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SUCCESS STORY
Le système informatique
d’André possède sa botte secrète :
OpenText Integration Center (OTIC)
Un système d’interfaçage qui alimente un référentiel central de données
A
ndré, Maison créée en 1896 par les propriétaires
d’une usine de production de chaussures devenue au
fil des ans l’un des principales marques françaises de
souliers et d’accessoires de mode, est la filiale fondatrice et
l’une des enseignes du Groupe Vivarte.
Vivarte se positionne sur le marché de la
chaussure et du vêtement de mode avec
une offre variée et accessible, et regroupe
de nombreuses enseignes dont André,
Caroll, Naf Naf, Kookaï, Chevignon, San
Marina, Minelli, Pataugas..., les plus importantes en termes de chiffre d’affaires étant
la Halle (Chaussures et Vêtements).
La Maison André compte aujourd’hui environ
250 boutiques, situées principalement en
France (en majorité des succursales, mais
aussi des rayons concédés dans les grands
magasins et quelques magasins affiliés). Le
groupe Vivarte est, quant à lui, leader en
France et second en Europe sur le secteur
de la mode, avec 22 000 collaborateurs,
plus de 4 500 points de vente en France et
à l’international, 24 enseignes et un CA de
plus de 3 milliards d’euros en 2010.
Initialement, un problème
d’interfaçage entre progiciels
de gestion commerciale
et logistique
En 2000, la Maison André s’est orientée
vers une refonte complète de son système
d’information, afin de se doter de moyens
modernes de gestion et de prévision,
parallèlement à la refonte de son image
(rénovation des boutiques, évolution de la
gamme de produits).
Pour accélérer la migration ses systèmes
opérationnels et décisionnels, la société
a recherché un outil d’interfaçage suffisamment puissant pour interconnecter
l’ensemble de ses progiciels, notamment
Colombus Central de Cegid (ex VCS
Timeless) pour la gestion commerciale
(base de données Progress), Colombus
Retail pour l’encaissement et la gestion
des stocks des points de vente, WES de
Courbon puis Logarythme pour la gestion
d’entrepôt et CODA pour la gestion financière et la comptabilité (base de données
Oracle) ; un système EDI permettant en
outre d’échanger des informations relatives
aux commandes fournisseurs avec ses
plates-formes internationales. L’architecture technique s’appuyait principalement
sur des machines fonctionnant sous UNIX.
Jusqu’à l’adoption d’une logique « best of
breed », l’ensemble du système d’information était géré sur gros système (CICS).
EN T ER PR ISE I N FO R M AT I O N M A N AG E M EN T
CLIENT
André
SECTEUR D’ACTIVITÉ
Souliers de mode et biens
d’équipement de la personne
DÉFIS DE L’ENTREPRISE
n
n
n
Faire communiquer des systèmes
opérationnels hétérogènes et alimenter
le système décisionnel
Faire évoluer l’architecture du SI autour
d’un référentiel central de données
Gérer les évolutions du SI avec
une équipe réduite
SolutionS
n
OpenText Integration Center (OTIC)
AVANTAGES POUR L’ENTREPRISE
n
n
n
n
n
n
Retour sur investissement
extrêmement rapide
Une équipe d’OpenText performante
et disponible autour d’OTIC
Toutes les informations du SI
passent par OTIC
Simplicité de la solution et de
l’architecture construite
Rapidité de développement et de
formation des utilisateurs
Maintenance et extensions simples et rapides
SUCCESS STORY
« OTIC s’est imposé comme la solution
la plus simple à mettre en oeuvre
et la plus à même d’améliorer
notre productivité »
David Mathieu, DSI de André
Simple et rapide à mettre
en œuvre, OTIC s’est imposé
au cœur du système
d’information d’André
A la suite d’un benchmark, c’est la solution OpenText Integration Center (connue
sous le nom de Genio avant le rachat
d’Hummingbird par OpenText en 2006) qui
fut retenue par André pour permettre aux
systèmes opérationnels et décisionnels
de communiquer entre eux et d’échanger
des informations.
« L’interfaçage entre nos différents systèmes
était très lourd à concevoir et à maintenir.
Nous avons donc réalisé un benchmark
de différentes solutions d’interfaçages sur
les aspects techniques, fonctionnels, et de
coûts. Au regard des résultats du benchmark, OTIC s’est imposée comme la solution
la plus simple à mettre en œuvre et la plus
à même d’améliorer notre productivité »,
explique David Mathieu, DSI de André.
Au début, il s’agissait essentiellement d’alimenter le système d’aide à la décision de
Business Objects en vue de la réalisation de
tableaux de bord, en créant des interfaces
avec les différentes composantes (gestion
commerciale, logistique...) d’un système
hétérogène s’appuyant sur des bases Oracle.
OTIC reste au cœur de
toutes les évolutions du
système d’information
Fin 2006, avec le renouvellement de
son parc informatique et les nouveaux
serveurs UNIX livrés avec une version 5
d’AIX, André doit envisager la migration
vers une version plus récente de OTIC.
OpenText vient alors d’acquérir Hummingbird,
et des rumeurs circulent sur l’abandon
de la solution par l’éditeur d ECM. Mais
OpenText annonce la création de la division Connectivity Solutions (devenue
aujourd’hui Information Exchange) et le
maintien et la poursuite du développement
de l’offre d’intégration de données. André
renouvelle alors sa confiance en OpenText,
et effectue la migration vers la version 6.
Celle-ci est effective à peine une vingtaine
de jours plus tard.
A la suite de cette migration, vers 2008,
André débute une réflexion logique pour
urbaniser toutes ses interfaces, afin de
créer un véritable référentiel central dans
lequel les données de toutes les applications
seraient déversées, et qui alimenterait tous
les logiciels en données.
Cette réflexion se poursuit jusqu’en 2010.
Elle conduit à la mise en place d’une
nouvelle architecture et à la réalisation de
nouvelles interfaces, telles que l’alimentation
du nouveau site e-commerce. OTIC devient
alors l’outil central qui distribue et alimente
tous les systèmes opérationnels, le cœur
d’un environnement très cohérent.
Avec OTIC, l’ensemble des interfaces fut
réalisé en quelques mois, avec un ROI qui
s’avéra très intéressant. L’architecture développée par la Maison André plaçait la solution d’intégration de données d’OpenText
au cœur du système d’information ; toutes
les informations d’André passant par OTIC, « Les dernières interfaces sont opérationnotamment entre les progiciels de gestion nelles depuis quelques mois maintenant, et
nous sommes très contents de l’architecture
commerciale et logistique.
EN T ER PR ISE I N FO R M AT I O N M A N AG E M EN T
mise en œuvre, qui est extrêmement claire,
simple, facile à exploiter », déclare David
Mathieu. « Aujourd’hui, on peut éteindre un
serveur, le relancer, et toutes les interfaces
sont reprises, les données placées au bon
endroit, et cela est plutôt rassurant ».
Facilité et rapidité de
développement : OTIC est
une solution idéale pour le
marché de la mode
Au-delà des aspects fonctionnels, OTIC a
l’avantage de permettre des développements très rapides, comme l’explique encore
David Mathieu : « La direction informatique se
compose de six personnes et de quelques
prestataires qui interviennent sur des projets
ad hoc, et cela a été suffisant pour mener
à bien cette opération. C’est un autre avantage d’OTIC : avec des ressources limitées,
il est possible de construire simplement
des systèmes qui reposent sur des règles
de gestion complexes, et les personnes
sont très rapidement autonomes ».
OTIC a notamment été utilisé pour construire
l’alimentation du site e-commerce. « Cette
interface a été entièrement réalisée par la
personne qui avait rédigé les spécifications
pour tous les flux. Celle-ci ne possédait pas
de compétences informatiques particulières, et a réussi à créer des interfaces très
techniques avec essentiellement sa compétence fonctionnelle, en suivant un certain
nombre de préconisations, de recommandations, de normes que nous avions
définies», ajoute David Mathieu. « OTIC est
une solution extrêmement simple, claire,
presque ludique ».
SUCCESS STORY
« Le marché de
la mode change
très vite, il
faut être en
mesure de faire
évoluer notre SI
et nos process
rapidement »
Les structures de données
évoluent, OTIC aussi
Les axes de
développement à venir
Depuis la mise en œuvre initiale d’OTIC,
les technologies ont beaucoup évolué, et
il est important que le logiciel s’adapte
à ces mutations. C’est ce que souligne
David Mathieu, qui note que « OTIC est un
produit qui a beaucoup évolué en termes
de systèmes pris en compte. Lorsque
nous avons mis en œuvre OTIC pour la
première fois, on utilisait des connexions
à des fichiers Cobol, des bases Oracles,
etc. Aujourd’hui, nous avons en plus des
connexions avec du XML. La solution s’est
adaptée à cela, il évolue avec les structures
de données ».
Comme l’explique David Mathieu, de
nombreux projets de développement autour
d’OTIC sont à prévoir dans l’avenir.
Une équipe OpenText pérenne,
performante et disponible
« Mais au-delà de l’outil, nous sommes très
attachés aux équipes d’OpenText qui nous
apportent aide et support sur le produit.
Nous avons une grande confiance dans
leurs compétences et leur disponibilité, ce
qui n’est pas toujours le cas avec les éditeurs
de logiciels. Nous rendons hommage à leur
pérennité, leur compétence et leur disponibilité. Par ailleurs, la structure de l’équipe
d’OTIC est assez similaire à la nôtre, nous
nous sentons tout-à-fait compatibles »,
ajoute David Mathieu.
David Mathieu, DSI de André
Cet aspect de la solution s’avère très important sur un marché changeant et versatile.
« Le marché de la mode change très vite, il
faut être en mesure de faire évoluer notre
SI et de changer nos process rapidement »,
poursuit David Mathieu. « Nous ne sommes
pas sur des projets de plusieurs années,
mais sur des cycles moyens de 3 à 6 mois.
Si l’on veut mettre en œuvre quelque chose
de nouveau, cela doit être très rapide.
Désormais, nous sommes en mesure de
réaliser de nouvelles interfaces très rapidement à partir d’ OTIC et de l’architecture que
nous avons créée autour. Par exemple, pour
l’interfaçage avec le site de e-commerce, il
s’est passé moins de six mois de la décision à l’ouverture du site aux clients ».
La plate-forme
d’interfaçage aujourd’hui
L’architecture d’André aujourd’hui s’appuie
sur OTIC version 8 et possède des interfaces
avec les principaux systèmes suivants :
Colombus, distribué par CEGID pour la
gestion commerciale ; CODA Financial pour
la gestion financière et la comptabilité ;
la logistique, externalisée, est basée sur
Logarithme; pour la BI Business Objects
avec Oracle d’une part, et MySQL d’autre
part ; ainsi que des développements spécifiques d’intranet pour les outils d’approvisionnements, de pilotage, etc. autour
de Ruby on rails, et également Magento
pour l’e-commerce.
« Nous sommes dans un projet « 360 » dans
lequel nous développons de plus en plus le
cross-canal, qui doit permettre à un client
de commander depuis Internet et d’être
livré chez lui ou en boutique, ou encore
d’être en magasin et de commander pour
être livré chez lui ou dans un point relais,
etc. Différentes combinaisons que nous
ne proposons pas forcément aujourd’hui
et que nous souhaitons mettre en place.
Cela nécessite énormément de flux et de
données entre nos différents systèmes.
OTIC sera le moteur d’alimentation de ces
différents flux ».
Par ailleurs, du fait de ces nouvelles
données autour du e-commerce, André
envisage aussi de restructurer ses bases
décisionnelles avec des problématiques
liées au client. Et là encore, OTIC sera au
cœur de ces développements. Auparavant,
la base décisionnelle était centrée sur le
produit et sur la boutique. « Aujourd’hui, les
axes principaux ne sont plus tout-à-fait les
mêmes. Du fait de l’e-commerce, c’est le
client qui va devenir l’élément central. Le
client est aujourd’hui quelqu’un qui va
naviguer entre Internet et les boutiques, qui
va être en mobilité, etc. Toutes ces interactions du client avec nos différents systèmes
de vente sont déterminantes. Nous devons
savoir où mettre les bons produits en fonction des profils de clientèle. C’est un projet
important, et OTIC permettra de mettre
en œuvre cette transformation », conclut
David Mathieu. n
http://connectivity.opentext.fr
n connsale s @opente x t.com n +1 905 762 64 0 0 n 1 877 359 4 866
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