L`appel à la prière diffusé par haut-parleurs à Boston

 L’appel à la prière diffusé par haut-parleurs à Boston
Par tnr le 20 septembre 2008
http://www.bivouac-id.com/2008/09/20/lappel-a-la-priere-diffuse-par-haut-parleurs-a-boston/
Les tentacules de la pieuvre islamique se déploient lentement mais
sûrement même en Amérique.
BOSTON (États-Unis)- Contrairement aux assurances données aux
citoyens du quartier de Roxbury par les porte-parole de la “Muslim
American Society” lorsque la nouvelle mosquée de la ville n’était
qu’en phase de construction, les dirigeants de ce qui maintenant
s’appelle la Société Islamique du Centre Culturel de Boston, ont bel
et bien décidé que l’appel à la prière sera diffusé plusieurs fois par
jour grâce à un système d’amplification et de haut-parleurs
installés dans le minaret qui surplombe l’édifice.
Cette mosquée était d’ailleurs un sujet de controverses depuis plus d’une dizaine d’années. Une
association, qui s’appelle David Project, avait révélé déjà en 2004, l’existence de liens entre les promoteurs
de la construction et l’organisation extrémiste des Frères Musulmans. Et n’oublions pas que selon un
mémorandum publié en 1991 par ces mêmes Frères Musulmans, ceux-ci se sont engagés dans un Jihad total
dont le but est de détruire la civilisation occidentale de l’intérieur et de la saboter par l’action des croyants
pour arriver à la faire disparaître afin que la religion d’Allah soit victorieuse de toutes les autres religions.
La direction de la Société islamique de Boston avait entamé, en 2005, une poursuite judiciaire, en affirmant
que les allégations dont elle était l’objet étaient diffamatoires, mais elle a laissé tomber la cause après qu’une
autre action en justice, contestant la construction de la mosquée, ait été abandonnée. Malgré tout, la Société
Islamique continue sans être inquiétée, à distribuer les publications du prêcheur de haine égyptien le sheik Al
Qawadari, celui-là même qui s’est rendu célèbre comme étant le premier religieux musulman à émettre une
fatwa qui autorisait et encourageait les femmes à commettre des attentats suicide.
Construite dans un quartier où prédomine une population noire, qui deviendra une cible de choix pour le
prosélytisme musulman, la mosquée a en plus bénéficié d’un soutien financier important de l’administration
municipale, notamment pour l’achat du terrain, d’une valeur marchande de plus de 2 millions de dollars,
mais qui fût cédé pour moins de $200 000.
Selon Charles Jacobs, ancien président du David Project, l’inquiétude suscitée dans la population provient
des liens qu’ont les dirigeants de la Société Islamique de Boston et de l’Association des Musulmans
Américains avec le terrorisme et avec les prêcheurs de haine et cette inquiétude n’a pas diminuée avec les
ans, bien au contraire, puisque les directions de ces deux mouvements ont affiché des prises de position
extrémistes et que d’après lui on estime que 80 % des mosquées sont radicalisées. De plus il est devenu très
difficile pour les citoyens américains de s’exprimer librement et ouvertement sur ces sujets parce qu’ils ne
veulent pas être considérés comme intolérants ou comme islamophobes, ce qui a pour conséquence qu’on ne
parle que très peu de ces liens avec le terrorisme, même dans les médias.
A partir de maintenant cette décision de diffuser l’appel à la prière déterminera une zone de domination
islamique, acoustique et auditive, qui rayonnera à partir du minaret sur tout un quartier de la ville de Boston.
Sources: jihadwatch.org/archives/022741.php
et solomonia.com/blog/archive/2008/09/boston-mosque-to-broadcast-amplified-cal
Vidéo/diaporama: http://link.brightcove.com/services/link/bcpid1119284117/bctid1790976980