Programme - Maison de l`Architecture de Haute

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14èmes Rencontres Internationales d’Annecy Cinéma & Architecture
PARCOURS...
21 et 22 novembre 2013
Cinéma de la MJC NOVEL
Entrée libre et gratuite - Projections de 9h à 22h30
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PARCOURS d’hommes / PARCOURS de villes
La ville pousse, grandit, se métamorphose, nous invite à la rencontre et au partage.
Immersion dans les nouveaux espaces urbains et les projets d’architectes les plus percutants de l’époque,
les 14e Rencontres d’Annecy parcourent les nouvelles urbanités du monde, les bâtiments extraordinaires, des entre‐deux
où les énergies foisonnent, les architectures de l’écologie qui nous connectent avec la nature, nos voisins et les autres ou
ces bâtisseurs collaboratifs qui nous conduisent dans le projet. Mais au fait qu’est ce qui se trame à côté de chez nous ?
Rendez‐vous sur les sommets du Mont Blanc ou en toute confidentialité dans une école d’Annecy sur la trace de prouesses,
médiatiques ou si discrètes qu’elles sont presque invisibles. Il y a du rock, de l’électro et du country dans l’air, des pionniers,
des trublions et des grands sages débarqués sur l’écran, grandeur nature. Circulez, il y a tout à voir et des choses à faire !
L’édition 2014 remue les idées, révèle les dernières pousses constructives et nous propose d’imaginer ensemble
les villes de demain .../...
L’exposition:
ouverte au public en continu
les Jeudi et Vendredi
Malou pictures
JEUDI 21 NOVEMBRE
Primaire : 9h00 à 11h00
Collège : 14h00 à 16h00
Et si on vivait dans 1m² durée : 10’
Ecole Jean Moulin durée : 2’55
Une ville, un architecte, Manhattan durée : 26’
Le Rolex Center durée : 26’
Ecole Jean Moulin durée : 2’55
La maison en petits cubes durée : 12’06
L’écorce des pierres
Saga cité
durée : 10’27
Mobius, Federation square
Espaces intercalaires
durée : 1’20
durée : 52 ’
(Sao Paulo) durée : 8’24
L’égout et les valeurs
Le nouveau refuge du Goûter rêvé
«Mon Louvre à moi» constitue une
et réalisé par la Fédération française
série de 3 films indépendants audes clubs alpins et de montagne.
tour de l’installation du Louvre à Lens.
Gravir
le
mont
Blanc
est
un
rêve
d’alpiA nous le parking durée : 3’
Dans le 1er film, des habitants du bassin ministes, y construire un refuge est un défi
nier et de Lens ouvrent les portes de ce qui
de bâtisseurs. Il faut croiser le regard
pourrait être leurs « musées » personnels.
durée : 10’
brillant des maîtres d’ouvrage, archiEn toute sincérité, ils nous surprenaient et
tectes et maîtres d’œuvre, ingénieurs,
nous émouvaient... Ou quand la chaine de
contremaîtres, chef de chantier, guides
durée : 2x4’
l’Art, consacré et minimaliste, se conjuet travailleurs du vide, pour comprendre
guait avec émotion, sincérité et humilité.
« comment et pourquoi » cette bâtisse
Le présent film est le 2ème volet. En
des cimes prolonge la hardiesse des
2010, la construction démarre vraiment.
pionniers du mont Blanc et des premières
L’ancien carreau de la mine est déchiré
cabanes en bois. Ce refuge fait appel
par les pelleteuses. La terre au cœur noir
aux meilleures technologies maîtrisées.
est à nouveau foulée et retournée par des
Concept architectural visionnaire, il se
hommes. «Mon Louvre à moi, le chantier»
résume par le vieil adage « l’exemple
marque cette étape : la fin du Louvre virdoit venir d’en haut ». Ce refuge-modèle
tuel mais aussi la reprise des fantasmes.
suscite l’exaltation qui accompagne l’inC’est moment idéal et nécessaire pour
novation. Tout y a été pensé pour être à
reprendre contact avec nos témoins
la fois durable et réversible – tel un vaisprivilégiés lensois, découvrir ce qui a
seau spatial se pose et repart après avoir
ABCD durée : 1’38
bougé, ce qui a changé et pourquoi.
laissé un message utile et symbolique
Certains des personnages du 1er film
aux habitants de la planète. La montagne
sont toujours présents, témoins fidèles
n’est pas inquiète de cette présence car
La citadelle de Sao Paolo durée : 26’
de cet avènement. Avec de nouveaux
sa réalisation a été pensée pour respersonnages, ils font le voyage à Metz,
pecter son environnement, son harmolà où le Centre Pompidou est la prenie et son imposante sérénité. C’est un
Défense d’afficher (Bogota) durée : 5’52
mière institution culturelle nationale à
œuf qui féconde les rêves d’alpinistes…
avoir proposé une unité décentralisée.
L’écorce des pierres durée : 20’
Grand Public : 20h30 à 22h30
..... au féminin
durée : 1’51
Odile Decq
films de l’air production
Lycée : 9h00 à 11h00
Primaire : 14h00 à 16h00
Le rolex center
Et si on vivait dans 1m² durée : 10’
durée : 26’
(Sao Paulo + Paris) durée : 2x7’
Une ville, un architecte, Manhattan durée : 26’
Et si on vivait dans 1m² durée : 10’
Ecole Jean Moulin durée : 2’55
Habiter demain durée : 2x4’
La maison en petits cubes durée : 12’06
A nous le parking durée : 3’
L’écorce des pierres
Le refuge du Goûter
Saga cité
durée 52’
Grand Public : 16h30 à 20h15
..... parcours à expérimenter
Le refuge du Goûter
durée 2’47
durée 26’
Mon Louvre à moi
durée 52’
Habiter demain
Diller et scofidio (vo)
Ecole Jean Moulin
durée : 26’
Le Rolex Center
durée 4’
Ecole des fins, création danse
durée : 16’27
durée : 1’38
Parpaing
durée 4’
durée : 16’44
durée 52’
durée 2’55 
durée : 18’44
Grand Public : 20h30 à 22h30
..... architecte et achitecture
ABCD
durée 52’
Le projet Navarra
L’Orchidoclaste
Pour qui ne la connaît pas, Odile Decq c’est
d’abord un « look ». A sa première apparition,
on pense égérie néo-punk. Mais cet aspect
extérieur ne cacherait-il pas l’essentiel ?
La dame est architecte.
Odile Decq construit en France, mais surtout à l’étranger où sa notoriété est grandissante. Dans son agence de Paris, où
les concours s’enchaînent, les bâtiments
prennent forme sous ses doigts qui froissent
du papier, les idées s’échangent en chuchotant, et Odile Decq pilote son équipage de
ses mots. Sur l’unité de temps du concours
pour une gare près de Naples, l’agence
comme port d’attache, les protagonistes du
lieu donnent à percevoir, dans l’action et en
temps réel, la naissance d’une architecture.
Derrière les apparences, une façon d’explorer dans l’action, la pensée d’une
architecte qui, comme les rockeurs qui
ont accompagné ses débuts, dit « que
pour créer il faut avoir de la colère ».
« Quand j’ai rencontré Rudy Ricciotti, la
première fois, j’ai su qu’il était pour moi. »
Loin du registre documentaire, ce film inédit
de Laetitia Masson, réalisé dans le cadre
de l’expo¬sition « Ricciotti, architecte », est
un portrait subjectif et romanesque, esthétique, politique, et poétique, quasi fictionnel.
« Non pas un film sur Ricciotti mais un film
de Laetitia Masson sur Ricciotti. […] Filmer un
architecte comme on filme un personnage de
fiction, et filmer l’architecture comme un enjeu
majeur du monde et du mode de vie contemporain. Ne pas le figer dans un cadre, ne pas
le mettre en scène, mais au contraire réussir à
saisir sa puissance créatrice et combattante.
[…] Le cinéma sert aussi à cela, à dévoiler
des dispositifs à l’œuvre dans la société, et
l’architecture de Ricciotti est de cet ordre-là. »
2009 durée 52’
de Martine Gonthié, coproduction la Huit et
Groupe Galactica
durée : 26’
Après un rêve 2012
durée 27’
de Louise Narboni et Julie Desprairies, Les
durée : 52’
VENDREDI 22 NOVEMBRE
This is where we live
Odile Decq at work
Après un rêve
durée : 26’
Le mur de l’école spéciale 2013
Habiter demain
de Pascal Goethals et Rémi Vouters, Les
films du tambour de soie production
inauguration + expo
Grand Public : 18h00 à 19h45
..... parcours urbains
Défense d’afficher
de Bernard Germain, coproduction MC4
et MONTAGNE TV
Habiter demain
durée : 16’27
Défense d’afficher
(Sao Paulo + New York City) durée : 2x7’
Mon Louvre à moi, le
chantier 2011 durée 52’
Et si on vivait dans 1m²
durée : 18’44
19h45 à 20h30 :
Mur
Défense d’afficher
Le nouveau refuge
du Goûter 2013 durée 52’
durée : 26 ’
I am an architect
L’orchidoclaste
durée : 2’55
durée : 52’
.../... LES ROCKERS DE L’ARCHI ACTUELLE. Avec de la tchatche et l’oeil qui frise, les mots crus ou lyriques, il vient de
livrer le MUCEM à Marseille, le pavillon des arts de l’Islam au Louvre et quelques autres bâtiments d’une tension
sublime. Bienvenue aux côtés de Rudy Ricciotti. Lætitia Masson le suit à la pêche, lors d’une réunion de chantier,
dans son agence à Bandol, en Corse au coin du feu. « Pour créer il faut avoir de la colère », annonce Odile Decq. La
créatrice du Musée d’Art Contemporain de la ville de Rome et le Fonds Régional d’Art Contemporain de Bretagne
a le look d’une égérie punk, le goût du rugueux, l’art du parcours, l’envie de déstabiliser le corps et la notoriété
qui monte…. Sur l’unité de temps du concours, on la voit piloter son agence pour une gare près de Naples. À NEW
YORK, LA DYNAMIQUE, C’EST LA RELÈVE ! Diller Scofidio + Renfro utilisent toutes les formes d’arts et prônent le
travail collaboratif. Ils racontent comment ils ont réimaginé le Lincoln Center ou la High Line VOUS AVEZ DIT ÉCOLO
? LA VIE INVISIBLE : Tokyo se métamorphose sous le regard de Damien Faure. Entre fiction et documentaire Espaces intercalaires nous infiltrent dans les interstices de la ville où des architectures singulières apparaissent. ALTITUDE ! Utopie et formidable aventure, le refuge du Goûter se découvre au sommet du Mont Blanc tel un oeuf
posé au bord du vide qui contient un prototype de développement durable. TÉMOINS AU BANC DU CHANTIER :
le Louvre s’installe à Lens. Les habitants du bassin minier ouvrent leurs musées personnels devant ce nouvel objet culturel qui prend forme. ET AUSSI DES COURTS‐MÉTRAGES… COMME UNE VEILLE URBAINE INÉDITE. De Bogota à Sao Paolo, les artistes du street art tracent des parcours urbains underground. Vivre dans 1 m², on y réfléchit. L’abécédaire de l’architecture, il existe, porte des formes design et les noms de grands architectes du monde…
Le Lieu:
Réservations:
Place de l’Annapurna
74000 ANNECY
par téléphone au 04 50 46 76 70 ou par mail à
[email protected]
Maison de l’Architecture de Haute-Savoie
Cinéma de la MJC de NOVEL
Les 14èmes Rencontres d’Annecy, CINEMA ET ARCHITECTURE sont soutenues par :
« Après un rêve » n’est ni une fiction, ni
un documentaire, c’est un film-danse.
Il n’est pas exactement porté par une
narration, mais par un parcours. Il n’a
pas de protagoniste, mais une énergie qui se déplace. Il n’y a pas non plus
de personnages, mais des rencontres.
C’est le suivi du corps d’une danseuse
dans le corps de la ville. Cela tient
de la performance, du poème visuel,
c’est un essai de ré-enchantement.
Le film se déroule dans le quartier de la
Villeneuve, banlieue difficile de Grenoble,
qui a aussi été le lieu d’une utopie urbaine
et architecturale dans les années 1970.
Elise, une jeune danseuse, déambule d’un pas allant d’un lieu à un
autre, d’espace ouvert en bâtiment,
de groupe en groupe, de terrasse
en jardin, de couleur en couleur.
Elle rencontre comme par hasard
les habitants des lieux. Parfois, s’esquissent des bribes de conversations, des chants et des danses.
L’égout et les valeurs
2013 durée 26’
d’Adrien Rivollier, Cocottesminutes productions
Ce film nous fait plonger dans les profondeurs de la ville et nous propose,
entre documentaire et fiction, une visite accompagnée des égouts de Lyon.
L’Égout et les Valeurs traite d’un sujet
universel et peut être vecteur d’une prise
de conscience par le public des problèmes liés à cet environnement inconnu.
Parpaing
2008 durée 25’
de Patrice Goasduff, Vivement lundi ! productions
Aujourd’hui en France, sept maisons sur
dix sont construites en parpaings, soit
une production annuelle de 14 millions
de tonnes de ce parallélépipède. La ville
comme la vie est gigantesque chantier
qu’il convient à chacun de diriger. Quand
une forme simple et apparemment pauvre
révèle certaines aspirations d’une société.
La maison petits
cubes 2012 durée 27’
ROBOT COMMUNICATIONS INC.production
de Kunio Kato
Un vieil homme vit seul dans une
maison entourée d’eau et semblable
aux cubes d’un jeu de construction.
Comme le niveau de l’eau ne cesse
de monter, il ne s’en laisse pas compter et ajoute un cube à sa maison.
Mais un beau jour, voilà que sa pipe
tombe à l’eau. Le vieil homme plonge
alors dans les étages submergés.
Il revisite ainsi ses souvenirs liés à
chacune des maisons englouties.
Le spectateur est invité à réfléchir à
ce qu’il fait des choses qui se perdent
au cours de sa brève existence.
Habiter demain
durée 2’47
2012
de Pascal Goblot, réalisation et production Cité
des Sciences,
L’avenir de l’habitat est à la croisée d’enjeux humains, sociétaux et planétaires.
Comment assurer un logement sain et
confortable à une population toujours
croissante tout en préservant la planète ?
Le Mur
de l’école spéciale
Créé en 2009, La Thérapicturale
est un collectif de cinq artistes issus de domaines variés qui se retrouvent à travers le graffiti, la peinture, la photographie et le graphisme.
Espaces intercalaires
2012 durée 52’
de Martine Gonthié, coproduction la Huit et
Groupe Galactica
Défense d’Afficher
webdocumentaire écrit par Sidonie Garnier, François Le Gall & Jeanne Thibord
Mis en forme par Greg Mignolini et Adrian
Gandour Coproduction la maison du directeur et
France télévision
Diller Scofidio +
Renfro, Reimagining
Lincoln Center and
the High Line 2012 durée 54’
« Défense d’afficher » se dit dans
toutes les langues. Pourtant, dans tous
les pays, graffeurs et street artistes
passent outre cette interdiction. Qu’ontils donc de si important à dire ? Quel
est le sens véritable de leur geste ?
PARIS
NEW YORK CITY
BOGOTA – artiste : Bastardilla – réalisatrice : Lionel Rossini
Le street art est généralement l’apanage
des hommes. Mais il existe des exceptions.
A Bogota, Bastardilla, une jeune femme
de 28 ans, se rend dans les quartiers les
plus pauvres de la ville pour y dessiner.
SAO PAULO – artiste : Alexandre Orian
– réalisatrice : Pedro Watanabe
São Paulo, 18 millions d’habitants, des
embouteillages légendaires, un taux
de pollution largement supérieur à la
moyenne… Bref, une ville pas forcément accueillante au premier abord.
Jouant de la provocation comme à son habitude, Alexandre Orion a choisi de traverser São Paulo à pied. Semant le désordre,
il interroge la place du piéton dans la ville.
Fondée en 1979, l’agence interdisciplinaire
new-yorkaise Diller Scofidio + Renfro se
distingue par son approche décloisonnée
de l’architecture. En 1999, ses fondateurs
ont reçu le prestigieux prix de la Fondation
MacArthur. Avec l’achèvement presque simultané de deux de ses réalisations d’envergure à New York, soit la réaffectation de
la High Line, et la revitalisation et l’expansion du Lincoln Center for the Performing
Arts, Diller Scofidio + Renfro a enthousiasmé les citoyens. Entre 2004 et 2011,
l’agence a converti une voie ferrée abandonnée du West Side en un parc suspendu.
Parallèlement, DS +R a également rénové
la salle Alice Tully du Lincoln Center et la
Juillard School, conçu un spectaculaire pavillon abritant un restaurant recouvert d’un
toit vert et modifié les espaces publics reliant les bâtiments existants du complexe.
Aux images et aux commentaires éclairés
d’Elizabeth Diller, de Ricardo Scofidio et
de Charles Renfro s’ajoutent ceux d’urbanistes, de critiques et de théoriciens.
2012 durée 3x8’
Le projet Navarra
durée 26’
2013 durée
52’
De Laetita Masson, Cité de l’Architecture et
du Patrimoine Productions
2007
de Joël Yvon, Monkey Bay production
Rudy Ricciotti, architecte, Grand Prix
National
d’architecture
2006,
s’entretient avec les ingénieurs Mouloud
Behloud et Romain Fabio Ricciotti de la construction de la galerie d’Art
Contemporain d’Enrico Navarra au Muy.
Ce
projet
de
conception
révolutionnaire fabriqué en Béton ductal
est
une
première
mondiale.
Le Rolex Learning
Center 2012 durée 26’
de Juliette Garcias, Arte F production
Construit près de Lausanne (Suisse), le
Rolex Learning Center, est un lieu à nul
autre pareil, grand geste plastique d’architecte, qui révolutionne notre conception de l’espace, et propose une expérience physique totalement inédite.
This is where we live
2013 durée 2’47
Coproduction Apt Studio and Asylum Films
Le film a été réalisé en stop-motion en trois
semaines à l’automne 2008. Chaque scène
a été tournée sur un chariot fait maison.
A nous le parking !
2012 durée 2’47
réalisation et production Collectif Etc
Le Collectif Etc animait en janvier 2011
un séminaire au sein du département Architecture de l’INSA sur le double thème
de la mobilité et du mobilier urbain. De
cette rencontre avec les étudiants a germé l’idée d’occuper un parking automobile, ici celui de l’INSA, en y mettant en
scène différents espaces dédiés aux
corps et aux activités humaines. L’espace proposé est mouvant, ludique,
adaptable au lieu dans lequel il s’insère.
de Muffie Dunn et Tom Piper, Checkerboard Foundation, Inc production
La citadelle des
loisirs . le centre
social Pompeia de
Sao Paulo 2012 durée 26’
Dans le quartier de Palmeiras à Sao
Paulo, une ancienne usine aligne ses
ateliers du début du 20ème siècle
avec d’étranges blocs de béton qui se
dressent face à la ville et à ses tours.
Un centre social et culturel destiné aux
employés du commerce. Son architecte
Lina Bo Bardi préfère parler d’une « citadelle du loisir », tout un symbole, à la fois
reconversion d’un lieu de travail et affirmation d’une alternative devant la Métropole.
Une œuvre majeure de l’« Architettura
Povera ».
durée 2’55
2013
Prinvault Architectes
En 2009, un incendie criminel a détruit
l’école primaire Jean Moulin à Bernay
(Normandie). En 2012, le cabinet parisien Prinvault Architectes reconstruit
cette école en utilisant une construction
à ossature bois et bardage de couleur.
Pendant la construction, les architectes
ont invités les élèves à visiter le site.
Une fois que l’école a été reconstruite, ils
ont suggéré aux élèves de faire un film.
Communication et jeu sont alors devenus les outils pour oublier les flammes
et pour surmonter les traumatismes.
Mur
2007 durée 10’
de Benjamin d’Aoust, Lemurian production
Un enfant joue, seul, avec une balle contre
un mur immense...et l’écho...
et si on vivait dans
1m² 2013 durée 10’
Une coproduction Narrative et France 5, de
Isabelle Foucrier & Nathalie Van Batten
Inventer la ville idéale.
Saga cité
2013 durée 10’
Une production de Vivre En Ville, de Luc Chamberland
Face aux défis des changements climatiques,
l’urbanisme et l’aménagement ont un rôle
majeur à jouer. En définissant la forme des
collectivités à l’origine des habitudes de vie
des populations ils permettent de réduire à la
source les émissions de gaz à effet de serre.
Les enjeux liés à l’aménagement du territoire
et à l’urbanisme restent cependant méconnus. SAGA CITÉ vous invite à en découvrir
plus à travers l’histoire de la ville de Colvert.
Ecole des Fins, Annecy
2013 durée 16’44
de Martine Roux et SilRève Image&Son
Création de la compagnie Martine Roux dans
les locaux de l’école des Fins à Annecy.
Évocation de l’univers scolaire à travers une
semaine.
de Richard Copans, coproduction les films d’ici
et Arte F
Ecole Jean Moulin
Le corbeau, le maître de Tokyo, est capable
d’appréhender la ville dans sa globalité puis la
parcourir dans ses plus petits interstices. Au
début, le champ urbain se voit comme un espace à trois dimensions, puis en prolongeant
le regard, de nouveaux lieux apparaissent.
Tokyo se métamorphose. Ces espaces nous
révèlent une vision différente de la cité, peuplée d’architectures singulières et de personnages qui habitent la ville autrement.
Mobius, Federation
Square 2011 durée 1’20
de Benjamin Ducroz, par Enees
Vingt-et-un grands triangles animés par la
ville de Melbourne, tout au long de la Federation Square. MÖBIUS est une sculpture qui
peut être configurée en plusieurs tendances
cycliques et de se comporter comme si elle
se mangeait elle-même, tandis qu’elle s’enfonce dans le sol. Le résultat est une illusion
d’optique et un time-lapse de personnes
qui interagissent avec la sculpture et en se
déplaçant à travers des lieux historiques
de Melbourne tout au long de la journée.
Le Mur de l’école
spéciale 2013 Thérapicturale 2013 durée 1’51
de l’école spéciale d’architecture
Sur une proposition du BDE avec Stanislas Skotnicki
et Thomas Hostache ainsi que Alexandre Pacchiaudi,
architecte DESA.
Créé en 2009, La Thérapicturale est un collectif de cinq artistes issus de domaines variés qui se retrouvent à travers le graffiti, la
peinture, la photographie et le graphisme.
L’écorce des pierres
2012 durée 27’
Médias Création Recherche production, de Catherine
Guéneau et Gérard Leblanc
La pierre est partout présente dans la ville
de Langres et ce film veut d’abord témoigner de cette présence. Tous les états de
la pierre sont envisagés, depuis la carrière où elle est extraite et taillée en blocs
jusqu’aux savoir-faire que nécessite son
entretien. La pierre suscite en nous le vertige d’une durée plus vaste que la durée
humaine et pourtant, elle aussi, périssable.
en partenariat avec:
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