Assemblée Générale ordinaire

Assemblée Générale ordinaire
d’Arbre & Paysage 32
Activités du 1er Juillet 2014 au 30 Juin 2015 - Saison 2014-2015
Jeudi 3 Décembre 2015 -18h>20h
Auch - hôtel de département
Partenariats
à enjeu d’intérêt général, réponse collective...
ils nous épaulent pour le retour de l’arbre champêtre :
Rapport moral
Le pari agroforestier
L’agroforesterie, nous avons décidé de l’investir pleinement. Elle est un savant mélange de techniques ancestrales, de recherche,
de bons sens paysan et de règles dites écosystémiques. Elle est surtout l’histoire, la belle histoire que nous allons écrire
ensemble, puis chacun avec un cheminement singulier. Si le tronc est commun, les branches ont de multiples ramifications, de
multiples directions ; elles sont bourgeonnantes de vie et de richesses à explorer.
Chaque jour qui passe montre que tout cela n’est pas une mode, c’est peut être par contre un mode nouveau de voir et de faire
de l’agriculture.
Le pari c’est d’engager une réflexion à la hauteur des enjeux, de projection et de prospection, mais aussi est surtout l’obligation
d’être prêts quand tout cela va vraiment bouger quand on va enfin changer d’échelle et emboîter concrètement tous ces
maillons de la chaîne des évidences.
Le pari d’investir dans une équipe jeune, de faire un accompagnement à la hauteur des enjeux, le pari aussi d’être sur le terrain
au cœur des problèmes.
Le pari du génie végétal quand tous les modèles sont encore à essayer de trouver des solutions à base de béton ou autres
digues.
Le pari, c’est de miser sur la connaissance et la compétence de chacun et d’être nombreux pour accompagner, conforter et
amplifier ce mouvement de fond.
Le pari, c’est de continuer à pousser les portes des ministères, de bouger les montagnes des textes réglementaires, juridiques,
techniques et des proposer des cadres simples, opérationnels, rationnels, fonctionnels ; participer au débat public, c’est aussi
un pari coûteux en temps mais nécessaire pour que les arbres retrouvent leur juste place.
Le pari, c’est aussi de trouver des aides publiques pour financer ces sujets de société, sujets de premier ordre.
Le pari, c’est celui de l’agronomie et le pari de l’agronomie, c’est de mettre enfin des mots sur les maux de toutes les agricultures
qui s’enlisent souvent dans l’érosion du capital sol et c’est donc de dire que ça va déjà pas très bien et que ça va aller franchement
mal. C’est aussi de montrer partout où ça va bien. Oui, ça a été dur. Oui, il y a eu des échecs. Mais pour rien au monde je ne
reviendrai en arrière paroles d’experts... agriculteurs.
Le pari, c’est de clarifier et proposer enfin des indicateurs et des indications clarifiées et quantifiées et des perspectives
dynamiques pour des champs inexplorés : une agriculture avec et non pas contre nature.
Le pari, c’est d’attaquer de front tous les modes de production : maraîchage, élevage, viticulture et grandes cultures, puisque
partout ça veut bouger mais ce n’est pas facile de savoir par quoi commencer.
Le pari, c’est de rassembler des savoirs aux origines multiples et parfois lointaines pour les assimiler et les remettre à disposition
du plus grand nombre; un travail de fourmi, ou plutôt, de ver de terre.
Le pari, c’est de trouver suffisamment de temps pour réconcilier ceux qui veulent produire à tout prix et ceux qui veulent
protéger à tout prix ; c’est pas forcément difficile, surtout autour d’un repas agroforestier, mais le temps c’est de l’argent.
Le pari, c’est de participer au débat public pour déminer, désamorcer, accompagner, aider à sortir des préjugés et surtout des
idées reçues, pour aller en direction des prés vergers, pour écrire ensemble le champ des opérationnel possibles : simple, pas
cher, généralisable et avec des valeurs ajoutées.
Le pari, c’est une équipe pluridisciplinaire et complémentaire qui lutte contre les bonnes vieilles habitudes, les bonne vieilles
certitudes. Travailler ensemble pour appuyer, conseiller, former, sensibiliser, chercher... autour de ces sujets de premier ordre
dans un monde soi-disant fini à protéger.
Le pari de cette équipe avec technicité et dextérité, c’est de démontrer que tout finit dans l’assiette. Mais avant cela, il faut
encore digérer des textes nombreux, copieux, parfois contradictoires, souvent obsolètes. Il faut aussi écrire les recettes, les
tester, les adapter et faire accepter qu’elles rentrent bien dans le grand livre et dans les éléments de bases des ingrédients.
Identifier les bons acteurs.
Un plombier dirait que nous avons les tuyaux, la chaudière à bois énergie, mais que le robinet est fermé à clef et que le mode
d’emploi est perdu dans un étage du système. Même si ce n’est pas son métier de départ il irait même jusqu’à regarder si on a
bien tous ensemble anticipé correctement nos besoins en biomasse, si la concertation a bien eu lieu. Dans tous les cas, on va
prendre du retard... Suivez mon regard!
Revenons à nous moutons sous les arbres ! Le pari, c’est d’analyser et de traduire ce sujet tellement il est considérable,
déterminant et structurant pour la suite : il bouscule, il perturbe, il pose des questions de fond et remet bien des principes à
plat; fertilité quand tu nous tiens ! Bien sûr le sujet n’est pas refusé, - bien trop difficile à contredire -, mais il est encore trop
souvent remis au lendemain par beaucoup ; on va y aller forcément, mais on ne sait pas quand.
Il est vrai qu’il faut encore améliorer le service, que les aides sont là mais longues à arriver, que la PAC dit encore une chose et
son contraire, que la chaîne des décideurs et accompagnateurs n’a pas encore totalement digéré ce virage...
Le pari de voir à moyen et à long terme, sacré pari et pourtant.... C’est vrai que c’est long, mais le vrai risque c’est sûrement de
ne rien faire.
Le pari de faire concerté et cohérent : arbres = agronomie = économie = économies = opportunités...
Le pari réussi de transformer les contraintes en opportunités, pari réussi par les agriculteurs du réseau. Reste à transformer
l’essai.
Le pari de porter cette parole de l’ombre au plus haut niveau pour que l’exception devienne la règle, que le terrain ait enfin son
mot à dire dans un système sous perfusion morose qui prône la fuite, la fuite en avant.
Le pari, c’est d’investir lourdement dans la recherche, la communication et l’édition, des investissements nécessaires
suffisamment singuliers qui porteront leurs fruits dans quelques années pour nous et surtout pour nous tous. Des arbres qui
protègent et qui produisent, oui mais le bon, avec la bonne origine, au bon endroit, dans les bonnes conditions, avec les bonnes
personnes et au regard des changements à venir. L’avenir justement, c’est bien de faire le pari d’un agriculture qui améliore la
fertilité de ces sols chaque jour qui passe, ces fameux humus stables, cet héritage aujourd’hui mis à mal dont les conséquences
à moyen terme sont désastreuses : réchauffement, inondations, productivité très affectée...
Le pari d’une agriculture qui passe de l’effet de serre à l’effet de terre.
Prévoir, ça eut payé. Enoncer, alerter et parfois dénoncer ça n’a jamais payé, surtout dans un contexte morose généralisé.
Le pari de dire qu’on va avoir chaud, que des filières entières vont souffrir, que c’est les sols qu’il faut avant tout nourrir et
protéger pour amortir les chocs... Le message passe maintenant, d’autant que l’on peut sérieusement agir et qu’agir c’est
produire. Produire du savoir, de l’écoute, engager le débat, c’est encore et beaucoup de temps pour recevoir tout ce beau
monde au coin des champs : députés, sénateurs, techniciens, services administratifs, contrôleurs..., la liste est longue c’est
sûrement parce qu’un pareil sujet concerne vraiment beaucoup de monde.
Le pari de se dire que tous ces efforts d’essuyage de plâtres, à passer plus de temps à faire de la paperasse que dans les champs
pour faire des projets, ça finira bien par servir, servir aux autres aussi ; décrypter des plans (biomasse, biodiversité, abeilles,
climat, eau...) non concertés, déconnectés, souvent creux et insipides. Alors que ces questions peuvent et doivent être traitées
globalement et simplement.
Les agriculteurs pionniers ont avec nous bravé les contraintes et parfois les interdits pour finir de démontrer ô combien ils
avaient raison. Mais dans ce climat et ces conditions, il est normal que ça plante moins. La deuxième génération est arrivée.
Retrouvons nous au coin des champs, au pied des arbres, mettons dans les serrures les clés de compréhension, voyons
large, voyons loin, soyons groupés. Réinvestissons l’agronomie, pierre angulaire de nos sociétés, finissons de poser les bases
élémentaires de cette vie foisonnante et luxuriante dans les sols, le climat n’attend pas et depuis 25 ans l’urgence est toujours
aussi grande parfois oppressante.
Le pari enfin d’accepter que notre principal problème est aussi moteur des solutions : ce bon vieux Co2 qu’il faut maintenant
injecter dans les sols agricoles.
Tous ces paris permettent aujourd’hui la mise en place de mesures encore dans les tuyaux, d’un plan national de développement...
alors ça payera peut être un jour et nous donnera la possibilité de travailler sereinement, mais en attendant, il faut tenir et
surtout ne pas oublier de dire qu’un euro investi en rapporte dix à tous assez vite. Ne pas oublier de dire que les paysans savent
faire modestement mais globalement.
Avant ce changement d’échelle souhaité et souhaitable, sommes-nous trop en avance ou passablement en retard ?
Pouvoir continuer à prévenir ou être dans l’incapacité de guérir? Des décennies de primes, de mesures pour des sols de plus
en plus pauvres et des agriculteurs toujours en crise. Les fondations sont aujourd’hui posées, l’échelle de riches terres et haute
mais les marches stables. Oui, nous avons fait le pari de la fertilité, socle de toute société .
Rapport d'activités
Conseil et appui technique pour la plantation
HAIES CHAMPÊTRES 26 009 ml pour 123 chantiers
dont 5 644 ml pour 16 chantiers, en partenariat avec la Fédération Départementale des Chasseurs du Gers
Type de chantier
Longueur en mètres
Nbre de chantiers
Statut planteur
Longueur en mètres
Nbre de chantiers
Plein champ
8 197
31 %
22
18 %
Agriculteurs
11 622
45 %
44
36 %
Champêtre
6 803
26 %
42
34 %
Particuliers
8 026
31 %
55
45 %
Protection de bâtiment
1 957
8%
10
8%
Communes
Collectivités
5 043
19 %
19
15 %
Autres
9 052
35 %
49
40 %
Entreprises / Asso
1 318
5%
5
4%
BOISEMENTS ET AMÉNAGEMENTS DIVERS
1102 plants
AGROFORESTERIE
28 chantiers pour 106,47 ha soit 5660 plants
PLANTATIONS
Haies champêtres
20 chantiers pour 5 501 mètres
Agroforesterie
5 chantiers pour 39,81 ha, soit 1 958 plants
Conseil - Diagnostic - Assistance technique
COMMUNAUTÉS DE COMMUNES DE LA TÉNARÈZE ET DU BAS-ARMAGNAC
Eau et Biodiversité en Pays d’Armagnac : démarche de concertation de l’ensemble des acteurs du territoire, afin de mettre en œuvre
de nouvelles pratiques de gestion environnementale.
Fondées sur le génie végétal, elles ont pour objectif de restaurer la qualité de l’eau, de préserver les sols de l’érosion, de favoriser la
biodiversité... Avec la Fédération départementale de chasse, la Fédération départementale de pêche et l’écocentre Pierre & Terre.
CONSEIL DEPARTEMENTAL DU GERS – SERVICE DES ROUTES
Programme Départemental de Gestion et Valorisation de la Végétation spontanée en bordure de voiries
PARTICIPATION AU PAT D’ESTANG
Diagnostic paysager et arbre hors-forêt de la zone, participation ou organisation à des journées d’échange, visites conseil à la
demande des propriétaires pour l’aménagement et la gestion.
PARTICIPATION AU PAT DE LA GIMONE
Accompagnement méthodologique à la réalisation d’une étude complémentaire cartographique sur les risques érosifs du territoire
du PAT
COMMUNAUTÉS DE COMMUNES DE LEMBEYE
Poursuite de la mission d’accompagnement des opérations d’aménagement sur le territoire de Lembeye.
PARTICIPATION AU VOLET PAYSAGER DU PLU de Saint-Jean-Poutge, avec Aurélie Duleau
PARTICIPATION AU JURY
Fleurance
d’un concours «Aménagement et expression artistique» - Pays Portes de Gascogne -
CONSULTATIONS COLLECTIVITÉS :
PLU de Duffort, Aménagement espace public Préchac, Jury villes et villages fleuris, Marciac (rond point), St Michel (platanes), Riscle,
Samatan (platanes routiers), Castillon-Savès (coulée de boues), d’un concours aménagement et expression artistique - Pays Portes
de Gascogne - Fleurance, Simorre, Lectoure (platanes routiers et chemin Jacquaire)
Comité de Pilotage Hesteil suite aux inondations de l’Isle jourdain
Consultation pour le développement et l’aménagement touristique et pédagogique du Hameau des étoiles en collaboration avec le
CAUE 32
Information - Sensibilisation - Education à l'environnement
RÉUNIONS D’INFORMATION ET DE FORMATION GRAND PUBLIC
18-sept-14
28-nov-14
27-juin-15
AP32 - Auch - Lycée Pardailhan - Soirée-débat «Du champ à l’assiette»
AP32 - EAUZE - L’agroforesterie du champ à l’assiette - Arbre et vigne
Alternatiba - Pau-Béarn - Participation à une conférence sur le changement climatique
RÉUNIONS D’INFORMATION ET DE FORMATION DESTINÉES AUX PROFESSIONNELS ET ÉLUS
29-sept-14
03-déc-14
19-janv-15
23-janv-15
Janv 2015
11 fev-15
5-mars-15
12-mars-15
5-juin-15
25-juin-15
Grand AuchAgglo - Auch - Arbres et SRCE
CCBA - Nogaro- L’agroforesterie du champ à l’assiette
Réunion projet de la Ferme du Lycée Agricole de Beaulieu
Séminaire professionnel : rôle de l’arbre et retours d’expériences gersoises en agroforesterie et aménagement
pour parcours de volailles. SASSO
Accompagnement des membres de la mission agroforesterie du CGAAR
Comité de pilotage «La Nourrice» à Aubiet
Réunion d’information et visite de ferme pilote - Fédération Régionale des Chasseurs
Visite de ferme - réunion d’info -Agroforesterie et élevage de canards
Ville de Bayonne - Intervention sur les couverts végétaux, la production alimentaire et la ressource en eau
Participation à la journée d’inauguration et de découverte du paysage, itinéraire la «Clé des champs»,
avec élus et acteurs du tourisme. Communauté de communes de la Ténarèze
PARTICIPATION À DES MANIFESTATIONS
31-juil-14
30-août-14
28-sept-14
16-nov-14
22-nov-14
Fév 2015
Plaimont - Sabazan Doublon - Un arbre pour Didier Lockwood
Gascogne Agri - Masseube - Stand
ADEAR - Natures Cultivées - Monfort - Automnale de Montfort
Fête de l’arbre- Duran - Conférence débat
BIOCOOP - Auch - L’agroforesterie du champ à l’assiette - L’œuf agroforestier
Salon de l’Agriculture - Paris - Sur le stand du département du Gers
INTERVENTIONS “JEUNE PUBLIC“
11-sept-14
AP32 - Auch - Lycée Pardailhan - Visite de la ferme En Coton
07-09-oct-14
CANOPE- Fleurance - Village des sciences - Fête de la science
Interventions scolaires : l’agroforesterie, du champ à l’assiette - Sessions 1 et 2 :
écoles de Pavie, Puycasquier, Auterrive, Montégut, Auch (Condorcet), Masseube, Pavie1, Mirande, Pujaudran, Auch (St Exupéry), Auch
(Rouget de L’Isle), Tournan, Panjas, Arblade-le-Haut, Ordan-Larroque, Barcelonne du Gers, Barran, Nogaro Lourties-Monbrun.
BALADES ACCOMPAGNÉES
17-août-14
20-sept-14
21-sept-14
28-sept-14
16-nov-14
8-mai-15
Musique en chemin - La Romieu
Commune de Fourcès - Fourcès - Journées du patrimoine - Balade Patrimoine paysager
Commune d’Estang - Estang - Journées du patrimoine - Balade Patrimoine de l’eau
ADEAR - Natures Cultivées - Monfort - Automnale de Montfort
Fête de l’arbre - Duran
Balade découverte et commentée de la zone humide et des futurs aménagements - Lombez
COLLOQUES ET RENCONTRES PROFESSIONNELLES
Participation aux rencontres du Réseau Paysage de Midi-Pyrénées
Déc 2014 -
Accueil d’un groupe d’agriculteurs créateurs d’Arbres et Paysages de l’Ain
28 janv 15
Colloque «Paysage en partage» - centre de recherche de Bordeaux, CEPAGE
30-janv-15
Séminaire Sasso - Mont de Marsan
13-mai-15
Tournage «Des racines et des ailes»
5-Juin-15
Participation à la conférence régionale sur l’alimentation à l’ENFA
23-juin-15
Participation au comité de pilotage pour le projet d’édition du guide du Routard - Pays Portes de Gascogne
ORGANISATION DE PAYSAGES IN MARCIAC 2014 « Déchaînements alimentaires »
16 journées thématiques à LA HALLE, DES JOURNEES BIEN REMPLIES, AUX QUATRE COINS DU PAYSAGE : des balades matinales, des
ateliers, des causeries, des projections débats, des conférences, des rencontres professionnelles, des expositions....
PROGRAMME ANNUEL D’ÉDUCATION À L’ENVIRONNEMENT
DES ARBRES DANS NOS ASSIETTES mais c’est «alimentaire» ! L’AGROFORESTERIE pour mieux produire, mieux manger, mieux vivre
Brochure de 32 pages illustrée par Serge Ernst
Développement - Recherche - Expérimentation
• VITIFOREST: Mise en place et évaluation de sites pilotes en agroforesterie viticole
Le projet Vitiforest vise à évaluer la pertinence des systèmes agroforestiers dans trois contextes viticoles aux exigences de production
diverses (Bordelais, Cahors, Côtes de Gascogne).
Objectifs : mettre au point des protocoles de mesure adaptés à l’échelle parcellaire permettant d’analyser les interactions entre un
alignement d’arbres et une vigne à proximité ; acquérir, analyser et diffuser des données sur l’influence de l’arbre en contexte viticole
(comportement de la vigne, micro-climat de la parcelle, biodiversité fonctionnelle, performance technico-économique et commerciale
du système agroforestier) ; établir un réseau de parcelles pilotes qui serviront de sites de demonstration ; constituer un réseau de
partenaires pour le partage de connaissances et de compétences en matière de pratiques agroforestières en viticulture.
• CASDAR : Évaluation environnementale et optimisation de la conduite des aménagements de parcours de volailles de
chair Label rouge et Biologiques (2011-2014).
Caractériser les parcours arborés de volailles existants en France, faire une évaluation des services rendus, élaborer des
recommandations pour l’aménagement et la conduite de ces parcours, créer des outils de communication.
• Travail sur la génétique locale des plants mis en œuvre dans les plantations
Programme de récolte de graines pour la production de plants d’origine locale, partenariat avec les pépinières Naudet. Echanges
d’expériences avec la pépinière départementale de l’Aude.
• Travail sur la cartographie des plantations de haies et d’agroforesterie
• “Agroforesterie et Vigne“
Mise en place d’un dispositif expérimental pour évaluer l’impact des arbres agroforestiers sur le microclimat de la parcelle, sur certains
paramètres agronomiques de la vigne et sur la biodiversité fonctionnelle dans une optique de réduction des intrants. Accompagner les
viticulteurs et les techniciens de coopératives dans la mise en place de pratiques agro-écologiques.
• Étude d’un système agroforestier avec maraîchage mené en permaculture dense – Jardins de Mouscron
Évaluer les potentialités d’un système agroforestier dense mené en permaculture et entièrement autofertile, en terme de production
(qualitative et quantitative). Comprendre les mécanismes biologiques qui interviennent dans ces résultats.
• Agroeuf : qualification des produits et agroforesterie - Cas de l’oeuf
Etude des liens entre les consommateurs et le monde agricole. Plus précisément, il s’agit de savoir comment le consommateur peut
appréhender dans son assiette le résultat de ces pratiques agricoles à visée écologique. Dans cette perspective, nous proposons l’étude
de la qualité des œufs « agroforestiers »
Avec l’AFAF - Association Française d’AgroForesterie :
• Suite d’Agr’Eau (2012-2017) : programme de développement de la couverture végétale des sols alliant l’agroforesterie et
les techniques de conservation des sols sur le bassin Adour Garonne.
• Excelsior (dans le cadre d’Agr’eau)
Évaluer à l’échelle locale les besoins, les attentes et le potentiel de développement de la végétation spontanée, ses circuits
de valorisation, son acceptabilité, ses leviers de mise en œuvre, les besoins techniques, etc.
Edition
Travaux de rédaction en cours pour les Editions Actes Sud et EDUCAGRI
Rapport financier
présenté par Monsieur Romain BERGE (CER-FRANCE)
BILAN au 30 juin 2015
ACTIF
PASSIF
IMMOBILISATIONS
10 996
14 284
FONDS ASSOCIATIFS
STOCK
70 606
103 208
PROVISIONS ET FONDS DÉDIÉS
CRÉANCES
348 706
166 455
EMPRUNTS
DISPONIBILITÉS
4 773
19 092
DETTES FOURNISSEURS
113 426
DETTES FISCALES
AUTRES DETTES
CHARGES D’AVANCE
4 898
23 515
TOTAL
439 980
439 980
TOTAL
Analyse du COMPTE DE RÉSULTAT
2013/2014
2014/2015
203 624
141 385
Ventes Agroforesterie
92 818
72 276
Prestations service «plantation»
55 398
45 073
Ventes haies
137 024
63 124
Adhésions
5 463
4 560
Editions
4 427
3 026
Prestations de services en cours
9 902
17 421
Prestations autres projets
Subventions «plantations»
79 000
93 788
Subventions autres projets
91 907
109 264
Aides à l’emploi
11 879
10 816
70 664
78 880
TOTAL PRODUITS D’EXPLOITATION
762 106
639 615
Achats plants et fournitures
160 244
104 263
Variation des stocks plants et fournitures
-9 707
3 164
Achat Prestations services “plantations“
9 249
4 074
Achat Autres prestations de services
32 745
21 146
Autres charges externes
87 661
94 254
Location
9 869
9 909
Impôts, taxes et versements assimilés
7 289
8 006
377 022
390 653
72 284
96 574
Autres produits (dont reprise engagement)
Masse salariale
Dotations aux amortis et dépréciations
51
1 363
746 707
733 407
Résultat d’exploitation
15 398
-93 792
Résultat financier
-1 218
-3 716
-11 289
11 773
0
15 739
2 890
-69 996
Autres charges
TOTAL CHARGES D’EXPLOITATION
Résultat exceptionnel
IS exercice (CICE)
Résultat net
FEUILLE dE ROUTE
Développement - Recherche - Expérimentation
Depuis plusieurs années, l’association fait face à d’importants problèmes de trésorerie dus, d’une part à des décalages de paiements
tant de la part des planteurs que des partenaires et d’autre part au rallongement des délais d’instruction par les divers financeurs de
l’activité (Europe, Etat, Region, Département)
Au cours de cette saison, c’est le financement même de l’activité qui a subi une baisse à plusieurs niveaux :
> Le transfert de la gestion des fonds européens à la Région a eu plusieurs conséquences :
- l’inaccessibilité aux fonds FEDER dédiés à l’éducation à l’environnement (réservés à 12 structures et/ou aux projets d’au moins
100000 €)
- le blocages des fonds FEADER et de la mesure d’aide aux plantations agroforestière pourtant votée par le Conseil Régional en
octobre 2014.
- les dates tardives de dépôt et d’examen des projets dans le cadre des appels à projets régionaux sur l’environnement.
> La loi NOTRe impacte fortement notre activité car elle a induit un « flottement » dans les compétences des collectivités territoriales :
fusion des Régions et élections ; réorganisation des Conseils Départementaux et prochainement des intercommunalités
> La réforme de la PAC a donné des indications contradictoires aux agriculteurs avec d’un côté un verdissement annoncé et des SIE
obligatoires et de l’autre côté une première annonce de suppression des haies des surfaces éligibles aux DPU….
Dans cette situation de morosité, de crise agricole et de doutes quant à la fiabilité des sources de financement, de nombreux
agriculteurs renoncent (ou reportent) leurs projets d’aménagements.
> Une raréfaction des aides pour les actions d’intérêt général
Tout cela ayant induit un coût important pour l’association, pour la mise en œuvre de démarches relatives à la réglementation et la
recherche de financements.
Par ailleurs, l’association a poursuivi sa mission d’intérêt général avec :
-
un investissement lourd dans des projets d’édition et de sensibilisation
-
la poursuite de programmes de recherche et développement non intégralement financés
PISTES d’ACTIONS CORRECTIVES
L’activité de l’association doit être maintenue, il en va de l’intérêt général, l’arbre et le génie végétal constituent plus que jamais des
outils de prévention très rentables compte tenu du coût de réparation des dégâts induits par leur absence (érosion des sols et de la
biodiversité, coulées de boues, changement climatique, qualité de la ressource en eau…).
> Un travail de réorganisation interne de la structure doit être menée avec notamment :
- une réduction de la masse salariale
- un développement et l’optimisation des activités de conseil et d’appui technique
> L’obtention de garanties de financement des plantations est une urgence absolue pour ne pas avoir une « saison blanche ».
Notamment avec la mise en place de mesures d’aides à la plantation au niveau national.
> La recherche de nouveaux partenaires privés pour des actions de sponsoring.
> Le lancement de campagne de financement participatif pour soutenir les plantations mais aussi l’activité de développement.
Revue de presse
Dossier agricult
eurs
et apiculteurs :
des initiatives à
essaimer
4. Le gîte et le couv
ert toute l’année
Haies champêtres,
agrofore
La diversité reste la meil sterie, mares, bandes fleuries...
leure des solutions.
U
n timide rayon de
soleil
matinal. Un champ
coloré
de jaune , violet
et
Quelq ues ruche bleu.
miel. La production
s. JeanChristophe et Benoît
d’un des apiculteurs
discutent. « Maintenant,
présents sur la ferme
tu peux laisser tes
ruches toute l’année
de Jean-Christoph
, plus besoin de
e
faire la transhumanc
Bady (à g.) a doublé
e.
il y a un sacré intérêt » « En effet,
l’année qui a suivi
la
à
un tel site ! », répond être situé sur
mise en place des
couverts végétaux.
apiculteur. Il produ Benoît, jeune
a
it 2 t de miel à
droite, Benoît grollea
l’année, de tournesol,
u
de
a installé ses ruches
fleurs, de châtaigniers colza, toutes
, de bruyère
l’année dernière.
qu’il commerciali
se en vrac ou en
vente directe.
C’est l’année derniè
re que Benoît
Grolleau, « ce bohém
culture » comme il ien de l’agriaime se décrire,
fait la rencontre de
Jean-C
Bady. Il décide alors hristophe
image
une dizaine de ruches de déposer
couvert
sur la ferme sont
gersois
semées directement
e, un vrai eldora
permanent
dans des La ferme
pollinisateurs. Trois do pour les couverts permanents
Phacélie, trèfle
compte 16 km de
où
haies,
d’alexandrie,
cohabitent, soit 160 apiculteurs y phacélie, trèfle blanc, cohabitent ainsi qu’une parcel
le de 3,5
ruches.
trèfle violet, agrofo
trèfle squarrosum
vesce, luzern e, mouta
resterie, implantée ha en
sont des fleurs
rde, radis derniè
l’année
chinois, féverole,
les fleUrs défil
re avec des merisi
pour les pollinietc. Soit entre 10
ent
ers, frênes,
aulnes
et
«
20
Sur
espèces ! « Les pollini
et noyers. Ces espèce
mes 130 ha, j’ai
sateurs et des
120 ha de dispose
s assusateurs rent une
couleurs pour les
bandes fleuries »,
nt
couve
de
ressou
rture
rces alimentaires
sourit Jean-Chrisvisiteurs. elles
dès le mois de février des besoins
et d’habitats diversi
tophe. Il a converti
fiés tout au long
toute
participent à la
où les colonies recons, au moment
tation en bio en 2011, son exploi- de l’année grâce à
revalorisation de
la permanence
tituent leurs
réserv
travail du sol et mis abandonné le et à la multiplicité des
l’image de l’agrien place, il y a bacées
espèces her- des es après l’hiver. Les ronces
trois ans, un systèm
culture.
haies cham pêtres
, les floraisons se
e où la diversité
succèdent sent
fourn isdès les premiers redoux
reprend ses droits.
necta r et pollen
Il
des associations de expérimente gelées », rappelle l’agricu jusqu’aux novem bre. « J’ai aussi jusqu ’en
cultures com- avanta
planté du
lteur.
Autre
tilleul pour les trois
plémentaires comm
ge des couverts
apiculteurs »,
e le pois chiche
butinent le sarrasi : « Les abeilles complète l’agriculteur.
et le sarrasin ou le
n la
lin et les lentilles.
trèfle le soir. Etant journée et le
Ces cultures et d’autre
à ras le sol, il y
les arbres s’inv
soja, le maïs, le blé s comme le fait plus chaud, le
couver
itent
ou le sorgho les
fluctuations de tempé t atténue La variété des associ
ratures. »
rées que l’on retrou ations arboUn jeU de rôle
ve
poUr se compren
de Jean-Christophe, sur la ferme
à
dre
en linéaire ou au savoir isolées,
l’itsap (institut techniq
sein d’une parue
celle, assurent une
l’abeille et de la pollinis et scientifique de
l’implantation d’une
divers
ation) en partenariat
culture intermédiaire
des sources de nourri ification
avec l’inra et les acteurs
mellifère en argumentant
ture et des
locaux ont initié, en
son besoin. l’agricu
refuges. Les arbres
2012, une recherche
lteur
peut être réticent.
et
participative dans
mais une discussion
par ailleurs un rôle haies jouent
le cadre
du projet interapi
autour
de la faisabilité techniq
en expérimentant
ue et économique
formant des repère de balise, en
le jeu de
rôle. « trois agricult
d’une
telle
pratiqu
s
utilisés
e s’engage. « le jeu
eurs et deux apiculte
par les
ouvrières pour inform
se réalise sur
urs
jouent leur propre
deux saisons, soit
er la colonie de
rôle autour d’un plateau
deux sessions de 3
l’emplacement des
de
jeu commun qui représe
heures »,
précise Fabrice allier.
source
nte leur territoire de
en fonction des résulriture. La retenue d’eau s de nourvie », explique Fabrice
tats obtenus sur un
allier, de l’itsap. l’agricu
an (rendements, etc.),
la ferme assure aussi présente sur
teur gère son exploita
l- joueurs prennen
les
une ressource
tion et prend les décision
t de nouvelles décision
permanente. Une
(soins aux cultures
s pour
s l’année d’après
nouvelle agricul, récolte, etc.). l’apicul
. « en simulant la réalité,
ture qui révèle une
teur
transporte ses ruches,
nous
essayons de révéler
compréhension
traite le varroa, etc.
les pratiques qui permet
et un respect de la vie
tous
échangent. un apiculte
tent une coexistence
dans les sols et
ur négocie par exempl
intelligente et compat
les airs. Les abeilles
e
ible
entre apiculteurs et
et la biodiversité,
agriculteurs. »
tant indispensable
s à l’agriculture, y
retrouvent leur place
!■
LA FRANCE AGRICOLE
Des propos
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ministre de
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Contes
à la médiathèque
Le samedi 4 avril, à 16 h,
puis à 17 h, la conteuse
Chantal Kahl animera
à la médiathèque deux
séances de conte
spécialement destinées
aux enfants de 12 à 36 mois,
sur le thème « Tiens, voilà
le printemps ! ». Places
limitées sur réservation
Stan Élevage
L’association présidée
par le Lunévillois Dominique
Colin, organisatrice
des journées de l’élevage,
chaque automne à Lunéville,
tiendra son assemblée
générale le vendredi 3 avril,
à 14 h, à la Maison
des éleveurs de Malzéville.
Aujourd’hui
Cinémas
­ « Le dernier loup » :
14 h 30.
­ « L’art de la fugue » :
16 h 45.
­ « L’ennemi de la classe » :
20 h 30.
­ « Gus petit oiseau, grand
voyage » : 16 h 45.
­ « Les aventures d’Émile
à la ferme » : 14 h 30.
­ « L’amour ne pardonne
pas » : 20 h 30.
­ « Cendrillon » : 14 h 30,
16 h 45 et 20 h 30.
Déchetterie
­ De 9 h à 12 h et de 13 h 30
à 18 h.
Gardes
­ Médecin : 0820.33.20.20.
­ Pharmacie : 32.37.
Loisirs
­ Ludothèque des Épis :
de 9 h à 12 h.
­ Ludothèque Le Donjeux :
de 14 h à 18 h 30.
­ Médiathèque, espaces
adultes et jeunesse : de 9 h
à 12 h et de 13 h 30 à 18 h.
­ Piscine : de 10 h à 13 h
et de 14 h à 19 h.
Petite enfance
­ Halte­garderie du Donjeux :
de 7 h 45 à 12 h.
Nous contacter
Rédaction
8, rue Carnot
(tél. 03.83.73.07.56 ;
fax. 03.83.73.75.72 ;
mail. lerredaclun@est
republicain.fr)
de 9 h à 12 h
et de 14 h à 18 h.
Publicité
Anne­Sophie Ruez,
­ Halte­garderie
La Farandole :
de 8 h 30 à 12 h.
Rendez­vous
­ "L’homme­orchestre",
dans le cadre du festival
Facto, à 11 h 30, sur le parvis
de l’hôpital ; à 13 h 30, place
Léopold, et à 17 h 30 devant
la gare, avec Santiago
Moreno et ses instruments
(guitare, harmonica, grosse
caisse). Gratuit.
­ "Voyage au centre
de l’oreille", par La Cie Inouïe,
dans le cadre du festival
Facto, à 19 h, MJC Jacques­
Prévert, 1, rue Cosson.
­ Assises de la laïcité : à 14 h,
collège Charles­Guérin.
­ Heure du conte : pour
les enfants de 6 ans et plus,
à 16 h 30, médiathèque
de l’Orangerie.
­ Les Mercredis européens :
à 18 h, château. Entrée libre.
Urgences
­ Commissariat de police :
03.83.76.17.17.
­ Dépannage :
eau (0810.463.463) ;
électricité (09.726.750.54) ;
gaz (0880.47.33.33).
­ Police secours : 17.
­ Sapeurs­pompiers : 18.
republicain.fr
Annonces légales
Tél. 03.83.59.09.32 ;
fax. 03.83.59.80.15 ;
mail. lerlegales@est
republicain.fr
Abonnements
S’abonner, suspendre,
adresse temporaire
(tél. 03.83.59.08.08 ;
mail. lerabonnement@est
republicain.fr)
Solidarité­Congo donne rendez­
vous le lundi 6 avril, à 14 h, à la
salle polyvalente de Chanteheux.
Réservations au 06.83.27.72.95.
entre 10 h et 12 h 30.
La tribune vendue
SSI
du XVIIIe siècle.
11/08/15
Son objectif est, bien sûr,
10:31
de l’exporter chez lui, où cet
esthète a prévu de remonter
tribune et buffet dans un
petit théâtre qu’il a fait cons­
truire dans sa propriété et
information tom­ où ce décor, confie­t­il, trou­
vera naturellement sa place.
bée hier, et qui
aux convois
agricoles,
assurer A la veille des fêtes de
devrait
être con­
f i rdu
m épulvérisateur
e a u j o u r ­ en Pâques, gageons que les
les passages
paroissiens s’attendaient
a fait grand
bordure dud’hui,
lotissement,
conserver davantage à voir s’envoler
bruit.
Lunéville
n’échappe
des routes
sûres par
tous temps : les cloches de Saint­Jacques
pas à la frénésie des ache­
ce sont
les pointsetprincipaux
teurs
étrangers,
fortunés, de que cette œuvre pourtant
discussions
agriculteurs
désireux
de entre
s’approprier
un et classée Monument histori­
collectivité.
Les exploitants
peu
du patrimoine
français. et que.
D’autant
lorsqu’il
les
« rurbainsplus
» trouvent
d’autres Cet obstacle n’a pas suffi à
s’agit
œuvre
aussi
points d’une
de ralliement
comme
agré- empêcher la transaction, qui
prestigieuse
que le buffet
du les devrait être prochainement
menter un paysage,
améliorer
officialisée. Peut­on imagi­
grand
orgue
deoul’église
bordures
de fossés
intégrer les ner l’église chère à Stanislas
S a i n t ­ Ja c q u e s. D ’ â p r e s
bâtiments
agricoles
dans
n é g o c i a t i o n s v i e n nl’espace
e n t amputée de ce décor en trois
K Un joyau exceptionnel en partance pour la Russie.
Photo X.C.
vert. Et pour
s’inscrire
dimensions s’élevant du sol
d’aboutir
à sa
vente dans
à ununeL'ég
lise la voûte
démarche
durable,
le GAGT
? Les
visi­
re-Dam
riche
esthète
russe, qui
n’a jusqu’à Not
e rec
èle
colonnes cannelées en
obéir à la baguette de l’ange
per
teurs
lassent pas
de untre
pas
hésité
à aligner
lesafin
intervient
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des écoles
met ne
nom
de se
bre d'élém
découv
et surmontée
chef d’orchestre se dressant
balustrade
billets
de banque
rir./Photo faux marbre
de sensibiliser
les plus pour
jeunes à contempler la
s, notamme
Denis Mic musiciensent
acquérir
ce joyau baroque
semblant
surntledes
balcon doré.
helet.
devenir responsable
face à l’envi- ajourée s’appuyant sur qua­ d’anges
Que dire des mélomanes
admirant ce buffet d’orgue
et sa fresque en trompe­
l’œil alors que résonnent
les notes de l’instrument ?
La vente annoncée de ce tré­
sor architectural semble
d’autant plus incongrue que
son acquéreur n’envisage
pas d’emporter l’orgue
récemment restauré, dont
les tuyaux se cachent derriè­
re ce décor conçu par
Emmanuel Héré.
C’était un parti pris, qui en
fait une exception aujour­
d’hui encore dans le monde
entier. Mais les affaires sont
les affaires. A tel point que
l’on se demande désormais
si le château ne pourrait pas
un jour prochain changer de
propriétaire lui aussi. Des
Chinois seraient, cette fois,
intéressés par l’ancienne
demeure des Ducs de Lor­
raine.
L’égliseSaint­Jacques
s’apprêteàvoirpartir
lebuffetd’orgue
d’EmmanuelHéré.
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ronnement et mieux comprendre ysages in Ma
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Pour aborder la thématique de la
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La Dépêc
Publié le
12/08/2015
à 03:50 he du Midi
SU
ssise entre le Gers et la « des anciens » pour conserverR LE WEB
Haute-Garonne, la com- une certaine idée du patrimoine
mune d’Auradé, en lisière rural. D’autres critères s’inscrivent
de l’agglomération toulou- dans une préoccupation plus techsaine, étend ses coteaux1 nique : favoriser les auxiliaires de
sur 2
dont les pollinisateurs,
argilo-calcaires comme dernier cultures
rempart aux transformations permettre une pulvérisation et
urbaines galopantes de la grande une irrigation plus efficace, limiter
ceinture toulousaine. Conscient la verse des cultures. « Et pour
des évolutions à venir et de la allier les aspects professionnels
nécessité de partager le territoire, à la vie communautaire, nous
les agriculteurs ont décidé de se avons souhaité sensibiliser les
regrouper au sein du groupement habitants de nos communes sur
des agriculteurs de la Gascogne le bien-fondé de notre démarche
toulousaine (GAGT) afin d’exister sous son aspect environnemental »,
dans les schémas territoriaux à précise Pierre Loubens.
venir. Avec 250 agriculteurs, le
groupement créé en 2013 renforce Rallier agriculteurs, collectivités
PIERRE LOUBENS,
les actions expérimentales menées et « rurbains »
par l’association des agriculteurs En s’adaptant aux nouvelles contin- céréalier sur
250 hectares
d’Auradé depuis 1982.
gences urbaines, les agriculteurs et co-président
Si les haies ont souvent été victimes se sont donnés des atouts pour du groupement
de remembrements, leur
absence
bien
communiquer.
Planter
des
K Les éléments de la toiture sont arrivés à bon port. des agriculteurs
a fini par poser problème. Pour haies pour lutter contre l’érosion de Gascogne
Pierre Loubens, céréalier sur et contenir les coulées de boues Toulousaine.
« J’installe
250 hectares et co-président du fréquentes sur les routes après les des pièges en
groupement avec Arnaud Augier orages a permis au groupement bordure des haies
(140 ha), « les arrangements de valoriser son action auprès et j’y compte
parcellaires progressifs suite aux des collectivités locales. « Nous les insectes
»
Les ont
livreurs
attendu
Il s’agit
fait desauxiliaires.
éléments
reprises d’exploitation
per- ontintervenons
auprès
desencomfin dePour
journée
pour ne
pas prescripteurs
qui composeront
mis de replanter les la
haies.
munes,
comme
pour la toiture
déranger
les allers­et­venues
du les
bâtiment
devant
garder une image plus
conforme
envisager ensemble
plans de
l’hôpital.
Lundi
soir, un gros
accueillir
l’IRM.
à la tradition, certes,à mais
aussi
circulation
extérieurs,
les zones
camion
était
stationné
La
construction
a
débuté
pour corroborer la démarche à planter (bordures de route et
sites
le parvis,
dans
l’aile
abritantLes
l’imagerie
environnementale sur
menée
par une
de grue
lotissements), les
plans
locaux
à consulter
en descendant d’urbanisme
des cartons (PLU),
médicale,
où l’appareil
l’association des agriculteurs
afin d’orgawww.
volumineux aussitôt
depuis plusieurs
d’Auradé ».
niser au mieux laattendu
cohabitation
agriculteursl’intérieur
années devrait être
installé
Lutte contre l’érosion,acheminés
pare-vent etversentre
nos activités
agricoles et aurade.fr
des bâtiments.
en juillet.
refuge pour le petit gibier, les trois une population à consonance
critères récurrents pour valoriser urbaine », confie Arnaud Augier. www.arbre-etles haies apportaient la caution Faciliter les chemins d’accès paysage32.com
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(10° environ), avec en plus
à 08:43
du vent, pour qu’elles mon­
/08/2015
AILLEUR
é le 09
trent le bout de leur nez.
S SUPu
R bli
LE WEB
Le maître apiculteur avait
pourtant souhaité, pour le
A LIRE AU
dernier cours de cette ses­
SSI
sion, se rendre au rucher du
château pour une mise en
pratique des leçons théori­
ques dispensées à la salle
pédagogique ces dernières
1 sur 2
semaines.
Les cinq ruches ont donc
été ouvertes, mais très som­
mairement, « et nous avons
seulement retiré des laniè­
res apivar », confie Ronald
K Ronald Stickelmann a emmené ses élèves jusqu’au rucher du château.
S t i c k e l m a n n , q u i av a i t
autour de lui la douzaine
froid, nous attendrons donc
qu’aux ruches du château
abeilles, « ce qui n’est pas le
d’apprentis de première et
que la température atteigne
n’aura pas été inutile, puis­
cas partout. Nous souffrons
deuxième année.
les 15° pour revenir », ajou­
qu’elle a permis de constater
d’une importante mortalité
« Le couvain n’aime pas le
te­il. Cette promenade jus­
l’excellente santé des
des colonies dans le Luné­
Environnement
possibilité de faire des
réserves. »
La
s’annonce donc
Larécolte
Dépêc
b o n n e a u c he
h â tdu
e a uMid
, oiù
l’Abeille lorraine avait déjà
recueilli 200 kg de miel l’an­
née dernière. « Les élèves
participeront aux récoltes
avec nous, cela leur permet­
tra de manipuler et d’être
mis en confiance », conclut
Ronald Stickelmann, heu­
reux des liens créés tout au
long des cours, qui se dérou­
laient sur toute une journée
avec repas tiré du sac à midi.
Cours auxquels ont parti­
cipé des Lunévillois, mais
12/ s d15
a u s s i d e s h a b i t a n t08/
e
Ludres et Seichamps, ainsi
que des Mosellans.
09:38
C.A.
Promouvoir l’agroforesterie pour un sol vivant
Il faut réhabiliter les arbres
VOULOIR ASSOCIER
ARBRES, cultures ou ani­
maux, est­ce si révolution­
naire ? La conférence don­
née à la chapelle du château
par Alain Canet, à l’initiative
d’Arbracoop dans le cadre
des conférences du sol
vivant, a démontré qu’il n’en
était rien. Quoi que…
Verdir l’agriculture tout en
étant rentable et pertinent,
faire de l’arbre un intrant et
pas un intrus : le président
de l’association française
d’agroforesterie, directeur
d’Arbres et paysages du
Gers, a le sens des formules
pour faire passer le messa­
ge. « Dans mon départe­
,à
un œuf
Serres.
comme
des
Maurice
lle pleine
to DDM
is jours,
une sa
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rieux et
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d’arbres sont plantés par an,
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à la ferme,
avec
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naturels
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particuliers, guides compos­ feme
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Schreibe
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Singla
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Konrad
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riculteur
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xpérienc
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auditoire de 90
personnes
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E Dans le prolongement deCT
la UR
conférence
à Lunéville,
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production,
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su
un temps d’échanges sur LE
le potentiel
de développement
Ag
ré
s
T
OR organisé par Arbracoop
de
arbres têtards pour
CONFétait
de l’agroforesterie en Lorraine
sion, am
économiquement.
»
Arbracoop sol vivant se
otidielan,valori­ t compris
de l'éro
et l’AFAF (association française d’agroforesterie) au conseil
sationau
duqu
bois, par exemple,
poursuivra avec Marcel
: arrê A partir d’exemples, par­ Bouché
régional à Metz, en présence d’Alain Canet. Un vaste panel
besoin qui va
grandissant.
le 10 avril, à la cha­
isants
tant aussi de l’observation
d’institutions pour plancher autour de ce sujet : la Région
satisfa
pelle du château, à 20 h 30
« Tous les types de produc­
lorraine, le Parc naturel régional, l’Agence de l’eau, l’école
de nos campagnes lorraines,
avec pour sujet « Les vers de
SSI
tion sont compatibles avec
forestière de Mirecourt, la Chambre régionale d’agriculture,
Alain Canet a répondu aux
RE AU
terre, révélateurs de
ferti­
la DDT de Moselle, le conseil général 54, la DREAL, le chef
un système d’agroforesterie.
AlaLI
n
o
m
b
r
e
u
s
e
s
q
u
e
s
t
i
o
n
s,
lité
des
sols
».
LE
d’exploitation du lycée de Pixerecourt, et Benoît Gilles, berger
Après avoir stagné, les VIE
ren­LOCA
et agroforestier dans les Vosges. Ce tour d’horizon a permis
tue
dementsMA
baissent,
RCIAC il est notamment surBla transmis­
W Inscription gratuite sur le site
de clarifier l’intérêt de développer cette pratique en mobili­
anté se
r-un...
173-pou
Date : 27 JAN 15
Journaliste : Gaëlle Richard
Pays : France
Périodicité : Quotidien
OJD : 280453
Page 1/1
AGROFORESTERIE
Des arbres oour l'eau
La Fondation de Yann Arthus-Bertrand est au chevet du bassin Adour-Garonne
GAÉLLE RICHARD
L
g nchardglsudouest fr
040f0595260652ca7e61075d8
a Fondation de Yann ArthusBertrand s'intéresse au bassin
Adour-Garonne Elle soutient
l'Association d'agroforestene pour
planter pas moins de 5 550 arbres
dèstines a fertiliser les sols pour diminuer l'apport en fertilisants de
synthèse.
Certains de ces arbres ont éte plantes à Noilhan, sur la ferme de fack
De Lozzo, président d'Arbres et pay
sages 32, mardi dernier. Le projet se
nomme AgrTau. Il est créé par l'Association française d'agroforestene
présidée par le Gersois Alain Canet
Le programme AgfEau s'mscnt
doncdansune forte problématique
de pollution des eaux. Dans ce contexte, il wseàfaireémerger desplans
d'action locaux permettant de préserver les ressources en eau. Sa mission consiste a creer une dynamique territoriale sur les zones a
enjeux« eau », autour de nouvelles
pratiques agricoles durables, et de
passer le relais aux structures compétentes qui mettront en œuvre les
plans d'actions.
Imiter la nature
La Fondation de Yann Arthus-Bertrand, Goodplanet, interviendra
dans ce programme AgfEau sur le
volet agroforestier et se fixe trois
buts en particulier: préserver les ressources en eau de la région grâce à
l'agroforestene ; mobiliser les acteurs soaetauxdans une demarche
Jack De Lozzo constate des rendements stables depuis qu'il pratique l'agroforesterie.
exploitation. Sur les 84 hectares de
l'exploitation, il éleve des vaches limousines et cultive 48 hectares en
grandes cultures (blé, orge, féveroles, pois, tournesol, sorgho), dont
19 hectares en agroforestene «J'essaie d'imiter la nature, explique-t-il,
avec un travail simplifié du sol sans
labour, semis sous couvert vivant, association culturale, agroforestene.
Je n'achète plus d'mtrants Je m'appuie uniquement sur les reliquats
des praines pour assurer la fertilisation de mes cultures Mon objectif
uJ'essaie d'imiter
la nature. Je n'achète
plus d'intrants. Mon
objectif agronomique
est d'améliorer la
fertilité de mon sol»
a nu II mise en fait sur la complementantéentrel'élevageetles grandes cultures. le fumier fertilise les
cultures, elles-mêmes destinées à
gent puisqu'ily a une i éduction des
coûts dalimentation »
II constate des rendements stables en augmentation sur les parcel
les les mieux situées, une diminution du cout energetique, un gain
en autonomie et une meilleure infiltration de l'eau
Ilaplantébeaucoupd'arbres etde
haies pour aboutira ces résultats.
Avec le programme Agr'Eau, soutenu financièrement par Antargaz et
Coca Cola France, il va poursuivre
cette demarche. Goodplanetprecise
Liste des plantations
Haies champêtres
Haies de plein champ
Nom
commune
lgueur
Nom
commune
lgueur
M. ou Mme ABADIE THIERRY
M. AGOSTINI JULIEN
M. AGUT JEAN FRANCOIS
Mme ASSENS-PINTAT MARIE
M. BAUTHAMY RIOVEN
M. BEEKER JACOBUS
M. ou Mme BEER HENRI
EARL BIASIOLO SEBASTIEN
Mme BLASZCZYK ISABELLE
M. ou Mme BOYER MARIE CHRISTINE
M. ou Mme CASTAING-ALBIN MICHAEL
M. ou Mme CLEGG SUZANNE
M. ou Mme COSTANZO ERIC
M. COUPEZ FABRICE
M. ou Mme COUSSAU-PERNECKER ALAIN
Mme DAMOU-FONTANINI PATRICIA
EARL de la GUILLAUMERE
EARL des CASSOULERES
M. DESTRUHAUT CHRISTOPHE
M. DONNAY ADRIAN
M. GABRIELLE JULIEN
M. ou Mme GIMENO JACQUES
M. ou Mme GUICHARD JEAN JACQUES
M. ou Mme HUTTON-GUICHARD LISA
M. JOVE JORDI
EARL LA FERME EN COTON
Mme LAGUERRE CAROLINE
M. ou Mme MAURY KARINE
M. MONTEGUT THIERRY
M. ou Mme MOUCHET-DESPAX JULIEN
M. ODIER ALEXANDRE
M. ou Mme PAES GUILLAUME
M. ou Mme PAILHES-LEJEUNE ARTHUR
M. ou Mme PEUVION Sébastien
EARL POURQUERY
M. SABATHIER PIERRE
M. SIMONIN CYRIL
M. SLIVA FRANCIS
M. SOULARD JULIAN
Mme SOURIMENT-BAZIN ISABELLE
M. ou Mme VALDEVIT JEAN MARC
M. VOS GUIDO
L’Isle-Bouzon
Biran
Vic-Fezensac
Ordan-Larroque
Saint-Germier
Lagraulet-du-Gers
Bonas
Berrac
Lahas
St-Orens-Pouy-Petit
Ligardes
Saint-Puy
Maurens
Lagraulet-du-Gers
Mas-d’Auvignon
Saint-Antoine
Berrac
Saint-Elix-Theux
Lias-d’Armagnac
Séailles
Encausse
Castex
L’Isle-Jourdain
Lupiac
Pujaudran
Auch
Monfort
L’Isle-Arné
Idrac-Respaillès
Duran
Marsolan
Endoufielle
Simorre
Miramont-Latour
Montamat
Saint-Maur
Marambat
Catonvielle
Le Brouilh-Monbert
Goutz
Maignaut-Tauzia
Courrensan
210
111
185
135
290
112
234
310
165
118
160
374
150
315
305
100
108
110
108
106
100
110
170
145
120
150
160
100
100
110
155
150
100
140
340
110
106
100
295
100
103
133
M BAUDE ALAIN
Simorre
200
SCV BERAUT
M BOUVIER CYRILLE
M ou Mme CABIRAN-PAWLAK GENOWEFA
GAEC CAMP DU HAUT
M CASTAY JEAN
COMMUNE de MOUCHAN
EARL de PLAISANCE
GAEC des COTEAUX AURADEENS
SCEA des PALMIERS
M ou Mme DIRAT PASCALE
GAEC du BAYLE
EARL du PIERRET
GAEC DUBOSC-ROBIN Emmanuel & Sylvie
M GASC MATHIEU
JARDIN DE COGAGNE Terra ferma
Montréal
Sarrant
Saint-Léonard
Bezolles
Larressingle
Mouchan
Saint-Puy
Auradé
Saint-Médard
Sarrant
Mont-de-Marrast
Escornebœuf
Viella
L'Isle-Jourdain
Castillon-Savès
250
450
225
353
360
370
554
220
275
220
290
470
260
215
785
M JOLIOT DANIEL
M LOUVET OLIVIER
M MAILLART JEAN BAPTISTE
M MARESTANG PHILIPPE
M SOVRAN Christian
M STIERS ANTOINE
Castillon-Debats
Saint-Puy
Auch
Escornebœuf
Preignan
Pouy-Roquelaure
915
247
425
370
218
525
Protection de bâtiment
Nom
commune
lgueur
M. ANDRIEU PAUL
M. ou Mme BENNION STEPHEN
M. ou Mme CAUMONT PATRICK
EARL de BORDENEUVE
GAEC des COTEAUX AURADEENS
EARL du CASSOU
M. GRAF SIMON
M. HEINTZ REGIS
Mme LAFON EMELINE
M. PASINI PHILIPPE
Lectoure
Lavardens
Seissan
Montesquiou
Auradé
Marciac
Estipouy
Gimont
Riguepeu
Blaziert
174
104
100
230
140
290
430
245
140
104
Autres Haies
Agroforesterie intraparcellaire
(hors subventions du Conseil Général du Gers)
M. ou Mme BAUDE GUY
BIOCOOP
M. ou Mme BOUYSSET IRIS
M. BRETTES MICHEL
Castin
Auch
Condom
Ste-Christie-d’Armagnac
Sauveterre
Aignan
Duran
Faget-Abbatial
Marciac
Monfort
Montégut
Nogaro
Sarrant
Castelnau-d’Anglès
Préchac
Samatan
Auch
36
100
60
18
Cté de Communes de LOMAGNE
GERSOISE
Fleurance
435
Cté de Communes de
Mme D’ANTIMO AMELIE
EARL de SERIDOS
SCI E LA NAVE VA
Mme EINSARGUEIX BRIGITTE
Mme ESTEVE ISABELLE
ETABL COL 3204
Mme FORGET JOELLE
M. FRANCOIS GUILLAUME
M. ou Mme GABRIELLE JULIEN
M. ou Mme GEISSANT FREDERIC
M. GERMA GUILLAUME
M. GIORDANO CEDRIC
M. ou Mme JANSINGH-CIBLAT NIEK
M. ou Mme KEMPF-GOSSET Laurent
Mme LACAZE CLAUDE
SCI LANDAFLOR
SCI LES MOULINS
M. ou Mme LESCURE DIDIER
Foyer LUDOVIC LAPEYRERE
SCI MABELAN
M. MAUMUS GILLES
GAEC MEYLAN DMC
M. MISTOU MICHEL
M. MONTANE YVON
Mme OREJA JOSIANE
M. PERUSIN THIERRY
SICTOM OUEST
M. TREINSOUTROT DIDIER
UDAF SECTION APT COM
LEMBEYE
Lasséran
Larée
Sauveterre
Lavardens
Jegun
Saint-Germé
Lartigue
Sarrant
Encausse
Montréal
Augnax
Augnax
Sempesserre
Saint-Blancard
Lagraulet-du-Gers
Sauviac
Montaut-les-Créneaux
Mirande
Auch
Moncorneil-Grazan
Lourties-Monbrun
La Romieu
Monlaur-Bernet
Mauvezin
Sabazan
Auch
Le Houga
Castéra-Verduzan
Augnax
M. BROCAS Jérome
COMMUNE d’AIGNAN
COMMUNE de DURAN
COMMUNE de FAGET
COMMUNE de MARCIAC
COMMUNE de MONFORT
COMMUNE de MONTEGUT
COMMUNE de NOGARO
COMMUNE de SARRANT
COMMUNE de CASTELNAU
COMMUNE de PRECHAC
COMMUNE de SAMATAN
CONSEIL GENERAL DU GERS
27
333
15
63
175
238
355
30
60
77
117
250
800
595
40
1438
73
14
30
325
35
75
130
24
75
25
60
0
537
65
200
80
1055
100
225
50
45
75
145
92
75
145
35
Nom
commune
M BADY JEAN CHRISTOPHE
M BRETTES MICHEL
GAEC CAMP du HAUT
EARL COUTANT FRANCOIS
EARL COUTANT FRANCOIS
SARL de BERNARD
SARL de BERNARD
SCEA de GALAUBAS
M DE LOZZO JACK
EARL de SERIDOS
SCEA de VIVIER
EARL DOMAINE de PAJOT
DONNAY ADRIAN
SCEA du BEDART
EARL du BIDAOU
SCEA du LABAT
EARL du MARTERET
EARL du MARTERET
EARL du MARTERET
EARL du MOURICHON
GAEC DUBOSC ROBIN
M FRULIN JORIS
M GRAF SIMON
JARDIN de COCAGNE
TERRA FERMA
M LAHAILLE JEAN-FRANCOIS
M ODIER Alexandre
M PASINI PHILIPPE
M. VIRELAUDE CHRISTOPHE
Ansan
Ste-Christie-d’Armagnac
Bezolles
Ricourt
Blousson-Sérian
Manciet
Manciet
Lannepax
Noilhan
Larée
Ste-Christie-d’Armagnac
Eauze
Séailles
Saint-Michel
Estipouy
Saint-Médard
Biran
Biran
Biran
Monlezun-d’Armagnac
Viella
Sembouès
Estipouy
surface
3,4
1
0,24
4,35
2,3
6,59
1
1,1
nbre
d’arbres
10
5,73
3,8
10
1
6,85
7,7
23,01
13,51
2
1
1
2
9,4
155
60
40
118
73
570
40
133
12
600
387
132
458
40
270
325
941
616
90
36
36
70
319
Castillon-Savès
0,05
114
Sadeillan
Marsolan
Blaziert
Saint-Puy
2,15
4,3
1
0,83
100
194
60
133
L'équipe
Le Conseil d’Administration Les salariés
Président
Jack DE LOZZO
Trésorier
Pascal CONSIGLIO
Secrétaire
Séverine RAMOND
Membres
Jean-Christophe BADY
Pierre PUJOS
Vincent BLAGNY
Jean HAMOT
Blandine JOUVE
Patrice LABEDAN
Nicolas MELIET
Nicolas PETIT
Jean-François ROBINET
Michel VIGNOLLES
Directeur
Alain Canet
Secrétaire comptable
Danièle Lacombe
Directrice adjointe
Laetitia Joffre
Chargée de
communication
Corinne Scigala
Chef de Projet édition
et assistance technique Chargées d’études
Emilie Bourgade
Bruno Sirven
Virginie Brun
Le nouveau Conseil d’Administration (2015-2016)
Président
Pierre PUJOS
Trésorier
Nicolas PETIT
Secrétaire
Séverine RAMOND
Membres
Jean-Christophe BADY
Jack DE LOZZO
Vincent BLAGNY
Jean HAMOT
Blandine JOUVE
Patrice LABEDAN
Nicolas MELIET
Pascal CONSIGLIO
Jean-François ROBINET
Michel VIGNOLLES
Les stagiaires de la saison 2014-2015
Jules Laffitte-Faure
Loïc Cambours Philippe Solovi Laurent Michaud
Elisa Bourdain
Corentin Havard
Yann Loppion Charlotte Pasquier Noé Brumelot Benoit Detot 1ere Bac Pro Forêt
Terminale STAV ESAT La Caillaouère EMT pôle emploi Licence - Paysages In Marciac 2014
EMT pôle emploi MESP pôle emploi Master 2 - Mouscron Agrof et vigne Vitiforest 7>17 avril 2015
9>14 fevrier 2015
12>15 janvier et 2>5 février 2015
01>12 dec 2014
14 avril au 15 août 2014
4mai>5juin 2015
30 mars>03 avril 2015
24 mars>12 sept 2014
26 mars>26 août 2014
2mars>31août 2015
Sur internet
arbre-et-paysage32.com
facebook.com/pages/Arbre-Paysage-32/677782012235838
arbres-en-campagne.fr
agroforesterie.fr
eau-et-biodiversite.fr
paysages-in-marciac.fr
Conseillers techniques
David Dellas
Tom Lignières
Annie Pavan
Assistant des conseillers
techniques
Guillaume Touzet
publications, travaux, évènements
Arbres,
Territoire
Pollinisateurs
L’arbre au service de
l’agriculture en Midi-Pyrénées
&
L’agroforesterie à portée de main
ues expositions
journées thématiq s ciné-débats
conférences causerie
balades matinales...
Organisation
Arbre & Paysage
32
arbre-et-paysage32.co
EXPOSITION
' ' EMENT
EVEN
à l’espace Eqart
des paysages agroforestiers
pour le maintien des insectes pollinisateurs
Arbre & Paysage 32
Eau
Sol
Les produits agroforestiers en quelques questions
QUELS SONT-ILS ?
Tous les aliments que nous consommons
peuvent potentiellement être produits en
agroforesterie. L’arbre a partout sa place
dans les systèmes de production agricoles.
QU’ONT-ILS DE PLUS ?
• Pour la société
Les bénéfices de l’arbre pour l’agriculture
sont innombrables : amélioration de la
fertilité des sols, régulation du cycle de l’eau,
préservation de la biodiversité, lutte contre
les changements climatiques… L’approche
agroforestière permet à l’agriculteur de
produire en quantité tout en protégeant
l’environnement, de travailler avec et non
contre la nature, de maximiser le bien-être
animal.
En achetant ces produits, le consommateur
participe activement à relocaliser la production
alimentaire et à construire une agriculture à la
fois performante et durable.
Carbone
COMMENT LES IDENTIFIER ?
Il n’existe pas à ce jour de produits
"agroforestiers" valorisés comme tels, même
si plusieurs filières d’élevage intègrent l’arbre
dans leur cahier des charges. Plusieurs
organismes travaillent actuellement à la
création d’un label officiel pour faciliter leur
reconnaissance.
COMBIEN COÛTENT-ILS ?
Les
producteurs
agroforestiers
sont
engagés dans des démarches diverses,
depuis l’agriculture conventionnelle jusqu’à
l’agriculture bio, en passant par tous les
schémas de certification imaginables. Une
majorité des produits sont vendus en circuits
courts, sur les marchés ou à la ferme, et
certains sont transformés directement sur
l’exploitation. Les prix ne sont donc pas gonflés
de toutes les marges des intermédiaires
comme dans les filières plus longues.
Climat
Energie
www.arbre-et-paysage32.com
Présenté par
Arbre
et Paysage
32
Arbre
& Paysage
et l’association Eqart
LES PRODUITS AGROFORESTIERS
Ouvert tous les jours
de Marciac / Pays Val d’Adour / Grands Sites Midi-Pyrénées / Leader / Europe
Gratuit – de 15 ans
Santé
haies
bosquets
cultures herbacées diverses
Stockage
planter
gérer l’existant
laisser pousser
Optimisation
Des paysages à déguster...
des valeurs à partager
Synergies
Programme opérationnel spécifique, qui tire les enseignements du passé, de la recherche,
du bon sens paysan et qui propose des actions pour répondre aux défis actuels et à venir afin
d’atteindre une agriculture vraiment durable, responsable, maximisant les biens et les services
des écosystèmes. REGENA est révélateur de bon sens, de principes simples, préventifs et
productifs.
Protection
Paysans, viticulteurs, techniciens de rivières et de voiries, transformateurs, enseignantschercheurs, développeurs, chasseurs, pêcheurs, cuisiniers : tous participent à l’innovation en
agroforesterie pour expérimenter, proposer et communiquer des réponses adaptées, adaptables.
Fort de 10 ans d’expérience, le réseau REGENA est prêt au changement d’échelle.
Production
Association
de l’Agroforesterie
/ Conseil
Départemental
10h à 21h / Entrée 2€
32 • 10 avenue
deFrançaise
la Marne
• 32000 AUCH
/ Tél.
05 62 60du12Gers
69/•Ville
[email protected]
Agroforesterie & parcours de volailles
L’arbre champêtre au service
de l’agriculture et des animaux d’élevage
SOIRÉE-DÉBAT
invitation
12 mars 2015 à partir de 14h
Ferme "La Patte d’oie"
Saint-Michel (32)
Renseignements / Arbre & Paysage 32 • 05 62 60 12 69 • [email protected]
avec le soutien de :
C’est fort
Le labour source de toutes les pollutions, de tous les problèmes?
avec le soutien de
de la diversité
de nos terroirs
vend 19 sept 2014
...et face à une volonté commune d’améliorer la qualité
de l’eau, de limiter les coûts et les risques liés à la gestion
de l’espace (érosion et fauchage des bords de voiries,
entretien des chemins de randonnée,…) d’améliorer
la qualité paysagère et biologique de nos deux territoires,
qu’est né le projet Eau et Biodiversité en Pays d’Armagnac.
Une vision globale de nos territoires a motivé
cette démarche novatrice, basée sur un partenariat
fort associant l’ensemble des acteurs locaux : citoyens,
acteurs du monde agricole, associations et fédérations
locales, gestionnaires des cours d’eau et des voiries…
Ce pari de la biodiversité sera notamment relevé par la
mise en place au sein de nos territoires, de techniques de
génie végétal simples et raisonnées.
L’arbre sera la clef de voûte de ce projet puisqu’il a
la faculté d’améliorer la qualité de l’eau, de l’air, du sol,
de rendre de précieux services à l’agriculture, d’apporter
de nouvelles ressources, de favoriser la faune sauvage,
d’augmenter la productivité et de maintenir la qualité
paysagère si chère à nos terroirs. Au regard des objectifs
poursuivis, la végétation spontanée peut également
constituer un moyen rapide et efficace de mettre en œuvre
des méthodes novatrices de gestion et d’aménagement
du territoire. Des zones expérimentales serviront à vérifier
les solutions imaginées afin de disposer et de proposer
à terme des outils innovants, durables et efficaces.
Pour nos terroirs, nos paysages et la qualité de vie propre
à notre territoire, démontrons ensemble que la ronce
reste plus que jamais le berceau du chêne.
à partir de 17h30
à
arbres intra-parcellaires
Prévention
2015
Avec le soutien de : Fondation de France / Paysages in Marciac / Jazz in Marciac
forêts
Alimentation
L’Arbre en Lumière
Conférences lectures librairie concerts
restauration dégustations...
RÉSEAU GERSOIS D'INNOVATION
EN AGROFORESTERIE
Biodiversité
ET POUR L’AGRICULTEUR,
QUELLES DIFFÉRENCES ?
Les systèmes de production agroforestiers
• Pour le consommateur
L’agroforesterie, telle qu’elle est pratiquée permettent de s’affranchir progressivement
aujourd’hui, s’évertue à produire des aliments des engrais de synthèse et des pesticides.
de qualité, en valorisant au mieux les Au delà de la réduction des pollutions
potentialités de chaque terroir. Ceci passe environnementales, ceci contribue à limiter
notamment par l’utilisation de variétés et la dépendance de notre agriculture à ces
de races locales, façonnées par et pour intrants coûteux et non renouvelables. Il en
les territoires
dont elles sont issues. Dans résulte un gain de rentabilité important pour
André
Hemelrijk
d’un
10/07
EXPOSITION
l’assiette du consommateur, on
retrouve des l’agriculteur, qui bénéficie par ailleurs
photographies
de vie et de travail agréable, tout en
Galerie Espace Eqartcadre
à Marciac
produits sains, goûteux et nourissants.
g15/08
redonnant du sens à son métier...
David Dellas
dessins
RÉGENA
ANSAN (32)
17h30 > visite des parcelles de Jean-Christophe Bady
19h00 > conférence-débat avec Konrad Schreiber - salle des fêtes
20h30 > buffet (10€ sur réservation) - salle des fêtes
60 12 69
INF OS 05 62ofore
sterie.fr
emilie.salvo@agr
Pierre GUICHANNE
Président de la Communauté
de communes du Bas Armagnac
Jean-Claude PEYRECAVE
Président de la Communauté
de communes de la Ténarèze
www.eau-et-biodiversite.fr
[email protected]
Programme
15h00 - Démonstration de semis direct sous couvert végétal
Démonstration du Semoir Direct grandes cultures Aurensan, chez André Paulin au Gaec de la Bourdarié, Chemin de La Bourdarié, 81990 Puygouzon (à 10 min d’Albi)
18h00 - Soirée «Agriculture et gestion de l’eau : la réserve utile, point clé de la réussite»
Au lycée agricole de Fonlabour, Route de Toulouse, 81000 Albi
Mot d’accueil : Gérard Parisot, directeur du lycée agricole de Fonlabour
Introduction : Alain Canet, président de l’Association Française d’Agroforesteie
Conférence : Konrad Schreiber, chef de projet à l’IAD : « Agriculture et gestion de l’eau : la réserve utile, point
clé de la réussite »
Témoignages d’agriculteurs :
- Sarah Singla agricultrice aveyronnaise, association Clé de Sol - partenaire Agr’eau
- Joël Barthes : polyculteur-éleveur aveyronnais - ferme du réseau Agr’eau
- Christian Abadie : polyculteur-éleveur gersois - ferme du réseau Agr’eau
- André Paulin : polyculteur-éleveur agroforestier tarnais
- Un agriculteur tarnais avec la Chambre d’Agriculture 81
Présentations :
- Aubin Lafon, AFAF : Résultats des suivis sur les fermes pilotes Agr’eau - capacités des sols couverts et nus à
infiltrer de l’eau
en partenariat avec
eau
m
Arbre & Paysage 32
10, avenue de la Marne
32 000 AUCH
tél. 05 62 60 12 69
[email protected]
www.arbre-et-paysage32.com