FESTIVAL DE L`INATTENTION, GLASSBOX (Paris) 24, 25, 26 Juin

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FESTIVAL DE L`INATTENTION, GLASSBOX (Paris) 24, 25, 26 Juin
Myriam Lefkowitz
FESTIVAL DE L’INATTENTION, GLASSBOX (Paris)
24, 25, 26 Juin 2016
Céline Ahond, Alice Didier Champagne,Julien Discrit, Mark Geffriaud, Thomas Geiger,
Ann Guillaume, Florence Jung, Myriam Lefkowitz, Flora Moscovici, Jeanne Moynot, Jeff
Perkins, Fabrice Reymond, Zoé de Soumagnat, Anne-Sophie Turion, Capucine Vever
FESTIVAL DE L’INATTENTION
RECAPITULATIF DU PROJET
Porteur de projet :
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Nom de l’organisme demandeur : Glassbox
Nom, prénom de la personne à contacter : Sophie Lapalu
Coordonnées : 27 rue Lantiez, 75017 Paris, 06 15 29 10 75, [email protected]
Informations sur l’organisme demandeur :
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Nombre de salariés : 4
Nombre de bénévoles : 15
Budget annuel : 89 000
Statut : association à but non-lucratif Loi 1901
Président : Malo de Kersauson
Site internet : http://www.glassbox.fr
Description générale du projet :
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Date de mise en œuvre : Du 24/06/2016 au 26/06/2016
Titre : Festival de l’inattention
Résumé : Festival artistique dans l’espace public.
GLASSBOX est une association à but non-lucratif fondée en 1997 qui vise à
promouvoir la création contemporaine émergente en arts. Gérée par des artistes qui
administrent l’espace d’art du 4 rue Moret, elle permet à de jeunes créateurs d’accéder à
une forme de visibilité spécifique à chaque démarche et œuvre à proposer des formats
hybrides de production et de diffusion de l’art contemporain en vue de toucher un public
large et diversifié. Elle a également pour action la mise en réseau des scènes artistiques
internationales et intervient actuellement en Tunisie, en Palestine, aux Etats-Unis,
permettant des échanges entre différents lieux et acteurs de la création contemporaine,
encrés sur des territoires où l’accès à l’art n’est pas toujours aisé.
Pour ce projet, GLASSBOX a invité la commissaire d’exposition Sophie
Lapalu spécialisée dans l’art dans l’espace public, qui a réuni 16 artistes européens pour
collaborer ensemble. Durant 3 jours, ils sont invités à investir les rues, vitrines, espaces
verts et autres commerces du quartier cosmopolite de Belleville, travaillant avec la
population et ses associations locales, faisant collaborer des intervenants aux horizons
multiples, touchant un public non initié et contribuant ainsi à faire tomber les barrières
d'accès à l’art contemporain européen. L’art sort dans la rue pour réévaluer notre regard
sur le quotidien.
Une édition gratuite sera réalisée permettant de pérenniser les échanges et créations
accomplis.
Personnalités associées au projet
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Animateurs du projet : Sophie Lapalu, aidée par les membres de Glassbox, Clémence
Agnez, Hélène Garcia, Adrienne Louves et Damien Roger.
Pour la publication : conception graphique d’Angeline Ostinelli
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Artistes invités : Céline Ahond, Alice Didier Champagne,Julien Discrit, Mark Geffriaud,
Thomas Geiger, Ann Guillaume, Florence Jung, Myriam Lefkowitz, Flora Moscovici, Jeanne
Moynot, Jeff Perkins, Fabrice Reymond, Zoé de Soumagnat, Anne-Sophie Turion, Capucine
Vever
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Personnalités soutenant le projet : Boris Achour (artiste), Clémence Agnez (directrice de
Glassbox), Nicolas Bourriaud, Aude Cartier (directrice de la Maison de arts de
Malakoff), Anna Colin (co-directrice de l’Open School East), Hélène Garcia (cofondatrice de la revue Manuel), Jerôme Gliceinstein (professeur à l’Université, cofondateur de la revue Marges), Mathilde Guyon (Directrice d’Astérides Ateliers
d’artistes, Marseille), Delphine Paul (Conseillère aux Arts Plastiques Bourgogne), Ann
Stouvenel (Directrice du pôle arts visuels de Mains d’œuvres), Mathilde Villeneuve (Codirectrice des Laboratoire d’Aubervilliers), Emeline Vincent (Chargée de l’espace
d’exposition YGREC – ENSAPC).
Public visé par le projet
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Public cible du projet : Glassbox a pour mission la sensibilisation à l’art et à la jeune
création, aussi le projet cherche à s’ouvrir à tous les publics. Ce projet cherche à toucher
autant la population du quartier Belleville que le public de l’art contemporain soutenant
la jeune création contemporaine internationale, les échanges interculturels.
L’édition finale sera gratuite en vue d’en permettre l’accessibilité et la plus large
diffusion possible.
Nombre de personnes directement impactées par le projet (et comment ?) : 500
Les artistes internationaux vont investir des vitrines de commerces, d’autres vont
travailler sur les murs des immeubles, d’autres encore vont réaliser des performances
avec des habitants du quartier. Aussi nous pouvons estimer à 30 le nombre de personnes
très directement impactées avec qui les artistes vont travailler en collaboration (habitants
du quartier, association, commerçants…). De plus, Glassbox est un centre d’art
contemporain. Son public est très large. Chaque exposition amène environ 500 visiteurs.
Enfin, les artistes et la commissaire d’exposition bénéficient eux-mêmes d’un réseau
important à travers le monde.
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Nombre de personnes indirectement impactées (et comment ?) : 7000
Les artistes agissent durant 3 jours à même l’espace urbain. Les œuvres toucheront ainsi
indirectement un très grand nombre de personnes, que nous pouvons évaluer
grossièrement à 1000 personnes sans pouvoir être précis. La publication retraçant
l’événement sera tirée à 300 exemplaires et distribuées gratuitement, contribuant à
diffuser le projet également.
La communication est très large et importante ; les contacts sont internationaux et
diversifiés. Glassbox existe depuis 1997 et est reconnu à travers le monde pour son
engagement dans la création contemporaine. Elle bénéficie de plus de 2000 abonnés
facebook et d’une newsletter de plus de 5000 personnes. Le relais d’opinion électronique
tels que réseaux sociaux et sites internet permettent à ceux qui ne sont pas présents
physiquement de pouvoir découvrir le contenu créatif du projet. Des albums de
photographies sont créés. De plus, les artistes et Glassbox vont publier sur leurs sites
internet les œuvres créées et y archiver le projet. Dans le temps, le projet continuera à
être vu et à exister.
Valorisation du projet
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Plan de communication : Glassbox possède une mailing list de 8500 abonnés et un
compte Facebook de 7000 suiveurs et un compte instagram en comportant 1500. Chaque
artiste a lui-même un réseau d’environ 500 personnes. Il est donc prévu de diffuser
largement les événements initiés par ce programme pour permettre une visibilité du
projet et la mise en lumière du travail des artistes contributeurs. La publication sera
distribuée également en vue de faire perdurer le projet.
Responsable de la communication : Hélène Garcia
Partenaire(s) médiatique(s) : Le Quotidien de l’art, DUUU Radio ; blog De l’action à
l’exposition, Revue Marges
Partenaires médiatiques en cours de confirmation : Les Inrocks (via Claire Moulène),
Etapes Magazine (via Isabelle Moisy), Artpress (via Anaël Pigeat), Zerodeux (via
Patrice Joly).
Réseaux informés : la presse généraliste et la presse spécialisée dans la couverture
d’événements culturels et artistiques, ainsi que la presse internationale pour valoriser cet
échange européen.
Relais d’opinion : Utilisation des relais d’opinions électroniques tels que les réseaux
sociaux (Facebook, Twitter)
Autres valorisations : Par sa plateforme internet, Glassbox publie régulièrement
l’actualité des artistes ou des structures qui l’ont aidés et soutenus dans l’élaboration des
projets. De plus, le blog de la commissaire Sophie Lapalu est régulièrement alimenté
d’entretiens avec les artistes avec lesquels elle collabore. Des professionnels du milieu
de la culture (spécialisé dans les arts visuels) s’adressent régulièrement à Sophie Lapalu
pour écrire des articles et des entretiens, après les avoir découvert par le biais de la
publication ou des expositions qu’elle a organisées. C’est aussi pourquoi Glassbox a fait
appel à elle, pour son engagement dans la défense de la jeune création européenne.
Dimension européenne du projet
Ouverture à la citoyenneté européenne : Les artistes sont de nationalités différentes et vivent
dans 5 pays européens différents : Allemagne, Angleterre, Autriche, Belgique, France.
Ce projet, Le Festival de l’inattention, met en exergue l’importance du quotidien, et la nécessite
d’y porter un nouveau regard. Aussi il est fondamental que des artistes issus de cultures
différentes y participent en vue d’y porter chacun un point de vue singulier et de mieux
contribuer aux échanges avec le public, mais également entre eux. Il est plus que jamais
nécessaire de réaffirmer l’importance d’une culture commune à partager, de faire des
différences autant de richesse en vue de renouveler le regard que nous portons à notre
quotidien. L’Europe se construit tous les jours.
Glassbox cherche à valoriser la jeune création contemporaine européenne en fonctionnant sur le
principe d’invitations ou de candidatures spontanées, pour ouvrir le maximum de connections
possibles, sans barrières préétablies. Cet échange culturel prolonge l’idée de ce
qu’est l’Europe, à savoir abolir les frontières culturelles pour une compréhension mutuelle et la
construction d’une culture commune. Ce projet initie des rencontres et des échanges avec des
artistes de différents pays d’Europe, et leur permet de se rencontrer, de travailler et de produire
ensemble, avec la population locale. L’association d’artistes parisiens, londoniens, bruxellois
ou viennois est une promesse de richesse dans les propositions futures et les échanges à venir.
Une nouvelle dimension créative se développera, dépassant les barrières culturelles de chacun
des participants.
Bien que la Suisse occupe une place «autonome» dans l’Europe économique et politique
actuelle, elle est cependant un partenaire culturel avec l’Europe d’aujourd’hui et contribue à en
dessiner la singularité.
Pays concernés : Allemagne, Royaume Unis, Autriche, Belgique, France, Suisse et Etats-Unis.
Jeanne Moynot, Running Song, 2012
Financement du projet Budget global (€)
Budget total : 7450€
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Montant demandé à la Fondation Hippocrène : 3250€
Autres institutions finançant le projet :
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Nom : Glassbox, montant : 1200€
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Pro Helvetia (attente de confirmation) : 600€
Ambassade de l’Autriche en France (attente de confirmation) : 600€
Mairie de Paris, mairie du 11ème arrondissement et/ ou Ministère de la Culture (attente de
confirmation) : 1000€
Autres financements :
Fonds propres : 500€ (soirée organisée en faveur du projet, vente de gâteau et boissons)
Domaines Lapalu (mécénat), montant : 300€
Partenariat Grolsh pour le vernissage : bières.
Remarques sur le plan financier :
L’argent demandé est destiné à pouvoir rémunérer les artistes d’un cachet de 300€. Il
nous apparaît fondamental de pouvoir reconnaître le travail de chaque créateur en le
rémunérant pour le travail accompli. Cet engagement contribue à reconnaître le travail
artistique et permet de professionnaliser les artistes. L’argent de Glassbox, de la Mairie
de Paris, du 11ème et du Ministère serviront à couvrir les frais de production des œuvres
réalisées.
Glassbox par ailleurs rémunère ses employés qui travailleront à la communication, à
l’accueil du public et à la production de cet événement.
Pro Helvetia et l’ambassade de l’Autriche en France couvriront les rémunérations des
artistes suisse et autrichien, ainsi que leur déplacement et leur logement.
Image page suivante : Paul Maheke, Tout en sollicitant le soleil (Derviche tourneur), 2011
Flora Moscovici, Brick Road, Montréal, 2012
PRESENTATION COMPLETE DU PROJET ARTISTIQUE
GLASSBOX / 24, 25, 26 JUIN 2016 / Festival de l’inattention / 3 jours
L’art contemporain se destine bien souvent à un public d’initiés, exposés dans des espaces dont
le néophyte n’osera jamais pousser la porte. L’œuvre qui y est montré attire à elle les regards,
l’attention. Que se passe-t-il si l’art s’expose dans l’espace public, au sein des multiples stimulis
qui assaillent les passants ? Si l’art se mêle au quotidien, que perçoit-on ?
L’attention se porte habituellement sur l’exceptionnel, l’événement. « Le quotidien, c’est ce
qu’il y a de plus difficile à découvrir »1 nous dit Blanchot. La caractéristique majeure de celui-ci
serait précisément son indétermination. Au moment où l’homme le vit, le quotidien reste pour
lui toujours « inaperçu »2 : son regard le dépasse et il ne peut pas lui donner sens en l’inscrivant
dans un ensemble cohérent. Est-il possible alors de focaliser l’attention sur l’ordinaire ?
Ce festival de trois jours dans le quartier de Belleville se destine à sortir l’art de ses espaces
privilégiés, le confronter à l’extérieur, et réinvestir ainsi l’espace public et le quotidien auquel
on ne porte plus attention. Le but est également de toucher un public qui n’est pas celui des
1
2
Maurice Blanchot, « La parole quotidienne » (1962), dans L’entretien infini, Gallimard, Paris, 1969, p. 355.
Ibid.
musées. Les 16 artistes provenant de 6 pays européens différents, travaillent en collaboration
avec les habitants en vue de créer des pièces en libre accès, éphémères et collaboratives. Ils
investissent les rues, vitrines et autres commerces du quartier cosmopolite. Ils sont amenés à
travailler avec sa population et ses associations, faisant collaborer ensemble des intervenants
aux horizons multiples, touchant un public non initié et contribuant ainsi à faire tomber les
barrières d’accès à la culture dite élitiste de l’« art contemporain ».
Ce projet explore de cette façon les différentes polarités de l’attention et de l’inattention, de
l’œuvre la plus furtive à celle nécessitant un véritable rendez-vous. Certaines ne seront
absolument pas distinguables (actions minimales de Thomas Geiger, Alice Didier Champagne
et Paul Maheke, peintures trompe l’œil de Flora Moscovici, chansons de rue de Jeanne Moynot,
protocole de Florence Jung), d’autres auront un statut indéterminable et ne manqueront pas de
créer une ambiguïté (Fabrice Reymond lit ses écrits dans un bar, Zoé de Soumagnat peint sur
une vitrine, les enregistrements de Jeff Perkins sont diffusés dans un taxi, Anne-Sophie Turion
inscrit des paroles de chansons sur des murs), d’autre encore requerront une attention soutenue,
mais portée à ce que, justement, nous ne remarquons habituellement pas (visite guidée de Céline
Ahond, visite les yeux fermée par Myriam Lefkowitcz). Ainsi, les artistes investiront ce qui
constitue aujourd’hui ce « nouvel horizon du capitalisme » ; soit rien ne permettra pour ceux qui
croisent les propositions de les distinguer d’un événement quotidien, soit au contraire les
œuvres porteront l’attention du public sur ce qu’habituellement il ne distingue même pas. C’est
ainsi que le doute peut s’installer et le sens habituellement figé être remis en mouvement.
Une carte délimitera les contours du quartier investi et sera donnée au public, sans designer
l’emplacement des œuvres. La confrontation à l’art est ainsi reconfigurée ; le spectateur doit
partir à sa recherche, accepter de le manquer, de se tromper ou de le croiser par hasard. Dans la
galerie, comme incitation à aller voir si l’art est ailleurs, deux œuvres jouant de l’invisibilité :
Something Rather than Nothing, de Julien Discrit et Cyrus de Mark Geffriaud.
Image page suivante : Thomas Geiger, Festival of Minimal Actions, 2015
ARTISTES
Céline Ahond
Née en 1980. Vit et travaille à Montreuil. Diplômée de la HEAR.
L’artiste réalise des visites guidées où tout écrit et tout fait image. En s’appuyant sur l’espace
architectural, l’artiste dessine un palais de la mémoire dans lequel elle installe sa parole et ses
mots, et transforme ainsi compréhension de l’espace urbain.
http://celineahond.com/
Julien Discrit
Né en 1978, vit et travaille entre Montréal et Paris. Diplômé de l’Ecole Supérieure d’art et de
design de Reims.
Something Rather than Nothing est une constitué d’une photographie d’un panneau de
signalisation sur lequel est écrit Nothing, et d’un colis fermé. Dans celui-ci se trouve le film
réalisé par l’artiste dans le village de Nothing, aux Etats-Unis. Ce colis, que l’artiste avait cru
perdu, a été reçu avec cinq mois de retard. Il ne l’a finalement jamais ouvert. Les images de
cette ville, qui n’est « rien », n’existeront jamais.
http://www.juliendiscrit.com/
Zoé de Soumagnat
Née en 1987. Vit et travaille à Londres. Diplômée de l’Ecole Nationale Supérieure des Beauxarts de Paris et du Royal College (Londres).
« Une manière d’approcher le travail de Zoé de Soumagnat serait de se pencher sur son intérêt
pour différentes sortes de mobilités. Comment une peinture peut-elle se déplacer de murs en
murs, dans un musée ou une maison de banlieue ? Comment un motif ou un geste peut-il migrer
d’une tombe Egyptienne à un vase du XIXe siècle puis à la pochette d’un album de New
Wave ? Comment l’image des tournesols de Van Gogh se retrouve-t-elle dupliquée sur des
posters et des t-shirts et des serviettes de plages et des cartes d’anniversaires et des magnets de
frigos et des cartes de crédits et des sacs en toile et des agendas et des tapis de souris et des
foulards en soie ? » Lee Triming
http://www.zoedesoumagnat.com/
Alice Didier Champagne
Née en 1983. Vit et travaille à Paris. Diplômé de l’École nationale supérieure d’arts de ParisCergy.
Sa pratique étant intimement liée au déplacement, dans tous les projets et expositions auxquels
elle participe, elle adopte une position qui lui est chère, celle d'une « artiste-touriste ». À travers
l'humour, elle joue et met en parallèle fictions et réalités. Elle recrée des espaces où le paysage
est instigateur mais également prétexte à interroger les liens qui se tissent entre territoires et
identités. Actuellement ses recherches se concentrent plus particulièrement sur des questions
liées à la créolité, à la traduction et au paysage comme forme politique.
http://alicedidierchampagne.com/
Paul Maheke Ngamaha
Né en 1985. Vit et travaille à Londres. Diplômé de l’École nationale supérieure d’arts de ParisCergy et de l’Open School East.
Son travail se concentre principalement autour de gestes d’apparition menés furtivement dans
l’espace public. Sa pratique, en prenant la forme d'une investigation personnelle, vise à
interroger les rapports — sociaux et culturels — que nous entretenons avec nos environnements
immédiats. Il poursuit désormais ses recherches autour des notions d’émancipation et de
décolonisation — des corps et des espaces — au sein du programme Open School East à
Londres (GB).
http://paulmaheke.com/
Thomas Geiger
Né en 1982 en Allemagne. Vit et travaille à Vienne (Autriche). Diplômé de l’Ecole d’Art de
Beaux-Arts de Karlsruhe et de Eesti Kunstiakadeemia de Tallinn.
Considérant que le meilleur moyen de garder une « performance » active est de la rejouer,
l’artiste collecte des protocoles d’œuvres ténues, qui avaient été accomplies par leur auteur dans
la sphère publique, mais sans spectateur. Il va alors les répéter lui-même. Il est représenté par la
galerie Sperling et est co-fondateur de la maison d’édition Mark Pesinger Verlag.
http://www.twgeiger.de/
Florence Jung
Née en 1986. Vit et travaille à Bienne (Suisse). Diplômée de l’ECAL et de la haute école d’art
de Zurich.
Ses œuvres sont des protocoles immatériels et secrets, réalisés par surprise en fonction des
paramètres de l’invitation.
http://www.florencejung.com/
Myriam Lefkowitz
Née en 1980. Vit et travaille à Paris.
Depuis 2010, sa recherche se focalise sur les questions d'attention et de perception. Recherche
qu'elle développe à travers différents dispositifs immersifs pour un spectateur et un
performeur. Avec Walk, Hands, Eyes (a city), l’artiste transforme les modalités de perceptions
de l’espace public, en proposant une visite silencieuse de la ville, mais les yeux fermés.
Flora Moscovici
Née en 1985. Vit et travaille à Paris. Diplômée de l’ENSAPC.
Ses peintures « trompe l’œil » visent à se fondre dans leur support. L'action consiste tout
simplement à recouvrir pour rendre invisible.
http://www.floramoscovici.com/
Jeanne Moynot
Née en 1985. Vit et travaille à Pantin. Diplômée de la Villa Arson et des Beaux Arts de Nantes
Entre théâtre de fête foraine et installation DIY, photographie de collège et performance ivre,
chant populaire et fête improvisée, son travail ne cesse de renverser l’ordre établi. Les Running
Songs sont des reprises des poncifs des chanteurs de rue.
http://www.jeannemoynot.com/
Fabrice Reymond
Né en 1969. Vit et travaille à Paris. Diplômé de théologie à l’Université de Strasbourg et du
post diplôme de Lyon.
Fabrice Reymond est écrivain, poète, vidéaste, commissaire d’exposition. Il ne cesse d’écrire
l’Anabase, le retour à la maison des dix mille mercenaires menés par Xénophon.
Il est l’auteur de Nescafer.dvd (édité aux Laboratoires d’Aubervilliers, 2002),
d’Anabase (2009), de Canopée (2012) et de L’eau se rappelle la Cascade (2014) édités aux
éditions Mix. Ce dernier a été traduit en un langage scénique et visuel, mêlant film et
performance, avec le plasticien cinéaste François Nouguiès et l’acteur Jacques Bonnaffé, et fut
présenté au festival Hors piste 2014.
Anne-Sophie Turion
Née en 1985. Vit et travaille à Marseille. Diplômée de l’Ecole Nationale Supérieure des Arts
décoratifs.
Inspiré des « vers d’oreille », elle met au point une méthode de contamination musicale à
l’échelle de la ville, profitant de la propension de certaines chansons à rester en tête. Elle affiche
ainsi des bribes de paroles de tubes.
http://www.annesophieturion.com
Jeff Perkins
Né en 1942, vit et travaille à New York.
L’artiste a enregistré pas moins de 300 heures de conversations avec ses clients, alors qu’il était
chauffeur de taxi à New York dans les années 1990 (Movies for the Blinds). Ces
enregistrements seront diffusés à nouveau dans un taxi.
Mark Geffriaud
Né en 1977. Vit et travaille à Paris. Diplômé de l’Ecole d’Art de Monpellier.
Cyrus est le nom donné par l’artiste à un objet qu’il a dérobé à un ami. Il ne lui sera restitué que
lorsque cet ami aura deviné ce dont il s’agit. Un membre de Glassbox devra le garder dans sa
poche le temps de l’exposition.
http://www.gbagency.fr/fr/33/Mark-Geffriaud/
Capucine Vever
Née en 1986. Vit et travaille à Bruxelles.
Son œuvre foncièrement protéiforme résulte directement de ses investigations, de ses
déplacements physiques et psychiques. Démarche fondée sur le déplacement, forme proche du
nomadisme, elle s'investit au sein de projets personnels comme collectifs. Effectuant beaucoup
de marches, la cartographie devient un de ses supports de prédilection. Elle constitue un
préalable à l'action et aux explorations questionnant le rapport de l'homme à son territoire et de
son appropriation, du réel à l'imaginaire, du local au global.
Page suivante : Céline Ahond, Dans quel film vivons-nous ?, 2013
Porteur de projet
Sophie Lapalu
Critique d’art et commissaire d’exposition, Sophie Lapalu est diplômée de l’Ecole du
Louvre (Paris) et de l’Ecole du Magasin (Grenoble). Elle termine actuellement son doctorat
en esthétique et science de l’art sous la direction de Jean-Philippe Antoine à l’Université Paris
8, où elle enseigne aujourd’hui, après trois années en tant que coordinatrice de
l’espace d’exposition de l’ENSAPC, YGREC (Paris).
Elle publie régulièrement dans des catalogues (Jean Christophe Norman aux Presses du Réel
par exemple) et des revues (Quotidien de l’art, Inter Art actuels…) et réalise de nombreuses
conférences (Fonderie Darling, Université de Suébec, EHESS, Ecoles d’art).
Considérant l’exposition et la programmation comme temps d’expérimentation de sa recherche,
elle a organisé des expositions telles que A Secret Poet (Jeffrey Perkins) (la Vitrine et le CAC
Bretigny, Paris, 2011), Pretty Vacant (Villa Renata, Bâle et La Chaufferie, Strasbourg, 2013),
La célérité du Bernard l'ermite (Où, lieu d'exposition pour l'art actuel, Marseille, 2015) ou des
programmation de performances comme Revue blanche pour Nuit Blanche (Théâtre du Grand
Parquet, Paris, octobre 2013), ou Que s’est-il passé ? (Mac/Val, 2014).
Elle fait partie du comité de rédaction de la revue Marges (Presses Universitaire de Vincennes)
et du comité d'administration d'Astérides Ateliers d'artistes et la compagnie Les Gens
d'Uterpan. Elle est membre de l'association Commissaires d'Exposition Associés.
Zoé de Soumagnat, Des femmes en forme, 2015
Sophie LAPALU
Née le 4 mai 1985
27 rue Lantiez
75017 Paris
Port.: (33) 6 15 29 10 75
Mail : [email protected]
Blog : http://sophielapalu.blogspot.com
EXPERIENCE PROFESSIONNELLE
FORMATION
Enseignement :
2013-16 Université Paris 8 Nanterre - St Denis, département Arts
Plastiques : ATER.
Cours pratique et théorique : « Mon art serait de vivre » et « De l’action
à l’exposition ».
2011- en cours
Université Paris 8 Nanterre - Saint Denis :
doctorat
Sous la direction de Jean -Philippe Antoine : Le
paradoxe de l’action furtive.
2015
Ecole Supérieure d'Art de l'Agglomération d'Annecy,
L’action interdite, Workshop, L’action interdite
2009-2010
Ecole du Magasin, Grenoble : diplôme
Formation professionnelle aux
Pratiques curatoriales
2015 Ecole Supérieure d’Art de Lorraine, Metz, jury DNAP
2013 Haute Ecole des Arts du Rhin – Strabourg : Workshop. Une
semaine de travail collaboratif avec les étudiants, suivi d’une soirée de
performances, en collaboration avec l’exposition Pretty Vacant
(Regionale).
2011-2012 Ecole Nationale Supérieure d’Arts Paris-Cergy :
intervenante mensuelle dans le cours de Boris Achour ; intervenante
hebdomadaire dans les coordinations de 2ème à la 5ème année.
2010 Centre d’Art Contemporain de Brétigny, formatrice pour
professeurs des écoles du département de l’Essonne autour de
l’exposition de Pritchaya Phintong Gives more
that you take.
2004-2009
Ecole du Louvre : Masters I & II
Recherches muséologiques.
Mémoires sous la direction de
Cécile Dazord et Stephen
Wright : Sur les pas de Francis
Alÿs, de l’action à l’exposition
et L’action furtive exposée,
Mention T.Bien et Félicitations
du Jury.
2008 juillet-octobre
Université de Montréal :
Séminaire de muséologie canadienne
Juillet 2010 Oxbridge Academy, professeur d’histoire de l’art, Paris.
LANGUES
Conférencière
2015 Artstorming, FIAC. Visites guidées de la FIAC.
Production, médiation, communication :
Novembre 2010 - novembre 2013 : Ecole Nationale
d’Arts Paris-Cergy, coordinatrice de La Vitrine (24 rue Moret, Paris)
devenue ENSAPC YGREC (20 rue Louise Weiss, Paris).
5 expositions par an ; multiples évènements (projections, concerts,
workshops, performances, sorties d’ouvrages).
Commissaire d’exposition, auteur de textes critiques, d’entretiens et
de conférences
Publications détaillées en annexe
Anglais : courant.
Trois mois au Fitz William Institut, Dublin.
Voyages en Grande-Bretagne, Canada, USA.
Espagnol : lu, écrit, parlé. Voyages en Espagne
et en Argentine.
INFORMATIONS ANNEXES
2014-2016 Membre du comité de rédaction de
la Revue Marges, Presses Universitaires de
Vincennes
2012-2016 Membre actif de C-E-A
2015-2016 Membre du comité d’administration
d’Astérides Ateliers d’artistes et les Gens
d’Uterpan
Correspondantes de DUUU radio
ANNEXES :
EXPOSITIONS
2015 La célérité du Bernard l’ermite, Où, lieu d’exposition pour l’arta ctuel, Marseille. Avec Céline Ahond et Fabrice Reymond.
2014 Que s’est-il passé ?, Mac Val, Vitry. Avec Elodie Bremaud, Nicolas Boulard, Ava Carrère, Florence Jung, Nicolas Koch, JeanSébastien Tacher, Yann Vanderme.
2013 Pretty Vacant, Villa Renata,Bâle(Suisse)et La Chaufferie, Strasbourg, Co-commissaire avec Ann Stouvenel. Avec : Benjamin
Appel, Camille Bondon, Encastrable, Clare Kenny, Dominique Koch, Horace Lundd, Jisuk Min, Wataru Murakami, Marine
Ventura, Oleg Kauz.
Revue Blanche pour Nuit Blanche, Théâtre du Grand Parquet, 12h de programmation : concerts, performances, DJsets,
vidéos. Avec les étudiants de l’ENSAPC et Anna Ádám, Noémie Bablet, Camila Beltran, Hélène Bertin, Nicolas
Couturier, Enzym (Louis Pierre-Lacouture), Marion Guillet, Gloria Maso, Emilie McDermott, Angeline Ostinelli, Sages
comme des sauvages (Ava Carrère & Ismaël Colombani & leur chorale). Directrices artistiques de la Nuit
Blanche : Julie Pellegrin et Chiara Parisi
L’île, monographie de Pauline Delwaulle, Cstiftung Culturel franco-allemand de Karlsruhe (Allemagne).
Mille Feuillets III, YGREC, en partenariat avec la Stadelshule de Francfort et Drawing Now, le salon du dessin contemporain.
2012-14Cargo Culte II : directrice artistique de l’édition de la boîte de
multiples d’artistes (25 exemplaires). Avec : Carlotta Bailly-Borg, Audrey Cottin, Lauren Coullard, Amélie Deschamps,
Pauline Delwaulle, Fréderic Dutertre, Cédric Fenet, Stéphanie Lagarde, Natalie Mc Ilroy, Inuk Silis Hoegh, Eva Taulois, Carla
Wright.
Boîte exposée à : Zone autonome mutualisée (commissaire : Ann Stouvenel), le Vivarium à Rennes, Biennale off de Rennes
2012 / librairie d’art Florence Loewy (Paris) 2013/ Centre d’art Katuak, Nuuk, Groenland, 2014.
Mais je ne sais quel œil par accidents nouveaux, Cargo Culte II l’exposition, Pavillon de l’Indochine du Jardin d’Agronomie
tropicale du Bois de Vincennes (Paris), 2012.
2012 D’échec en échec sans perdre son enthousiasme, YGREC (Paris). Avec : Ava Carrère, Alexandre Gerard, Stéphanie Lagarde,
Yann Vanderme. No sport programmation de performances avec Céline Ahond, Louis Baguenault, Mathilde
Chenin, Sophie Chérot, Amélie Deschamps, Alexandre Gérard, Nicolas Puyjalon, Sébastien Rémy.
2011 A secret Poet (Jeffrey Perkins), La Vitrine (Paris) : workshop avec Boris Achour et les étudiants de l’ENSAPC puis exposition
à La Vitrine. Journée de performances et interview d’Henry Flynt par Jeff Perkins au CAC Bretigny, au sein de la
programmation L’escorte de Pierre Bal Blanc.
Seven Up, La Vitrine (Paris), et le Générateur (Gentilly), en partenariat avec Nuit Blanche et le festival de performances Frasq.
Double soirée de performances. Avec : Mathilde Chénin, Violaine Lochu, Anaïs Leroy, Gloria Maso.
L’autre Moitié du Paysage, Château Liversan et Place de la Bourse (Bordeaux), avec Claire Roudenko-Bertin et les étudiants
de l’ENSAPC pour le « rendez vous artistique et urbain » Evento (Michelangelo Pistoletto.
2011 Quant au réel (…) il pourra toujours aller se faire voir ailleurs, Ecole Supérieure d’Art de Grenoble, en partenariat avec Joël
Bartolomeo, avec les étudiants de 5ème année.
2010
How not to make an exhibition, Session 19 de l’Ecole du Magasin, Centred’Art Le Magasin (Grenoble). Avec : Christophe
André, Fouad Bouchoucha, Bruce High Quality Foundation, Cabello/Carceller, François Deck, Claire Fontaine, Ivars Gravlejs,
Émilie Ibanez, IKHÉA©SERVICE
PUBLICATIONS 2007-2015 (sélection)
Ouvrages
CUL DE SAC, Astérides ateliers d’artistes, Marseille, 2014.
Rien n’est vrai, tout est permis. Entretien avec Florence Jung, Editions Piano Nobile, Genève, 2014.
De l’action à la conversation, Jean-Christophe Norman, FRAC Franche Compté, Les Presses du Réel, Dijon, 2014.
Actes de colloques :
« A secret poet: Jeff Perkins. Manipulation et re-médiation de 600 heures d’enregistrements dans un taxi new yorkais. » dans
L'archive vivante, théâtre, danse, performance, organisé par le CERILAC, Presses Universitaires de Rennes, 2015.
« Following Piece de Vito Acconci : un dispositif indiciel », Marges n°21, Presses Universitaires de Vincennes, 2015.
« Le secret de l’action furtive, de la dissimulation à l’épiphanie », dans Avdei Ter-Oganyan et Camille Laurelli (sld), Pas par
là, Ecole Supérieure d'Art de l'Agglomération d'Annecy, 2013 .
Monographies, catalogues d’exposition, DVD
Au-delà de l’image, Galerie Escagnou-Cetraro, 2015.
« Si le monde n’a absolument aucun sens, qui nous empêche d’en inventer un ? », dans Dans quel film vivons-nous ? », Céline
Ahond, Ecart Production, 2014.
« Il n’existe pas de répétition », Catalogue du Festival of Minimal Actions, Thomas Geiger, Bruxelles, 2014.
« Dans quel sens, dans quel sens ? » dans Panorama 14, Catalogue du Fresnoy, Presses du Réel, Dijon, 2012.
« Je connais un labyrinthe qui est une ligne unique, droite… », dans Jean Christophe Norman, Amramram, catalogue
d’exposition (Musée Géo-Charles, Echirolles, 2012), Echirolles, Musée Géo-Charles, 2012.
Périodiques :
Le Quotidien de l’Art 2015-2016 : « Laurent Prexl, entre vanité et impertinence », « Sous des cieux toujours bleus, Nicolas H.
Müller » ; « Privilégier le derrière, Jeanne Moynot » ; « À la recherche de Florence Jung ».
La nouvelle Lune, Jean-Sébastien Tacher et Caroline Bosc, Revue Semaines, éditions Analogue, 2015.
Entretien avec Daniel Foucard ; compte rendu de l’exposition de Florence Jung, Revue Marges n° 21, octobre 2015.
« Jeux Interdits, déambulations urbaines d’Elodie Brémaud », Inter, Arts Actuels, Micro Interventions n° 120, Printemps 2015.
« Ulysse au Mont Fuji », Semaines Ulysse, n°26, éditions Analogues, Marseille, 2013.
« De l’art de passer inaperçu », Zéroquatre n°12, printemps 2013.
« L’action furtive exposée : un paradoxe ? » dans Le Journal des Arts, n°324, 2010.
Emissions de radio :
Exposition Contée Cargo de Nuit, DUUU radio, avec Nadine Cholet, Fabrice Gallis, Mohammed Laouli, Fabrice Reymond,
CONFERENCES (sélection)
2015
FRAC Dunkerque, « Comment parler des lieux où l’on n’a pas été ? ».
Ecole Supérieure d'Art de l'Agglomération d'Annecy, « De l’action à l’exposition ».
Université Paris 8, rentrée de l’Ecole doctorale, Saint Denis : « La publication de l’action furtive ».
Marseille Expo, « L’accueil en résidence, espace privilégié de collaborations ? ».
Popposition, Bruxelles, « The future of art and culture: thinking about alternatives ».
EHESS, Séminaire International des Doctorants du CRAL-EHESS, Recherche dans les arts : « Quand l’espace public devient
le théâtre des opérations ».
2014
Université de Québec à Montréal, Séminaire de Patrice Loubier, Montréal : « L’action furtive : être là sans être là ».
Centre d’Art Fonderie Darling, Montréal : « L’action furtive, entre dissimulation et révélation »
Colloque international d'Aix Marseille Université Performances : la transversalité en action », Marseille : « Théâtre de Jiri
Kovanda ».
Nuova Accademia di Belle Arti en collaboration avec le Swiss Institute, Milan (Italie) : « Jeff Perkins l’outsider ».
MacVal, Musée d’Art contemporain du Val de Marne, Ivry : « Sampler Esther Ferrer ».
INHA, journée d’études de la Revue Marges, Qu’est-ce qu’un dispositif en art contemporain ?, Paris : « Following Piece de
Vito Acconci : un dispositif indiciel »
2013 FRAC Franche-Comté, Besançon : « Jean Christophe Norman le Don Quichotte ».
Cstiftung Culturel franco-allemand, Karlsruhe (Allemagne), Festival Frauen Perspektiven : « En filigrane, une jeune
génération d’artistes femmes ».
Ecole Supérieure d’arts & médias de Caen / Cherbourg, dans le cadre de l’exposition 123 Soleil de Laurent Buffet, Cherbourg :
« De l’action à l’exposition documentaire ? ».
Université Paris 8, rentrée de l’Ecole doctorale, Saint Denis : « Le sentiment de “déjà vu” chez le spectateur d’actions furtives
répétées à l’identique. »
2012
Ecole Supérieure d'Art de l'Agglomération d'Annecy, festival Pas par là organisé par Avdei Ter-Oganyan et Camille Laurelli,
Annecy : « Le secret de l’action furtive, de la dissimulation à l’épiphanie ».
EHESS, atelier de recherche Histoire et théorie de l’art : écritures et perspectives décentrées : « Le paradigme de la présence »
avec Nicolas Fourgeaud.
2010
Centre Pompidou-Metz, Festival Imaginez Maintenant : « La retransmission des actions furtives », Ecole Publique de
Bétonsalon.
CONFERENCES PERFORMANCES
2015
La Malterie, Lille. Exposition contée au sein du Laboratoire des Hypothèses.
La célérité du Bernard l’ermite, Où, lieu d’exposition pour l’art actuel.
2013 Acrobaties avec chou, chants polyphoniques et polyglottes, avec Ava Carrère, Mac Val.
2013 Exposition contée, Nuit Blanche, Théâtre du Grand Parquet
RESIDENCES DE RECHERCHE
2014 Octobre-Novembre Fonderie Darling, Montréal.
2014 Mars-Avril Astérides, Ateliers d’artistes, Marseille.
2012 Février-avril Résidence de recherches aux Verrières, Pont-Aven.

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