Diverses définitions des Arts Martiaux Chinois
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Diverses définitions des Arts Martiaux Chinois
Wushu Arts Energétiques et Martiaux Chinois Diverses définitions des Arts Energétiques et Martiaux Chinois Le Petit Larousse Illustré. Larousse, Paris, 1996 page 583 KUNG-FU [kufu] n.m. inv. (mot chin.).Art martial chinois, assez proche du karaté. page 985 TAI-CHI-CHUAN [tajiwan] ou TAI-CHI n.m. (mot chin.). gymnastique chinoise, constituée par un enchaînement lent de mouvements, selon des schémas précis. Le Petit Robert. Dictionnaires Le Robert, Paris, 2000 page 1398 page 2464 KUNG-FU [kufu] n.m. inv. - v. 1970; mot chin. .Art TAÏ CHI [taji] n.m. - 1979; mot chin. DIDACT. martial chinois, proche du karaté. Films de kung-fu. Gymnastique chinoise, série de mouvements lents et très précis. - On dit aussi TAÏ-CHI-CHUAN [tajiwan]. Fédération Française de Wushu Arts Energétiques et Martiaux Chinois (âge et sexe des licenciés) 0-17 ans 18-29 ans 30-54 ans 55-64 ans 65 ans et + tous âges Licenciés (2007) Arts Externes %H %F 29,7 9,6 34 5,7 16,3 3,4 1 0,2 0,2 0 81,1 18,9 15506 Arts Internes %H %F 1 0,9 4,3 6,4 22,3 45,8 4,3 8,8 2,8 3,5 34,6 65,4 20677 Arts Energétiques %H %F 0,2 0,9 1,4 4,5 14,5 50,9 3,9 14 1,9 7,8 21,9 78,1 4381 1 Dictionnaire de la Sagesse Orientale. Collection Bouquins. Editions Robert Laffont, Paris, 1989 page 502 page 552 SHAO-LIN, MONASTERE DE. {Z chin. ShaoT’AI-CHI-CH’ÜAN. {T (Taijiquan) chin. lin-ssu (Shaolinsi), jap. Shôrin-ji Littér. « le poing [méthode de combat] de l’Ultime [...] Suprême (T’ai-chi) ». Forme de méditation en De nombreuses personnes- y compris des mouvement, issue d’une méthode d’autodéfense. Occidentaux- associent de nos jours le monastère de Le T’ai-chi-ch’üan, dont les origines remontent au Shao-lin à l’exercice du Kung-fu [...] souvent XIVe siècle, consiste en une succession de interprété uniquement comme un « sport de combat », mouvements doux, lents et liés, qui permet d’obtenir alors qu’il s’agissait à l’origine d’une méthode de une harmonisation des forces yin et yang (voir Yinformation à la fois spirituelle et pratique. [...] Yang) par la coordination de la conscience, du souffle et du mouvement. Cette pratique obtient de bons résultats sur le plan de la santé; elle dénoue les tensions à l’intérieur du corps et les blocages dans les méridiens de l’énergie. On connaît aujourd’hui cinq styles de T’ai-chi-ch’uan principaux, dont le plus connu est le Yang, du nom de ses créateurs Yang Luch’an et Yang Ch’en-fu. Le T’ai-chi-ch’uan se pratique généra!ement seul; les exercices à deux sont baptisés T’ui-shou (Tuishou, approx. « les mains qui poussent »). Le T’ai chi-ch’uan peut également inclure le maniement de la lance, du couteau ct de l’énée. page 113 CH’I-KUNG. {T (Qigong) chin. Approx. « travail de l’énergie » (Ch’i). Exercices de santé chinois, contenant des éléments bouddhistes et taoïstes. Ils jouent un rôle essentiel dans la médecine chinoise. Les exercices du Ch’i-kung comprennent des exercices de régulation du corps, de l’esprit (c’est-à-dire visant à l’apaisement de l’activité psychique) et de la respiration comme le T’u-ku-nahsin, des exercices de mouvements comme le T’aichi-ch’uan ou le Tao-yin, des massages, etc. Dans un sens plus large, on peut même entendre sous ce terme les différents arts martiaux (Wu-shu). On trouve une introduction aux principaux exercices du Ch’i-kung dans: Das Tao der Selbstheilung de Josephine Zöller, Berne, 1984. Les exercices du Ch’i-kung sont généralement divisés en deux groupes: les exercices actifs (Tungkung, py.Donggong) et les exercices passifs (Chingkung, py.Jinggong). Les passifs s’exécutent en position allongée, assise ou debout et cherchent à assurer la décontraction du corps, la régulation du souffle et l’intériorisation de l’esprit. On les appelle aussi exercices intérieurs (Neikung, py.Neigong). Les exercices actifs consistent en des séries de mouvements visant à coordonner la conscience et le souffle avec les gestes des membres. On les appelle également exercices extérieurs (Wai-kung, py Waigong). 2 Guide des arts martiaux. Les secrets des Samouraïs. Oscar Ratti, Adèle Westbrook. Editions de la Courtille, Paris, 1976 page 352 à 356 Le mot karaté est une combinaison de deux idéogrammes chinois: kara qui signifie « vide » ou « nu » et te qui signifie « main(s) » ou « poing (s) ».[...] Beaucoup de ces légendes faisaient aussi référence à des écoles de boxe chinoises plus ésotériques. C’est une référence dont certains savants affirment la véracité, car phonétiquement, le mot kara signifie en japonais « vide » ou « nu », mais il peut aussi se rapporter à la Chine ou à tout ce qui en est originaire. Les différentes interprétations, quant aux origines de cet art spécialisé, ont conduit à une théorie qui domine encore la doctrine du bujutsu. On croit communément que l’art du poing s’est peut-être développé par une sur-spécialisation d’exercices antiques, qui se pratiquaient en Chine et aux Indes, afin d’atteindre l’intégration totale. Cette pratique pourrait se comparer à celle du yoga ou tai-ch’i-chuan aujourd’hui. Elle était généralement basée sur les doctrines de Centralisation et d’Intégration décrites dans la troisième partie. Ces exercices anciens avaient pour but de développer et de maintenir un état de bonne santé et de souplesse qui rendraient possible une vie épanouie et complète. C’est aussi le but que s’étaient assigné les civilisations de la Grèce et la Rome antique et qu’exprimait l’axiome mens sana in corpore sano. Un dessein de cette dimension était évidemment très ambitieux. En Chine comme aux Indes, chaque individu pouvait faire ces exercices pour atteindre le niveau d’intégration qui correspondrait à son degré de développement et à sa position dans la vie. [...] On a donné beaucoup de noms à ces exercices qui, d’après certains savants, trouvaient leur origine dans des répétitions stylisées de mouvements nés de ceux de l’univers [...]. On considère que l’inspiration de ces exercices vient tout droit du Taoïsme et ils sont souvent appelés par le nom de Tai-ch’i. Plus tard, on les retrouva sous les noms plus spécifiques de Tai-ch’i-chuan, Kung-fu, pa-kua etc. car ils commençaient alors à se développer dans une optique plus stratégiquement liée au combat et à l’utilisation du pied et du poing pour frapper l’adversaire. Certaines spécialisations sont liées par leur origine au bouddhisme lui-même: le shaolin par exemple. [...] L’art chinois du coup, né d’anciennes formes du tai-chi, semble avoir mûri dans des styles et des écoles diverses, tout au long de l’histoire de cette nation conquérante [...]. A travers ses formes diverses, l’art de la boxe semble s’être développé suivant deux courants issus l’un l’autre de deux styles originels: le style « dur » (wai chia) qui mettait l’accent sur la force musculaire et l’énergie déployée pour exécuter les techniques d’une part et d’autre part le style « doux » (nei chia) qui insistait sur l’unité intrinsèque et interne de l’énergie produite par l’être humain dans sa globalité, et dirigée du dedans. . Suivant des exemples attestés du style « dur » ou « externe », son exécution comprenait plusieurs méthodes de shoalin et de kung fu tandis que le tai ch’i chuan, le pa kua et le hsing I étaient cités en exemple du style « doux » ou « interne ». Cette dualité encore évidente aujourd’hui pourtant dans la doctrine de la boxe orientale, n’était pas rigoureusement délimitée. [...] Elle influençait par conséquent plus le développement de l’énergie déployée pour frapper, que les techniques elles-mêmes. [...] Le shaolin, autre méthode de combat dont l'approche est considérée comme linéaire, a souvent été associée au bouddhisme et, comme nous l'avons déjà vu, au patriarche zen bodhidharrna. C'est une méthode qui nécessite l'usage de techniques très puissantes ou de méthodes de coups de pied ou autres La technique des adeptes du shaolin était caractérisée par une grande économie de mouvements [...]. Les techniques de tai ch’i chuan] avaient toutes un mouvement circulaire caractéristique, les textes anciens réitérant souvent leur opposition aux mouvements droits. Cette caractéristique, comme nous le verrons dans la troisième partie, dominait les méthodes de combat basées sur les stratégies de défense et de contre-attaque. [...] 3 Comprehensive Asian Fighting Arts. Donn F. Draeger, Robert W. Smith. Kodansha, Tokyo, 1980 page 13 In the present century it has been customary to identify the name shaolin with all forms of boxing except the internal forms of t’ai-chi, hsing-i and pa-kua. This is an orthodox teaching but not quite accurate. Shaolin was only one, though certainly the pivotal one, of more than four hundred kinds of boxing. page 17 External - stressed the regulation of breath, training the bones and muscles, ability to advance and retreat, and unity of hard and soft page 31 external system: eye, fist foot page 47 Wrestling (shuai-chiao) page 50 Ch’in-na is an integral part of most boxing systems and almost a basis for wrestling. page 17 Internal - emphasized training of bones and muscles, exercise of ch’i-kung, subduing the offensive by stillness, and had the aim of defeating an ennemy at the instant he attacked. page 31 internal system : will, vital energy, strength page 35 Like Yoga, the Internal System added glandular and mind exercise to muscular exercises favored by External System.[...] Internal System includes : t’aichi, characterized by subbtle yielding; hsing-i stressing direct, hair-trigger energy; and pa-kua emphasizing circular evasion and attack - although many other methods were internal in form and content. T’ai-chi Boxing T’ai-chi exemplifies the internal art better than any other active and popular system of Chinese boxing.[...] page 37 Each posture [of T’ai-chi] has a fighting function. The art embraces three levels: the solo exercise (kung-kia); pushing hands (t’ui-shou); free fighting (san-shou). A fourth level - self-defense - can be readiliy derived from the postures. page 40 Hsing-i Boxing Hsing-i is also called hsing-i lu-ho ch’uan or i-chuan. Pa-kua Boxing [...] The chief exercise of Pa-kua is « walking the circle ». 4 Revues médicales (résumés publiés entre 1995 et 2000 sur Medline principale banque mondiale de données médicales) Les articles médicaux sont essentiellement de trois types : descriptifs, d’opinion et scientifiques. Le standard des articles scientifiques est une étude randomisée (patients répartis au hasard entre différents groupes) controlée (existence d’un groupe contrôle, qui ne fait ou ne reçoit rien, ou qui fait ou reçoit un traitement de référence) avec un nombre suffisant de patients pour soutenir une analyse statistique. mot-clé : kung-fu mot-clé : tai-chi mot-clé : qigong mots-clés rattachés: art martial, karaté, judo, aïkido, mots-clés rattachés: art martial, karaté, judo, aïkido, mots-clés rattachés :exercices respiratoires, relaxation boxe boxe 5 articles présentant le kung-fu comme une activité physique soutenue, aux risques potentiels voisins des autres arts martiaux (entorses, luxations, fractures, voire phlébites). 2 articles descriptifs:[4, 5] 2 articles d’opinion: [2, 3] 1 article scientifique: [1] 1. Jones M A and Unnithan V B. The cardiovascular responses of males subjects to kung fu techniques. Expert:novice paradigm. Journal of Sports Medicine & Physical Fitness, 1998, 38 : 323-9 2. Koh T C. Chinese medicine and martial arts. American Journal of Chinese Medicine, 1981, 9 : 181-6 3. Madorsky J G, Scanlon J R and Smith B. Kung-fu : synthesis of wheelchair sport and self-protection. Archives of Physical Medicine & Rehabilitation, 1989, 70 : 490-2 4. Schlueter A J, Al-Jurf A S and Lentz S R. Kung-fu 13 articles dont 8 en essais contrôlés. Ces derniers présentent le taichi comme: - la meilleure prévention des chutes chez les sujets âgés [6, 9, 12] - un moyen de limiter l’ostéoporose [11] - un exercice améliorant l’équilibre dynamique avec un moindre recours musculaire, une augmentation de la force des muscles extenseurs et fléchisseurs du genou et une meilleure flexibilité vertébrale [3-5, 9, 10] - un exercice physique modéré pour les effets ventilatoires et hémodynamiques[2, 7, 8, 10, 13] - une activité améliorant les troubles de l’humeur liés au stress [1] - une rééducation après chirurgie coronaire mieux tolérée et mieux suivie que les activités classiques [8]. Aucun article sur des inconvénients. 22 articles qui ne vont pas tous dans le même sens 1. Brown D R, Wang Y, Ward A, Ebbeling C B, Fortlage L, Puleo E, Benson H and Rippe J M. Chronic psychological effects of exercise and exercise plus cognitive strategies. Medical Science in Sports Exercises, 1995, 27 : 765-75 2. Channer K S, Barrow D, Barrow R, Osborne M and Ives G. Changes in haemodynamic parameters following Tai Chi Chuan and aerobic exercises in patients recovering from acute myocardial infarction. Postgraduate Medical Journal, 1996, 72 : 349-51 3. Forrest W R. Anticipatory postural adjustment and 1. Bai F, Sun C, Liu Z, Shen J, Shen Y, Ge R, Bei C, Zhang J, Shi X, Liu Y and Liu X. Seeds induced to germinate rapidly by mentally projected "qi energy" are apparently genetically altered. American Journal of Chinese Medicine, 2000, 28 : 3-8 2. Cassileth B R. Complementary therapies : overview and state of the art. Cancer nursing, 1999, 22 : 85-90 3. Eskinazi D D D S. Methodologic considerations for research in traditionnal (alternative) medicine. Oral Surgery, Oral Medicine, Oral Pathology, Oral Radiology, & Endodontics, 1998, 86 : 678-81 4 essais contrôlés sur des effets du qi gong: - accomodation améliorée chez les sujets myopes, par hyperréflexie parasympathique favorisant la progression de la myopie à plus long terme[13] - amélioration globale de l’humeur [5, 6] - réduction de l’anxiété dans certains états douloureux [18] 9 articles descriptifs sur des effets physiologiques [4, 7, 8, 15, 17, 19, 21] voire bizarres [1, 22] 9 articles d’opinion portant sur: - des mises en garde à propos des désordres mentaux induits par le qigong [9, 10, 20], déjà signalés en 1989 [12] - l’opportunité d’examiner la réalité des effets du qigong [2, 3, 11, 14, 16] 5 phlebiris : an anusual presentation of Mondor's disease. American Journal of Hematology, 1996, 52 : 66-7 5. Zetaruk M N, Violan M A, Zurakowski D and Micheli L J. Injuries in martial arts : an overview of five styles. Medicine & Science in Sports & Exercise, 1998, 30 : 52 T'ai Chi Ch'uan. Biomedical and Scientific Instrumentarium, 1997, 33 : 65-70 4. Hain T C, Fuller L, Weil L and Kotsias J. Effects of T'ai Chi on balance. Archive of Otorlaryngology Head and Neck Surgery, 1999, 125 : 1191-5 5. Jacobson B H, Chen H C, Cashel C and Guerrero L. The effect of T'ai Chi Chuan training on balance, kinesthetic sense, and strength. Perception and Motor Skills, 1997, 84 : 27-33 6. Kessenich C R. Tai Chi as a method of fall prevention in the elderly. Orthopedic Nursing, 1998, 17 : 27-9 7. Lai J S, Lan C, Wong M K and Teng S H. Two-year trends in cardiorespiratory function among older Tai Chi Chuan practitioners and sedentary subjects. Journal of American Geriatric society, 1995, 43 : 1222-7 8. Lan C, Chen S Y, Lai J S and Wong M K. The effect of Tai Chi on cardiorespiratory function in patients with coronary artery bypass surgery. Medical Science in Sports Exercises, 1999, 31 : 634-8 9. 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American Journal of Chinese Medicine, 1998, 26 : 39-46 7 En résumé Les arts martiaux chinois présentent une palette très large de pratiques avec trois domaines distincts présentant un état d’esprit, un public et des risques encourus très différents. Arts Martiaux Chinois Externes Arts martiaux basés sur la souplesse, la rapidité et la puissance, à main nue ou avec armes. Arts Martiaux Chinois Internes Arts martiaux basés sur la lenteur et la relaxation, seul ou à deux, à main nue ou avec armes. Arts Energétiques Chinois Pratiques corporelles visant à développer les capacités personnelles par le mouvement et les sensations. Compétition : fréquente et souhaitée. Pratiques dérivées: Compétition marginale. Pratiques dérivées : activité physique de populations exposées à l’effort ou aux chûtes. Risques: Pas de compétition. Pratiques dérivées: activité antistress, avec un risque de charlanisme. Risques: physiques à type de fractures, luxations et entorses. Risques : désordre mental pendant la pratique, parfois persistant. Les différences peuvent pousser à la création de structures différentes pour les gérer. Cependant il n’est pas rare que les enseignants et les pratiquants aient recours à des techniques empruntées aux domaines autres que celui de leur pratique principale. De plus la pratique principale change souvent avec l’âge. Il n’est alors pas illogique de regrouper ces pratiques dans une seule structure. Mais cette structure est alors pluridisciplinaire du fait des différences majeures de technique, de pratique et de risque, et la pluridisciplinarité doit être garantie par la structure sous peine d’explosion à brève échéance. D’autre part les implications financières sont importantes: les activités internes et énergétiques sont peu consommatrices de compétition au contraire des arts externes. Il y a une crainte réelle que les nécessités budgétaires n’imposent un « standard fédéral » ne concernant en fait qu’une fraction des pratiques et des licenciés. Une bonne part des difficultés rencontrées lors des négociations pour la création d’une fédération unique des arts martiaux chinois (ou wu shu) vient de la confrontation de deux cultures, l’une privilégiant une seule approche (surtout compétitive), presque à outrance, l’autre cherchant à ménager les diverses sensibilités. Si l’accord peut alors se faire sur des aspects très généraux, les désaccords sont automatiques lors des applications confrontant ces cultures. Il est à noter que ces difficultés sont perçues par tous, de la base aux dirigeants. Texte paru dans Nouvelles Aux Associations n° 46 de décembre 2000. Commentaire 2013 L’existence des trois branches est une réalité, les différences de culture aussi. La confrontation des cultures est perçue comme enrichissante par les pratiquants et enseignants. 8