Revue de presse - Comédie de Paris
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‐ Revue de presse ‐ A visionner en suivant ce lien : http://www.bfmtv.com/l‐humoriste‐constance‐joue‐les‐prolongations‐actu26575.html Date : 10/05/2012 Pays : FRANCE Page(s) : 17 Rubrique : Culture Diffusion : 396932 Périodicité : Quotidien HUMOUR MI-ANGE MI-DÉMON En une heure. Constance est toutes les femmes à la fois. Mère au foyer, petite fille, infirmière, maîtresse ou grand-mère, la comé diennen'épargneaucunmembrede la gent féminine.Avecun humouren per manencesur le fil du rasoir,Lesmères de famille se cachentpour mourir,son deuxièmeone-womanshow,offre une visioncaustiquedu monde.Qu'elle soit en burkaou en peignoir,le public,dont l'indulgencedoit beaucoupau joli mi noisde lacomédienne, est hilaremalgré cetteinsolencehorsnorme.Avis à tous lesfansd'humour borderline.» Constance,jusqu'au 12 juillet, à la Comédie de Paris,42, rue PierreFontaine, Paris 9e(01 42 81 00 11). Tous droits de reproduction réservés LA PROVENCE – DIMANCHE 15 JANVIER 2012 Programmes du 19 au 25 mai 2012 ! l 1 1 Constance· ! Les mères de famille se.~~ent pour mourir ~ Deùxième one-wornan show pour la révélation d'On n'demande qu'à en rire, l'émission de Laurent Ruquier. On retrouve tout le mordant, .le cynisme et l'insolence de Constance. À travers une galerie de portraits, elle poseun regard acéré sur les femmes, avec un(l""capaCitéà dire parfois des horreùrs. Elle est tour à tour une psy<::hethérapeute qui parle à son ver solitaire, une prof de musique névrosée, une mère de famille qui fantasme sur LesFeux de l'amour ... Gonflé etdrôle, Éva Roque Comédiè de Paris, du mardi . au samedi, jusqu'au 12 juillet. À Avignon les 13 et 14 juillet. ~ o :a ~, ~ ~ • ~ ~.~ Q)'...c .~ ~ ..9.f3 - ~~ ,g~; ·0 Jg Q) 00 ' Q) •• _00 - aJ' ·0 ~ l''\td,' ,Q) ~ Q)' eo as "0' ~Q) 1==1 , 00 '"0 Q)'Q) ;.:::jS &0 §~ Q)"' ~ ~ ,Ci$ ..•,..."{' • §~ Q) 00 Q)~ aU 000 "O..§ Q) '.f3.= 58 ~~ "00 ij Constance, entre crises -, ,"de nerfs et crises-de 'rire E lle change de de sensibilisation névrose corndans un collège,elle me de robe. selâche:«l.esfilles, VIrtuose de l'imitapourvotre première tion, Constance infois, vous avez une came une galerie de question à vous personnages fémiposer : êtes-vous nins sur la scène de prêtes? Etes-vous la Comédie de Paris bien épilée? Etes(Paris IXe). « Les vous certaine que mères de famille se personne ne passe cachent pour à cette heure-Ià sur mourir », son leparlàng?» deuxième specConstanceserévèle tacle, est une variairrésistible en protion humoristique fesseur de musique sur le thème de. ',' dépressive, en psy l'hystérie. PA,RIS (Dr). Constance.(lP/H. GRANDVAllET.) fêlée qui affiche sa La jeune humoriste , solitude pathétique révélée par l'émission de Laurent Ru- , surIes plateaux télé ou en filletteperquier,«Onn'demandequ'àenrire»Silr' verse.En1rechaquesketch;elIeseméFrance 2,débarque sur lesplanches en tamorphose : perruques de toutes les pleurs. Elle ôte sa robe de chambre et couleurs,robes bariolées,mimiques et revêtles habits d'une mère de famille accessoires ... Elle est méconnaisBCBGs'échinantàconsoleruneamie sable en jeune mère defàmille du dépressive tout en dressant son trouquart-monde, botgneetvulgaire, etdépeau de marmots .« Tu as envie de te clenche l'hilaritésans mot dire. Entre suicider?Eh bien, tu as beaucoup de chaque sketch; quelques secondes chance d'avoirletemps de faire des, d'intennèdespennetteritàl'humoriste . projetsd'avenir!» ' de se changer A la fin du spectacle, '. . après avoir fait le tour des névroses et ' IrreSIstIble des inteidits fëminins, Constance déL'humout noir est un des atouts de la barque sur scène en burqa. Elle se comédienne aux allures d'éternelle cache pourfinir; LUCAS BRETONNIER chipie. le contraste entre sajuvénile _ Constance.«tes mèresdefamillese apparence et les obscénités qu'elle cachentpourmourin>;dumardiau profère déclenche des riresgênés mais " ,samedi à 21 h 30 à la Comédiede Patis généreux. Lorsqu'elle incame unein(ParisIXe)jusqu'au28 avril.RéselVation finnière nymphomane en campagne au01.42.8100.11. Tarif:30 €. o~ "O~ ~~ ~& ","0 l!@ a=d ~~ '!J Date : 18/04/2012 Pays : FRANCE Page(s) : 32 Rubrique : Culture Périodicité : Hebdomadaire COHSIHICE /^ya galeriede portraits de temmes \ névrosées, psychopathes, souKJ mises, qui court desannées 1950 à nos jours, déclenche le sourire, sinon le rire, de bout en bout. Car Constance, humoriste passée parla case Ruquier, n'a vraiment peur de rien. Ni des vannes, ni des gestes, ni des situations. Mais derrière leshor reurs débitées, c'est un regard lucide et éclairé qui pointe. On n'avait pas vu un tel petit théâtre de la cruauté depuis au moinsValérieLemercier.CM. LESMÈRES DEFAMILLE SECACHENT POURMOURIR. ComédiedeParis,Paris(IXe). Jusqu'au28 avril.Reprisele10mai. Tous droits de reproduction réservés Pariscope [humour] © Nicolas Lartigue CONSTANCE Avec son premier spectacle, « Je suis une princesse, bordel ! », la jeune artiste avait montré qu’elle avait tout d’une future grande. Avec le second, « Les mères de famille se cachent pour mourir », elle le prouve. Ce dernier est, en réalité, une version retravaillée du premier. Elle a cette fois-ci un metteur en scène à la barre, Nicolas Lartigue, et, à la co-écriture, le caustique Jérémy Ferrari. En abandonnant le thème de la jeune fille à la recherche de l’homme de sa vie, elle a trouvé le bon ton. Du coup, ses portraits de femmes au bord de la crise de nerfs dressent un « désespérant » tableau de la condition féminine, de la maison au travail. Alliant le charme et la pertinence, s’appuyant sur un jeu très juste, elle peut se permettre un style grinçant et mordant. n Marie-Céline Nivière Comédie de Paris Renseignements page 24. © Benoîte Fanton / Wikispectacle COCORICO [comédie] A l’annonce de la reprise, on a crié « Cocorico ! », tant ce spectacle visuel burlesque est un feu d’artifice de trouvailles, de gags, de poésie… Patrice Thibaud est un magicien qui fait ressortir du plus profond de nous un rire venu de l’enfance. L’artiste a imaginé la rencontre de deux êtres improbables qui se débattent avec les choses de la vie. Du Tour de France au Far West américain, les saynètes se promènent du côté des souvenirs. Patrice Thibaud et son comparse Philippe Leygnac sont très doués dans cet art subtil de tout raconter avec leurs corps. Philippe Leygnac arrive même à entrer dans une valise, c’est dire ! Et Patrice Thibaud a tout du garnement qui enchaîne les bêtises à la manière d’un gosse des rues cher à Doisneau. A la mise en scène, on trouve Michèle Guigon et Suzy Firth. Sachant mettre au pas la créativité débordante des garçons, elles ont fort bien réglé ces moments de délire. Du bonheur ! n M-C.N. Rond-Point Renseignements page 40. Pariscope Philippe Leygnac (sur les épaules) et Patrice Thibaud Date : 05/04/2012 Pays : FRANCE Page(s) : 34 Rubrique : Les gens de match Diffusion : (728834) Périodicité : Hebdomadaire VOIRCONSTANCE ETMOURIRDERIRE Elle est névrosée, elle est dingue... sur les planches, du moins. Cette humoriste compiégnoise de 26 ans s'est fait connaître du grand public sur le plateau de Laurent Ruquier. Elle cartonne (à la Comédie de Paris). dans son spectacle « Les mères de famille se cachent pour mourir» Antécédents. Premier spectacle en 2011 « Je suis une princesse bordel ! » Inspiration. Jacqueline Maillan, Jim Carrey, et nous tous. «Je passe mon temps à observer les gens. A tel point que j'ai parfois l'impression d'être une extraterrestre. » Marque de fabrique. Un physique de fée, une petite voix démoniaque et un penchant pour les sujets sombres. « Le théâtre, c'est la , permission d'être schizophrène J'aime faire de l'humour à propos de choses tristes. » Réaction du public. Fous rires nerveux, incontrôlés, presque coupables. Constance bouscule ses spectateurs, et ils en redemandent. forte tête. A d'abord refusé de Attention, participer à l'émission « On n demande qu'à en rire », présentée par Laurent Ruquier sur France 2. «Je n'aime pas être jugée par des gens que je n'admire pas forcément. » Mais c'était un bon tremplin. Ce qui la booste. La musique de Philippe Katerine et Brigitte Fontaine. Féministe? «Complètement! On me demande si mon humour trash ne choque pas mon petit ami, mais pourquoi les filles devraient-elles faire plus attention ? » Victoire de LaMAISONNEUVE Tous droits de reproduction réservés 3 questions à... Constance EST-IL VRAI QUE VOUS AVEZ D'ABORD REFUSÉ DE PARTICIPER À L'ÉMISSION «ON N'DEMANDE QU'À EN RIRE»? Oui, je n'aimais pas le format télé-crochet et je jouais mon premier spectacle Je suis une vraie princesse, bordel! Et puis, je me suis laissé convaincre ... Je tournais depuis cinq ans, j'avais des salles remplies, mais avec la télévision, on passe à la vitesse supérieure. Le petit écran est un accélérateur de carrière, et c'est une bonne école. On en prend plein la tête. Le plus dur, c'est d'accepter qu'il y ait aussi des gens qui ne vous aiment pas. EN 2003, À 18 ANS, VOUS DÉCIDEZ DE QUITTER LE CONSERVATOIRE ••• Au conservatoire de Lille, j'ai appris des bases classiques, mais je m'ennuyais. J'avais envie d'autre chose, de rire, de me sentir libre. J'ai alors fait l'Ecole du one-man-show, au théâtre Le Bout, à Paris. J'ai également beaucoup appris en regardant les c~gues que j'aime ~Jacquêlirïè' Maillan, Benoît Poelvoorde, Albert Dupontel. .. et aussi Jim Carrey, il peut' être aussi trist~ que drble~ 1 toujours sur le fil du rasoir, j'adore . ça, . VOTRE SPECTACLE REPREND DES PERSONNAGES DÉJÀ VUS CHEZ RUQUlER? Un seul, qui était déjà dans mon précédent spectacle. Le reste, c'est de l'inédit, créé avec mon coauteur Jérémy Ferrari. Il aime l'humour noir et moi l'humour trash. A nous deux, le résultat est assez décapant! « Les mères de famille se cachent pour mourir», à partir du 19 janvier, à la Comédie de Paris, www.princesseconstance.fr. ') .. FEVRIER 2012 Constance Dans « Les mères se cachent pour mourir » Communiqué : Macha Binot Dans son One Woman show, la seule marque de tristesse sera dans son entrée en scène, expression vite effacée par un humour décapant qui conquit le public dès les premières minutes. Son spectacle, des portraits de femmes, comme une analyse sociologique de notre Société mais avec sa propre grille de lecture. Elles sont mal dans leurs peaux, coincées dans leurs rôles de femmes d’intérieur, de mère. Elles sont loin des vies qu’elles ont rêvées et de l’affection dont elles ont pourtant besoin. Constance sait traiter des vrais problèmes de fond avec cet humour opiniâtre, cette drôlerie caustique qui vous amène à réfléchir, mais le sourire aux lèvres… et vous en conviendrez cela amène des conversations beaucoup plus constructives ! Elle met le doigt sur des idées reçues, sur un machisme sociétal qui dessert le quotidien de chacun de ses personnages. Elles ont toutes des attendes, des névroses et des envies qui ne sont pas si folles, qui ont du mordant ou de la détresse dans leurs contenu mais dont Constance a su extrait toute l’ironie pour que nous, spectateurs, nous puissions passer un moment d’ivresse humoristique. Constance, ce n’est pas la première fois qu’elle nous régale dans ses spectacles, vous l’avez certainement vu sur les planches pour « Je suis une vraie princesse Bordel ! ». Issue d’une formation classique, puisque Constance a débuté par le conservatoire de Lille, elle est vite entrée par la suite à l’école du one man show, au théâtre Le Bout à Paris , préférant se fendre de rire sur scène. Elle enchaîne de belles expériences dont une de ces dernières, le tremplin télé de Ruquier « on ne demande qu’à en rire » vivier de belles créations et de talentueux créatifs ! Son metteur en scène n’est pas en reste. Nicolas Lartigue, lui manie théâtre, cinéma, écriture, télévision, photographie ! Autant vous dire que la mise en espace est quali ! A l’affiche depuis le 19 janvier à la Comédie de Paris, ce spectacle est misogyne et féministe. Et nous, on vous recommande vivement ! Constance dans « Les mères se cachent pour mourir » A la Comédie de Paris, 42 RUE PIERRE FONTAINE – Paris 9 Metro Blanche Réservation : 01 42 81 00 11 ou www .comediedeparis.com Date : 05/05/2012 Pays : FRANCE Page(s) : 1 Diffusion : 65033 Périodicité : Quotidien Mots : 741 Constance veut « faire rire et aussi faire réfléchir » HUMOUR Jolie blonde souriante, originaire de Vieux-Moulin, Constance manie les mots comme d'autres le couteau. Mais c'est pour la bonne cause. Une robe de chambre à fleurs ridicule, une blouse d'infirmière ultra-sexy, les cheveux gras. Constance multiplie les déguisements pour taper là où ça fait mal. Sur les clichés, mais surtout sur le manque de liberté des unes et des autres. Chacun(e) en prend donc pour son grade. Flingueuse professionnelle à la scène, cette ex-acolyte de Ruquier assure pourtant d'une toute petite voix qu'à la ville, elle est « normale ». On rit beaucoup dans votre spectacle « Les Mères de famille se cachent pour mourir », c'est souvent très cru ! Oui, l'humour noir ou trash, c'est un parti pris. Moi j'ai choisi d'en rire. De manière générale de toute façon, je trouve que la vie est très violente. Le trash, c'est aussi une manière de prendre du recul par rapport à ce qui existe. Dès le début, vous donnez le ton : « Je chie des roses sans les épines et je sais parfaitement m'occuper d'une pine ». La salle se tord de rire. Le but, c'est de faire rire bien sûr, mais aussi de faire réfléchir. Il y a toujours un fond, une vérité derrière ce que je dis. La formule est peut-être trash, elle signifie que la femme parfaite n'existe pas, qu'il faut arrêter avec cette pression qu'on met sur elle ! Les hommes ne sont même pas attirés par ces femmes-là. Certains passages gênent le public parfois ? Chacun voit ce qu'il veut y voir, mais il se trouve que le spectacle est féministe, c'est une réflexion sur la liberté. Et sur l'emprisonnement. Tant mieux si ça ne plaît pas à tout le monde, c'est un joli sentiment la colère. Les choses qui mettent en colère sont des choses importantes. Ça veut dire qu'on a appuyé là où ça fait mal. Même les gens qui sont en colère vous donnent quelque chose. C'est drôle d'ailleurs de se rendre compte qu'on peut mettre les gens dans tous leurs états. Vos personnages sont féminins et malheureux. Vous entrez d'ailleurs sur scène en pleurant... Oui, ils sont tous profondément déprimés et mettent de l'énergie jusqu'à ce que les papiers peints se décollent complètement, que ça n'aille plus du tout. Mais c'est de leur faute, ils sont les seuls à pouvoir s'en sortir, ils se sont emprisonnés eux-mêmes. À la base, je les ai tous un peu en moi, on est multiples, mais après on choisit de prendre tel ou tel chemin. Je ne dis pas que c'est facile, mais je pense que rien n'est irréversible. L'une de ces femmes est Picarde d'ailleurs ? Comme moi oui. Le personnage de Mylène est picard, elle a l'accent Mais dans toutes les villes, il y a des femmes comme ça : avec une crotte sur la tête, une blouse colorée, de grosses lunettes... C'est un mélange de personnages rencontrés. Vous n'êtes pas gênée de l'image que vous renvoyez ? Je passe de la bimbo au cageot, mais je ne me pose pas de questions. Mon corps est un outil au service de ses personnages. Si on se regarde, c'est foutu. Ce n'est pas moi qui suis moche, je deviens quelqu'un de différent sur scène. Vous dites d'ailleurs que la scène est le dernier espace de liberté ? Ces dernières années c'est vrai, je trouve qu'à la télé, au cinéma, c'est beaucoup de politiquement correct, mais c'est dans la vie de manière générale. Il y a des radars sur la route, il ne faut pas trop boire, pas respirer comme ça... La scène et la radio restent vraiment des endroits très libres. Si on regarde la télé dans les années 1970-1980, c'est dément tout ce qu'ils se permettaient. Je ne pense pas que pour que les gens soient raisonnables, il faille fixer des limites. C'est pour ça que vous avez arrêté « On n'demande qu'à en rire », l'émission de Laurent Ruquier ? La télé, c'est un exercice très usant, il faut savoir prendre ce qu'il y a à prendre. Je suis restée dans cette émission tant que je prenais du plaisir. Ça m'a apporté beaucoup, ça a été un tremplin, mais je ne me sens pas chroniqueuse. Mais c'est vrai que j'ai envie de théâtre, envie d'écrire, envie de cinéma, où quelques belles propositions commencent à arriver... Propos recueillis par ÉLISE PINSSON DF7A28FC55906A08D0181A09100805DE153286646189270165DFB8B (1/1) - DESK PRESSE Tous droits de reproduction réservés Date : 05/05/2012 Pays : FRANCE Page(s) : 1 Diffusion : 65033 Périodicité : Quotidien Mots : 88 CONSTANCE Elle manie les mots comme CONSTANCE Elle manie les mots comme d'autres le couteau dans son dernier spectacle. Originaire de Vieux-Moulin, près de Compiègne, âgée de 26 ans, l'humoriste Constance a gagné en visibilité grâce à l'émission On n'demande qu'à en rire de Laurent Ruquier. Elle donne actuellement dans la capitale Les mères de famille se cachent pour mourir, un spectacle à l'humour cinglant et trash, dans lequel se glissent des références à sa région natale. Elle est prolongée à la Comédie de Paris jusqu'au 12 juillet. 487C88675ED0970660091FE9EA02850B1B623161715A261EDC0E9B2 (1/1) - DESK PRESSE Tous droits de reproduction réservés Tant qu'ça pendule Dimanche 22 janvier 2012 Une princesse, bordel ! Une mère de famille ? Mortel ! Un olibrius qui se plante devant vous et qui vous parle, c'est troublant. Constance s'inscrit dans cette tradition. Le goût du grimage et le don de la métamorphose. Souvenez-vous d'Elie Kakou, sa perruque et son manteau de fourrure. Un châle et un coussin sous la robe, et en avant les répliques! Bien sûr, l'habit ne fait pas le sketch, mais on imagine sans peine une petite fille déjà comédienne et avec de la suite dans les idées, qui avec les années n'a jamais perdu ses fondamentaux: c'est plus rigolo quand on se déguise. Aujourd'hui devenue excellente comédienne, elle offre à chacun de ses personnages non seulement un costume mais un corps, une voix, une histoire. Et ne nous le cachons pas, elle aime les névrosées. Rien ne semble plus l'inspirer que la dépression, le mal être et le dégoût de soi, surtout quand ils sont féminins. Nous sommes bien loin des humoristes qui nous disent que les filles sont rigolotes quand elles mangent du chocolat en cachette, regardent Secret Story ou sont complexées par leur cellulite. Chez Constance, les travers de la femme ne sont pas attendrissants, ils flirtent plutôt avec le trash, et au diable la condescendance! Flash-back. Nous sommes en 2011 et à la Comédie de Paris se joue "Je suis une princesse, bordel!", premier spectacle écrit et interprété par Constance. Je suis surprise d'être à ce point séduite par un spectacle aux protagonistes si pathétiques. Bluffée par cette comédienne qui débite des monologues puissants et efficaces car assumés, qui jamais ne désamorce une réplique un peu violente, une situation embarrassante, ou alors par un léger éclair de connivence dans les yeux. Une humoriste qui enfin, va au bout des choses, et ne s'excuse pas d'y aller. Elle nous fait rire sur scène avec ce qui dans la vie nous met mal à l'aise, avec toutes les obscénités qu'on ne voit plus. Chaque nouvelle phrase de son texte en rajoute une couche. Une couche de pathétique, de bêtise, de vulgarité, de folies et d'excès de toutes sortes. Elle maitrise comme personne l'art du costume kitsch et du langage fleuri grâce auxquels elle s'autorise quelques virées dans l'inquiétant, sans jamais tomber dans le glauque. Peu d'humoristes actuels ont l'ambition de faire exister leurs guignols indépendamment d'euxmêmes. En sortant de ce spectacle, ce n'est pas une comédienne qu'on a dans la tête, c'est tout une galerie de désaxés qu'on aimerait bien retrouver à l'occasion, dans d'autres sketchs, dans d'autres situations. Cette prise d'indépendance des personnages témoigne d'une grande maturité de jeu et d'écriture, certainement acquise au sein des troupes de théâtre qu'elle a fréquenté avant de se lancer dans l'élaboration de ce spectacle pauvre en grosses vannes mais dont on ressort avec tout une imagerie dans la tête. Pour « Les mères de famille se cachent pour mourir », elle a trouvé en Jérémy Ferrari, adepte d'humour noir et de textes ciselés, un complice d'écriture. Ensemble, ils continuent cette minicomédie humaine par le sketch et éclairent à leur façon une dizaine de scènes de vie. On retrouve une Constance multifacette, dans des portraits de femmes de tous âges et de toutes conditions. Elle accorde encore un peu plus son arc pour taper dans le mille, certains personnages donnant une dimension de plus à son répertoire, Constance s'étoffe et déploie ses ailes. Car si l'on ressortait de « Je suis une princesse, Bordel! », certes hilares, mais en se demandant un peu où elle avait caché l'espoir, l'incitation à prendre son envol fait subtilement acte de présence tout au long de ce nouveau spectacle, sans jamais être clairement formulée. Des textes crus et sans concessions, des personnages fantasques et frustrés, une comédienne époustouflante de vérité, le tout rythmé par une mise en scène de qualité et un sélection musicale on ne peut plus appropriée (Brigitte Fontaine nous sauvera toutes!). A tous ceux qui pensent que le rire, ce n'est pas seulement une vanne bien placée, mais que c'est aussi un choix et une musique des mots, une imagerie de personnages foutraques et poétiques, un pied de nez au réel qui souvent est bien pire, sachez que vous trouverez en Constance une héritière des Deschiens, de Valérie Lemercier, d'Elie Kakou et même, allons-y franchement, de Coluche. Une question subsiste. Tous ces personnages sont-ils inspirés de femmes bien réelles? Bien évidemment, puisque nous les avons déjà rencontrées nous-mêmes. Il serait intéressant de savoir si Constance a de la sympathie pour elles. Si tel est le cas, l'amour est décidément très très vache! Date : 01/04/2012 Pays : FRANCE Page(s) : 45 Rubrique : Sortir Périodicité : Mensuel Les mères de famille se cachent pour mourir Constance, la révélation d'On n'demandequ'àen rirc\ l'émission de Laurent Ruquier, revient sur scène, après Je su/s une princesse bordel !, dans son one woman show Les mères de famille se cachentpour mourir. Démoniaque et sexy,Constance n'a pas la langue dans sa poche. Certes elle aime les femmes, mais elle n'hésite pas à chahu ter la condition féminine avec audace et un humour grinçant. De la ménagère dépressive à la petite fille sadique, en passant par la grand-mère fortunée et aigrie, toutes les générations y passent ! Femme sans répit, femme calculatrice, femme en manque d'amour et morte d'en nui, femme qui gère enfants per turbés, mari absent, balai brosse et serpillère, femme seule au bord de la crise de nerfs, les por traits qu'elle dresse sont cin glants. Le tout est servi par une comédienne énergique et talen tueuse et par une écriture aiguisée. Si vous ne connaissez pas encore Constance, il est encore temps de découvrir son univers loufoque. Audace, insolence et féminité s'allient pour nous offrir un spectacle désopilant. jusqu'au 28 avril à la Comé die de Paris, 42, rue Pierre Fon IX1' taine, Paris Tous droits de reproduction réservés Les mères de familles se cachent pour mourir 1 sur 1 http://www.neuillyjournal.com/sortir/spectacles/item/2084-les-meres-d... mots clés... ACTUS RESTAURANTS Newsletter : SORTIR CINÉMA IMMO SPECTACLES SANTÉ EXPOSITIONS EVÈNEMENTS ASTUCES ANNONCES LOISIRS LOISIRS BRIDGE Courriel OK Météo Neuilly Accueil > Sortir > Spectacles > Les mères de familles se cachent pour mourir Ciel nuageux Humidité : 87 % 4°C 7°C mer. 3°C 7°C 8°C SORTIR Mardi, 07 Février 2012 14:03 jeu. 4°C RETOUR ACCUEIL SPECTACLES Vent : N à 16 km/h mar. RETOUR RUBRIQUE SORTIR Derniers articles LES MÈRES DE FAMILLES SE CACHENT POUR MOURIR 1°C PHARMACIES Les lieder de Schubert à la médiathèque de Neuilly Écrit par H.M Jean-François Zygel et ses douze chants hébraïques au Théâtre de Neuilly DE GARDE LISTE DES HÔPITAUX ET CLINIQUES DU 92 Récital de Paul Lay au théâtre Le Village AGENDA 14 févr. Les mardis des parents : alcool, tabac, cannabis et adol... 14 févr. Conférence de Solidarités nouvelles pour le logement 16 févr. Constance, la jolie blonde de l'émission de Laurent Ruquier, “On n'demande qu'à en rire” illumine la scène de la Comédie de Paris, jusqu'au 28 avril, pour son nouveau spectacle. Signature de l'ouvrage Le cancer maux à mots Je suis une princesse, bordel !, le premier spectacle de la talentuense Constance avait fait l'unanimité et connu bien des succès à Paris et en province. Comme de tout ce qui est bon, il ne faut pas se priver, Constance récidive avec Les mères de famille se cachent pour mourir, son deuxième spectacle, coécrit avec Jeremy Ferrari. Voici à peu près le pitch de ce one-woman-show frais et aiguisé : Constance s’ennuie quand elle est toute seule, alors elle fait payer des gens pour venir l’écouter. Et comme vous êtes des voyeurs, vous vous précipiterez pour découvrir l’expression de son déséquilibre mental. Sa force, c’est qu’elle est toutes les femmes à la fois. En permanence sur le fil du rasoir, elle ne bascule jamais. Comme la comédienne le définit elle-même, attendez-vous à voir le premier spectacle “féministe et misogyne” jamais écrit. Les mères de famille se cachent pour mourir, à la Comédie de Paris Jusqu'au 28 avril 2012 Du mardi au samedi à 21h30 Page facebook de constance VOS AVIS Actus Sortir Immo Santé Astuces Annonces Neuilly Actu Société Economique Rétro actu Associations IDF Actu Paris Actu Sport Restaurants Cinéma Spectacles Expositions Evènements Loisirs Bridge La visite du mois Conseils de pros Beauté Mode Santé Evasion La recette du chef Auto Déco Réducs de Neuilly Jardinage Environnement Neuilly Jeunes Véhicule Immobilier Multimédia La maison Loisirs Emplois et Services Baby sitting Conditions générales d’utilisation Qui sommes nous ? 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On retrouve bien évidemment son personnage “Melle Kresselle” une prof de musique qui essaie de faire participer avec difficultés ses élèves. Le seul point négatif : on regrette que le spectacle ne dure pas plus longtemps. Il faut bien l’avouer elle nous a fait oublier ou plutôt rire de nos problèmes du quotidien pendant une bonne heure. Ce que le public en pense : « Nous avons passé un super moment, un spectacle sans coup de mou et plein de rires !!! Grand plaisir à voir et revoir certains personnages déjà vus chez Ruquier ! » « Formidable comédienne ! Spectacle hilarant ! Elle a le don de nous faire rire avec des obscénités (qui sorties de sa bouche n’en sont pas et nous font mourir de rire !). Ses personnages sont plus fous les uns que les autres ! On rit du début à la fin ! Tout est bien rythmé, le temps passe trop vite ! Très proche de son public, très gentille, voir timide quand on a la chance de discuter avec elle à la sortie du spectacle. Elle offre un peu de son temps pour discuter avec ses fans ! Je l’en remercie ! Encore BRAVO ! » « Venus à 4, nous avons passé une super soirée ! Constance est une comédienne formidable qui nous fait rire à chacun des personnages qu’elle nous présente. Humour parfois trash, avec un peu d’émotion, des échanges avec le public… Artiste, très drôle et sympathique ! [Cependant, son spectacle n'est pas à laisser à portée des jeunes enfants...] » « A mourir de rire !!! Très frais, dynamique et très drôle !!!!! 1h de pur bonheur à faire et refaire … Elle est excellente ! » Talent confirmé de la nouvelle génération d’artistes comiques, Constance plait à tout ceux quoi ont eu la chance de la voir et nous offre une performance d’une qualité rare. Exceptionnelle comédienne, elle incarne et vit chaque personnage qu’elle invente pour notre plus grand plaisir. Elle est loufoque, décalée, drôle et pour résumer simplement : à aller voir ! Les mères de famille … janvier 26th, 2012 → 8:59 @ Mathieu Constance est actuellement sur la scène de La Comédie de Paris pour présenter déjà son deuxième spectacle Les mères de famille se cachent pour mourir. Constance s’ennuie quand elle est toute seule alors elle fait payer des gens pour venir l’écouter. Et comme vous êtes des voyeurs vous vous précipiterez pour découvrir l’expression de son déséquilibre mental. Côté écriture, l’humoriste que l’on aime beaucoup à la télévision s’est associée à Jérémy Ferrari, connu pour son humour noir. A n’en pas douter, Les mères de famille se cachent pour mourir est le premier spectacle à la fois féministe et misogyne. La mise en scène a été confiée à Nicolas Lartigue, assisté de Tiphaine Rondenay. Les mères de famille se cache pour mourir, Comédie de Paris (Paris 9ème), du mardi au samedi à 21h30, durée 1h20. mots-clefs: affiche, humour, spectacle CONSTANCE, ce sont encore ses fans qui en parlent le mieux… Lettre d’une spectatrice à Constance : « Bonjour Constance, Un ami m'a montré l'un de vos sketchs d' « On ne demande qu'à en rire » il y a environ deux mois, certain que je serais conquise. Il n'imaginait pas à quel point il avait raison puisqu'il a dû parcourir presque trois-cents kilomètres pour m'accompagner jusqu'à la Comédie de Paris ! C'est ainsi que nous avons eu le plaisir de vous voir sur scène mardi soir. Si je m'attendais à rire, je n'imaginais pas sortir de la salle avec autant de crampes dans les joues ni à me réveiller en pleine nuit et sourire encore en pensant au spectacle. La fraicheur et la bonne humeur que vous dégagez permettent d'oublier pendant un moment la vie de tous les jours en nous transportant dans le monde de vos personnages. Je me dis alors que vous faîtes vraiment un beau métier et, qu'en plus, vous le faîtes particulièrement bien. En effet, après l'instant magique où l'on se rend compte que vous êtes bien en chair et en os face à nous, on vous oublie peu à peu pour pénétrer sans brutalité dans l'univers que vous créez. Étant d'une timidité excessive et d'un naturel plutôt calme, on s'est parfois étonné de me voir apprécier autant un humour noir un et un peu trash. Pourtant, je crois que, justement, il peut faire tomber les barrières dont on s'entoure et peut-être même donner envie de reprendre le théâtre pour éviter de sombrer dans le silence. Bref, j'adore la folie de tous vos personnages avec un coup de cœur certain pour Mlle Kresselle et sa chanson du goéland ( même si elle est plutôt effrayante pour quelqu'un qui veut devenir prof et qui a déjà son poisson rouge ! ). En plus d'être une excellente comédienne, vous possédez une force dans l'écriture assez impressionnante. La première chose qui m'a interpelée en écoutant vos sketchs, c'est votre plume à la fois drôle et incisive mais aussi ce petit quelque chose de poétique qui ne laisse pas indifférent. J'aime cette façon charmante de jouer avec les mots dans l'élégance des figures de styles, c'est très beau. Vous défendez une cause et vous bâtissez sur un fond grave une œuvre hilarante à chaque instant. C'est pourquoi il me semble que vous pouvez tout vous permettre et dépasser des limites qu'un artiste ne devrait même plus s'imposer à notre époque. On a accusé Rabelais de vulgarité, Baudelaire s'est montré provocateur mais, après tout, on se souvient plus d'eux que de leurs détracteurs. Avec votre talent, l'insolence apparente tient du génie, de l'humour intelligent capable de bousculer les esprits pour les porter à réfléchir. Voilà, tout ça pour dire que j'ai énormément aimé Les mères de famille se cachent pour mourir et que je complote déjà pour revenir au plus vite. J'espère qu'un jour j'aurai le plaisir de pouvoir assister à votre spectacle dans un théâtre de ma Normandie. Un immense merci pour nous avoir fait autant rire, vous méritez vraiment un succès fulgurant ! Plein de bonheur et de réussite ! » Morgane