Musique électronique alternative et indie

Transcription

Musique électronique alternative et indie
Simon Kounovsky
Ava Nakam
Naïma Tixador
Pauline Ghezi
Scarlett de Contencin
Héléna Dransart-Guillet
VEILLE D’ACTUALITE
THEME 10: Actualités professionnelles
Musiques Electroniques / Alternatives / Indie
________________________________________________________________________________
E.A.C.
C4 – Médiation culturelle
Janvier – Mars 2015
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TABLES DES MATIERES
Focus sur Beatport…………………………………………………………………………...……..p.3
Veille………………………………………………………………………………………………p.13
Sorties d'album…………………………………………………………………………………....p.19
Sitographie………………………………………………………………………………………...p.20
Index de mots clé………..………………………………………………………………………...p.21
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FOCUS SUR LE NOUVEAU SERVICE DE BEATPORT
BEATPORT LANCE SON SERVICE DE STREAMING GRATUIT
Beatport est depuis bien longtemps une référence en terme de téléchargement légal de
musique. Clairement destiné aux DJ’s et autres producteurs de musique, il propose un grand
catalogue d’édits d’anciens tubes, de musique électronique de genre et de DJ-tools. Mais il y a
quelques semaines, le géant américain, sans doute en réponse aux difficultés rencontrées par un de
ses concurrent direct Soundcloud, s’aligne sur l’offre de streaming gratuit, et annonce qu’il va
étendre son catalogue pour permettre aux artistes indépendants d’être eux aussi présents sur la
plateforme. L’idée est de mettre en avant du son peu connu, de qualité, et sans enjeu financier, et
d’avoir un catalogue très réactif à l’actualité de l’électro, aux remixes, et d’agencer le tout d’une
façon plus agréable pour l’utilisateur lambda que l’interface actuelle.
« Beatport lance un service de streaming entièrement gratuit », Guillaume Barrot, 26 février 2015
sur mybandnews
Fondé en 2003 et racheté par SFX en 2013, Beatport a connu une ascension progressive et
constante, et est aujourd'hui le site le plus fréquenté par les producteurs et DJs en quête de
nouveaux sons électroniques en haute qualité, qu'ils peuvent acheter en ligne ou écouter si le track
ne dépasse pas deux minutes. Aujourd'hui Beatport espère augmenter encore ses ventes en
permettant à ses utilisateurs d'avoir accès à tout son catalogue en streaming, de façon illimitée et
gratuite. Avant de lancer officiellement son service de streaming, Beatport a proposé cette semaine à
plusieurs utilisateurs et journalistes l'accès privé à la version beta, auquel vous pouvez vous aussi
accéder en exclusivité sur demande écrite.
Beatport a ouvert une forme de réseau social DJ-Fans qui permet entre autres choses de trouver des
musiques pouvant servir de base pour des remixes, puis a changé plusieurs fois l'ergonomie et
amélioré l'esthétique de son interface. SFX entend désormais améliorer l'offre et la présentation des
services de la plateforme. Le service de vente en ligne qu'était originellement Beatport devient
Beatport Pro, la section News est maintenue et continue d'offrir des actualités musicales, des
interviews, des vidéos et portraits de DJs et producteurs électro. Une nouvelle section Shows devrait
bientôt apparaître et permettre aux internautes de scanner le listing d'un concert ou d'un set et
télécharger le calendrier des dates électro à venir.
Le nouveau service de streaming Beatport est une interface au style minimaliste et épuré consacrée
à la découverte aléatoire ou programmée de musique, plus qu'à la recherche et l'écoute de titres que
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l'utilisateur connaîtrait déjà. Comme nombre d'autres sites de streaming la page d'accueil met en
avant plusieurs artistes, des classements et playlists par thèmes allant des coups de cœur de la
rédaction aux classiques club et dance. L'utilisateur peut favoriser un titre qu'il découvre, qu'il
pourra ensuite retrouver sur son profil.
Chaque son du catalogue Beatport y est disponible gratuitement et peut-être écouté avec le player
dédié. Mais il est maintenant possible de continuer à chercher d'autres sons pendant la lecture en
cours. Les longues minutes de silence à chercher un nouveau titre devant son ordinateur ne sont
désormais qu'un désagréable souvenir. Le reste de la plateforme reprend les options générales des
grands services de streaming. Le seul manque à déplorer est qu'il est pour l'instant impossible de
parcourir le service par genre musical comme il est possible de le faire sur Beatport Pro. Seules des
playlists sont proposées par genre en bas du site, mais la découverte de nouveaux titres pour des DJs
et producteurs ne s'en tenant qu'à un style spécifique risque de s'en trouver moins aisée.
Mais alors que le streaming est certes en pleine expansion en terme de chiffres et de popularité,
pourquoi Beatport se lance-t-il dans un marché déjà dominé par plusieurs entreprises internationales
comme Pandora, Rdio, Spotify et Deezer ? Tout simplement parce que son catalogue, qui comprend
de nombreux tracks et remixes inédits qui ne sont trouvables que sur Beatport, propose une voie
intermédiaire entre le catalogue légal et strict de Spotify et la nébuleuse de remixes plus ou moins
légaux en écoute sur Soundcloud.
Par ailleurs le service de streaming de Beatport est relié directement avec Beatport Pro, de telle
sorte que vous pouvez découvrir, écouter et acheter des sons qui vous étaient jusqu'alors inconnus
en quelques minutes. Et c'est pour cette raison que la plateforme de streaming Beatport est gratuite
d'utilisation. Aucune publicité, aucun abonnement. C'est une nouvelle approche et une alternative
judicieuse aux nombreuses offres Freemium-Premium, qui convient parfaitement au coeur de cible
de Beatport, les producteurs qui ont toujours besoin d'acheter des titres en haute qualité. Il est
également imaginable que cette offre soit un moyen futur de monétiser les liens DJs-Fans rendus
possibles par le site. Mais cette première version du service de streaming Beatport est une nouvelle
manière d'amener les producteurs à écouter des nouveautés de manière plus intuitive, leur laissant
découvrir les sons en entier et déterminer s'ils valent les quelques dollars auxquels ils sont proposés,
réunissant streaming et ventes d'une manière inédite.
- Digital Music News, “Beatport Is Launching a Free Streaming Service (With No
Ads)”, Nina Ulloa, 23 février 2015
http://www.digitalmusicnews.com/permalink/2015/02/23/beatport-launches-free-streamingservice-no-advertisements
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(pure player)
Back in December it was reported that Beatport would launch a free ad-supported streaming
service. The service has now launched, and it’s not ad-supported… TechCrunch reports that the
streaming service is completely free.
This streaming service has now taken center stage. It’s simply called Beatport and has taken the
beatport.com URL. The new Beatport features streaming electronic music and mixes. The
electronic music store we are all familiar with is now called Beatport Pro.
As of now, Beatport is in beta and requires a login, so there’s at least a temporary entry barrier. The
service is closely linked to Beatport Pro, encouraging users to buy the songs they’re listening to.
Ideally, Beatport would limit streaming access to DJs that need to buy full songs. The presence of
parent company SFX Entertainment, a company known for trying to reaching every possible user
imaginable, makes that unlikely.
The Beatport platform has also expanded to include electronic music news, videos, and shows.
- Techcrunch, “First Look At Beatport’s Free Dance Music Streaming Service”, Josh
Constine, 23 févier 2015
http://techcrunch.com/2015/02/23/beatport-streaming/
Beatport is where the world’s DJs buy their music, but they could only listen to two-minute
samples. Now Beatport hopes that by giving away free unlimited streaming, it can drum up more
sales. Today Beatport sent out private beta invites for its new dance music streaming service, and
we’ve got the first look.
Founded way back in 2003, Beatport’s store provides high-fidelity downloads of electronic music
tracks for DJs to play during their sets. Eventually it got bloated with a DJ-to-fan social network
and a platform for finding music stems to make remixes. After getting acquired by electronic dance
music (EDM) conglomerate SFX in early 2013, it doled out a round of layoffs to axe divisions that
weren’t making money.
Now Beatport is revving up for a complete overhaul of its product. The music store formerly known
as Beatport now goes by Beatport Pro. The News section still offers updates, interviews, videos, and
more from today’s top electronic musicians. And a still-in-the-works Shows section will let you
scan concert listings and make a calendar of upcoming gigs.
What’s new is the streaming service, known simply as Beatport. You can request an invite for early
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access here.
Its web interface is focused around browsing and discovering music, rather than searching and
playing what you already known. The home page highlights featured artists, chart-toppers, themed
playlists, editors’ favorites, and club classics. You can favorite tracks to collect them for later and
display them on your profile.
Every song can be instantly streamed in its entirety for free through Beatport’s embedded player. It
keeps songs bumping as you browse around the site. Solving one of streaming music’s biggest
annoyances, playing any track automatically cues up the rest of the chart, playlist, or album you
found it on. That means you’ll rarely end up sitting in silence.
[Update: One major element that’s lacking is the ability to browse by genre. You can find some
genre playlists at the bottom of the home page, but there’s no way to see all the songs or artist from
a category like you can on Beatport Pro. That could make discovery messy for DJs who stick to a
specific style.]
Still, the whole Beatport site feels smooth and polished, embracing minimalism over the half-baked
features found in some streaming competitors. It’s remarkably usable for a v1 interface, and
captures the slickness of the genres it carries.
Beatport’s catalogue includes plenty you won’t find on Spotify, including obscure tracks and
remixes. This could make Beatport a bridge between the squeaky clean legal fare on Spotify’s welldesigned app, and the long-tail of legally gray remixes and mixsets on SoundCloud’s clunky
service.
Beatport’s streaming site ties directly into the Beatport Pro download store so you can quickly
discover, listen, and then scoot over to buy a song. That’s how the streaming gets paid for. No ads,
no subscription fees. It’s just a loss-leader for the store. That’s a novel approach uniquely fit for DJs
who are some of the only people on earth who still need to buy music. Low bitrate streams don’t cut
it on massive soundsystems.
[Update: There an alternative potential strategy behind the overhaul. Maybe Beatport’s parent
company SFX just doesn’t really care about selling songs to DJs any more. While a healthy market,
it’s nowhere near as big as appealing to the mainstream dance music listener. SFX could use the
Beatport streaming service as a way to stocke relation ships between DJs and fans in hopes of
monetizing them elsewhere, such as through the music festivals it owns including Electric Zoo and
Tomorrowland.]
Plenty of electronic musicians were already using the Beatport store’s samples to discover songs.
Now they can listen to the full-versions in all their glory as they decide if a track is worth a few
bucks to buy. The new Beatport doesn’t need a mass audience. If it can convince DJs its the best
way to find songs for their sets, subsidizing listening royalties to score lucrative purchases could
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bring streaming and sales into harmony for Beatport.
- Geekzone, “Beatport : nouveau challenger du stream musical ?”, Faskil, 23 février
2015
http://www.geekzone.fr/ipb/topic/51891-beatport-nouveau-challenger-du-stream-musical/
(forum, blog)
Si on devait résumer le marché de la musique aujourd'hui, ce serait en gros : les ventes se
cassent la figure, le stream cartonne. A tel point que de célèbres portails cantonnés jusqu'ici au
commerce de MP3 se lancent à leur tour dans cette nouvelle aventure.C'est le cas de Beatport.
Beatport (renommé Beatport Pro, depuis son rachat par SFX), pour ceux qui ne fréquentent pas le
site, c'est LE portail de vente spécialisé dans l'EDM (Electronic Dance Music), point de passage
obligatoire pour tout DJ qui veut étayer sa collection de bons beats. C'est une des plus grosses offres
du genre sur la toile.
Et dès cette année (une fois sorti de la phase bêta), Beatport proposera également un service de
streaming, limité à son catalogue, donc forcément très axé sur la musique de club. Pas de raison de
plaquer Spotify donc, vous ne risquez pas d'y trouver Bob Dylan ou l'intégrale de Carlos pour le
moment.
Qui plus est, d'un point de vue technique, l'interface laisse encore beaucoup à désirer et ne semble
pas mettre l'accent sur le confort d'utilisation. Quand on connait l'horrible expérience que représente
le shop Beatport, on ne peut pas vraiment être surpris.
Du coup, j'avoue avoir un peu de mal à cerner leur cible. Leurs principaux clients sont les DJ qui
n'ont pas vraiment l'utilité d'un service de streaming, à moins de pouvoir l'utiliser aisément en club
et l'intégrer à leur setup sans s'arracher les cheveux (ce qui ne semble pas à l'ordre du jour). Et pour
le public, qui veut s'offrir sa dose de takboum quotidienne, quel avantage par rapport aux webradios
qui distillent déjà en permanence ce genre de sons (DI.fm notamment, ou encore Proton et Frisky) ?
A priori, SFX, propriétaire de Beatport (300 millions d'utilisateurs répartis sur 59 sites), souhaite
rassembler tous ses produits "dance music" en un endroit : site de news, base de données sur la
musique électronique, événements et streaming. L'objectif n'est donc pas d'aller s'ajouter à la liste
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des autres services de streaming existants, mais de devenir un pôle en ligne central dans l'univers de
la musique électronique.
Et vous, c'est un service qui vous branche ? DJ ou pas, d'ailleurs, tous les avis nous intéressent.
- monactudancemusic, “Le nouveau Beatport Streaming disponible en Beta”, MADM,
21 février 2015
http://www.monactudancemusic.com/le-nouveau-beatport-streaming-disponible-en-beta/
(pure players)
On vous parlait il y a quelque temps que la volonté de Beatport était de proposer un service
de streaming en plus de la plateforme existante.
On ne pensait pas à ce moment que cette fonctionnalité arriverait aussi vite, mais il semblerait que
le projet Beatport Streaming était déjà bien avancé lorsque l’on en a eu vent.
En effet, nous avons reçu un mail nous invitant à tester la nouvelle version du site en Beta. Nous
n’avons fait aucune démarche pour recevoir cette invitation, on suppose donc que cela a été proposé
à tous les membres du site.
Si vous n’y avez pas encore accès, vous pouvez vous inscrire à la file d’attente pour pouvoir utiliser
le service en avant première. Nous avons eu le temps d’explorer le site, et voici un petit aperçu de
celui-ci.
Quand vous vous inscrivez sur le site, on vous informe tout d’abord que votre profil sera public.
Une page qui porte votre pseudo est en effet créée. Vous n’y trouverez pour l’instant que peu
d’informations : une photo de profil avec une biographie, les musiques et mixes que vous avez «
likés ».
Ensuite, vous trouverez une page d’accueil assez sobre et claire. Il y a plusieurs sections dans
lesquelles il est très facile de s’y retrouver : « Daily Rotation » certainement là pour nous faire
découvrir de nouvelles choses, « New On Beatport », « Beatport Classics » et des vignettes qui nous
renvoient sur des playlists. Sur la barre latérale se trouvent les « PulseChart » avec ce qui est
populaire sur Beatport en ce moment et les Beatport News.
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Les artistes ont aussi des pages que vous pouvez aimer. Il y a une petite biographie ainsi que tous
ses morceaux.
Les morceaux eux-mêmes ont aussi une sorte de page avec quelques informations comme le BPM,
le label, le genre, la date de sortie et un bouton pour l’acheter sur Beatport Pro. En dessous de
chaque titre se trouve également le nombre d’écoutes, de likes ainsi que sa durée.
Passons maintenant à l’essentiel : l’écoute de musiques. Lorsque vous jouez un morceau, un petit
lecteur en haut à droite apparaît. Il propose les fonctions classiques : Play/Pause, Like, passer au
morceau suivant (mais pas précédent) et un bouton pour voir ce qui sera joué après. Il faut toutefois
noter qu’il est impossible d’avancer dans le morceau… Autre fonction inexistante : choisir l’ordre
des morceaux qui se trouvent dans la file d’attente.
Pour changer de page ou lancer un morceau, le site Beatport Streaming est très fluide, surtout pour
une première version Beta.
En conclusion, l’arrivée de ce nouveau Beatport est une excellente nouvelle. Il va permettre de
découvrir de nombreux titres, le tout sans publicité, et de pouvoir ensuite les acheter.
Espérons maintenant que Beatport Streaming trouvera son public et que cela lui permettra d’évoluer
dans le bon sens en ajoutant des fonctionnalités (comme donner la possibilité aux utilisateurs de
créer eux-mêmes des playlists pour en étoffer l’offre).
Aucune date pour la sortie grand public n’a été annoncée et il est relativement difficile de se faire
une idée précise. Mais on peut par exemple viser l’été 2015, la période des festivals, puisque
Beatport Streaming proposera une fonctionnalité pour écouter les lives !
- Billboard, “Beatport Aims to Be the One-Stop Streaming Shop for DJs with New
Strategy”, Megan Buerger, 19 décembre 2014
http://www.billboard.com/articles/business/6413844/beatport-streaming- expansion-sfx
(site de presse)
Billboard spoke with Beatport's creative director Clark Warner about the site's new free streaming
model which will launch in 2015.
Beatport, the go-to online music store for professional DJs and electronic music obsessives, is
adding streaming to its menu. The move is part of a larger revamp that began when the site was
acquired by SFX Entertainment in 2013. It's aim is high: To make Beatport the primary online
destination for EDM.
SFX Buys Beatport
The company now includes three entities: Beatport Pro, a desktop music manager and media player
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for DJs, a music download store of the same name, and Beatport.com, the umbrella site where the
free streaming platform will live. Beatport.com will serve as ground zero, with links to the
download store, news stories, artist profiles, streaming music, and of course, tickets to SFX events.
Clark Warner, the site’s executive creative director, stressed that the site is not trying to compete
with streaming platforms like Spotify.
“We’re not aiming to be a jukebox in the sky,” he said in an exclusive interview with Billboard.
“It’s not supposed to be this major cloud experience. We’re aiming to be a single sign-on, which
we’ve worked on with SFX for a long time.” A single sign-on is essentially a one-stop digital shop
for consumers of the genre.
Many companies, including Digitally Imported and Insomniac, are trying to solve EDM’s need for a
digital hub. With the industry’s explosion has come an increasingly diffuse fan experience, with a
slew of separate destinations for discovery, downloads and ticketing. “There are a lot of hoops to
get to where you want to go,” Warner said. “We want to make people jump through less hoops.”
Beatport's Revamped Website Empowers DJs
The 10-year-old site is in a unique position to tackle this problem because it has built-in cultural
cache: Its core customers are DJs who buy music on Beatport because most streaming sites aren’t
reliable enough to support a live set. Because of this, music purchasing rates at the site are about on
par with last year, while other companies such as iTunes' and Rhapsody’s rates fell.
"Its a different business," he said. “The people who buy music on Beatport are DJs, pure and
simple. So for us, streaming is adding to, not replacing, our download business.”
The ultimate goal is to steer Beatport’s 50 million users, plus another 300 million users from SFX’s
various properties, into one place, making it easier for advertisers and event companies to reach
them. The site's editorial includes Beatport News stories and artist and label profiles. Beatport’s
streaming service will be supported by ads and offer on-demand access to the site’s sprawling
catalogue of dance music, of which about 90 percent comes from independent labels. As a result,
partnering with major labels is a priority, but not a necessity.
Beatport Head Matthew Adell to Step Down (Exclusive)
Warner said the free streaming model won’t drastically affect business. “One of our core values is
that artists should be paid,” he said. The company’s music store charges roughly 50% more than
other digital retailers for downloads, and distributors 20% more for placement, and Warner said
they’ve paid close to $170 million in royalties to partners over the last decade. Ideally, facilitating
music discovery will boost sales for artists. “We’re catering to the traffic that we already have,” he
said.
- Resident Advisor, “Beatport to introduce streaming service”, Aaron Coultate, 16
10
décembre 2014
http://www.residentadvisor.net/news.aspx?id=27565
(pure player)
The SFX-owned online retailer will reportedly move towards free track streams in 2015.
Online dance music retailer Beatport will relaunch in 2015 with a focus on free streaming,
according to The Wall Street Journal.
Beatport, which was founded in 2004, was bought in 2013 by Robert F.X. Sillerman's SFX
Entertainment. It sells dance music downloads, with DJs forming a large majority of its customer
base. But next year that will change, with "a free, ad-supported music streaming service" on the
way, The Wall Street Journalreports, citing "people familiar with the matter." The download store
will not be shelved—it will be housed at the recently launched site Beatport Pro.
SFX is still in negotiations with major labels Universal Music Group, Sony Music and Warner
Music Group over the plans, though this isn't seen as a major obstacle—about 90 percent of the
retailer's database comes from smaller independent labels.The Wall Street Journal's sources say the
new Beatport site will also provide "event information, artist profiles and, potentially, live-streamed
performances." The aim is to consolidate SFX's online presence—the company currently operates
59 different websites.
- Fact, “Beatport to launch free streaming service”, FactTeamMag, 16 décembre 2014
http://www.factmag.com/2014/12/16/beatport-to-launch-free-streaming-service/
(pure player)
The dance music retailer will relaunch in 2015 as a free streaming service.
According to The Wall Street Journal [via Resident Advisor], Beatport – which was bought in 2013
by dance music behemoth SFX Entertainment – will introduce a “free, ad-supported music
streaming service”, while the regular Beatport store will continue as part of Beatport Pro, the beta
site for which was launched this year.
With Spotify, Grooveshark et al around, Beatport are entering a crowded market, and are still in
negotiations with the three major labels – Universal, Sony Music and Warner Music Group – about
copyright. It’s reported that this isn’t seen as a major hurdle, however, as around 90% of Beatport’s
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database comes from independent labels.
The new Beatport site will also provide “event information, artist profiles and, potentially, livestreamed performances”, and is part of an overall aim to consolidate SFX’s ring of websites, as the
company currently operates almost 60.
- Mon Actu Dance Music, “SFX Entertainment veut un Beatport gratuit et en
streaming”, MADM, 15 décembre 2014
http://www.monactudancemusic.com/sfx-entertainment-beatport-gratuit-en-streaming/
Du streaming et Beatport gratuit d’ici 2015 ?
SFX Entertainment, pour ceux qui ne le savent pas encore, est la société derrière des festivals EDM
tels que Tomorrowland (ce dernier appartient à ID&T, mais qui lui même est détenu à 75 % par
SFX), Mysteryland, Life In Color ou encore b2s. Mais ce que peu de personnes savent, c’est que
SFX possède la plateforme musicale Beatport depuis février 2013.
Tous les amateurs de musiques électroniques connaissent ce site où chaque jour de nombreux
morceaux sont disponibles en exclusivité mondiale. Beatport est aussi connu avec son célèbre Top
100, le but ultime pour les jeunes producteurs ! En effet, il est assez gratifiant pour un producteur de
se retrouver dans ce top qui regroupe les tracks les plus performantes du moment.
Selon le Wall Street Journal, SFX Entertainment voudrait complètement réinventer la plateforme
web. Les utilisateurs auront encore la possibilité d’acheter leurs musiques, mais la fonction
streaming y serait ajoutée. De plus, celle-ci serait gratuite et se voudrait entièrement financée par la
publicité.
Certains diront que c’est un passage obligé pour la plateforme, à l’heure où le streaming est en
pleine explosion. Par exemple, après les biens connus Spotify, Weezer ou Pandora, c’est le géant
YouTube qui compte se mettre au streaming avec la sortie de son Music Key.
Nous saurons bien assez tôt si ces révélations sont réelles puisque cet énorme changement est
annoncé pour 2015 dans l’article du Wall Street Journal.
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VEILLE D'ACTUALITE
- Fin de Pionner ? Le 8 septembre 2014 sur Traxmag.
La mythique marque Pionneer dépose le bilan. En vente pour à peu près 570 millions de
dollars, elle désire, d’après des sources proches du dossier, se recentrer sur l’équipement
électronique pour automobile. La marque aurait fait appel à la Bank of America pour prendre en
charge la transaction, dont le principal actionnaire se trouve être Global Private Equity, une société
d’investissement financier. Coup de poker sur le marché, rachat de lobby : difficile de savoir
vraiment ce qui a motivé ce revirement de la firme qui jouissait pourtant d’un quasi monopole sur le
marché des platines vinyles et amplificateurs de salon.
http://www.traxmag.fr/pioneer-dj-termine/
- Track ids, ou comment retrouver “ce fameux morceau”, le 19 février sur
Traxmag.
Deux amoureux de la musique électronique ont mis au point un site très novateur. Avis aux
frustrés du samedi soir, qui pensent ne jamais retrouver cette track qui les à tant fait danser, votre
calvaire est terminé. Avec Track-IDs il est possible de retrouver l’identité de cette track, le site
croisant tout type d’informations et de sources, ajoutées soit par les utilisateurs, ou des
professionnels. Avec quelques aspects pouvant rappeler un social média, ce nouveau concept à tout
pour plaire.
http://www.traxmag.fr/track-ids/
- Disclosure lancent leur propre label, le 18 février sur Greenroom Session.
Les deux frères du groupe Disclosure ont décidé de pousser plus loin leur simple carrière de
musicien, bien qu’ils aient enflammé toutes les belles scènes de musiques électroniques comme le
Main Square ou encore le Pitchfork Paris avec leur premier album “Settle”, ce n’était pas assez
suffisant et ils lancent leur premier label “Method White”, une branche de Method Records !!
Une particularité ? Les sorties seront uniquement en format vinyle.
Un premier artiste ? Le suédois Jonas Rasthman, artiste aux morceaux deep-house avec des beats
bien marqués. Un nouveau label à suivre de près.
http://www.greenroomsession.fr/67030-disclosure-lance-son-label-un-premier-titre-en-ecoute/
- Laurent Garnier annonce un nouvel EP, le 16 février sur Greenroom Session et
Traxmag.
Le 30 mars prochain, date de la sortie anglaise d’Electrochoc son livre retracant l'histoire de
la musique électronique depuis sa jeunesse, Laurent Garnier sortia un coffret vinyle riche d’un
nouvel EP intitulé « Honey, I’m Home », de ses dernières productions de 2014, et des remixes
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sélectionnés de Marc Romboy, Traumer, Bambounou et autres. On s’attend à de nouvelles sorties du
prolifique et créatif artiste français. Quant à la diffusion en version anglophone de son livre
biographique Electrochoc écrit en collaboration avec le critique musical David Brun-Lambert, il
contribuera encore à son rayonnement international.
http://www.traxmag.fr/laurent-garnier-ep-f-communications/
- Jack lang et l’institut du monde arabe, le 11 février sur Traxmag.
L’Institut du Monde Arabe, qui s’est vu l’année dernière accueillir l’Arabic Soundsystem et
le Weather, est depuis 2013 sous la direction de Jack Lang, à qui l’on doit la création en 1998 de la
Techno Parade à Paris. En effet, celui-ci positionne la musique électronique comme un lien
prometteur entre les pays du monde arabe, où les tensions rendent la vie diurne et nocturne difficile.
http://www.traxmag.fr/tribune-jack-lang-ima/
- Disclosure et le plagiat, le 20 janvier 2015 sur GreenRoomSession
Disclosure a été accusé d’avoir plagié des paroles par une jeune auteur britannique. Katie
Farah Sopher explique que son carnet de notes avait été volé par son ex-petit ami, qui aurait
revendu ses paroles aux deux frères de Disclosure, ainsi qu’à AlunaGeorges, et Sam Smith. Les
deux frères défendent leur créativité en assurant aux fans qu’ils ne sont pas coupables de plagiat.
D’un certain côté, leurs textes ne comportent que des textes peu longs et répétitifs.
http://www.greenroomsession.fr/63833-disclosure-sam-smith-accuses-davoir-vole-paroles/
- Affaire de la fermeture de l’iBoat le 8 juillet 2014 sur les Inrocks.
L’iBoat, lieu emblématique de la culture électronique bordelaise va devoir fermer ses portes
pendants un mois. Cette péniche, théâtre de nombreux concerts et soirées depuis de longues années,
est dans le collimateur de la justice : un trafic de drogue, impliquant tant les clients que les
tenanciers du lieu, a apparemment été mis à jour. Un arrêté préfectoral a donc condamné le lieu au
silence pendant un mois, sinon plus. L’iBoat se défend clairement de toute implication dans un
trafic de drogue, comme on peut le constater sur leur page Facebook. Le dossier est donc
actuellement entre les mains de l’avocat de L'iBoat, et advienne que pourra ; mais il est clair qu’il
faut espérer qu’un lieu aussi dynamique et novateur ne ferme pas ses portes, quelles que puissent
être le degré d’implication de ses dirigeants dans ce trafic.
http://www.lesinrocks.com/2014/07/08/musique/salle-bordelaise-liboat-coup-dune-fermetureadministrative-11514321/
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- Annulation du Kazantip festival, le 16 février 2015 sur Traxmag.
Le Kazantip festival est un monde à part entière, avec une philosophie, une constitution, et
des lois encourageant la liberté totale. Dé-localisé de l’Ukraine où il se déroulait en paix depuis
plusieurs années, pour cause des violents affrontements qui s’y déroulent depuis des mois, le
festival s’est déplacé en Georgie. Mais encore une fois la tension dans cet endroit du monde
devenant insoutenable le festival s’est réfugié au Cambodge. Et cette fois, le jour même de
l’ouverture de l’édition 2015 la police cambodgienne débarque sur le lieu du festival et le ferme.
L’intégralité de l’évènement est annulé, la police cambodgienne considérant que le festival risquait
d’affecter les “traditions et la culture du Cambodge”. La liberté et l’état d’esprit insouciant prôné
par le Kazantip ne semblent pas être au goût des autorités cambodgiennes. Une proposition d’idylle
qui s’éteint donc, subitement, au nom de l’esprit conservateur du Cambodge. Triste histoire, à
suivre.
http://www.lesinrocks.com/2014/07/08/musique/salle-bordelaise-liboat-coup-dune-fermetureadministrative-11514321/
- Tigersushi fête ses 15 ans, sur France TV, Le 24 Janvier sur Culturebox
Tigersushi est un label phare de la scène électro parisienne, qui écume les salles de la
capitale depuis bien des années. Dirigé par le producteur de beats sulfureux Joakim, le lieu célèbre
son 15e anniversaire en grande pompe, dans les sous-sol du Musée d’Art Moderne de Paris. Deux
jours de concerts où se sont succédés les principaux protagonistes du label, ainsi qu’un évènement
spécial pour finir : la reprise d’une célèbre pièce de Terry Riley, “IN C”, par l’ensemble des artistes
du label.
http://culturebox.francetvinfo.fr/festivals/tigersushi-fete-ses-15-ans/tigersushi-friends-aux-15-ansdu-label-210621
- Warp Records et le groupe Broadcast, le 28 janvier sur Diffuser.
Warp Records est un label britannique indépendant de musique électronique. En une
quinzaine d’années, Warp s’est fait une place importante dans la musique expérimentale grâce à des
artistes tels que Aphex Twin, Plaid ou Boards of Canada pour ne citer qu’eux. Le label a décidé de
ressortir l’intégralité du catalogue du groupe mythique Broadcast en vinyle. 10 ans après le décès de
la chanteuse, ce geste est à voir comme un bel hommage à l'électro pop des années 2000.
http://diffuser.fm/warp-records-reissue-broadcast-entire-catalog-on-vinyl/
- Zone Records et Glass Figure, le 24 février 2015 sur Mixmag.
Zone Records est un label parisien, représentant la techno à la française, souvent accueilli
par des lieux comme le Social Club. De Gesaffelstein à The Hacker, ce label a su faire ses preuves
dans la jungle électronique. Récemment ce sont les anglais de Glass Figure qui ont été signés sur le
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label. Sans doute grâce à leur récent tube intergalactique “Modulate your love”. Une affaire à suivre
donc !
http://www.mixmag.net/music/exclusive/premiere-glass-figure
Innervisions - Lost in a Moment, le 10 février 2015 sur Traxmag.
Comme en 2014, le label Innervisions berlinois se produira pour une série de Lost In a
Moment, qui après s’être rendu à Rio de Janeiro et Naples, investira cette fois une ancienne prison
militaire surplombant Barcelone, pour ensuite rejoindre Londres et Paris en septembre. Un cadre
espagnol étonnant et déroutant, à la hauteur des fondateurs du label, Dixon et Âme, qui s’y perdront
un instant en mixant en compagnie de Solar et Culoe de Song. On attend l’édition parisienne avec
impatience…
http://www.traxmag.fr/lost-in-a-moment-innervisions-ancienne-prison/
- RBMA à la Gaîté Lyrique, le 10 février sur Traxmag.
Red Bull Music Academy investit la Gaîté Lyrique du 25 octobre au 27 novembre 2015,
pour sa 17ème édition. 4 ans que le festival n’était pas revenu en Europe. Pour y participer, les
artistes majeurs du monde entier ont jusqu’au 4 mars pour candidater.
http://www.mixmag.net/music/exclusive/premiere-glass-figure
- Bridges for music, le 16 février sur BridgesforMusic.
Bridges for Music, une organisation à but non lucratif rassemble de manière bénévole des
artistes électroniques pour réduire les écarts socio-économiques de certaines régions défavorisées.
Ainsi, c’est le duo italien Tale of Us qui démarrera avec deux dates en Afrique du Sud, en
compagnie de DJ locaux.
http://www.bridgesformusic.org/webapp/Tale-of-Us-make-their-african-debut-to-supporteducational-projects--blogDetail.html;jsessionid=m89hfh1fqzml?id=179
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Technopol, et une formation Ableton pour bien commencer l’année, janvier 2015
sur Technopol.net
Techno Parade est l’association de défense, d’accompagnement, de professionnalisation et
de promotion des cultures, des arts et des musiques électroniques. Les missions de Technopol
s’articulent autour de 4 grands axes : la structuration du réseau, la formation, le lobbying et
l’organisation d’évènements culturels. La structure propose en ce début d’année une formation sur
le très célèbre et futuriste logiciel musical Ableton. L’occasion pour chacun d’approfondir ses
connaissances en M.A.O. ou de s’ouvrir l’esprit sur de nouvelles façons de produire de la musique.
http://www.technopol.net/formations
Le Louvre, des beats entre les statues, le 20 janvier 2015 sur Traxmag
Dans le cadre des duos éphémères du Louvre, le grand Jeff Mills, pape mondial de la house,
s’installe entre les sculptures historiques. Il a convoqué pour l’occasion des écrivains, musiciens,
chorégraphes, et propose de redécouvrir tout un pan oublié du cinéma : celui des archives et
collections privées du Louvre.
http://www.traxmag.fr/louvre-carte-blanche-jeff-mills/
Le Berghain se fait des ennemis, le 24 février 2015 sur Goutemesdisques.com
Le Berghain, club le plus renommé de Berlin recale Felix da Housecat, DJ house icône de
Chicago. Ce dernier n’a pas apprécié la chose et a posté une longue suite de tweets enflammés à
l’encontre du club alors qu’il était saoul. Le Berghain pourtant connu pour ses manières
extrêmement sélectives à l’entrée n’a pas répondu publiquement au DJ.
http://www.goutemesdisques.com/news/article/priceless-felix-da-housecat-se-fait-refuser-lentreeau-berghain-et-debloque-sur-twitter/
Un nouveau projet expérimental liant l’audiovisuel et la musique pour Nicolas
Jaar ! Le 23 février 2015 sur Tsugi.fr
Le jeune américano-chilien, ayant déjà annoncé qu’il allait réaliser la BO de la version
américaine de la série Les Revenants, a publié sa propre version du film russe de 1969 The Colour
of Pomegranates. Une absence totale de dialogues comme l’original et des sons bien
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caractéristiques de l’artiste remplacent les mots arméniens et les chants grégoriens qui
accompagnaient ce film sur la vie du poète Sayat-Nova.
http://www.tsugi.fr/news/2015/02/23/en-ecoute-nicolas-jaar-devoile-bo-surprise-9162
Aphex Twin et ses tracks mystère, le 28 janvier 2015 sur Consequenceofsound
Le producteur Richard D. James, plus connu sous le nom d’Aphex Twin, a publié en trois
jours par le biais d’un profil anonyme sur SoundCloud une petite centaine de démos jamais éditées
jusqu’alors. Le mystérieux uploadeur, qui prétend ne pas connaître les compositions d’Aphex, a
même été partagé par ce dernier sur son profil officiel. Et le DJ, bien que son style ait été reconnu
par son ex-collaborateur Mike Paradinas dans ces publications, n’a pas encore confirmé son lien
avec l’anonyme.
http://consequenceofsound.net/2014/11/aphex-twin-unearths-new-collection-of-unreleased-musicincluding-20-track-synth-album-listen/
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Sorties D'albums
Flying Lotus - You’re Dead
2 longues années après la sortie de son chef d’oeuvre “until the quiet comes”, le célèbre
beatmaker Flying Lotus lâche une bombe musicale sur le monde. “You’re Dead”, son dernier album
tout fraichement sorti, est audacieux à souhait, teinté de jazz et garni de collaboration des plus
savoureuses : Herbie Hancock, Snoop Dogg, Kendrick Lamar et d’autres, tant d’artistes qui sauront
rajouter à cet album une bonne dose d’éclectisme et en fait une oeuvre mémorable, sans doute la
plus aboutie de Flying Lotus.
Scuba - Why You Feel So Low
Scuba a sorti dernièrement son premier album “Claustrophobia” dont est extrait le single
“Why You Feel So Low”. Il a révélé lors d’une interview à Resident Advisor que son album avait
été inspiré de sa présence au Labyrinth Festival au Japon, évènement se déroulant au coeur des
montagnes japonaises. Ses morceaux techno hypnotiques sont bercés par le voyage et l’envie
d’évasion.
Sam Gellaitry / Short Stories EP
Sam Gellaitry signé sur le label Soulection a sorti dernièrement son premier EP: Short
Stories. Ces cinq morceaux sont originaux avec des rebondissements de rythmes et une teinte
mélodieuse très éclectique.
Herman Dune / Black Yaya
Herman Dune sort prochainement sous le nom de Black Yaya son premier album éponyme
via le label indépendant City Slang. C’est un album très personnel entre pop et folk, bercé par des
mélodies bien trouvées.
The Avener / The Wanderings of the Avener
The Avener sort son premier album “The Wanderings of the Avener” dont est extrait le
célèbre “Fade Out Lines”. The Avener a réuni des morceaux qui lui tenait à coeur, aussi bien du folk
underground que de la pop ou de l'électro. Les tonalités sont sombres et mélancoliques, mêlées à de
la deep house bien tonique. Les musiques s’enchainent et gardent le rythme
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SITOGRAPHIE
http://www.lesinrocks.com/
http://www.focusur.fr/
http://www.tribunedelyon.fr/
http://www.lyoncapitale.fr/
http://www.billboard.com/
http://www.tsugi.fr/
www.traxmag.fr/
http://techcrunch.com/
http://www.digitalmusicnews.com/
http://www.monactudancemusic.com/
http://consequenceofsound.net/
http://www.billboard.com/
http://diffuser.fm/
www.residentadvisor.net/
www.mixmag.net/
http://www.greenroomsession.fr/
http://next.liberation.fr/
http://www.geekzone.fr
http://mybandnews.com
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INDEX DE MOTS CLES
Electronique : 13-14-15-16-17
Drogue : 14
Techno : 14-15-17-19
House : 13-17-19
Soirée : 14
Paris : 13-14-15-16
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