Américanne Drim

Les Bleus de Travail présentent
UNE COMEDIE CIRCO-BURLESQUE
LLe spectacle que les américains rêvaient de faire !
SPECTACLE DE RUE
CREATION MAI 2014 POUR LES 15 ANS DE LA COMPAGNIE
Accompagnement et diffusion
Label Saison / Gwénaëlle
09 51 99 79 28 - 06 78 00 32 58
[email protected]
EN QUELQUES MOTS
Marcel, 1,50 mètres, est marié depuis 30 ans à Raymonde, 130 kgs.
Ce sont des anciens saltimbanques...
À l’aube de leur « retraite », Raymonde et Marcel, des
paillettes dans les yeux, décident de partir à la
conquête de l’Amérique.
Ils n’y iront pas en avion... mais en camping
car !
Marcel
En chemin, ils s’arrêteront pour rôder
le grand spectacle qu’ils présenteront
bientôt à Las Vegas...
Raymonde
Un numéro de magie très surprenant, des
chorégraphies chorégraphiées, un dressage de
fauve (Kiki, leur chien empaillé, ressuscitera pour
l’occasion), une chanson dans un anglais « bien de
chez nous ! », un numéro de mains à mains tout en
paillettes et en strass...
Dans les coulisses de leur camping car, ouvert
sur le public, les spectateurs auront la chance de
découvrir ce qu’ils ne sont pas censés voir...
" On l’appelle rêve américain parce qu’il faut être endormi pour y croire. "
George Carlin, comique.
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UN NOUVEL OPUS
Le 9 janvier 2004, avait lieu, au théâtre d’Auxerre, la première représentation de « Bonjour Bonheur ». Le
public découvrait Raymonde et Marcel, un couple atypique, bien calé dans son quotidien, qui, lors d’une
journée ordinaire dans leur petite caravane, allait vivre un instant extraordinaire.
Puis, ce fût « Le Ring » en 2006, retour au spectacle de rue : cette fois, Raymonde et Marcel nous
racontaient 20 ans de leur histoire d’amour en 12 rounds.
Enfin, en 2010, ils partirent pour un « Voyage de noces » rocambolesque avec leur Fiat 500 vintage.
Aujourd’hui, à l’aube de la retraite, Raymonde et Marcel décident donc de tenter le tout pour le tout...
conquérir l’Amérique !
Note de scénographie
Armés de leur camping-car/scène, Raymonde et Marcel vont faire le show : numéros de grande illusion,
chorégraphies et chansons, strass et paillettes...
Mais le monde du spectacle a aussi ses coulisses. Et pour Raymonde et Marcel, la frontière entre la vie
quotidienne et la scène est très fine. Il ne sera donc pas dérangeant pour Raymonde d’aller faire une
petite sieste juste après son numéro de contorsion... Quant à Marcel, il n’oubliera pas d’arroser ses
jardinières entre un lancer de couteau et un équilibre sur un bras...
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NOTE D’INTENTION
Une histoire de couple
Raymonde et Marcel sont contrastés et complémentaires. Les rondeurs de Raymonde supportent les
rêveries de Marcel. Ce sont des clowns, des enfants, ils sont entiers et surprenants. Ce couple est
improbable, c’est ce qui fait sa force.
Raymonde et Marcel vivent en huis clos. A l’aube de leur
retraite, ils franchissent le pas et décident de réaliser le rêve
qu’ils ont mis en commun, le rêve des gens simples, le rêve
Américain.
« Américanne Drim » aborde le rapport du couple dans son
quotidien et le merveilleux du spectacle entre ce qui se fait
devant et se passe derrière. C’est le mirage du spectacle
confronté à la banalité du tous les jours. Et c’est aussi, en
toile de fond, le sacrifice de la vie du couple qu’ils mettent au service du spectacle.
Une forme populaire : le cabaret
La forme du cabaret répond aux origines populaires de ces personnages : le mélange de disciplines
artistiques, performances physiques, théâtre de curiosités, chansons, tableaux et pantomines ajoutent
au spectacle une touche baroque, exubéante et distrayante... un panel « de machines à rêves » pour faire
oublier la réalité du monde.
S’ils choisissent le spectacle de cabaret, le clinquant, l’éphémère, en arrière salle le rideau est levé :
les masques tombent, les paillettes sont remplacées par les rillettes, les lumières par les néons, les
costumes par le peignoir et les charentaises... de ce contraste nait la force comique du spectacle.
Le clown et l’objet
Dans le duo Raymonde et Marcel, l’état de clown détermine le rapport de personnage à personnage et
des personnages aux objets - les clowns vont souvent par couple, forment l’alliance de la victime et du
bourreau, du malin et de l’idiot.
Ces personnages vivent par les objets. Leur clownerie s’accompagne de tout un cérémonial et d’un
nombre d’objets et d’accessoires qui leurs sont indispensables autant qu’ils les dominent et les
entravent : malles, chien empaillé, réveil, couverts, napperons, serpillères, balais, journaux, cycles,
objets de magie…
Le langage : un spectacle (presque) sans parole
« Américanne Drim » s’écrit visuellement aidé par plusieurs indices tels la nuance des expressions, la
fragilité (parfois) des attitudes, la façon de bouger, de s’asseoir… Cette expression comique se lit comme
une partition dont les notes viennent nous chercher et nous transporter dans leur univers.
Sans texte, ou presque, ce théâtre s’exprime davantage par le sensible, les couleurs, les formes, le bruit,
les odeurs, l’issue burlesque des situations.
Peu à peu le banal devient fantastique, le monde quotidien se disloque et la scène est envahie d’objets
de cirque...
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en QUELQUES croquis
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la compagnie
En 2014, les Bleus de Travail fêteront leur 15 ans d’existence
et les 10 ans du duo Raymonde et Marcel
5 spectacles créés
En trio : « Ca s’annonce mal » et « Sous les pavés les Bleus ».
En duo : « Bonjour Bonheur », « Le Ring » et « Le Voyage de noces »
900 représentations
13 pays (France, Belgique, Espagne, Italie, Japon, Allemagne, Hollande, Suisse, Québec,
Portugal, Angleterre, Autriche et Pologne).
5 langues
350 000 spectateurs
Des participations dans les spectacles d’Edouard Baer
(« Luigi Prizzoti » et « Looking for Mr Castang ») et du chanteur Aldebert (« J’ai 10 ans »).
2 lumbagos, 4 entorses, 1 côte cassée et de nombreuses tendinites.
Des nuits dans des hôtels 5 étoiles, des bungalows, des Formules 1...
Quelques dizaines de milliers de km parcourus...
La compagnie Les Bleus de Travail voit le jour par un beau soleil de Juillet
1999. Elle fait ses premiers pas dans des spectacles, où se côtoient dans
un même espace les techniques du cirque, du théâtre et du burlesque.
Alexandre Demay, Daniel Péan et Sylvain Granjon en sont les
initiateurs.
Le Cirque Plume, le cirque de rue Zindare, Le cirque Archaos, la
compagnie Serge Martin, Los Galindos… sont autant de lieux de vie
dans lesquels Les Bleus de Travail ont appréhendé et côtoyé la langue
du rire et de l’espace.
Les Bleus de Travail créent des spectacles burlesques, visuels, mêlant les arts du
cirque, du théâtre et du clown. Depuis la création du duo Raymonde et Marcel,
Sylvain et Alexandre travaillent autour du couple, des rapports de force, du
quotidien et des accidents qui le transforment.
Ils portent une importance particulière à l’effet visuel comique et tentent
de pousser certaines situations jusqu’à l’absurde. Leurs personnages
sont toujours des anti-héros.
Depuis 10 ans qu’ils « rentrent » dans la peau de ces derniers, ils constatent
qu’ils ont grandi avec eux, évolués et vieillis aussi... Pour le meilleur et
parfois, pour le pire !
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lES OPUS Précédents
Ce nouveau spectacle est le 4ème opus d’une série qui a pour thème la vie de couple, ses mystères, ses
disputes et ses joies.
Les personnages sont nés début 2004 lors de la création du spectacle « Bonjour Bonheur ».
On découvrait alors Raymonde et Marcel, vivant dans leur caravane un quotidien bien calibré. Un
événement inattendu allait changer leur vie à tout jamais...
70 représentations seront données dans divers théâtres (France, Suisse, Italie et Portugal).
EXTRAITS DE PRESSE
Le Parisien « Burlesque simplement. Une petite merveille de précision mécanique
et sans temps mort. Un spectacle circo-burlesque qui va émouvoir et émerveiller. »
Le Figaro « La roulotte, le petit nid du couple, est le siège de réjouissantes
scènes. Ensemble, ils ont trouvé la formule qui caractérise leur spectacle : circoburlesque. »
L’Yonne républicaine « Désopilant... Un très irrésistible duo. Avec humour,
tendresse et poésie, « Bonjour bonheur » dépeint la vie en vase clos de Raymonde et
Marcel. Hilarant de bout en bout. »
La Tribune « Spectacle original et burlesque, un savant mélange de théâtre et de
cirque. Il garantit une soirée pleine de rire et de bonne humeur. »
Puis fin 2005, nos deux personnages
montaient sur « Le Ring » pour nous raconter
20 ans d’amour en 12 rounds. Spectacle
pour la rue. 110 représentations (France,
Espagne, Belgique, Hollande, Canada).
En 2006-2007, ils devenaient les parents d’Edouard
Baer dans son spectacle « La folle et véritable vie de
Luigi Prizotti » et jouaient plus de 80 représentations
à la Cigale, aux Folies Bergères et en tournée dans de
nombreux festivals.
En 2010, ils fêtent les 12 ans de la compagnie avec « Le voyage de noces », un spectacle de rue festif
détonant.
EXTRAITS DE PRESSE
Var Matin « Ils ont créé l’événement. Un spectacle drôle et déjanté.
Pendant plus d’une heure, les rires ont fusé devant ces facéties
d’une originalité et d’une diversité détonantes ! » La Montagne « Marcel et Raymonde ont suscité l’hilarité chez
plusieurs centaines de spectateurs. »
Le Journal du Centre « Un mariage hors du commun prétexte à
une déambulation hilarante. Une heure d’acrobaties, de mimes et
de rire garanti. »
Le Havre « Folle ambiance complètement loufoque... Une vraie
petite merveille. »
Le Mans Métropole « Attention, phénomènes. »
Auxerre, vivre sa ville « Du vrai théâtre de proximité, comme on
l’aime. »
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Là où les Bleus ont posé leurs valises
Les principaux festivals où les Bleus de Travail sont passés :
En France
Sortie de Bain (Granville), L’Eté de Vaour, Festival d’Avignon, Pisteurs d’Etoiles (Aubernai), Aurillac, le Théâtre
d’Auxerre, Jazz sous les pommiers (Coutances), La Déferlante (Vendée), Les Virevoltés (Vire), Les Z’accros de ma
Rue (Nevers), Festival International de Clown de Lomme, le Théâtre de Nevers, Les Embuscades (Cossé le Vivien),
Scène Nationale de l’Agora (Ivry), Châlons dans la rue, Les Accroches Coeurs (Angers), Caen Soirs d’Eté, Fête de
l’Huma, Fenêtre sur rue (Bonneval), Les Fondus du Macadam (Thonon les Bains), Théâtre Jean Vilar (Bourguoin),
Ajjacio (Corse), Les Uburlesques (Laval), Charivarue (Cherbourg), La Mouette Rieuse (Dunkerque) les Vendredis
de l’été (Bagnole de l’Orne), Le Havre, Théâtre Jean Arp (Clamart), Bormes les Mimosas, Le Mans fait son cirque,
Les Folies (Maubeuge), Cergy Soit!, Les Beaux dimanches du Mont Noir (Hazebrouck), Les Fêtes de Pont (Marck en
Bareuil), Les Esclafades (St Helen), Jeudis-Jeux de rue (Angoulême), La Saison des clowns (Le Zèbre), Il était une
fois (Bitche), La salle Horizon (Plédran), le théâtre de Clamart...
À l‘étranger
Trapezi (Espagne), Juste pour rire (Montréal), Teater
op de Mark (Belgique), Expo 02 (Suisse), Titirimundi
(Espagne), Teatro Comico (Portugal), Festival d’Eté
de Québec, Teatralia (Espagne), Hasselt (Hollande),
La Piazzade Sogni (Sardaigne), Les Francopholies
(Ottawa), Paléo Folk Festival de Nyon (Suisse), Théâtre
de Baulieu (Suisse), Festival SINSKEN (Belgique),
Imaginarius (Portugal), Olala Festival (Autriche),
Sestriere (Italie), Festival Reuring (Hollande), Festival
de Tarréga (Espagne), Bergamo (Italie), Centre
culturel de Bellem (Lisbonne), Le Festival d’humour
de Montreux (Suisse), Festival international de
Pallassos de Cornella (Espagne), Festival DADOGEI
(Japon)...
Avec les spectacles d’Edouard Baer
La Cigale, Les Folies Bergères, Le Rond Point, Le
Théâtre Marigny, Les Festivals de Ramatuelle,
Perpignan et Angers, Le théâtre national de Nice et de
Cannes, le Théâtre de Beaulieu (Lausanne...)
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HISTOIRE D’UN DUO
SYLVAIN GRANJON
Sylvain commence le théâtre en 1983 à l’âge de 12 ans dans la Compagnie du
Ruclon (Ain). Ils font 3 spectacles et partent en tournée en Italie et au Québec.
Ayant appris les bases du jonglage et des portés acrobatiques, il monte à 15 ans
son premier duo : Les Frères RIGODON.
En 1990, il fait l’école de théâtre Serge Martin à Genève et en sort diplômé en 1993.
Il y étudie l’art du clown, du bouffon, de la Comedia dell Arte ainsi que le théâtre
classique. Puis il part plusieurs mois à Montréal former un nouveau duo : « Sylvain
et Sylvain ». Ils élaborent un spectacle burlesque mélangeant le vélo acrobatique,
le monocycle et la musique.
De retour en Europe, il travaille comme comédien à Marseille et à Genève. Il
interprète entre autre le rôle d’Ubu roi (mis en scène par Cyril de Montenach), de
Bottom dans « Le Songe d’une nuit d’été » (mise en scène de Jean Claude Blanc)
ou du fou dans l’adaptation de « Don Quichotte » (mise en scène Serge Martin).
En 1999, il arrive à Paris et fonde avec Alexandre Demay et Daniel Péan la compagnie Les Bleus de
Travail.
ALEXANDRE DEMAY
En 1978, il rentre à l’école de cirque d’Alexis Gruss au Carré Sylvia Monfort. Il est
engagé, en 1979, pour un numéro d’acrobate, comme voltigeur, au cirque Moralès.
Après un an de travail sur le numéro d’acrobate, il part en tournée en Irlande avec le
cirque Fosset’s, en 1980. Il participe, avec son duo d’équilibre, en 1981, au Festival
Mondial du Cirque et reçoit la médaille d’argent.
Plusieurs collaborations vont succéder en 1982 : Cirque d’Hiver, Circus Svenssons
(Suède), Cirque Giovani Altoff (Alemagne), Buch Rolland.
De 1984 à 1990, il monte un numéro d’équilibre en duo et travaille pour des cabarets
et music-halls, en Europe et en Asie. Il collabore avec le Cirque Archaos en 1991 et
le Cirque Plume de 1992 à 1998.
En 1999, il créé la compagnie Les Bleus de Travail.
LES BLEUS DE TRAVAIL
Cinq spectacles verront le jour par la compagnie :
« Ça s’annonce mal » en 1999 pour le théâtre
« Sous les pavés, les Bleus » en 2002 pour la rue
Puis en duo avec Alexandre Demay et Sylvain Granjon :
« Bonjour Bonheur » en 2004 pour le théâtre
« Le Ring » en 2005 pour la rue
« Le Voyage de noces » en 2010 pour la rue
Parallèlement, ils participent à divers galas en Allemagne (Cabaret Apollo à Düsseldorf), des spectacles
de commande (issus du Cercle, tournée scènes nationales, Les musiques de cirque à la Cité de la Musique
de Paris), ou le Festival du rire de Montreux (Suisse)
En 2006, Edouard Baer leur propose le rôle de ses parents dans son spectacle « La folle et véritable vie de
Luigi Prizzoti ». Ils joueront ce spectacle plus de 80 fois (La Cigale, Folies Bergères, et en tournée...). Le
spectacle reçoit le Golden Globe du meilleur spectacle 2006.
En 2007, Sylvain dresse la chienne Leica en vue de faire un numéro de cabaret, qu’il jouera dans le nouveau
spectacle d’Edouard Baer « Looking for Mr Castang » (2 mois à la Cigale début 2008, tournée d’Automne et
2 mois au théâtre Marigny début 2009).
Alexandre fait en parallèle un stage de clown au CNAC de Chalon et crée un solo de clown, « Les histoires
de Marcel », mis en scène par Alain Veilleux, il le joue à la scène nationale l’Agora d’Evry, puis dans divers
festivals (Le Mans, Laval, Chalon, Aurillac et Avignon, Teatralia à Madrid…). Il prépare un spectacle collectif
« Le Décaclown » mis en scène par Gilles Defacque.
Actuellement, Alexandre joue également dans « La Fascination du désastre », par ATELIER 29 cie Adèll
Nodé-Langlois.
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ILS EN PARLENT
Ils dansent, sautent en l’air, retombent (presque) toujours sur leurs
pieds.
Ils virevoltent, ondulent et se désarticulent étrangement. Ils se battent,
s’étreignent et se repoussent parfois.
Ils sont imprévisibles, poétiques souvent, irrésistibles toujours.
Les Bleus de Travail ont un talent immense et miracle du spectacle...
Raymonde et Marcel s’aiment manifestement. Et nous aussi !
Courrez les voir...
Edouard Baer, comédien.
L’air du temps est au cirque. On voit plein de choses prodigieuses
et quelques fois, quelque chose de prodigieux et drôle. Vraiment
prodigieux et vraiment drôle.
Les Bleus de Travail appartiennent à cette dernière catégorie. La
différence est ceci : à l’opposition de ceux qui font drôles, ceux là sont
drôles.
Howard Buten, clown Buffo.
Les Bleus de Travail cultivent l’excellence dans leur domaine tout en
créant des spectacles populaires de haute tenue.
Bernard Kudlak, Cirque Plume.
J’apprécie la démesure dont ils font preuve, alliée à leurs talents
acrobatiques et comiques.
Pierrot Bidon, cirque Archaos.
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NOTE musicale
La chanson de MARCEL
La première fois qu’j’ai vu Raymonde,
Elle brûlait dans sa tour d’ivoire.
J’ai vu qu’elle était bien gironde,
J’ai pris des forces et ma faconde
Et m’suis lancé tout à ses pieds.
Faire le tour de Raymonde,
Et sans compter les jours.
Faire le tour de Raymonde,
En même pas quatre-vingt jours.
Quand elle est fatiguée, et toute mélangée
Qu’elle ne sait pas quoi faire, elle brosse son chien Kiki.
Le chien qu’elle a aimé, est maint’nant trépassé.
Son dos est tout élimé, y a plus rien à espérer
Faire le tour de Raymonde...
L’Amérique, ce pays où tout serait encore possible,
même de s’aimer encore.
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MENTIONS
Spectacle de rue
Horaires de programmation idéales le soir à la tombée de la nuit (pour les effets lumineux)
Jauge variable pouvant aller jusqu’à 1 000 personnes en demi-circulaire
Tout public
Durée : 1h
Création mai 2014
De et avec : Alexandre Demay et Sylvain Granjon
Création sonore : Alain Buisson
Création lumière : Selection en cours
Conception/conseil tour de magie : Michelé Chen
Création marionnettes : Cécile Chevalier
Création costumes : Odile Martin
Costumes Raymonde (structure) : Bruno Bompas
Conception caravane : TRICYCLIQUE DOL (Guillaume de Baudreuil et Ben)
Conception camping-car : Franck Royer
Accessoiriste/décorateur : Arnaud Liegon
Chorégraphies : Stéphanie Andrieu
Administration : Françoise Minary
Photographies (affiches, plaquettes) : Maud Bernos
ACCOMPAGNEMENT ET DIFFUSION
Gwénaëlle / Label Saison
09 51 99 79 28 - 06 78 00 32 58
[email protected]
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