possibles et élaborez des procédures destinées à parer à
ces dangers ou – en cas d’incident – à résoudre les problèmes le
plus rapidement possible.
9. Organisez une concertation entre votre chef de la sécurité et
votre département informatique.
Confiez à une personne définie la responsabilité de la protection et
du contrôle de vos systèmes et ordinateurs. Autorisez-la à développer une politique en matière de sécurité, à intervenir lorsque c’est
nécessaire, et à infliger des sanctions adaptées.
10. Investissez une partie substantielle de votre budget informatique dans la sécurité.
Une protection intégrée, ce n’est pas seulement des connaissances, c’est aussi de l’argent. Plus que les 5 % à 13 % des budgets
actuellement dépensés à cet effet. Selon le spécialiste, 20 % à
25 % des budgets informatiques et télécommunications doivent
être investis dans la sécurité.
Pourquoi investir du temps et de l’argent dans des réunions à l’étranger s’il est possible de communiquer de
manière simple et fiable avec des collègues à l’autre bout du monde ? Avec Téléprésence, c’est comme si vos interlocuteurs se trouvaient dans la même salle de réunion.
La téléprésence n’est pas un concept neuf. Mais après plus de 10 ans dans les
catacombes du marché de la communication, elle est subitement devenue une
manière très attrayante pour les CEO et autre Executive Managers d’économiser du temps et de l’argent depuis que des entreprises comme HP, Cisco,
Tandberg et Polycom ont mis une solution sur le marché.
La téléprésence, c’est bien davantage
que la vidéoconférence traditionnelle.
Le concept est basé sur la création de l’illusion que votre interlocuteur se trouve
dans la même pièce que vous, alors qu’il
est en réalité sur un autre continent.
Cette illusion est créée par le niveau
de qualité audio/vidéo nettement supérieur. Le son est plus clair, dénué de
parasites et d’écho, et le volume est adéquat. Les images sont claires, grandeur
nature, et détaillées. Les caméras procurent un sentiment de contact visuel.
Les deux signaux sont synchronisés, et
envoyés sans délai gênant.
Un avantage très important du concept
est sa facilité d’utilisation et sa fiabilité.
Le démarrage des sessions est très aisé :
une pression sur un bouton suffit. La
technologie présente est la plus discrète
possible, afin de renforcer le sentiment
d’un véritable face-à-face.
Les avantages pour votre organisation sont évidents : vous perdez moins de
temps à voyager et vous économisez des coûts. Simultanément, vous contribuez à la sauvegarde de l’environnement.
Pour obtenir de plus amples informations, surfez
sur www.onemagazine.be/telepresence ou contactez votre interlocuteur habituel.
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my team
Marc Verhofstede
Depuis octobre 2006, Marc Verhofstede dirige
l’ensemble du back-office chez Kinepolis. Son rôle :
optimiser la gestion des coûts et le fonctionnement des équipes pour une meilleure rentabilité.
Communication
Quelle formation avez-vous ?
Je suis ingénieur commercial
(ICHEC). Cette formation comprend
des aspects techniques et informatiques, en plus de la gestion financière et des langues. Cela m’aide pour
discuter avec les différents départements d’une entreprise.
L’équipe back-office de Kinepolis groupe 3 départements : “projection et son”, IT et administration.
Environ 100 personnes en Belgique, dont la moitié travaille au niveau international. Marc Verhofstede supervise
la collaboration entre départements.
COMPANY PROFILE
Le succès d’une équipe
motivée : la communication.
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Dans les différents pays où le groupe Kinepolis
est présent, la gestion est confiée à un General
Manager local, qui a une grande latitude, tout
en gardant un concept identique à l’ensemble
du groupe. C’est là tout l’intérêt des services de
support internationaux, qui sont implantés à
Bruxelles (prochainement à Gand). Ils regroupent 3 départements : l’équipe “projection et
son” compte 12 personnes; dans le service IT,
13 personnes prennent en charge le support, le
développement des produits internes et la gestion de projets; le service administratif reprend
la comptabilité, ainsi que 3 personnes pour le
business intelligence. Historiquement, ces services étaient séparés. Le ICT & Performance
Director les fait collaborer de plus en plus en
développant ensemble de nouveaux produits.
Les équipes sont rassemblées en deux pools
dans des bureaux paysagistes. Parfois un peu à
l’étroit vu le nombre d’appareils…
Pour Marc Verhofstede, la communication des
décisions stratégiques de l’entreprise à son
équipe est une priorité. Il annonce tout changement bien à l’avance en mettant l’accent sur
l’amélioration visée. Les équipes participent au
développement, aux phases de test, puis sont
formées aux nouveaux outils. L’écoute et le respect des avis des différents départements sont
essentiels, ainsi que la compréhension des spécialités de chacun.
Pour Marc Verhofstede, une bonne équipe, c’est
une équipe qui comprend à quoi elle sert. L’explication du “pourquoi” et ses conséquences
positives permet à chacun de comprendre les
enjeux, d’accepter plus facilement les modifications et de rester motivé. En cas de conflit, une
personne de contact est désignée. Elle ne se préoccupe pas de savoir qui a généré le conflit, elle
vise la solution.
Quand on lui demande de qualifier son style de
leadership, Marc Verhofstede répond : coach.
D’esprit ouvert et à l’écoute, il accorde beaucoup
d’importance à la confiance réciproque et à la
transparence. Il voit son rôle comme le guide
chargé d’expliquer les lignes de conduite décidées par l’entreprise. Il assure la cohérence de
leur mise en œuvre. Il aide les personnes à suivre ces lignes de conduite et, surtout, leur en
donne les moyens par des solutions et des optimisations.
• Il y a une vingtaine d’années,
plusieurs familles se regroupent
pour implanter de grands
complexes de salles de cinéma.
Le groupe Kinepolis est né.
• Totalement informatisé à Ostende,
le son est calibré et contrôlé au
siège central. A terme, toutes les
salles en seront équipées.
• Le complexe de Bruges innove avec
un foyer ouvert permettant une
libre circulation des visiteurs, sans
contrôle d’accès avant la salle de
cinéma.
Votre parcours professionnel ?
Après avoir été assistant en méthodes quantitatives à l’université, j’ai dirigé
pendant 4 ans une petite maison d’édition de BD, ce qui me faisait toucher
au commercial, à la production et au choix éditorial. Mêler le milieu artistique et le business me plaît toujours. J’ai optimisé les coûts et la comptabilité
pour un producteur de sauces artisanales avant de diriger l’administration
d’une société d’informatique traduisant des logiciels vendus mondialement.
Ma carrière chez Kinepolis a débuté à Lille, où j’ai supervisé l’administration.
Puis, 2 ans plus tard, la même fonction m’a été confiée, mais au siège central,
à Bruxelles. Depuis octobre, j’y ai la responsabilité du tout le back-office, au
niveau international.
Qu’est-ce qui vous passionne dans
votre fonction actuelle ?
L’ambiance jeune et motivée. Elle est
en partie liée au produit ‘entertainment’ : le cinéma fait rêver. Nous
profitons d’avant-premières et d’événements ‘fun’. Je trouve valorisant de
travailler pour une enseigne connue.
Et je suis très content de l’évolution
de nos équipes.
IDENTIKIT
Marc Verhofstede,
ICT & Performance Director chez
Kinepolis, international
Société : Kinepolis
Carrière : gestion administrative dans
des secteurs variés (édition, finances,
Internet, logiciels et... cinéma)
Et votre futur chez Kinepolis ?
Kinepolis est une entreprise jeune
qui se cherche encore en organisation
interne. Mon travail est un défi quotidien. L’optimisation du back-office est
un projet de plusieurs années !
Département : l’ensemble du
back-office
Personnalité : esprit ouvert et
exigeant
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management
Non seulement les investissements informatiques aident votre entreprise à aller de l’avant,
mais, souvent, ils stimulent aussi son chiffre d’affaires. Le passage de l’entreposage de données
(data warehousing) à l’informatique décisionnelle
(business intelligence) en est un bel exemple ; il
montre que les CIO et les CFO ont en fait besoin
les uns des autres : au final, ils poursuivent le
même objectif. Et pourtant, votre CFO se montrera en général assez réticent à votre proposition
de mettre en œuvre des projets de grande envergure ou d’acheter de nouveaux systèmes informatiques. Comment parer à ses hésitations ou à son
refus ? La réponse est simple : si vous comprenez
mieux comment fonctionne le département de
votre CFO, vous réussirez à remporter l’adhésion
de votre CFO à vos projets.
Faites-lui entrevoir les bénéfices
AUGMENTEZ LES CHANCES DE RÉUSSITE DE VOS PROPOSITIONS DE PROJET
Convaincre
votre CFO
En tant que CIO, vous êtes certainement en bons termes avec votre CFO. Il n’empêche que,
souvent, vous aurez à le convaincre de la nécessité de certains investissements informatiques,
à demander des moyens supplémentaires pour de nouveaux développements, ou encore à lui
expliquer pourquoi tel projet a dépassé le budget prévu. Comment faire pour arriver à vos fins ?
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Une bonne préparation est essentielle pour faire
approuver des propositions de projet. Rédigez des
mémos montrant que votre proposition est nécessaire à l’entreprise. Votre investissement a-t-il un
impact direct sur le chiffre d’affaires ? Induira-t-il
une augmentation des ventes ou une diminution
des coûts ? Prouvez-le ! Le CFO le comprendra
immédiatement. Votre proposition d’investissement peut aussi être nécessaire pour rester en
phase avec le marché ou pour garantir la stabilité
du fonctionnement de l’entreprise, ce que le CFO
sera moins enclin à comprendre. Étayez vos assertions par des données commerciales émanant de
bureaux d’études, d’articles de presse ou de sites
internet. N’oubliez pas d’inscrire votre projet dans
l’objectif général de l’entreprise.
Devancez les problèmes
Il est très important de s’efforcer de devancer
une série de questions que les CFO se poseront toujours en leur for intérieur. Ainsi, ils se
demanderont si les budgets alloués à l’informatique apporteront effectivement quelque chose
à l’entreprise, et, dans l’affirmative, en quoi
consistera exactement cet apport. Vous devrez
donc pouvoir prouver de manière tangible les
avantages escomptés. Vous devez absolument
éviter que votre CFO ait l’impression qu’il doit
consacrer des moyens financiers à une technologie de pointe dont il ne perçoit pas l’intérêt.
Un dossier commercial bien ficelé vous aidera
à le convaincre. Par ailleurs, les CFO aiment
voir les projets réalisés dans les délais impartis,
sans dépassement de l’enveloppe budgétaire.
Établissez dès lors un plan détaillé des activités prévues. Indiquez les risques potentiels
pour votre position sur le marché, vos clients,
d’autres départements de l’entreprise, ses ressources,… Votre proposition de projet a-t-elle
des implications pour les procédures de travail actuelles ? Votre département commercial
sera-t-il en mesure de convaincre les clients de
procéder d’une autre manière ? Le service du
personnel parviendra-t-il à susciter l’adhésion
des employés ? En prévoyant une solution à
ces problèmes potentiels, vous ferez très bonne
impression avec votre proposition. Vous inciterez ainsi le CFO à approuver votre projet, et
mieux encore, à encourager les autres départements à y prêter leur concours.
L’IMPORTANCE D’UN BON
DOSSIER COMMERCIAL
Un CIO doit pouvoir constituer un bon dossier commercial qui prouve le rendement
escompté. C’est en effet avec cet outil
que vous persuaderez votre CFO ou votre
direction. Comment dresser un dossier
commercial convaincant ?
1. Sachez ce que votre entreprise veut
Dans bon nombre d’entreprises, les
projets doivent générer un rendement
bien précis. Le CIO devra prouver que
son projet d’investissement sera rentable. Veillez donc à faire état de chiffres
indiscutables.
2. Recherchez des partenaires
Il est très difficile de constituer seul un
dossier commercial fort. Recherchez
dès lors au sein de votre entreprise des
partenaires susceptibles d’étayer les
différents aspects de votre proposition
en s’appuyant sur leur spécialisation :
technologie, coûts, délais, implications
pour le personnel et les formations,
alternatives,…
3. Calculez les coûts et les revenus
Votre proposition de projet peut présenter divers avantages : augmentation des
revenus, amélioration de la satisfaction
de la clientèle, diminution des erreurs de
production,… Livrez-vous à une évaluation rationnelle des coûts et des bénéfi-
10 CONSEILS POUR MARQUER DES POINTS AUPRÈS DE VOTRE CFO
1. Mettez-vous dans la peau de votre CFO : analysez la manière dont il évalue vos propositions de projet.
2. Recherchez des alliés : convainquez d’autres chefs de département de la nécessité de vos projets.
3. Formez des groupes de travail informels avec d’autres chefs de département.
4. Invoquez des études et d’autres sources d’information à l’appui de votre dossier.
5. Votre projet doit être dans l’intérêt général de l’entreprise, et non de celui de votre département.
6. Soyez soucieux du rendement et pensez en termes de rentabilité du capital investi.
7. Faites une description détaillée de la mise en œuvre de votre projet en indiquant les risques potentiels.
8. Veillez à bien communiquer avec votre CFO et organisez chaque semaine une réunion informelle.
9. Changez votre manière de penser : pensez d’abord en expert de la communication, puis en un stratège commercial,
et enfin en technicien.
10. Présentez un dossier commercial bien ficelé.
ces. Efforcez-vous de prévoir différents
scénarios. Veillez à pouvoir expliquer ou
rectifier des résultats décevants.
4. Les avantages immatériels sont
également importants
Il n’est pas toujours possible de prouver
une plus grande notoriété ou une amélioration de la satisfaction de la clientèle.
Intégrez-les quand même dans votre
proposition, même si vous ne disposez
pas de preuves inattaquables. Ces arguments peuvent peser dans la balance.
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book review
DE MEILLEURS PRODUITS GRÂCE À LA COLLABORATION SUR LE NET
Le meilleur vient du dehors
L’environnement d’une entreprise en sait bien plus, et peut bien plus, que l’entreprise
proprement dite. Bonnes idées, produits innovants et solutions intelligentes peuvent
certes résulter de recherches internes, mais sont, grâce à l’Internet, surtout disponible ailleurs : chez les étudiants, professeurs d’université, clients, concurrents, partenaires, fournisseurs, bénévoles… avec un succès bluffant à la clé.
Avec Growing Up Digital et The
Naked Corporation, Don Tapscott est
l’un des auteurs les plus influents
de l’univers du numérique. Avec
Anthony Williams, il vient d’écrire
Wikinomics: How Mass Collaboration Changes Everything. Ils y décrivent la manière dont les foules – par
l’Internet – contribuent au développement de produits et de solutions pour
les entreprises. Tapscott et Williams
affirment que dans notre monde en
évolution rapide, les chances de succès s’amenuisent pour les entreprises
fermées. Une évolution qu’ils baptisent Wikinomics, métaphore d’une
nouvelle ère de participation et de
collaboration.
Créativité et innovation
sur l’Internet
Lecture obligatoire pour tous ceux qui
s’occupent d’innovation et de recherche.
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Les auteurs n’ont bien entendu pas
inventé ce concept de toutes pièces.
L’open source et l’innovation ouverte
existent depuis longtemps. L’Internet est déjà une source inépuisable
de créativité et d’innovation. Le livre
souscrit dès lors totalement aux principes des grandes entreprises du
Web 2.0, comme YouTube, Yahoo et
LinkedIn Answers, Flickr et Wikipedia. Mais les communautés en ligne
– qui, aujourd’hui, concernent essentiellement l’information, les produits
de divertissement et les biens publics
– pourraient gagner en importance
dans le développement de produits
de grande consommation, affirment
Tapscott et Williams. Ce qui constitue précisément le cœur des Wikinomics. Procter & Gamble (P&G) puiserait déjà 35 % de ses innovations dans
des sources externes, alors que ce
taux ne dépassait pas 15 % il y a 5 ans.
Dans son projet InnoCentive, P&G
invite par Internet le monde extérieur
à trouver des solutions aux problèmes
des consommateurs. Des milliers de
scientifiques résolvent aujourd’hui
davantage de problèmes que les spécialistes des P&G…
L’abolition des frontières
de l’entreprise
Les entreprises désireuses de mettre
en œuvre les principes des Wikinomics doivent appliquer quatre règles
fondamentales : travailler en groupes
(Wikipedia, réalisée en commun),
être ouvertes (Lego, qui conçoit des
robots avec ses clients), partager leurs
connaissances (Procter & Gamble,
qui libère ses brevets) et fonctionner
à l’échelle mondiale (General Motors,
qui brise ses structures locales). Par
le passé, les entreprises à succès
devaient être le plus fermées possible. L’analyse de Tapscott et Williams
démontre que les entreprises poreuses à la créativité et à l’expertise externes ont désormais plus de succès que
celles qui font confiance aux forces
présentes entre leurs murs. La transparence revêt également une importance
primordiale. Alors que par le passé, les
entreprises mettaient tout en œuvre
pour protéger leur propriété intellectuelle, il est aujourd’hui plus profitable de les ouvrir au monde. D’autres
peuvent développer les techniques ou
services proposés, ce qui permet d’atteindre rapidement le plus grand nombre.
Enfin, les auteurs affirment que
grâce à Internet, la concurrence vient
aujourd’hui de tous les côtés et de toutes les parties du monde : les entreprises ne peuvent plus se limiter à leurs
propres frontières nationales.
Les Wikinomics, ça marche
Les Wikinomics sont-elles l’énième
lubie de deux gourous ? Non. Les
auteurs étayent leurs affirmations à
l’aide de divers exemples. Linux est
bien entendu l’archétype du succès des
Wikinomics, mais on recense de nombreuses autres réussites, y compris en
dehors de la technologie. La plus frappante est sans doute celle de l’entreprise
minière canadienne Goldcorp, qui, il y a
10 ans, était en mauvaise posture, jusqu’à
ce que son CEO Rob McEwen ait une
idée. McEwen savait qu’il y avait de l’or à
un endroit donné, mais manquait d’ingénieurs capables d’analyser toutes les données géologiques. Goldcorp a alors décidé
de placer sur l’Internet toutes les données
géologiques disponibles sur l’emplacement
– jusqu’aux plus secrètes – et de lancer au
monde extérieur le défi d’extrapoler ces données à la recherche de l’or. Notamment grâce au
prix en argent décerné aux vainqueurs du Goldcorp Challenge, les analyses utiles ont afflué.
Goldcorp était sauvée et l’entreprise a connu
une énorme croissance au cours des 10 années
suivantes. Un exemple typique de Wikinomics,
selon Don Tapscott et Anthony Williams.
Wikinomics permet à toute
organisation d’accéder à
des spécialistes capables de
résoudre les problèmes.
DON TAPSCOTT
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events
Journée InDigO 2007
Après le succès des éditions précédentes, EDS-Telindus et ses
partenaires stratégiques organisaient le 22 mai une nouvelle
journée InDigO. InDigO est l’abréviation de “Innoverende
Diensten voor groeiende Overheden” (Services innovants pour
administrations publiques en croissance) et permet aux titulaires d’une fonction ICT au sein de l’administration flamande de
découvrir de nouvelles solutions innovantes dans leur domaine.
90 fonctionnaires s’étaient inscrits pour cet événement, qui a
eu lieu dans les bâtiments Telindus de Haasrode.
1. Patrick Urkens, Directeur Général THV EDS-Telindus, en
conversation avec Peter Van den Neucker (Responsable
ICT de l’entité Politique ICT, section Finances et Budget
de l’Administration flamande) et Danny Reunes (informaticien au département Finances et Budget de l’Administration flamande).
Star Conference
Le 31 mai, le château de Grand-Bigard constitue le décor d’une
nouvelle Star Conference, la première organisée conjointement
par Belgacom, Proximus et Telindus. Le thème de la conférence
était “FUSION, a blend of new flavors”.
1
1. En discussion avec Bieke Ilegems, Grégoire Van Cutsem
(Vice-President Product & Solutions Enterprise Business Unit) et Jan De Schepper (Vice-President Enterprise Business Unit, Corporate Market) ont expliqué le
concept “ONE company and ONE STAR program”.
2
3
2. Trois artistes ont assuré les intermèdes musicaux : la
chanteuse lyrique Anne Cambier, le DJ Buscemi et le pianiste de jazz Michel Bisceglia.
3. La Star Conference est l’occasion idéale de discuter avec
des collègues.
1
2. Un aparté entre Christa Herdewijns (chef de la cellule
Infrastructure, entité Politique ICT de l’Administration
flamande), Frank Huynen (Directeur Stratégie & Innovation THV EDS-Telindus), Waikong Yu (conseiller IT,
entité Politique ICT de l’Administration flamande) et
Johan Bruynseels (Chief Technology Officer pour le secteur public chez THV EDS-Telindus).
2
3
3. Mireille Van Pollaert de la Ligne d’information flamande
et Geert Mareels, chef de projet e-government Administration flamande, dans une discussion animée.
ICT Academy et Safety & Security event
Le 7 juin, deux séminaires passionnants
ont été organisés à la Surf House
d’Evere concernant les ICT et les
aspects Safety & Security. Les experts
Luc Beirens (voir page 40), Georges
Ataya, Patrick Van Eecke, Cricket Liu
et Yvan De Mesmaeker y ont partagé
1
2
3
leurs expériences avec le public
présent. Bien entendu, les participants
ont également eu l’occasion de discuter
autour d’un verre et d’un en-cas offerts
1. Les séminaires ont eu un succès assez important. Non seulement les thématiques abordées ont suscité un fort intérêt, mais de nombreux
participants y voient également une occasion de nouer des contacts.
2. Tineke Van Eycken (PreSales consultant Telindus) en discussion avec Guido De L’arbre de La Poste.
3. Luc Tillemans du Conseil Supérieur au Diamant et Dieter De Pauw (Unit manager Industry).
au terme de la session.
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corporate news
column
D
ès son annonce, la fusion de Belgacom, Proximus et Telindus a engendré une certaine agitation.
Il est clair qu’il s’agit d’un des principaux événements
de l’année sur le marché belge de l’informatique et des
télécommunications. Les clients ont conscience que l’intégration ne sera pas aisée, mais ils ne toléreront pas le
moindre contretemps causé par l’opération.
Les contrats en cours doivent être respectés, les services
doivent être fournis. Aucun doute n’est permis : le défi
est de taille.
En rassemblant une entreprise de télécommunications, un opérateur mobile et un intégrateur, le Groupe
Belgacom a tout en main pour mettre sur le marché une
offre forte. Il est donc logique que l’intégration suscite
de grands espoirs d’innovations radicales et créatives,
en particulier en matière de convergence des services
mobiles et fi xes. Le fait de proposer la meilleure solution
TELINDUS NEDERLAND SE RENFORCE EN REPRENANT ISIT
Telindus a récemment acquis la totalité du
capital d’ISIT, le spécialiste néerlandais du
stockage de données. La société – leader sur
le marché aux Pays-Bas – affiche plus de
15 années d’expérience et est spécialisée
dans les solutions réseaux de stockage, d’archivage et de back-up. ISIT offre en outre un
service permanent 24 heures sur 24, 7 jours
sur 7, et dispose également d’un institut de
formation. Les chiffres sont excellents : avec
une équipe de 70 collaborateurs, l’entreprise
a réalisé en 2006 un chiffre d’affaires de
26 millions d’euros, avec une marge sur
ebitda positive de 15 %. Roelof Borggreve,
d’ISIT est enthousiaste : “Avec Telindus,
nous pouvons élargir nos perspectives
internationales.”
Selon Ronald Everaert, CEO de Telindus,
l’opération s’inscrit dans la tendance à la
convergence qui caractérise le secteur de
l’informatique et des télécommunications.
De même, on remarque de plus en plus de
points de convergence entre le stockage de
données et les réseaux. Telindus-Belgacom,
un des pionniers en matière de convergence,
désire dès lors étendre son savoir-faire en
matière de stockage de données. Une bonne
nouvelle, donc, pour les clients Telindus.
Telindus est d’ailleurs active sur le marché néerlandais depuis 1986 et y compte
déjà quelques clients importants tels que le
port de Rotterdam, Casema et la Bourse aux
fleurs d’Aalsmeer.
Défis et opportunités
Danielle Jacobs
LE MAGHREB PLUS PROCHE DE LA BELGIQUE
Le Groupe Belgacom vient de lancer un nouveau service spécialement destiné aux communautés des pays du Maghreb (Maroc,
Algérie et Tunisie) établies en Belgique.
Proximus et Maroc Telecom, leader sur le
marché marocain des télécommunications,
lancent ensemble Mobisud, un opérateur
mobile virtuel (MVNO) qui proposera des
services de téléphonie mobile aux résidents
belges originaires du Maghreb. Les utilisateurs pourront bénéficier d’un réseau d’une
qualité exceptionnelle, d’un service clientèle
adapté à leurs besoins et de prix avantageux
pour leurs communications locales et vers
leur pays d’origine.
En outre, Belgacom a conclu un accord avec
la chaîne de télévision marocaine TVM
International, qui permettra aux Belgo-Ma-
rocains de regarder cette chaîne grâce à un
simple abonnement TV Belgacom. La nouvelle chaîne est l’une des 80 proposées par
Belgacom sur sa plate-forme télévisuelle
interactive lancée en 2005.
QUI EST DANIELLE JACOBS
Danielle Jacobs dirige Beltug
(www.beltug.be), le groupe
d’utilisateurs indépendants pour
les entreprises et les organismes
Pour obtenir de plus amples information,
surfez sur www.proximus.be/mobisud
publics de technologie et services
de communication. De même,
elle est membre du conseil
d’administration de DNS.be,
l’organisation qui gère le domaine.
NOUVEAU DATACENTER POUR BELGACOM
Belgacom dispose d’un tout nouveau datacenter, situé le long de l’autoroute E42, entre
Liège et Namur, dans le zoning industriel de
Villers-le-Bouillet. Le nouveau centre a une
surface de près de 800 m2, et s’ajoute aux
capacités déjà existantes à Evere, Machelen et
Malines. Il ne fait aucun doute que l’ouverture
de ce centre renforcera encore la position de
leader de Belgacom sur le marché belge.
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Le centre propose une gamme flexible de solutions d’hébergement dans un environnement
très sécurisé et facilement accessible. Vous
avez le choix entre block-housing et rack-housing, et si nécessaire, vous pouvez utiliser les
espaces bureaux existants. L’infrastructure
du centre est prévue pour résister aux pires
catastrophes. Ainsi, les différents types de
câblage (électricité, données, fibre) sont sépa-
pour le client, indépendamment du fait qu’elle provient
d’un opérateur fi xe ou mobile, doit constituer une importante plus-value. De même, il existe un fort potentiel
en matière d’applications informatiques mobiles. Chez
Proximus, la fusion devrait encore renforcer les connaissances IT nécessaires à l’intégration avec les applications
des clients.
Au cours des années à venir, le Groupe Belgacom va
investir lourdement dans les réseaux de nouvelle génération. C’est une étape importante, puisqu’elle implique
l’abandon de pans importants de la technologie existante,
comme le RNIS. Mais ces réseaux créent également de
nombreuses possibilités prometteuses. Pour le client, il
sera indispensable de faire preuve de
la transparence en ce qui concerne
L’intégration d’une entreprise de
la stratégie de migration. Pour le
télécommunications, d’un opé- Groupe Belgacom, il serait judicieux
rateur mobile et d’un intégrateur de tenir suffisamment compte de
suscite des espoirs d’innovations l’infrastructure de ses clients, afin
radicales et créatives. de ne pas les placer devant les faits
accomplis.
Je compte sur les concurrents pour voir dans la fusion de
Belgacom, Proximus et Telindus une opportunité de se
profi ler en tant qu’opérateurs indépendants. Seule une
concurrence saine, avec suffisamment d’opérateurs de
capacité comparable, peut permettre aux entreprises belges d’utiliser les services les plus avancés et d’être ainsi
plus compétitives.
be de l’Internet, fondée par Beltug,
ISPA et Agoria. En outre, elle siège
rés. En cas de panne de courant, deux groupes
électrogènes diesel prennent en charge l’alimentation du centre. De même, le dispositif
de sécurité est impressionnant : caméras de
surveillance, contrôle permanent, sas, portes
blindées, contrôle d’accès...
au conseil d’administration d’Intug,
l’International Telecommunications
Users Group, responsable des
relations entre les groupes
d’utilisateurs nationaux. Elle siège
également au Comité consultatif pour
les télécommunications.
J’espère en tout cas que l’intégration du Groupe
Belgacom sera un succès !
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calendar
octobre
Journées Belgacom pour
les autorités publiques
Chaque administration connectée avec le futur :
Belgacom-Proximus-Telindus
communications fixes et mobiles.
une plate-forme comme support de toutes vos
Date: 09-10-2007
Lieu: West-Vlaanderen (Cofar, Roeselare)
Date: 17-10-2007
Lieu: Antwerpen
(Salons De Groene Jager, Brasschaat)
Date: 18-10-2007
Lieu: Oost-Vlaanderen (Domein Slotendries/
restaurant ’t Boerenhof, Gent-Oostakker)
Customer First Event
La Mobile marketing fair for communication, un
événement de 2 jours qui rassemblera plus de
2000 professionnels.
ICT Symposium
Au fil des ans, le Telindus Symposium est devenu la
Belgacom-Proximus-Telindus
première manifestation ICT en Belgique et au-delà.
Cette nouvelle édition restera dans les annales !
Date: 18 &19-10-2007
Lieu: Tour & Taxis, Brussels
Website: www.customerfirst.be
Date: 25-10 & 26-10-2007
Lieu: Tour & Taxis, Brussels
Website: www.ictsymposium.eu
Sous l’égide des leaders de la télécommunication et
de l’ICT, Belgacom-Proximus-Telindus, les professionnels ICT découvriront de toutes nouvelles solutions
ICT convergentes et bénéficieront d’une mise à
niveau à la fois stratégique et technique.
Infosecurity
Les leaders du marché, associations, orateurs et
autres professionnels IT feront part de leurs idées,
technologies, services et points de vues à propos des
Date: 31-10 & 1-11-2007
Lieu: Jaarbeurs,
Utrecht - The Netherlands
Website: www.infosecurity.nl
plus récentes thématiques en matière de sécurité IT.
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Journées Belgacom pour
les autorités publiques
Chaque administration connectée avec le futur :
Belgacom-Proximus-Telindus
communications fixes et mobiles.
une plate-forme comme support de toutes vos
Date: 06-11-2007
Lieu: Luxembourg (Belgacom Lessive)
Date: 13-11-2007
Lieu: Liège (Chateau-Ferme Dusart, Ampsin)
Date: 20-11-2007
Lieu: Hainaut (Ferme de la Pitance,
Thiméon-Gosselies)
Date: 27-11-2007
Lieu: Vlaams-Brabant/Limburg (Hof te Rhode,
Diest)
Date: 29-11-2007
Lieu: Bruxelles (Belgacom Towers)
ICT Manager
of the Year 2007
Prestigieux concours annuel du Manager ICT de
l’année.
Data News and Business ICT
WCA - World
Communication
Awards 2007
Chaque année, le monde des télécommunications
se réunit afin de célébrer les meilleures évolutions
du secteur. Belgacom sera candidat pour le Prix de
la convergence.
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Q3 - 2007
Date: 28-11-2007
Lieu: Belgacom SURF House,
Evere - Belgium
Website: www.ictmanagercontest.be
Date: 28-11-2007
Lieu: London Hilton, Park Lane, London United Kingdom
Website: wca.totaltele.com