Mercredi 03 Juillet 2016

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Mercredi 03 Juillet 2016
Mercredi 03 Juillet 2016
Forum des Chefs d’entreprise
Lotissement Sylvain Fouratier N°08 El Mouradia,
Alger
Mobile: 0770 88 90 80 / 0556 48 67 56
[email protected]
www.fce.dz.
SOMMAIRE
A la une ............................................................................................................................................ 4
Accord FCE/ Washington Post : ........................................................................................................... 4

¨Publication d’un rapport sur l’investissement en octobre (El WATAN) .................. 4
PARTENARIAT FCE – THE WASHINGTON POST : ....................................................................... 4

Le lobbying en mouvement (www.toutdz.com) ......................................................... 4


................................................................................... 4
Signature d’un partenariat entre le FCE et Washington Post : clin d’œil aux
investisseurs US(Le Courrier d’Algerie) .................................................................... 6
Un hors-série spécial Algérie du Washington Post sponsorisé par le FCE
(huffpostmaghreb) ....................................................................................................... 7
En vue de promouvoir le marché algérien : Accord de partenariat entre FCE et le
Washington-Post (tribunelecteurs.com) ...................................................................... 8


Investissements / Médias : .................................................................................................................... 9




Le Washington Post promeut la «destination Algérie» (Reporters) ........................... 9
The Washington Post pour «vendre» l’Algérie(Algérie1.com) ................................ 11
Le FCE et le Washington Post préparent un hors-série spécial Algérie (Djazairess)12
Le FCE et le Washington Post préparent un hors-série spécial Algérie(Algerie global
Market) agm.net ........................................................................................................ 13
Pour promouvoir le climat des affaires : ...................................................................................... 14

L’Algérie s’offre le Washington-Post(le Temps d’Algérie) ..................................... 14
A travers son rapport qui sera publié sur son site électronique .................................... 15





Le Washington Post fait la promotion de l’image de l’Algérie(le Jeune Indépendant)
................................................................................................................................... 15
Le Washington Post prépare un dossier sur les perspectives économiques de
l'Algérie (APS) .......................................................................................................... 17
Le FCE s’associe avec le Washington Post pour redorer son blason à l’Algérie
(algerie-eco.com) ...................................................................................................... 18
Partenariat FCE-Washington Post pour attirer les IDE (Algerie patriotique) .......... 19
Accord entre le FCE et le Washington Post pour la promotion de l’Algérie(TSA) . 19
PARTENARIAT FCE - THE WASHINGTON POST ......................................................................... 20

Le lobbying en mouvement (l’Expression) ............................................................... 20
Forum économique islamique : .......................................................................................................... 22

Appel au renforcement de la coopération (APS) ...................................................... 22
Investissement : ................................................................................................................................................... 24

La bonification des taux d'intérêt plafonnée à 3% sur 5 ans au maximum (APS) .... 24
Objectifs de développement durable : ........................................................................................... 25

Internet, outil entraînant(ELMOUDJAHID)............................................................. 25
2
Salon international de l’alimentation et des boissons du 16 au 20 octobre à Paris
: ............................................................................................................................................................................. 25

L’Algérie parmi les exposants(ELMOUDJAHID) ................................................... 25
Le Paracétamol et d’autres produits de large consommation y figurent
Médicaments remboursables : ............................................................................................................ 26

La liste élargie(Liberté) ............................................................................................. 26
Cybercriminalité : ....................................................................................................................................... 27

Les institutions toujours vulnérables(ELWATAN) .................................................. 27
RÉGULARISATION DES CONSTRUCTIONS INACHEVÉES ..................................................... 29

Le dernier délai expire aujourd’hui (L’Expression) ................................................. 29
ILS SONT PRÈS DE 22.000 ÉTUDIANTS EN FRANCE .............................................................. 30

Un gisement offshore (L’Expression) ....................................................................... 30
Banque/bourse/Assurance........................................................................................................ 31
Douanes:.......................................................................................................................................................... 31

Baisse des saisies durant le 1er semestre 2016 (APS) .............................................. 31
Grande zone arabe de libre-échange : ........................................................................................... 33


Un espace laminé par la mondialisation(ELMOUDJAHID) .................................... 33
Plus de 41 mds DA de transactions sans factures décelées au 1er semestre 2016
(APS)......................................................................................................................... 34
Coopération /Partenariat .......................................................................................................... 36
Veille ............................................................................................................................................................... 36

L’Algérie déploie des efforts considérables en matière de lutte préventive
antiacridienne (APS) ................................................................................................. 36
3
A la une
Accord FCE/ Washington Post :
¨Publication d’un rapport sur l’investissement en octobre
(El WATAN)
Le Forum des Chefs d’Entreprises (FCE) vient de signer un accord avec le
journal américain de renommé The Washington-Post et la multinationale en
communication True Media en vue de la préparation du rapport « ALGERIAN
INVESTMENT REPORT ».
« ALGERIAN INVESTMENT REPORT » a pour objectif de valoriser la
destination Algérie à l’international et développer davantage les relations
de partenariat économique entre les entreprises algériennes et les
entreprises étrangères, notamment américaines.
Il sera publié en octobre prochain à l’occasion de la Réunion Annuelle du
FMI et de la Banque Mondiale qui se tiendra à Washington du 7 au 9 octobre
2016.
Ce dossier de 12 pages sera également publié dans l’édition digitale de The
Washington Post.
Pour le FCE ce partenariat s’inscrit dans le cadre de « la démarche et des
efforts que le FCE déploie depuis l’année 2015 pour la réalisation des
objectifs de diversification économique, de renforcement de son ancrage
africain et consolider les progrès réalisés ces dernières années par notre
pays en matière de relance économique », précise un communiqué relatif à
la signature de cet accord.
PARTENARIAT FCE – THE WASHINGTON POST :
Le lobbying en mouvement (www.toutdz.com)
Conscient que la promotion de la destination Algérie en matière
d’investissement passe par un travail de lobbying, le FCE se cherche des
alliés de taille pour mener à terme ses opérations de charme.
Dans le cadre de la préparation d’un rapport sur l’investissement en Algérie
en partenariat avec l’un des plus puissants journaux dans le monde, en
l’occurrence, le Washington Post True Media a sollicité le FCE pour faire
4
partie du projet dans l’objectif de valoriser la destination Algérie au niveau
international. En effet, indique un communiqué distribué à l’issue de la
rencontre entre Ali Haddad et Salah Eddine Abdessemed, d’une part et
Véronica Fuentes, d’autre part, «le rapport en question sera consacré à la
promotion de l’économie et du marché algériens». «Ce rapport de 12 pages
sera publié également dans l’édition digitale de The Washington Post qui
cumule 49 millions de visiteurs/mois. Un tiré à part de luxe sera distribué à
l’occasion de l’événement économique des plus importants du calendrier
économique mondial, à savoir la réunion annuelle du FMI et de la Banque
mondiale qui aura lieu à Washington du 7 au 9 octobre 2016», précise le
communiqué… C’est dire que le FCE ne compte pas baisser les bras et que
la promotion de l’attractivité de l’Algérie à l’échelle internationale est une
promesse qu’il s’emploie résolument à honorer. Et le concours du
Washington Post n’est sans doute pas de nature à faire capoter la
démarche.
Bien
au
contraire.
«L’objectif principal de l’élaboration d’un rapport d’investissement sur
l’Algérie est de démystifier ce pays auprès des entrepreneurs américains et
de l’opinion publique américaine. Ce projet s’inscrit aussi dans la démarche
stratégique visant à faire connaître l’Algérie à l’international» a indiqué en
effet
Véronica
Fuentes,
directrice
exécutive
de
True
Media.
Sur un autre volet, à savoir le contraste entre cette démarche visant à
donner une image positive de l’Algérie et les rapports d’institutions
internationales dont quelques-unes sont américaines, qui ternissent l’image
de l’Algérie auprès de ses partenaires étrangers, Mme Fuentes a fait savoir
qu’il s’agit évidemment de corriger la vision erronée de l’Algérie que
colportent différents organismes internationaux. «En tant qu’expert en
communication, nous véhiculons un message de vérité avant tout. Nous ne
sommes pas des journalistes à la recherche de scoop. Nous oeuvrons
simplement à donner le message le plus proche possible de la vérité», a-telle
expliqué.
«Le choix de l’Algérie par le Washington Post comme premier pays dans
cette série de rapports a été fait pour plusieurs raisons. D’abord, parce que
l’Algérie a engagé un dialogue stratégique avec les Etats-Unis. Ensuite, il y
a la visite du ministre algérien des Affaires étrangères, M.Lamamra, au
siège du Washington Post. Il y a enfin le fait que nous avons des radars et
nous suivons avec précision ce qui se passe dans le monde. Le choix du
moment est stratégique parce que, c’est fondamental. On ne peut pas faire
une chose quand c’est trop tard. C’est le moment idéal pour lancer ce
projet»,
a-t-elle
indiqué
également.
Pour ce qui est des axes stratégiques autour desquels s’articulerait le
rapport en question, il a été indiqué que tous les domaines sont concernés,
notamment l’agriculture, la petite et la grande industrie, la santé, l’industrie
pharmaceutique, et que l’objectif visé est de parvenir à une économie
productive et diversifiée. «Nous voulons accompagner la volonté de l’Algérie
de donner une nouvelle vision stratégique à son économie. Elle investit
beaucoup dans ce sens, notamment dans les ports, les lignes ferroviaires,
les réseaux routiers, etc., et ceci doit être porté à la connaissance des
publics intéressés. L’Algérie doit occuper une position de force régionale. Il
5
faut que l’économie devienne productive et diversifiée», a insisté Veronica
Fuentes en se disant «honorée de cette collaboration avec le FCE et de la
dynamique
qu’elle
suscite».
De son côté, le président du FCE, Ali Haddad, a déclaré que «par son
engagement dans ce partenariat avec le Washington Post, le Forum des
chefs d’entreprise entend répondre positivement à l’intérêt grandissant que
suscite notre pays auprès des investisseurs US, intérêt qui s’inscrit en
symbiose avec le dynamisme donné à la coopération entre l’Algérie et les
Etats-Unis d’Amérique par le biais du Dialogue stratégique US Algérie». «Ce
partenariat s’inscrit également dans le cadre de la démarche et des efforts
que le FCE déploie depuis 2015 pour développer davantage les relations de
partenariat économique entre les entreprises algériennes et les entreprises
états-uniennes et contribuer ainsi à la réalisation des objectifs de
diversification de notre économie, du renforcement de son ancrage africain
et, in fine, de consolidation des progrès réalisés ces dernières années par
notre pays en matière de relance économique», a-t-il ajouté
Signature d’un partenariat entre le FCE et Washington Post : clin
d’œil aux investisseurs US(Le Courrier d’Algerie)
Soigner l’image de l’Algérie et la vulgariser auprès de l’opinion américaine,
en général, et des investisseurs du pays de l’Oncle Sam, en particulier.
Tels sont les principaux objectifs attendus d’un partenariat signé entre le
Forum des chefs d’entreprise (FCE) et le prestigieux quotidien américain
“The Washington Post”, représenté par l’agence True Media. Ce partenariat
a été signé, hier au siège du FCE sur les hauteurs d’Alger, entre son
président, Ali Haddad, et la responsable de l’agence True Media, Veronica
Fuentes. En marge de la signature de ce partenariat, Veronica Fuentes a
expliqué que son agence media mettra son expertise à la disposition du
FCE, afin de produire un contenu tiré du potentiel du marché algérien dans
le but de le vulgariser auprès des investisseurs américains. Le travail de
cette agence media consiste en la publication de deux rapports, le premier
en octobre et le deuxième en décembre de l’année en cours, qu’elle
présentera à la Réunion annuelle du Fonds monétaire international et de la
Banque mondiale (BM) qui se tiendra le mois d’octobre prochain à
Washington (USA). Ce rapport sera posté ensuite sur le site web de
“Washington Post”, où il sera accessible aux lecteurs. «Il s’agit d’un dossier
de 12 pages qui sera publié également dans l’édition digitale de “The
Washington Post” qui cumule 49 millions de visiteurs/mois. Un tiré-à-part
de luxe sera distribué à l’occasion de l’évènement économique parmi les
plus importants du calendrier économique mondiale, en l’occurrence la
Réunion annuelle du FMI et de la Banque mondiale qui aura lieu à
Washington du 7 au 9 octobre 2016», lit-on dans un document remis à la
presse. D’une déclaration à la presse, en marge de la signature de ce
partenariat, Veronica Fuentes a utilisé le mot «démystification» de l’Algérie
6
auprès de l’opinion américaine, notamment les investisseurs US. L’objet de
cette opération médiatique consiste à soigner l’image de l’Algérie auprès
des investisseurs américains que des rapports de départements américains
ne cessent de ternir. La responsable de True Media a estimé qu’il fallait
assurer un contenu médiatique aux efforts consentis par les gouvernements
des deux pays, pour la promotion d’un partenariat en dehors du secteur des
hydrocarbures. Pour elle, le nouveau modèle économique algérien offre de
sérieuses opportunités aux investisseurs américains lesquels doivent les
saisir.
Le travail de l’agence True Media consiste en l’explication et à la
vulgarisation de la démarche et de la nouvelle stratégie du gouvernement
algérien, dans le cadre de la diversification de son économie. Contrairement
à certains rapports américains trop critiques vis-à-vis de l’Algérie dans
certains domaines, Veronica Fuentes a qualifié l’Algérie de pays «sérieux»,
avec une stratégie économique et des projets ambitieux. L’agence True
Media, en tant qu’expert en communication à l’international, s’attèlera à
donner forme aux messages que l’Algérie veut diffuser auprès de l’opinion
et de ses partenaires américains. Le dialogue stratégique algéro-américain
et la visite effectuée par le ministre des Affaires étrangères, Ramtane
Lamamra, au siège de “Washington Poste” à Washington DC, ont été les
raisons ayant conduit à la signature de ce partenariat entre le FCE et
l’agence True Media, a-t-elle expliqué. Le rapport sera en grand format de
12 pages qui expliquera en détail la nouvelle stratégie de l’Algérie en
matière économique. Veronica Fuentes n’a pas omis de souligner, à cette
occasion, les énormes investissements consentis par l’Algérie dans la
réalisation des infrastructures de base. Pour elle, l’Algérie peut être le hub
régional, vu sa position géographique et les réalisations de certaines projets
dans le domaine des transports maritime et ferroviaire qui connecteront les
deux continents européen et africain.
Un hors-série spécial Algérie du Washington Post sponsorisé par le
FCE (huffpostmaghreb)
Le Forum des chefs d’entreprises (FCE) a signé ce matin un "accord de
coopération" avec l'influent journal américain The Washington Post et
l’agence de communication TrueMedia pour la préparation du rapport
Algeria Investment Report, annonce un communiqué de l’organisation
patronale parvenu à notre rédaction.
Cette "coopération s'inscrit dans le cadre de la préparation du rapport
susdit" par l'agence multinationale de Communication TrueMedia pour le
compte d'un des médias les plus influents aux Etats-Unis a sollicité le FCE
dans l'objectif d’engager un partenariat en vue de valoriser la destination
Algérie à l’international", lit-on encore sur le même document.
Un hors-série publicitaire ?
Le numéro "hors-série du Washington Post", annonce-t-on de même
source, sera publié en Octobre en marge de la réunion annuelle du Fonds
7
monétaire international (FMI) et de la Banque Mondiale (BM) qui se tiendra
du 7 au 9 octobre prochain dans la capitale américaine.
En plus d’être publié sur la version imprimée, le document en question sera
disponible pendant une année sur le site internet du Washington Post. Ce
dernier, tient-on à préciser de même source, comptabilise près de 50
millions en audience mensuelle.
Pour le FCE, ce partenariat s’inscrit en outre dans le cadre de la démarche
et des efforts que l'organisation patronale déploie depuis l’année 2015 pour
développer davantage les relations de partenariat économique entre les
entreprises algériennes et les entreprises américaines et contribuer ainsi à
la réalisation des objectifs de diversification de notre économie, de
renforcement de son ancrage africain et, in fine, de consolidation des
progrès réalisés ces dernières années par notre pays en matière de relance
économique.
La directrice exécutive de TrueMedia, Veronica Fuentes, a annoncé, pour sa
part, la participation du journal, en tant que partenaire média dans la
préparation du Forum africain d’investissement et d’affaires.
Ce hors série, s'il venait à être concrétisé, n'est pas sans rappeler la
publication par le quotidien français Le Monde, daté du mercredi 4 juillet
2012, d’un supplément publicitaire de 16 pages faisant l'éloge des
réalisations de l'ère du Président Bouteflika à l’occasion du cinquantième
anniversaire de l’indépendance, provoquant de nombreux remous non
seulement en Algérie mais aussi au sein de la rédaction du Monde.
A l'époque on avait parlé d'un supplément publicitaire dont la rédaction
s'était démarquée affirmant qu'il n'avait aucun lien avec un travail
d’investigation journalistique du quotidien.
En Algérie, on avait reproché aux institutions étatiques d'avoir déboursé de
l'argent public pour faire la promotion des réalisations présidentielles sur un
support médiatique étranger.
Cette fois-ci, il semblerait que c'est le patronat, du moins le FCE qui prend
à sa charge cette opération de marketing à la veille d'une importante
réunion des institutions financières mondiales.
En vue de promouvoir le marché algérien : Accord de partenariat
entre FCE et le Washington-Post (tribunelecteurs.com)
Le forum des chefs d’entreprises a signé hier un accord de partenariat avec
le prestigieux journal américain » The Washington – Post » et l’agence »
True Media » dans le but de valoriser la destination Algérie à l’international.
Cette coopération permettra de donner naissance le mois d’octobre
prochain à un rapport sur le marché et l’investissement en Algérie. C’est
une occasion propice pour promouvoir et encourager les investisseurs
américains à venir investir dans notre pays, qui est connu pour ses grandes
potentialités dans ce domaine. Le journal Washington -Post , considéré
comme l’un des puissants au monde va consacrer un numéro spécial pour
l’Algérie , un dossier de 12 pages publié également dans son édition digitale
qui cumule 49 millions de visiteurs par mois. Ce numéro sera publié et
distribué à l’occasion de l’évènement économique parmi les plus importants
du calendrier économique mondial en l’occurrence la réunion annuelle du
8
FMI et de la Banque Mondiale qui aura lieu à Washington du 7 au 9 octobre
2016. En plus d’être publié sur la version imprimée, ce document sera
disponible pendant une année sur le site internet du Washington Post. Ce
dernier comptabilise près de 50 millions de visiteurs/lecteurs par mois. Le
Forum des Chefs d’Entreprise qui poursuit sans relâche son action afin de
contribuer à impulser une vigueur nouvelle au processus de développement
économique et social de notre pays a marqué sa disponibilité et sa volonté
de se mobiliser pour le succès de cet important rapport sur l’investissement
en Algérie. Pour sa part , le président du FCE Ali Haddad a indiqué » Par
cet engagement dans ce partenariat avec le Washington- Post le Forum des
Chefs d’Entreprises entends répondre positivement à l’intérêt grandissant
que suscite notre pays auprès des investisseurs US intérêt qui s’inscrit en
symbiose avec le dynamisme donnée à la coopération entre l’Algérie et les
Etats Unies d4amérqiue par le biais du Dialogue stratégique US Algérie et
qui exprime l’excellence des relations entre les deux pays » et d’ajouter
: » Ce partenariat s’inscrit en outre dans le cadre de la démarche et des
efforts que le FCE déploie depuis l’années 2015 pour développer davantage
les relations de partenariat économique entre les entreprises algériennes et
les entreprises Us et contribuer ainsi à la réalisation des objectifs de
diversification de notre économie , de renforcer de son ancrage africain et
enfin consolider des progrès réalisés ces dernières années par notre pays
en matière de relance économique » De son côté la directrice de l’exécutive
de » True Media » , Véronica Fuentes qui se félicite de cette collaboration
et de la dynamique qu’elle suscite a souligné : » Nous sommes également
honorés de contribuer en qualité de partenaire Média à la réussite du Forum
Africain d’investissement et d’affaires , que l’Algérie organise le 3 , 4 et 5
décembre « .Il faut noter que » True Media » est une multinationale de la
communication qui produit des rapports d’investissement digitales et
imprimés.
Investissements / Médias :
Le Washington Post promeut la «destination Algérie» (Reporters)
Le célèbre quotidien américain, le Washington Post, s’est engagé à faire la
promotion de la «destination Algérie» auprès des investisseurs américains
et internationaux lors des prochains grands rendez-vous d’automne du FMI
et de la Banque mondiale ; africains aussi, qui seront nombreux à Alger en
décembre prochain lors de la tenue du Forum africain d’investissement et
d’affaires, un rendez-vous prévu en octobre 2015 et qui a été décalé pour
des raisons d’agenda et de préparation.
Hier, un accord a été signé à ce sujet entre le journal américain, l’agence
True Media qui se charge de la préparation du contenu à publier, et le Forum
des chefs d’entreprise (FCE). Il porte sur la publication et la diffusion sur le
site électronique du quotidien, qui totalise un palmarès de 49 à 50 millions
de visiteurs /lecteurs par mois, d’un rapport sur la situation économique de
l’Algérie et l’avancée des réformes entreprises par les autorités en vue
d’attirer l’investissement étranger dans le pays. Le rapport en question,
intitulé Algeria Investment Report, sera publié également en «imprimé»
9
sous forme d’un numéro hors-sé- rie du Washington Post. Il sera publié et
distribué en octobre 2016 en marge de la réunion annuelle du Fonds
monétaire international (FMI) et de la Banque Mondiale (BM), qui se tiendra
du 7 au 9 octobre prochain à Washington. Pour le FCE, dont ce sera le plus
grand engagement à caractère promotionnel et publicitaire pour la «vente»
aux Etats-Unis et à l’étranger de l’image Algérie, ce partenariat, expliquet-on, s’inscrit dans le cadre de la démarche et des efforts que le FCE déploie
depuis l’année 2015 pour «dé- velopper davantage les relations de
partenariat économique entre les entreprises algé- riennes et les
entreprises US» et contribuer ainsi à «la réalisation des objectifs de
diversification de notre économie, de renforcement de son ancrage africain
et, in fine, de consolidation des progrès réalisés ces dernières années» par
l’Algérie en matière de relance économique. La directrice exécutive de True
Media, Veronica Fuentes, a indiqué hier à Alger, en compagnie d’un des
vice-présidents du FCE, Salah Abdessemed, que le but affiché de cette
rencontre est de nouer des partenariats et promouvoir les liens entre les
entreprises africaines en général et algériennes en particulier. «Nous allons
publier au mois d’octobre un rapport de 12 pages. Il servira à détromper la
mauvaise image assignée à l’Algérie, rétablir son vrai visage, dévoiler ses
potentialités économiques et les projets réalisés, rapporter des histoires
personnelles et des exemples de réussite», a-t-elle déclaré lors du point de
presse qu’elle a tenue, soulignant que le volet économique sera un axe
important qui permettra aux investisseurs américains de mieux connaître le
pays.
UNE NOUVELLE ÈRE
«L’Algérie a beaucoup investi dans les infrastructures de bases et dans
beaucoup d’autres secteurs. L’Algérie aspire à devenir un hub pour
l’économie de l’Afrique du Nord mais aussi de l’Afrique », selon cette experte
en communication. Mais pourquoi le choix du journal américain s’est porté
sur l’Algérie ? Et pourquoi maintenant ? Parce que «l’Algérie est un
partenaire stable et fiable pour les Etats-Unis. C’est seulement maintenant
que s’ouvre une nouvelle ère d’échanges avec les USA», a-telle ajouté. Pour
expliquer le choix du contenu du rapport, Mme Fuentes a déclaré : «Nous
nous intéressons à plusieurs domaines économiques». Elle a énuméré le
secteur de l’agriculture, l’agroalimentaire, l’industrie pharmaceutique,
l’industrie et le taux d’intégration dans la production industrielle. «Par son
engagement dans ce partenariat avec Washington Post, le Forum des chefs
d’entreprise entend répondre positivement à l’intérêt grandissant que
suscite notre pays auprès des investisseurs américains», a indiqué pour sa
part le président du FCE Ali Haddad dans un communiqué. «Cet intérêt, at-il poursuivi, s’inscrit en symbiose avec le dynamisme donné à la
coopération entre l’Algérie et les Etats-Unis d’Amérique par le biais du
Dialogue stratégique entre les deux pays». Il semble que c’est le chef de la
diplomatie algérienne, Ramtane Lamamra, qui est à l’origine de l’initiative
de solliciter le concours prestigieux du Washington Post. «La visite du
ministre des Affaires étrangè- res au siège du journal a été déterminante
pour entamer ce travail sur Algérie», a indiqué Veronica Fuentes, nous
faisant rappeler que M. Lamamra a passé une bonne partie de la décennie
10
1990 en tant qu’ambassadeur d’Algérie à Washington, à un moment clé où
les grandes orientations actuelles concernant la relation économique avec
l’Afrique et la région MENA étaient en cours d’élaboration et de promotion
à la Maison Blanche sous l’administration de Bill Clinton. On ne connaît pas
pour l’instant le montant de l’accord entre le FCE et le Washington Post, une
question marginale quand on suppose que le financement du rapport à
publier se fera sans doute sous forme d’encarts publicitaires achetés par les
opérateurs algériens du Forum et d’ailleurs intéressés de profiter d’un
support planétaire. Moins marginale, cependant, le fait que le « Post »
accepte ce partenariat. Au début des années 2000, Hamid Temmar, alors
ministre chargé de la Promotion de l’investissement, avait supervisé une
opération de promotion de l’image Algérie auprès des opérateurs US, mais
sans grands succès. C’était dans les colonnes du Washington Times…
The Washington Post pour «vendre» l’Algérie(Algérie1.com)
C’est une bonne idée que celle du Forum des chefs d’entreprises (FCE), de
sollicter les services percutants du prestigieux journal américain The
Washington Post (Wash Post) et l’agence True Media, pour donner un coup
de pub à la destination Algérie. C’est désormais possible avec l’accord de
coopération signé aujourd’hui entre le FCE et l’influent journal américain.
L’objectif étant de «promouvoir le marché algérien et encourager les
investisseurs américains à découvrir l’Algérie». Cet accord paraphé du côté
algérien par Salah-eddine Abdessemed, vice-président du FCE, et, côté
américain, par la directrice exécutive du Washington Post–True Media,
Veronica Fuentes lors d’une cérémonie au siège du FCE.
Et en vertu de cet accord, The Post va publier en octobre prochain un
rapport sur les efforts fournis par l’Algérie pour mettre en place un
«nouveau contexte économique». L’idée, selon le dirigeant du FCE, est de
«démystifier» l’image de l’Algérie auprès du public et des investisseurs
américains.
Concrètement, ce fameux «Algeria Investment Report» qui s’étalera sur 12
pages en hors-série du Wash-Post, sera publié et distribué à l’occasion de
la réunion annuelle du Fonds monétaire international (FMI) et de la Banque
Mondiale (BM) qui se tiendra du 7 au 9 octobre prochain à Washington. Par
ailleurs, et en plus de la version imprimée, le document sera disponible
pendant une année sur le site internet du Washington Post qui comptabilise
près de 50 millions de visiteurs/lecteurs par mois.
Un puissant support
Ce support est puissant pour l’Algérie, surtout en prévision du Forum
africain d’investissement et d’affaires prévu en Algérie du 3 au 5 décembre
prochain. L’objectif étant de profiter de cette rencontre pour «nouer des
partenariats et promouvoir les liens entre les entreprises africaines en
général et algériennes en particulier». «Cette coopération s’inscrit dans le
cadre de la préparation du rapport par le producteur True Media pour le
compte d’un des médias les plus influents aux Etats-Unis» qui a «sollicité le
FCE à l’effet d’engager un partenariat en vue de valoriser la destination
Algérie à l’international », souligne par ailleurs un communiqué du FCE.
11
Mme Fuentes a par ailleurs expliqué le choix de l’Algérie par le The
Washington Post en évoquant «plusieurs facteurs» dont «principalement»
la visite effectuée récemment par le ministre des Affaires étrangères et de
la Coopération internationale, Ramtane Lamamra au siège de ce journal.
Le FCE et le Washington Post préparent un hors-série spécial
Algérie (Djazairess)
Cette «coopération s'inscrit dans le cadre de la préparation du rapport par
le producteur TrueMedia pour le compte d'un des médias les plus influents
aux Etats-Unis» qui a «sollicité le FCE à l'effet d'engager un partenariat en
vue de valoriser la destination Algérie à l'international », selon un
communiqué du FCE.
Mme Fuentes, directrice exécutive de True Media, l'agence de
communication américaine chargée par le Washington Post de mener ce
travail, a déclaré devant la presse à l'issue d'une rencontre aujourd'hui avec
Salah-eddine Abdessemed, vice-président du FCE, que l'objectif de ce
rapport était de «démystifier» l'image de l'Algérie auprès du public et des
investisseurs
américains.
Le rapport sera livré en «grand format» sur douze pages et abordera les
différents
aspects
de
l'économie
algérienne.
«Une bonne partie du rapport sera axée sur les efforts fournis par l'Algérie
pour mettre en place un nouveau contexte économique», a précisé Mme
Fuentes.
«Ce qui nous intéresse c'est surtout la valeur ajoutée technologique et le
taux
d'intégration
en
Algérie»,
a-t-elle
dit.
Les experts de l'agence travailleront en étroite collaboration avec le FCE
ainsi qu'avec des entreprises non membres du Forum. Ils auront aussi des
contacts avec les différentes institutions publiques, a-t-elle affirmé.
Mme Fuentes a précisé que le dossier consacré à l'Algérie sera le premier
d'une série de dossiers à publier par le Washington post.
Interrogée sur les raisons qui ont poussé le quotidien américain à porter
son choix sur l'Algérie, elle a expliqué que plusieurs facteurs étaient à
prendre en compte dont principalement la visite effectuée récemment par
le ministre des Affaires étrangères et de la Coopération internationale,
Ramtane
Lamamra
au
siège
de
ce
journal.
Un
hors
série
publicitaire?
Selon le communiqué du FCE Le numéro hors-série du Washington Post sera
publié et distribué en Octobre en marge de la réunion annuelle du Fonds
monétaire international (FMI) et de la Banque Mondiale (BM) qui se tiendra
du 7 au 9 octobre prochain dans la capitale américaine.
En plus d'être publié sur la version imprimée, le document en question sera
disponible pendant une année sur le site internet du Washington Post. Ce
dernier comptabilise près de 50 millions de visiteurs/lecteurs par mois.
Pour le FCE, ce partenariat s'inscrit en outre dans le cadre de la démarche
et des efforts que le FCE déploie depuis l'année 2015 pour développer
davantage les relations de partenariat économique entre les entreprises
algériennes et les entreprises US et contribuer ainsi à la réalisation des
12
objectifs de diversification de notre économie, de renforcement de son
ancrage africain et, in fine, de consolidation des progrès réalisés ces
dernières années par notre pays en matière de relance économique.
Fuentes, a annoncé, pour sa part, la participation du journal, en tant que
partenaire média dans la préparation du Forum africain d'investissement et
d'affaires qui aura lieu en Algérie, du 3 au 5 décembre prochain. Le but
affiché de cette rencontre est de nouer des partenariats et promouvoir les
liens entre les entreprises africaines en général, et algériennes en
particulier.
Le FCE et le Washington Post préparent un hors-série spécial
Algérie(Algerie global Market) agm.net
Le Forum des chefs d’entreprises (FCE), la plus importante organisation
patronale algérienne, a signé ce lundi un accord de coopération avec le
prestigieux journal américain The Washington Post (WashPost) et l’agence
True Media pour la préparation d’un rapport sur les perspectives
économiques de l’Algérie intitulé «Algeria Investment Report».
Cette «coopération s'inscrit dans le cadre de la préparation du rapport par
le producteur TrueMedia pour le compte d'un des médias les plus influents
aux Etats-Unis» qui a «sollicité le FCE à l’effet d’engager un partenariat en
vue de valoriser la destination Algérie à l’international », selon un
communiqué du FCE.
Mme Fuentes, directrice exécutive de True Media, l’agence de
communication américaine chargée par le Washington Post de mener ce
travail, a déclaré devant la presse à l'issue d'une rencontre aujourd’hui avec
Salah-eddine Abdessemed, vice-président du FCE, que l'objectif de ce
rapport était de «démystifier» l'image de l'Algérie auprès du public et des
investisseurs américains.
Le rapport sera livré en «grand format» sur douze pages et abordera les
différents aspects de l'économie algérienne.«Une bonne partie du rapport
sera axée sur les efforts fournis par l'Algérie pour mettre en place un
nouveau contexte économique», a précisé Mme Fuentes.«Ce qui nous
intéresse c'est surtout la valeur ajoutée technologique et le taux
d'intégration en Algérie», a-t-elle dit.
Les experts de l'agence travailleront en étroite collaboration avec le FCE
ainsi qu’avec des entreprises non membres du Forum. Ils auront aussi des
contacts avec les différentes institutions publiques, a-t-elle affirmé.Mme
Fuentes a précisé que le dossier consacré à l'Algérie sera le premier d'une
série de dossiers à publier par le Washington post.
Interrogée sur les raisons qui ont poussé le quotidien américain à porter
son choix sur l'Algérie, elle a expliqué que plusieurs facteurs étaient à
prendre en compte dont principalement la visite effectuée récemment par
le ministre des Affaires étrangères et de la Coopération internationale,
Ramtane Lamamra au siège de ce journal.
Un hors série publicitaire?
Selon le communiqué du FCE Le numéro hors-série du Washington Post sera
publié et distribué en Octobre en marge de la réunion annuelle du Fonds
13
monétaire international (FMI) et de la Banque Mondiale (BM) qui se tiendra
du 7 au 9 octobre prochain dans la capitale américaine.
En plus d’être publié sur la version imprimée, le document en question sera
disponible pendant une année sur le site internet du Washington Post. Ce
dernier comptabilise près de 50 millions de visiteurs/lecteurs par mois.
Pour le FCE, ce partenariat s’inscrit en outre dans le cadre de la démarche
et des efforts que le FCE déploie depuis l’année 2015 pour développer
davantage les relations de partenariat économique entre les entreprises
algériennes et les entreprises US et contribuer ainsi à la réalisation des
objectifs de diversification de notre économie, de renforcement de son
ancrage africain et, in fine, de consolidation des progrès réalisés ces
dernières années par notre pays en matière de relance économique.
Fuentes, a annoncé, pour sa part, la participation du journal, en tant que
partenaire média dans la préparation du Forum africain d’investissement et
d’affaires qui aura lieu en Algérie, du 3 au 5 décembre prochain. Le but
affiché de cette rencontre est de nouer des partenariats et promouvoir les
liens entre les entreprises africaines en général, et algériennes en
particulier.
Pour promouvoir le climat des affaires :
L’Algérie s’offre le Washington-Post(le Temps d’Algérie)
Mal classé dans les rapports Doing Business de la Banque mondiale, le
climat des affaires de l’Algérie a besoin d’être promu et présenté à travers
le monde.
Un objectif que s’est assigné le Forum des chefs d’entreprise (FCE) qui a
signé hier à Alger un partenariat avec The Washington-Post et True Media
pour préparer le rapport «Algerian investment report». Dans une courte
déclaration à la presse, à l’issue de la cérémonie de signature du
partenariat, Véronica Fuentes, Executive Director de True Media - The
Washigton Post a expliqué que le journal a lancé une série de rapports sur
l’investissement dans plusieurs pays dont le premier sera l’Algérie. Le
producteur True Media a sollicité le FCE à l’effet d’engager un «partenariat
en vue de valoriser la destination Algérie à l’international». Première du
genre, la publication de ce rapport est prévue pour le mois d’octobre.
Consacré à la promotion de l’économie et du marché algériens, ce rapport
sera établi sous forme d’un dossier de 12 pages et sera publié dans l’édition
digitale du journal qui cumule 49 millions de visiteurs par mois. Un tiré-àpart de luxe sera distribué également à l’occasion de la réunion annuelle du
Fonds monétaire international et de la Banque mondiale qui aura lieu à
Washington du 7 au 9 octobre. Le choix de l’Algérie a été motivé,
notamment, par les importants changements et réformes réalisés en termes
d’environnement des affaires et les importantes opportunités que recèle le
pays qui s’est doté d’importantes infrastructures. Elle ajoutera que ce choix
est justifié aussi par le dialogue stratégique algéro-américain instauré en
2012 et la visite du ministre algérien des Affaires étrangères, Ramtane
Lamamra, au siège du journal The Washington-Post. «Cette visite du
14
ministre algérien a beaucoup aidé dans ce choix», a-t-elle souligné, notant
être honoré par la conclusion du partenariat avec le FCE.
Communiquer à l’international
Quant à l’objectif visé à travers cette publication, Véronica Fuentes fera
savoir qu’elle permettra de «démystifier» la destination Algérie auprès des
investisseurs et l’audience américains. Dans ce sens, elle mettra en avant
les efforts entrepris par les gouvernements des deux pays pour améliorer
les relations de partenariat économique, surtout dans des secteurs clés
comme l’agriculture, la santé et le secteur du médicament. A travers ce
projet de communication très ambitieux, il sera question, entre autres, de
mettre en valeur des business story et autres données sur l’Algérie,
notamment «le taux d’intégration dans l’industrie». Selon cette
responsable, l’Algérie veut devenir «un hub régional» et investit désormais
dans la communication extérieure. «Nous sommes des experts en
communication internationale. Nous véhiculons le message que veut passer
l’Algérie dans le monde», a-t-elle signifié. Dans un communiqué, le forum
indique que «par son engagement dans ce partenariat avec le WashingtonPost, le FCE entend répondre positivement à l’intérêt grandissant que
suscite notre pays auprès des investisseurs US, intérêt qui s’inscrit en
symbiose avec le dynamisme donné à la coopération entre l’Algérie et les
Etats-Unis d’Amérique par le biais du dialogue stratégique USA-Algérie et
qui exprime l’excellence des relations entre les deux pays».
True Media et The Washington-Post contribueront en qualité de partenaire
média à la réussite du Forum africain d’investissement et d’affaires, que
l’Algérie organise le 3, 4 et 5 décembre», ajoute le communiqué. True Media
est une multinationale de la communication qui produit des rapports
d'investissement digitaux et imprimés. Elle conçoit des outils multimédias
de pointe pour les organisations publiques et privées afin de promouvoir
leur disponibilité pour la croissance.
A travers son rapport qui sera publié sur son site électronique
Le Washington Post fait la promotion de l’image de l’Algérie(le
Jeune Indépendant)
Le journal américain The Washington Post prépare un dossier sur le
potentiel et les perspectives économiques de l’Algérie. L’objectif de ce
rapport, qui sera publié en octobre prochain sur le site du quotidien
américain, est de « démythifier » l’image de l’Algérie auprès du public et
des investisseurs américains, selon Veronica Fuentes, directrice exécutive
de True Media, une agence de communication américaine chargée par le
journal de mener ce travail.
Le rapport, intitulé « Algerian Investment Report », sera distribué lors de la
réunion annuelle du Fonds monétaire international (FMI) et de la Banque
mondiale (BM), prévue du 7 au 9 octobre prochain à Washington, en même
temps que sa mise en ligne sur le site du journal le plus lu aux Etats-Unis
avec une moyenne de 49 millions de visiteurs par mois. Fuentes, qui
s’exprimait devant la presse à l’issue d’une rencontre avec Salah-eddine
15
Abdessemed, vice-président du Forum des chefs d’entreprises (FCE),
partenaire local de True Media, a précisé que le document sera livré en
« grand format » sur douze pages et abordera les différents aspects de
l’économie algérienne.
Une bonne partie du rapport sera axée sur les efforts fournis par l’Algérie
pour mettre en place un nouveau contexte économique, selon la directrice
exécutive de True Media. « L’Algérie a énormément investi dans ces
infrastructures au cours de la dernière décennie et nous commençons à voir
les fruits de ces investissements », a souligné Fuentes. Elle également
évoqué les actions engagées par le pays pour s’ouvrir davantage sur
l’Afrique, améliorer ses échanges commerciaux dans la région et se
positionner comme un hub régional « Ces aspects seront abordés dans un
chapitre distinct du rapport », a-t-elle précisé. Le rapport s’intéressera aussi
aux secteurs stratégiques de l’économie algérienne, particulièrement
l’agriculture et l’agroalimentaire, mais aussi la santé et l’industrie
pharmaceutique, selon la même source qui souligne que l’industrie lourde
est également considérée comme un axe prioritaire par True Media. « Ce
qui nous intéresse, c’est surtout la valeur ajoutée technologique et le taux
d’intégration en Algérie », a-t-elle poursuivi. Pour récolter le maximum
d’informations, les experts de l’agence travailleront en étroite collaboration
avec le FCE ainsi que des entreprises non membres du Forum. Ils auront
aussi des contacts avec les différentes institutions publiques, a-t-elle
précisé. Fuentes a, en outre, souligné que le dossier consacré à l’Algérie
sera le premier d’une série de dossiers à publier par le Washington Post.
Interrogée sur les raisons qui ont poussé le quotidien américain à porter
son choix sur l’Algérie, elle a expliqué que plusieurs facteurs étaient à
prendre en compte dont principalement la visite effectuée récemment par
le ministre des Affaires étrangères et de la Coopération internationale,
Ramtane Lamara, au siège de ce journal.
L’Algérie porte d’accès aux marchés africains
Considéré comme l’un des pays les plus stables à l’échelle arabe et
maghrébine, l’Algérie attire les investisseurs d’outre continent. Mis à part
les français, qui ont toujours été les traditionnels partenaires économiques
du pays, surtout sur le volet économique, et les asiatiques qui s’imposent
en force, les américains manifestent leur intérêt pour les investissements
hors hydrocarbures.
Lors des rencontres organisées ces dernières années par le Conseil
d’affaires algéro-américain (USABC), les deux parties ont toujours évoqué
les perspectives de partenariat entre les deux pays dans les secteurs de
l’industrie de l’automobile, des technologies de l’information, de
l’agroalimentaire et de la métallurgie, et même dans le secteur agricole. Cet
intérêt se confirme de plus en plus avec la nouvelle politique de l’Etat axée
sur l’affranchissement progressif de la dépendance des hydrocarbures.
Outre sa stabilité économique et ses richesses naturelles, le coût de son
énergie et de sa main-d’œuvre, l’Algérie revêt un intérêt particulier pour les
américains de par sa situation géographique qui constitue une plaque
tournante pour le marché africain et européen. Doucement mais sûrement,
les investissements en provenance du pays de l’oncle Sam arrivent.
16
Lors du dernier forum algéro-amériocain aux Etats Unis en novembre
dernier, le président du Conseil d’affaires algéro-américain, Smaïn
Chikhoune, avait annoncé 100 millions de dollars d’investissement
américain prévu pour le secteur agricole en Algérie. « Cette somme est
destinée à la réalisation de fermes laitières, de complexes d’engraissement
de bovins pour la production de viande et au développement de semences
de pommes de terre dans les wilayas de Mostaganem et Mascara. Il y a
également des perspectives de partenariat dans les secteurs de la
pharmacie et la production de médicaments destinés notamment au
traitement du cancer et du diabète.
Le Washington Post prépare un dossier sur les perspectives
économiques de l'Algérie (APS)
Un rapport sur le potentiel et les perspectives économiques de l'Algérie sera
publié en octobre prochain sur le site du quotidien américain The
Washington Post, a indiqué lundi à Alger, Mme Veronica Fuentes, directrice
exécutive de True Media, une agence de communication américaine chargée
par le journal de mener ce travail.
Le rapport, intitulé "Algerian Investment Report", sera distribué lors de la
réunion annuelle du Fonds monétaire international (FMI) et de la Banque
mondiale (BM), prévue du 7 au 9 octobre prochain à Washington en même
temps que sa mise en ligne sur le site du journal le plus lu aux Etats-Unis
avec une moyenne de 49 millions de visiteurs par mois.
Mme Fuentes, qui s'exprimait devant la presse à l'issue d'une rencontre
avec Salah-eddine Abdessemed, vice-président du Forum des chefs
d'entreprises (FCE), partenaire local de True Media, a assuré que l'objectif
de ce rapport était de "démystifier" l'image de l'Algérie auprès du public et
des investisseurs américains.
Le document sera livré en "grand format" sur douze pages et abordera les
différents aspects de l'économie algérienne.
" Une bonne partie du rapport sera axée sur les efforts fournis par l'Algérie
pour mettre en place un nouveau contexte économique", a précisé Mme
Fuentes.
"L'Algérie a énormément investi dans ces infrastructures au cours de la
dernière décennie et nous commençons à voir les fruits de ces
investissements. (à) L'Algérie a également engagé des actions pour s'ouvrir
davantage sur l'Afrique, améliorer ses échanges commerciaux dans la
région et se positionner comme un hub régional", a-t-elle indiqué, ajoutant
que ces aspects seront abordés dans un chapitre distinct du rapport.
Le rapport s'intéressera aussi aux secteurs stratégiques de l'économie
algérienne, particulièrement l'agriculture et l'agroalimentaire, mais aussi la
santé et l'industrie pharmaceutique.
L'industrie lourde est également considérée comme un axe prioritaire par
True Media, selon Mme Fuentes.
"Ce qui nous intéresse c'est surtout la valeur ajoutée technologique et le
taux d'intégration en Algérie ", a-t-elle poursuivi.
Pour récolter le maximum d'information, les experts de l'agence
travailleront en étroite collaboration avec le FCE ainsi que des entreprises
17
non membres du Forum. Ils auront aussi des contacts avec les différentes
institutions publiques, a-t-elle précisé.
Mme Fuentes a, en outre, souligné que le dossier consacré à l'Algérie sera
le premier d'une série de dossiers à publier par le Washington post.
Interrogée sur les raisons qui ont poussé le quotidien américain à porter
son choix sur l'Algérie, elle a expliqué que plusieurs facteurs étaient à
prendre en compte dont principalement la visite effectuée récemment par
le ministre des Affaires étrangères et de la Coopération internationale,
Ramtane Lamamra au siège de ce journal.
Le FCE s’associe avec le Washington Post pour redorer son blason
à l’Algérie (algerie-eco.com)
Un rapport sur le potentiel et les perspectives économiques de l'Algérie sera
publié en octobre prochain sur le site du quotidien américain The
Washington post, a indiqué lundi à Alger, Mme Veronica Fuentes, directrice
exécutive de True Media, une agence de communication américaine chargée
par le journal de mener ce travail.
Le rapport, intitulé "Algerian Investment Report", sera distribué lors de la
réunion annuelle du Fonds monétaire international (FMI) et de la Banque
mondiale (BM), prévue du 7 au 9 octobre prochain à Washington en même
temps que sa mise en ligne sur le site du journal le plus lu aux Etats-Unis
avec une moyenne de 49 millions de visiteurs par mois.
Mme Fuentes, qui s'exprimait devant la presse à l'issue d'une rencontre
avec Salah-eddine Abdessemed, vice-président du Forum des chefs
d'entreprises (FCE), partenaire local de True Media, a assuré que l'objectif
de ce rapport était de "démystifier" l'image de l'Algérie auprès du public et
des investisseurs américains.
Le document, rapporte l’agence de presse APS, sera livré en "grand format"
sur douze pages et abordera les différents aspects de l'économie algérienne.
" Une bonne partie du rapport sera axée sur les efforts fournis par l'Algérie
pour mettre en place un nouveau contexte économique", a précisé Mme
Fuentes.
"L'Algérie a énormément investi dans ces infrastructures au cours de la
dernière décennie et nous commençons à voir les fruits de ces
investissements. (à) L'Algérie a également engagé des actions pour s'ouvrir
davantage sur l'Afrique, améliorer ses échanges commerciaux dans la
région et se positionner comme un hub régional", a-t-elle indiqué, ajoutant
que ces aspects seront abordés dans un chapitre distinct du rapport.
Le rapport s'intéressera aussi aux secteurs stratégiques de l'économie
algérienne, particulièrement l'agriculture et l'agroalimentaire, mais aussi la
santé et l'industrie pharmaceutique.
L'industrie lourde est également considérée comme un axe prioritaire par
True Media, selon Mme Fuentes.
"Ce qui nous intéresse c'est surtout la valeur ajoutée technologique et le
taux d'intégration en Algérie ", a-t-elle poursuivi.
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Pour récolter le maximum d'information, les experts de l'agence
travailleront en étroite collaboration avec le FCE ainsi que des entreprises
non membres du Forum. Ils auront aussi des contacts avec les différentes
institutions publiques, a-t-elle précisé.
Mme Fuentes a, en outre, souligné que le dossier consacré à l'Algérie sera
le premier d'une série de dossiers à publier par le Washington post.
Interrogée sur les raisons qui ont poussé le quotidien américain à porter
son choix sur l'Algérie, elle a expliqué que plusieurs facteurs étaient à
prendre en compte dont principalement la visite effectuée récemment par
le ministre des Affaires étrangères et de la Coopération internationale,
Ramtane Lamamra au siège de ce journal.
Partenariat FCE-Washington Post pour attirer les IDE (Algerie
patriotique)
Un rapport sur l’investissement en Algérie, intitulé «Algeria Investment
Report», est en cours de préparation au niveau du journal américain The
Washington Post, afin de valoriser la destination Algérie à l’international. Ce
rapport intervient suite à un partenariat entre le Forum des chefs
d’entreprises, The Washington Post et le producteur TrueMedia, selon le
communiqué du FCE. Il est noté que la publication de ce rapport se fera au
mois d’octobre prochain. Il sera consacré, précise le communiqué, à la
promotion de l’économie et du marché algériens.
«Il s’agit d’un dossier de 12 pages qui sera publié également dans l’édition
digitale de The Washington Post qui cumule 49 millions de visiteurs/mois.
Un tiré à part de luxe sera distribué à l’occasion de l’évènement économique
parmi les plus importants du calendrier économique mondiale, en
l’occurrence la réunion annuelle du FMI et de la Banque mondiale qui aura
lieu à Washington du 7 au 9 octobre 2016», indique la même source qui
assure la disponibilité et la volonté du FCE à se mobiliser pour le succès de
cet important rapport sur l’investissement en Algérie.
«Par son engagement dans ce partenariat avec le Washington Post, le
Forum des chefs d’entreprises entend répondre positivement à l’intérêt
grandissant que suscite notre pays auprès des investisseurs américains,
intérêt qui s’inscrit en symbiose avec le dynamisme donné à la coopération
entre l’Algérie et les Etats-Unis par le biais du dialogue stratégique algéroaméricain et qui exprime l’excellence des relations entre les deux pays», a
indique le président du FCE, Ali Haddad.
Accord entre le FCE et le Washington Post pour la
promotion de l’Algérie(TSA)
19
La directrice exécutive du Washington Post – True Media, Veronica Fuentes,
a annoncé la participation du journal, en tant que partenaire média dans la
préparation du Forum africain d’investissement et d’affaires. (© FCE.DZ)
Le Forum des chefs d’entreprises (FCE), principale organisation patronale
algérienne, a signé un accord de coopération avec le prestigieux journal
américain The Washington Post (WashPost) et l’agence True Media.
L’objectif de cet accord est de promouvoir le marché algérien et encourager
les investisseurs américains à découvrir l’Algérie.
« Algeria Investment Report »
Cette association avec le très influent journal de la capitale américaine
donnera naissance, en octobre prochain, à un rapport sur le marché algérien
et l’investissement dans le pays, le « Algeria Investment Report ».
Ce numéro hors-série du WashPost sera publié et distribué en Octobre, à
l’occasion de la réunion annuelle du Fonds monétaire international (FMI) et
de la Banque Mondiale (BM) qui se tiendra du 7 au 9 octobre prochain à
Washington.
Par ailleurs, en plus d’être publié sur la version imprimée, ce document sera
disponible pendant une année sur le site internet du Washington Post. Ce
dernier comptabilise près de 50 millions de visiteurs/lecteurs par mois.
Partenaire du forum Algérie – Afrique
Par ailleurs, la directrice exécutive du Washington Post – True Media,
Veronica Fuentes, a annoncé la participation du journal, en tant que
partenaire média dans la préparation du Forum africain d’investissement et
d’affaires.
Cette manifestation aura lieu en Algérie, du 3 au 5 décembre prochain. Le
but affiché de cette rencontre est de nouer des partenariats et promouvoir
les liens entre les entreprises africaines en général, et algériennes en
particulier.
PARTENARIAT FCE - THE WASHINGTON POST
Le lobbying en mouvement (l’Expression)
20
Conscient que la promotion de la destination Algérie en matière
d'investissement passe par un travail de lobbying, le FCE se cherche des
alliés de taille pour mener à terme ses opérations de charme.
Dans le cadre de la préparation d'un rapport sur l'investissement en Algérie
en partenariat avec l'un des plus puissants journaux dans le monde, en
l'occurrence, le Washington Post True Media a sollicité le FCE pour faire
partie du projet dans l'objectif de valoriser la destination Algérie au niveau
international. En effet, indique un communiqué distribué à l'issue de la
rencontre entre Ali Haddad et Salah Eddine Abdessemed, d'une part et
Véronica Fuentes, d'autre part, «le rapport en question sera consacré à la
promotion de l'économie et du marché algériens». «Ce rapport de 12 pages
sera publié également dans l'édition digitale de The Washington Post qui
cumule 49 millions de visiteurs/mois. Un tiré à part de luxe sera distribué à
l'occasion de l'événement économique des plus importants du calendrier
économique mondial, à savoir la réunion annuelle du FMI et de la Banque
mondiale qui aura lieu à Washington du 7 au 9 octobre 2016», précise le
communiqué... C'est dire que le FCE ne compte pas baisser les bras et que
la promotion de l'attractivité de l'Algérie à l'échelle internationale est une
promesse qu'il s'emploie résolument à honorer. Et le concours du
Washington Post n'est sans doute pas de nature à faire capoter la
démarche.
Bien
au
contraire.
«L'objectif principal de l'élaboration d'un rapport d'investissement sur
l'Algérie est de démystifier ce pays auprès des entrepreneurs américains et
de l'opinion publique américaine. Ce projet s'inscrit aussi dans la démarche
stratégique visant à faire connaître l'Algérie à l'international» a indiqué en
effet
Véronica
Fuentes,
directrice
exécutive
de
True
Media.
Sur un autre volet, à savoir le contraste entre cette démarche visant à
donner une image positive de l'Algérie et les rapports d'institutions
internationales dont quelques-unes sont américaines, qui ternissent l'image
de l'Algérie auprès de ses partenaires étrangers, Mme Fuentes a fait savoir
qu'il s'agit évidemment de corriger la vision erronée de l'Algérie que
colportent différents organismes internationaux. «En tant qu'expert en
communication, nous véhiculons un message de vérité avant tout. Nous ne
sommes pas des journalistes à la recherche de scoop. Nous oeuvrons
simplement à donner le message le plus proche possible de la vérité», a-telle
expliqué.
«Le choix de l'Algérie par le Washington Post comme premier pays dans
cette série de rapports a été fait pour plusieurs raisons. D'abord, parce que
l'Algérie a engagé un dialogue stratégique avec les Etats-Unis. Ensuite, il y
a la visite du ministre algérien des Affaires étrangères, M.Lamamra, au
siège du Washington Post. Il y a enfin le fait que nous avons des radars et
nous suivons avec précision ce qui se passe dans le monde. Le choix du
moment est stratégique parce que, c'est fondamental. On ne peut pas faire
une chose quand c'est trop tard. C'est le moment idéal pour lancer ce
projet»,
a-t-elle
indiqué
également.
Pour ce qui est des axes stratégiques autour desquels s'articulerait le
rapport en question, il a été indiqué que tous les domaines sont concernés,
notamment l'agriculture, la petite et la grande industries, la santé,
21
l'industrie pharmaceutique, et que l'objectif visé est de parvenir à une
économie productive et diversifiée. «Nous voulons accompagner la volonté
de l'Algérie de donner une nouvelle vision stratégique à son économie. Elle
investit beaucoup dans ce sens, notamment dans les ports, les lignes
ferroviaires, les réseaux routiers, etc., et ceci doit être porté à la
connaissance des publics intéressés. L'Algérie doit occuper une position de
force régionale. Il faut que l'économie devienne productive et diversifiée»,
a insisté Veronica Fuentes en se disant «honorée de cette collaboration avec
le
FCE
et
de
la
dynamique
qu'elle
suscite».
De son côté, le président du FCE, Ali Haddad, a déclaré que «par son
engagement dans ce partenariat avec le Washington Post, le Forum des
chefs d'entreprise entend répondre positivement à l'intérêt grandissant que
suscite notre pays auprès des investisseurs US, intérêt qui s'inscrit en
symbiose avec le dynamisme donné à la coopération entre l'Algérie et les
Etats-Unis d'Amérique par le biais du Dialogue stratégique US Algérie». «Ce
partenariat s'inscrit également dans le cadre de la démarche et des efforts
que le FCE déploie depuis 2015 pour développer davantage les relations de
partenariat économique entre les entreprises algériennes et les entreprises
états-uniennes et contribuer ainsi à la réalisation des objectifs de
diversification de notre économie, du renforcement de son ancrage africain
et, in fine, de consolidation des progrès réalisés ces dernières années par
notre pays en matière de relance économique», a-t-il ajouté
Forum économique islamique :
Appel au renforcement de la coopération (APS)
Le ministre de l'Industrie et des Mines, Abdesselam Bouchouareb, a plaidé
mardi à Djakarta pour le renforcement de la coopération économique entre
les pays islamiques afin de la hisser au niveau de "partenariat véritablement
stratégique", a indiqué un communiqué du ministère.
Intervenant à la séance plénière inaugurale du Forum économique
islamique mondial (WIEF), qui se poursuivra jusqu'à jeudi à Djakarta
(Indonésie), M. Bouchouareb a appelé à investir "toutes nos énergies pour
provoquer le saut qualitatif et quantitatif dans les relations économiques
entre les pays islamiques pour hisser ces relations au rang de partenariat
véritablement stratégique (...) en mesure d'apporter des réponses aux pays
islamiques pour dépasser la crise (économique) actuelle".
Citant l'exemple des trois contrats signés récemment à Alger entre des
groupes algériens et indonésien pour l'exploitation et la valorisation du
phosphate, M. Bouchouareb a soutenu qu'"en présence de la volonté
commune, du cadre adéquat et de la confiance, nous étions en mesure
d'aller très vite vers des partenariats de tailles importantes et mutuellement
bénéfiques".
Ce partenariat est "l'exemple de la capacité des firmes appartenant à notre
espace à travailler ensemble", s'est félicité le ministre.
Lors de son intervention, M. Bouchouareb a, en outre, exposé les dernières
évolutions intervenues en Algérie, notamment la révision de la Constitution
22
et ses nouveautés dans le domaine économique et le nouveau modèle de
croissance économique.
Il a également évoqué les nouvelles lois portant sur la promotion des
investissements et la normalisation.
Le ministre a aussi mis l'accent sur la volonté de saisir les opportunités
offertes par le marché des produits Hallal, dont un règlement technique est
en cours de préparation en Algérie, et celui de la finance islamique.
M. Bouchouareb a, d'autre part, appelé les entreprises internationales
présentes au WIEF pour "s'intéresser à la destination Algérie et ses
opportunités".
En marge de sa participation à ce forum de trois jours, le ministre a eu une
intense activité officielle.
Ainsi, il a été reçu par le président de la République d'Indonésie, Joko
Widodo.
Lors de cette audience, M. Bouchouareb "a souligné l'excellence des
relations politiques qui remontent au soutien de l'Indonésie à la guerre de
libération nationale avant de souligner la disponibilité de l'Algérie à œuvrer
à les traduire davantage dans la sphère économique à travers le
renforcement du partenariat bilatéral".
Le ministre a été également reçu par le président du Tadjikistan, indique-ton de même source.
Par ailleurs, des entretiens ont eu lieu entre M. Bouchouareb et les ministres
indonésiens des Affaires étrangères et des Finances, respectivement, Retno
Marsudi, et Mulyani Indrawati.
Avec la chef de la diplomatie indonésienne, le ministre a abordé les
"questions de développement des relations de solidarité, d'amitié et de
coopération".
Il a également souligné "la volonté commune de rehausser le niveau des
relations économiques à celui des excellentes relations politiques".
A cet effet, les deux ministres ont souligné "l'impérieuse nécessité de
réactiver la Commission mixte de coopération algéro-indonésienne à l'effet
d'impulser une nouvelle dynamique à la coopération bilatérale" avec un
accent particulier sur le commerce et l'investissement, notamment dans les
filières industrielles et minières, ainsi que le tourisme.
Lors de ses entretiens avec le ministre indonésien des Finances, M.
Bouchouareb a évoqué les efforts déployés par son département ministériel
pour "l'amélioration de la compétitivité de l'économie nationale à travers la
promulgation de la loi relative à la normalisation et notamment
l'introduction de la certification Hallal, un domaine où l'Indonésie est un
précurseur".
Les deux ministres ont aussi abordé les questions liées à la finance
islamique.
En 2015, le commerce bilatéral entre les deux pays s'élevait à plus de 456
millions de dollars, rappelle-t-on.
23
Investissement :
La bonification des taux d'intérêt plafonnée à 3% sur 5 ans au
maximum (APS)
Le taux de bonification des taux d'intérêt des crédits d'investissement
accordés aux personnes physiques ou morales de droit algérien et dont les
conventions ont été signées depuis début janvier 2016, est désormais
plafonnée à 3%, indique un décret exécutif paru au JO no 42.
Fixant le niveau, les conditions et les modalités d'octroi de la bonification
du taux d'intérêt des crédits d'investissement, ce texte vient en application
de la loi de finances 2016, mais ne concerne pas les investissements réalisés
dans les régions des Hauts Plateaux et du sud ainsi que les dispositifs d'aide
à la création d'emplois (ANSEJ, CNAC et ANGEM), qui sont régis par des
textes spécifiques.
"Les taux et la durée de la bonification du taux d'intérêt, dont les niveaux
maximum sont fixés, respectivement, à 3% et 5 ans y compris la période
de différé, sont octroyés par seuils en fonction du classement des activités
éligibles et de la nature du crédit contracté", stipule le décret.
Le coût de financement de la bonification précomptée par les banques et
les établissements financiers est imputé par le Trésor sur le compte
budgétaire approprié.
Les activités prioritaires relevant des secteurs de l'industrie, de l'agriculture
et de la pêche et du tourisme ainsi que le secteur des nouvelles technologies
et le numérique bénéficient de la bonification du taux d'intérêt à
concurrence de 3%.
Les activités des autres secteurs sont fixées par arrêté conjoint entre le
ministre chargé des finances et les ministres concernés, selon le décret.
Pour le restant des investissements éligibles, le taux de la bonification du
taux d'intérêt est fixé à 2%.
Les activités qui font l'objet de décisions des pouvoirs publics peuvent
également bénéficier de l'avantage de bonification du taux d'intérêt dans la
limite des niveaux du taux et de la durée fixés.
Quant à la durée de la prise en charge de la bonification, elle est fixée à 5
ans pour les crédits supérieurs à 7 ans et à 3 ans pour les crédits égaux ou
inférieurs à 7 ans.
Le versement par le Trésor de la bonification aux banques et établissements
financiers s'effectue sur présentation, pour chaque trimestre, d'une
demande accompagnée d'un état récapitulatif faisant ressortir les montants
de la bonification due, précise le décret.
Le paiement de la bonification par le Trésor, au titre de chaque échéance,
est subordonné à son remboursement préalable par l'investisseur.
Le droit à la bonification du taux d'intérêt des crédits d'investissement qui
font l'objet de rééchelonnement ou ceux dont le statut a basculé en situation
contentieuse au niveau de la banque ou de l'établissement financier est
provisoirement suspendu.
24
Objectifs de développement durable :
Internet, outil entraînant(ELMOUDJAHID)
L'utilisation de l'Internet par les gouvernements favorise la mise en œuvre
du Programme de développement durable à l'horizon 2030 et ses 17
objectifs (ODD), a indiqué l'ONU dans une enquête publiée lundi dernier sur
la promotion de l'e-gouvernement. L'étude révèle que l'"administration
électronique est un outil efficace pour faciliter des politiques intégrées en
faisant la promotion d'institutions responsables et transparentes à travers
des données ouvertes et la participation électronique, la prise de décision
participative, et la promotion des services en ligne pour combler le fossé
numérique". Au niveau régional, l'enquête révèle que l'Europe continue
d'être le principal fournisseur d'e-gouvernement, suivie par les Amériques,
l'Asie, l'Océanie et l'Afrique. Le Royaume-Uni arrive en tête en Europe,
l'Australie en Océanie, et la République de Corée en Asie. Les Etats-Unis
sont en tête dans la région Amériques, et Maurice est le plus performant en
Afrique. Les classements sont basés sur l'indice de développement de l'egouvernement (EGDI), qui classe les pays en mesurant leur utilisation des
technologies d'information et de la communication pour fournir des services
publics.
L'e-gouvernement a augmenté à un rythme rapide au cours des 15
dernières années, a signalé le rapport, précisant que depuis 2014,
l'ensemble des 193 Etats membres de l'ONU ont une forme de présence en
ligne. Malgré le redoublement d'efforts pour utiliser les services
électroniques et mobiles, des disparités régionales importantes persistent,
a
déploré
le
rapport.
Tous les pays ont convenu, dans l'Objectif de développement durable
numéro 9, qu'un effort important est nécessaire pour assurer l'accès
universel à l'internet dans les pays les moins avancés. Pour que l'egouvernement ait un impact sur le développement durable, il doit être
accompagné de mesures visant à assurer l'accès et la disponibilité des
technologies de l'information et de la communication et à rendre les
institutions publiques plus responsables et plus sensibles aux besoins des
gens, a souligné le rapport.
Salon international de l’alimentation et des boissons du 16 au 20
octobre à Paris :
L’Algérie parmi les exposants(ELMOUDJAHID)
L’Algérie sera présente au Salon international de l’alimentation et des
boissons «SIAL de Paris», prévu du 16 au 20 octobre prochain, à Paris Nord
Villepinte (France). Classé comme étant le plus grand marché international
pour les professionnels de la restauration, ce carrefour de la diversification
dans les segments concernés permet aux exposants de divers pays et
continents de proposer des produits en rapport avec la restauration et les
ingrédients ainsi que les produits frais ou transformés. Le SIAL, qui donne
également l’opportunité aux visiteurs de découvrir d’autres goûts et
saveurs, constitue l’espace où se côtoient tendances et savoir-faire, ainsi
qu’une plateforme idéale pour les opérateurs intéressés de nouer des
25
partenariats et investir dans d’autres marchés. Il y a lieu de souligner qu’en
2014, année marquant son 50e anniversaire, ce Salon a réussi à rassembler
6.500 exposants provenant de 104 pays, alors que 155.766 entrées de
visiteurs étaient recensées. Inscrit dans le programme officiel de la
participation de l’Algérie aux foires et salons à l’étranger, au titre de l’année
2016, les entreprises nationales qui seront présentes à l’évènement
bénéficieront d’une prise en charge de 80% des frais de participation,
couverts par le Fonds spécial de promotion des exportations (FSPE), en
matière de location des stands et acheminements des échantillons exposés.
Un accompagnement qui s’inscrit dans le cadre de la politique
d’encouragement des exportations préconisée par les pouvoirs publics. À
propos du marché algérien des boissons, les chiffres livrés par l’Association
des producteurs algériens de boissons indiquent que les boissons
représentent 14% de la production totale du secteur agroalimentaire, 15%
des consommations intermédiaires et 13% de la valeur ajoutée. L’analyse
de l’APAB, qui détient 85% du marché, souligne que le secteur est
essentiellement dominé par le privé. Depuis une dizaine d’années, précise
les données provenant de cette association, le marché des eaux en bouteille
enregistre une «croissance à deux chiffres» et est dominé par les grandes
marques. «En moyenne, l’industrie des boissons est en surcapacité (taux
d’utilisation de l’ordre de 66%).» Aussi, la filière, qui supporte les charges
de «la fiscalité et de la concurrence de l’informel, n’a pas pu, au cours des
dernières années, récupérer sur le consommateur les hausses de prix des
inputs (qui représentent plus de 60% de la valeur des produits), d’où la
faiblesse des marges et des investissements au cours des dernières années
(sauf quelques grands groupes)», indique l’APAB. Par répartition, les
boissons gazeuses représentent 81% du marché contre 15% pour les
boissons aux fruits et les boissons lactées aux fruits, 4% pour les nectars
et seulement 1% pour les jus pur fruit, selon l’analyse. Selon les prévisions
de cette étude, la demande devrait continuer à augmenter pour l’eau
embouteillée, les jus 100% et les boissons plates. Pour les boissons
gazeuses, «la demande devrait progressivement se stabiliser après 2016 et
l’on devrait aller vers des produits moins riches en sucre».
Le Paracétamol et d’autres produits de large consommation y
figurent Médicaments remboursables :
La liste élargie(Liberté)
Bonne nouvelle pour les assurés sociaux : la liste des médicaments
remboursables est élargie à de nouveaux produits de large consommation,
comme le paracétamol et le diclofenac, ainsi que d’autres antiépileptiques
et anticonvulsivants. La décision, prise par le ministère du Travail, a fait
l’objet d’un arrêté paru au dernier Journal officiel, portant le n°42 et publié
le
6
juin
2016
dernier.
À côté du paracétamol, la liste des nouveaux médicaments éligibles au
remboursement s’est enrichie de produits comme le granulé P/Sol buvable
en sachet dose de 1 000 mg, le diclofenac, granulés solubles en sachets de
50 mg. La nouvelle liste comprend aussi des hypertenseurs, notamment le
Irbesartan/Amlodipine besylate exprimé en Amlodipine, à côté des
26
médicaments de la motricité digestive ainsi que des antiépileptiques et
anticonvulsivants. C’est le cas également pour d’autres médicaments, à
l’instar du Donépézil, qui sont remboursables uniquement sur prescription
du
neurologue
et
du
psychiatre.
Cette mesure intervient alors que l’importation des médicaments a connu
une hausse de l’ordre de de 34% au 1er semestre de l'année 2016 par
rapport à la même période de l'année 2015. En valeur, ces importations se
sont élevées à 1,136 milliard de dollars (usd) sur la première moitié de
2016, contre 846,6 millions de dollars à la même période de 2015, soit une
hausse de 34,26%, précise le Centre national de l'informatique et des
statistiques des douanes (Cnis). En volume, elles représentent une hausse
de de 22% en s'établissant à près de 14 588 tonnes, contre 12 232 t entre
les deux périodes de comparaison. Par catégorie de produits, la facture des
médicaments à usage humain s'est chiffrée à près de 1,07 milliard de dollars
contre 802,15 millions de dollars (+33,2%), tandis que les quantités sont
passées
à
13
043
t
contre
11
077
t
(+17,7%).
Pour les médicaments à usage vétérinaire, leurs importations ont atteint
20,54 millions de dollars (438 t) contre 16,63 millions de dollars (386 t),
soit des hausses de 23,53% en valeur et de 13% en volume. Pour les
importations des produits parapharmaceutiques, elles ont coûté 47,67
millions de dollars (1 106 t) contre 27,81 millions de dollars (769 t), soit
une hausse de 71,44% en valeur et de 44% en volume. Dans le cadre de
la rationalisation des importations des médicaments, un arrêté ministériel
publié en décembre 2015 avait fixé la liste des produits pharmaceutiques à
usage humain et des matériels médicaux fabriqués en Algérie qui sont
interdits
à
l'importation,
rappelle-t-on.
Il s'agit de 357 médicaments composés de comprimés, crèmes et
pommades dermiques, solutions injectables, suppositoires, pommades
ophtalmiques et sirops. À ceux-là s'ajoute également une liste de 11
matériels médicaux fabriqués localement et qui sont aussi interdits à
l'importation, tels les seringues, les compresses et bandes de gaze et le
bicarbonate de soude pour dialyse. En 2015, les importations des produits
pharmaceutiques avaient atteint 1,96 milliard de dollars (-22% par rapport
à 2014) pour un volume global de près de 27 000 tonnes (-15,32%).
Avant-hier, le DG de la Cnas a fait savoir que la caisse a enregistré, durant
le 1er trimestre de l’année 2016, près de 45,5 millions de dinars de
dépenses pour le remboursement des produits pharmaceutiques au profit
de ses assurés sociaux.
Cybercriminalité :
Les institutions toujours vulnérables(ELWATAN)
Le hacker qui a réussi à pénétrer dans la base de données du ministère de
la Poste et des Technologies de l’information et de la communication (TIC)
a été arrêté.
«A l’issue des investigations lancées suite à la plainte contre X déposée par
le représentant légal du ministère de la Poste et des TIC, la section de
recherche et d’investigation d’Alger a arrêté, le 27 juillet dernier, le
27
dénommé T. A., âgé de 28 ans et titulaire d’un mastère 2 en informatique,
qui a réussi à pénétrer frauduleusement dans la base de données du
ministère de la Poste et TIC», a indiqué, hier, la cellule de la communication
et des relations publiques du groupement territorial de la Gendarmerie
nationale d’Alger dans un communiqué.
Les enquêteurs de la section ont lancé leurs investigations, en coordination
avec le Centre de prévention contre la criminalité informatique et la
cybercriminalité relevant de la gendarmerie de Bir Mourad Raïs (Alger),
ainsi que l’Institut national de criminalistique et de criminologie de
Bouchaoui. Les unités de la gendarmerie ont identifie le présumé coupable,
qui s’est servi de «ses connaissances scientifiques pour développer un virus
informatique et l’introduire dans le système de traitement automatique des
données du ministère de la Poste et des TIC».
Selon le communiqué, le mis en cause avait précédemment réussi à
pénétrer dans les sites électroniques de l’université des sciences et
technologies Houari Boumediène (USTHB) et du Centre de recherches et
d’études en informatique.
A l’issue de cette enquête, le mis en cause a été présenté devant le
procureur de la justice près le tribunal de Sidi M’hamed, qui a transféré
l’affaire au juge d’instruction de la 5e chambre qui a décidé de le placer
dans l’établissement pénitentiaire d’El Harrach.
Une structure de lutte indispensable, signale Grar
Selon Younes Grar, consultant spécialisé dans les technologies de
l’information et de la communication, le phénomène du piratage
informatique, qui a «pris de l’ampleur», a plusieurs motivations. «Les
motivations des hackers sont variées. Parfois, ce sont des jeunes qui se
lancent des défis en s’introduisant dans le site d’une institution ou d’une
entreprise sans en connaître les vraies conséquences.
Il s’agit souvent de vengeance d’une personne mise à l’écart par son
entreprise. L’autre situation concerne la guerre industrielle entre
entreprises concurrentes qui cherchent à se positionner. On peut être en
face d’une guerre électronique pour connaître la position politique caché
d’un pays sur un conflit en piratant les bases de données de ses institutions
de souveraineté, à l’instar du ministère des Affaires étrangères», détaille
M. Grar.
Le Premier ministre, Abdelmalek Sellal, a envoyé dernièrement une
instruction aux ministères et aux entreprises pour la prise en compte de
solutions leur permettant de lutter contre la cybercriminalité. Il est fait
obligation à ces institutions de se conformer à un référentiel de sécurité
information qui a été adjoint à la décision.
Selon M. Grar, cette décision est un «premier pas» qui reste «insuffisant».
L’expert suggère la mise en place d’une structure qui s’occuperait de la
sécurité informatique et devrait être placée sous l’autorité du Premier
ministère. «Cette structure s’occuperait d’uniformiser des pratiques entre
les différents intervenants qui doivent adopter une même stratégie et ne
pas avoir certains à la traîne. Elle ferait appliquer une stratégie déclinée sur
trois volets.
28
Cette autorité mettrait en place les solutions techniques comme les logiciels
et l’antivirus fiable à adopter pour sécuriser le réseau. Elle s’occuperait de
l’aspect juridique par la mise à jour des textes et s’occupera, troisièmement,
de la sensibilisation et de la formation des équipes», résume l’expert, qui
affirme que ces propositions ont été inscrites dans la stratégie e-Algérie en
2013.
RÉGULARISATION DES CONSTRUCTIONS INACHEVÉES
Le dernier délai expire aujourd’hui (L’Expression)
La démolition ne touchera pas de sitôt toutes les constructions. C'est en
fonction de certains critères qu'elle aura lieu.
Le dernier délai pour la mise en conformité des constructions illicites et
inachevées prend fin aujourd'hui. Au -delà de cette date c'est l'application
stricte des sanctions prévues par la loi n° 08-15 du 20 juillet 2008 qui
prendra effet. Selon les services du ministère de l'Habitat, de l'Urbanisme
et de la Ville, environ 700.000 bâtisses sur un total de 1200.000 recensées
à travers le territoire national feront l'objet de l'application de l'une des
sanctions prévues par la loi n° 08-15. Sur ces 700.000 bâtisses, a-t-on
appris d'une source sûre auprès du ministère de l'Habitat, près de 90%
appartiennent aux particuliers, tandis que 10% restants concernent des
structures publiques. Ces constructions, nous précise-t-on, sont classées
dans quatre catégories. La première catégorie concerne les constructions
disposant d'un permis de construire et non achevées. La deuxième concerne
les constructions disposant d'un permis de construire mais non conformes
aux permis de construire délivrés. La troisième catégorie est celle se
rapportant aux constructions achevées, réalisées sans permis de construire
alors que la quatrième catégorie concerne les constructions non achevées
réalisées sans permis de construire. Ce classement, nous-souligne-t-on par
ailleurs, n'a pas été fait de façon arbitraire. Il a été établi en fait pour
déterminer les sanctions à décréter pour chaque propriétaire. Ainsi, les
propriétaires des constructions comprises dans la quatrième catégorie par
exemple risquent tout simplement la démolition, alors que les autres
propriétaires des autres catégories risquent l'emprisonnement et le
payement d'amendes. Dans une récente déclaration à la presse,
Abdelmadjid Tebboune, avait déclaré que les sanctions de démolition ne
seront pas appliquées aussitôt après la fin du délai et en même temps pour
toutes les constructions. La démolition concernera en premier lieu certaines
constructions, à l'image de celles situées sur les réseaux de gaz naturel,
des conduites d'eau, à l'entrée des villes, celles contraignant la circulation
routière, ainsi que celles qui ont été bâties sur des sites archéologiques,
sites protégés ou sur des zones d'extension touristiques. La démolition
pourrait
être
entière
comme
elle
pourrait
être
partielle.
Les propriétaires de ces bâtisses auront, tel qu'il est mentionné dans la loi
n° 08-15 du 20 juillet 2008 publiée au Journal officiel non seulement à
perdre leurs biens, mais également à supporter les frais de l'opération de
démolition. Pour les autres propriétaires, les peines d'emprisonnement et
de payement d'amendes prévues peuvent aller de deux mois jusqu'à deux
29
ans, et de 10 millions de centimes jusqu'à 100 millions de centimes, avec
des pénalités pour les retardataires. Les autres sanctions que supporteront
les propriétaires des bâtisses classées dans la première catégorie,
concerneront aussi l'exploitation de ces biens. En fait, à partir de demain,
les propriétaires de ces constructions ne pourront en aucun cas louer leurs
habitations ou les locaux se trouvant au bas de ces constructions. Dans une
note adressée récemment aux notaires, le ministère de l'Habitat avait
signifié clairement aux notaires l'interdiction de signer des contrats de
location ou de vente aux propriétaires ne disposant pas d'un certificat de
conformité ou d'un permis de construire. Les notaires qui transgresseront
cette note seront poursuivis en justice. Quant aux commerçants
propriétaires de locaux où ils vendent, ces derniers verront leurs registres
du commerces retirés au-ssssdelà du 3 août. Le ministère de l'Habitat,
rappelons-le, a usé de ce droit et de cette prérogative, en vertu des
conventions qu'il avait signées avec le ministère de la Justice et le ministère
du Commerce. Le ministre Abdelmadjid Tebboune qui avait juré sur la non
-prorogation du délai, avait averti les insoumis et les indisciplinés parmi les
propriétaires que c'est la force publique qui sera mobilisée pour l'application
de cette loi. Dans ce sens, il faut souligner que le ministre Tebboune, avait
signé également une convention avec le ministère de l'Intérieur et des
Collectivités locales, afin que les services de sécurité accompagnent à
chaque fois les services de l'habitat des APC et des commissions des daïras
dans leurs différentes sorties et inspections sur le terrain. Soulignons enfin
qu'une exception a été accordée par Abdelmadjid Tebboune aux
propriétaires ayant déposé leur demandes de régularisation auprès des
APC, mais qui n'ont pas encore achevé les travaux. Pour ces derniers, les
services de l'urbanisme des APC délivreront des certificats de
parachèvement des travaux.
ILS SONT PRÈS DE 22.000 ÉTUDIANTS EN FRANCE
Un gisement offshore (L’Expression)
La qualité de la formation universitaire fait défaut, les étudiants algériens
préfèrent suivre leur formation supérieure à l'étranger.
Ils sont de plus en plus nombreux ces étudiants algériens qui rêvent d'une
formation universitaire de qualité qui leur permettra d'ouvrir les grandes
portes de l'avenir en s'insérant dans le marché du travail. Faute d'un
système de formation de qualité, des milliers parmi les diplômés
universitaires sont contraints au chômage, une situation qui a motivé leurs
démarches pour suivre leur formation universitaire dans les universités
étrangères, européennes en particulier. De par sa nature, la migration libre
des étudiants algériens vers les universités étrangères est un phénomène
difficile à cerner et à quantifier. «Les statistiques disponibles sur le nombre
d'étudiants algériens sont peu fiables et les chiffres sont approximatifs»,
selon le ministre de l'Enseignement supérieur Tahar Hadjar.
Pour comprendre l'ampleur de ce phénomène, il suffit de prêter une bonne
oreille au ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche
scientifique, Tahar Hadjar, qui a reconnu «l'inefficacité du système de
30
formation adopté à l'université». Une phrase qui résume le calvaire des
milliers de jeunes Algériens qui quittent les bancs de l'université chaque
année. Le chiffre avancé par l'ambassade de France en Algérie sur le
nombre d'étudiants inscrits aux universités françaises, qui dépasse celui de
21.000 étudiants algériens explique la situation dans laquelle se trouve
aujourd'hui, le secteur de l'enseignement supérieur. L'inefficacité du
programme de formation à l'université a motivé les démarches de milliers
d'étudiants partis à la recherche de nouveaux horizons. Pourtant, les
chercheurs ont alerté le gouvernement sur la gravité de ce phénomène,
mais rien n'a été fait pour y faire face. Parmi les mesures prises dans ce
sens par le gouvernement, la suppression des bourses d'études aux
étudiants, sous prétexte que les bénéficiaires de ces bourses ne reviennent
pas au pays à la fin de leur études. Une décision qui n'a pas permis la
réduction de ce phénomène. Ils sont des milliers à mettre la main à la poche
pour payer des études supérieures à l'étranger dans l'espoir d'accéder à
une formation supérieure de qualité qui leur permettra de prendre
l'ascenseur social. Loin de cette image idyllique de l'université algérienne
présentée par les pouvoirs publics qui vantent les réalisations d'énormes
infrastructures, mais sur le plan de la qualité, aucune stratégie de
développement n'a été adoptée depuis de longues années; le même
problème
est
posé
par
les
recruteurs.
En résumé, le gouvernement est resté dans l'expectative quant au
phénomène de l'émigration des étudiants, au moment où les services
consulaires des autres pays procèdent à une sélection des talents par des
politiques actives de la migration, visant à attirer davantage le nombre
d'étudiants algériens. Il suffit de faire une virée dans les centres culturels
français en Algérie pour constater de près l'ampleur de ce phénomène.
Même sur le plan économique, cette politique de sélection adoptée par les
même services est beaucoup plus rentable. Les procédures à suivre pour
l'obtention d'un visa d'études coûtent des sommes importantes aux
postulants. Enfin, l'émigration n'est pas un phénomène propre à l'Algérie,
mais l'ampleur qu'elle a prise ces derniers temps invite les consciences à
réfléchir sciemment au problème de la fuite massive de nos étudiants. Pour
cela, une stratégie est préconisée pour arrêter cette hémorragie. L'Algérie
a des potentiallites pour assurer à ses enfants tous les moyens nécessaires
et les mettre à leur disposition pour s'épanouir et évoluer dans la sérénité.
Il faut juste mettre les compétences aux centres de décision.
Banque/bourse/Assurance
Commerce
Douanes:
Baisse des saisies durant le 1er semestre 2016 (APS)
31
Le nombre et les quantités des saisies douanières (drogue et carburant) ont
nettement diminué durant le premier semestre 2016 par rapport à la même
période de 2015, à la faveur de l'intensification des efforts en matière de
lutte contre la contrebande, a affirmé lundi un haut responsable à
l'administration douanière.
Ainsi, 43 opérations de saisies de drogues ont été enregistrées par les
services douaniers durant le premier semestre 2016 contre 53 opérations à
la même période de 2015 et dont la majorité a été réalisée par la Direction
régionale de Tlemcen, a indiqué le directeur de la communication à la DGD,
Yacine Tanem, lors d'un point de presse consacré à la présentation du bilan
semestriel de l'administration.
Entre début janvier et fin juin, 4.103,48 kg de kif traité ont été saisis par
les Douanes contre 6.528,86 kg durant la même période de 2015.
Les quantités saisies de cocaïne ont, cependant, augmenté, passant de 175
grammes durant le premier semestre 2015 à 814,29 grammes à la même
période de 2016.
Quant au trafic de carburants, il a été enregistré 64 opérations de saisie
durant le premier semestre 2016 contre 270 opérations durant la même
période de l'année précédente.
Les quantités saisies ont totalisés 135.423 litres de carburants pour une
valeur de 1,69 million de DA au cours des six premiers mois de 2016 contre
208.803 litres d'une valeur de 3,88 millions de DA saisis au premier
semestre 2015.
La baisse des saisies effectuées par les Douanes "dénote d'une nette
régression du phénomène de la contrebande, résultat des mesures prises
dans le cadre du dispositif mis en place conformément aux orientations
issues du Conseil interministériel de juillet 2013, avec l'intensification des
efforts de lutte, le renforcement de la collaboration interservices et la
coordination des actions des différents services de lutte", a souligné le
rapport de la Direction générale des Douanes.
Il s'agit notamment des mesures prises dans le cadre des activités des
Comités locaux de lutte contre la contrebande, présidés par les Walis.
Ces actions se sont traduites, dans la région Est du pays, par le contrôle
rigoureux des véhicules et camions de transport de marchandises se
rendant en Tunisie, l'interdiction d'entrée de véhicules tunisiens conduits
sous couvert de procuration et l'interdiction d'entrée des véhicules tunisiens
dont l'exploitation des registres des stations de service a révélé un abus
dans leur approvisionnement en carburant, selon le rapport.
Dans la région Ouest du pays, le dispositif a porté sur le renforcement des
mesures de suivi et de contrôle de certaines catégories de véhicules et de
camions, se rendant dans la zone du rayon des Douanes.
D'autres mesures de sécurisation des frontières comme la réalisation de
tranchées le long de la bande frontalière ont également contribué à la baisse
des opérations de saisies, selon la DGD.
Quant à la lutte contre la contrefaçon, M. Tanem a fait savoir que 165.210
articles seulement ont été retenus pour contrefaçons durant le premier
32
semestre 2016 contre 1.641.708 articles en 2015 (dont 50% concernent
des boissons alcoolisées).
Les produits concernés, qui sont surtout des produits alimentaires,
cosmétiques et textiles, proviennent principalement de la Chine, de
l'Argentine et du Pakistan, a-t-il dit.
D'autre part, M. Tanem est revenu sur les nouvelles mesures de facilitations
douanières comme l'octroi du circuit vert aux exportations des produits
alimentaires périssables, le réaménagement du contrôle par le scanner au
moment de l'embarquement, et la suppression de l'autorisation préalable
de la Banque d'Algérie exigée lors de la procédure d'importation sous le
régime de l'admission temporaire pour perfectionnement actif.
A ce titre, le sous-directeur des facilitations douanières à la DGD, Mohamed
Ouaret, a fait savoir que 263 opérateurs ont obtenu à ce jour le statut
d’OPEA (Opérateur économique agréés).
Par ailleurs, le montant des recouvrements douaniers a atteint 493,4
milliards (mds) de DA durant le premier semestre 2016, en hausse de
0,61% par rapport à la même période en 2015, a indiqué M. Tanem.
Durant la même période, la DGD a transmis à la Justice 224 affaires liées à
des infractions de change faisant l’objet de 19,512 milliards (mds) de DA
de pénalités.
Grande zone arabe de libre-échange :
Un espace laminé par la mondialisation(ELMOUDJAHID)
L’Algérie passe d’un excédent d’1 milliard de dollars en 2014, à un déficit
de 350 millions en 2015.
La balance commerciale de l’Algérie avec la Grande zone arabe de libreéchange (Gzale) a affiché un déficit de 351 millions de dollars en 2015,
contre un excédent de plus d’un milliard de dollars en 2014, a appris l’APS
auprès de l’Agence nationale de promotion du commerce extérieur (Algex).
Les exportations algériennes vers les pays de cette zone ont reculé de plus
de
40%
en
2015
comparativement
à
l’année
d’avant.
Dans les détails, les exportations algériennes des hydrocarbures vers cette
zone ont fortement baissé à 2,1 milliards de dollars en 2015 contre 3,5
milliards de dollars en 2014 (-40%), en dépit d’une augmentation
importante des volumes vendus (+40%). Les exportations hors
hydrocarbures (HH) ont également chuté de 52% à 121 millions de dollars,
en raison notamment d’une baisse de 70% des ventes de sucre à près de
48 millions de dollars. Représentant près de 60% des exportations HH vers
la Gzale, les produits agricoles et agro-alimentaires ont reculé à 71,5
millions de dollars (-60%), sachant que le sucre en représente 67%, alors
que le reste se compose essentiellement des dattes (5 millions de dollars),
des truffes (4,2 millions de dollars), des eaux minérales et gazéifiées (3,5
millions de dollars), des pâtes alimentaires (2,1 millions de dollars) et des
yaourts (2,1 millions de dollars). Les produits industriels ont représenté,
quant à eux, 40% des exportations algériennes (HH) vers cette zone, avec
un montant de 49,4 millions de dollars (-35%), dont 18,8 millions de dollars
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d’exportations d’ammoniac. En termes de clients, 71,7% des exportations
algériennes (HH) vers la Gzale ont été destinées à la Tunisie, au Maroc, au
Liban et à la Syrie. Ainsi, la Tunisie a été le premier client de l’Algérie en
ayant absorbé 32% des exportations (HH) globales algériennes vers la
Gzale, soit une valeur de 39 millions de dollars dont 27% pour le sucre,
20% pour le verre plat, 8% pour les eaux minérales et gazéifiées, 8% pour
les dérivés sulfonés et 5% pour les jus de fruits. Le Maroc a été le deuxième
marché avec 18,3% des exportations (HH) algériennes vers la Gzale,
composées d’ammoniac (81%), dattes (9%), verre plat (3%) et de verre
de sécurité (3%). Quant au Liban, il a drainé 11% des exportations
algériennes (HH), suivi de la Syrie (10%) et de l’Arabie saoudite (5,6%).
Légère
baisse
des
importations
algériennes
Les importations algériennes depuis cette zone ont légèrement baissé en
2015 en s’établissant à 2,5 milliards de dollars, contre 2,6 milliards de
dollars
en
2014,
soit
une
baisse
de
4,2%.
Les produits industriels importés depuis la Gzale, d’une valeur de 2,3
milliards de dollars, ont reculé de 4%, tels les transformateurs électriques,
les fils et câbles électriques, le fil du cuivre, les médicaments et les matières
de plastique. Pour les produits agricoles et agro-alimentaires, leurs
importations ont baissé en passant à 274 millions de dollars contre 291
millions
de
dollars
(-6%).
Il s’agit essentiellement des légumes à cosse secs, tabacs, jus de fruits,
graines des épices, sucreries, légumes conservés et fruits secs. Les
importations des produits de la pêche ont progressé de 2% enregistrant une
valeur de 9,8 millions de dollars en 2015 contre 9,6 millions de dollars en
2014.
Durant l’année 2015, les principaux fournisseurs de l’Algérie au sein de la
Gzale ont été l’Arabie saoudite (24% des importations algériennes),
l’Égypte (19%), la Tunisie (17%), les Émirats arabes unis (13%) et le Maroc
(8,3%). À rappeler que la création d’une Grande zone arabe de libreéchange avait été décidée par le Sommet arabe d’Amman en 2001.
La Gzale prévoit une suppression totale des droits de douanes entre les
pays signataires de l’accord, visant à dynamiser et à contribuer à
l’augmentation
des
échanges
commerciaux
inter-arabes.
La Gzale regroupe actuellement 19 pays: Algérie (membre depuis 2009),
Arabie saoudite, Bahreïn, Egypte, Émirats arabes unis, Irak, Jordanie,
Koweït, Liban, Libye, Maroc, Mauritanie, Oman, Palestine, Soudan, Syrie,
Tunisie, Qatar et Yémen. Le volume des échanges entre l’Algérie et les
pays de la Gzale, qui s’est établi à 4,8 milliards de dollars en 2015,
représente 4,2% du total des échanges commerciaux de l’Algérie avec le
monde.
Plus de 41 mds DA de transactions sans factures décelées au 1er
semestre 2016 (APS)
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Le chiffre d'affaires dissimulé de transactions commerciales non facturées,
mises au jour par les services du ministère du Commerce au 1er semestre
2016, a augmenté à 41,64 milliards DA (mds DA) contre 31,51 mds DA
durant la même période de 2015, en hausse de 32%, apprend-on auprès
de ce ministère.
Sur les six premiers mois de l'année en cours, 4.994 infractions liées au
défaut de facturation ont été constatées, soit 6,67% du total des principales
infractions enregistrées suite à des opérations de contrôle des pratiques
commerciales, indique la Direction générale du contrôle économique et de
la répression des fraudes.
Les services de contrôle du ministère ont aussi relevé 30.658 infractions
pour défaut de publication des prix et tarifs (41% du nombre total des
infractions), 5.654 pour défaut de publicité des mentions légales (7,5%),
8.320 pour exercice d'activité commerciale sans local (11,1%), 6.199 pour
opposition au contrôle (8,3%), 5.300 pour défaut de registre de commerce
(7,1%) et 1.244 pour la pratique de prix illicites (1,7%).
S'agissant des mesures administratives conservatoires, il a été procédé à la
saisie de marchandises pour une valeur de 3,72 mds DA et à la fermeture
administrative de 6.435 locaux.
En outre, les services de contrôle ont demandé l'inscription au fichier
national des fraudeurs de 3.720 contrevenants ayant commis des
infractions de facturation et d'exercice d'une activité commerciale
sédentaire sans local.
Concernant les opérations de contrôle de la conformité et de la répression
de fraude, 455.873 interventions ont été opérées tant sur le marché qu'au
niveau des frontières, qui ont permis la constatation de 43.863 infractions
aux règles relatives à la protection du consommateur.
Dans ce cadre, il a été procédé à la saisie de marchandises non conformes
d'une valeur de 608,1 millions de dinars, le blocage aux frontières de
cargaisons pour une quantité de 58.395 tonnes de produits non conformes
d'une valeur de près de 10 milliards DA, ainsi que la fermeture de 2.322
locaux de commerce.
Les infractions principales relevées sur le marché ont concerné
essentiellement le défaut d'hygiène (19.385 infractions), tromperie ou
tentative de tromperie du consommateur (6.261 infractions), défaut
d'étiquetage (3.609 infractions), absence de l'autocontrôle (3.840
infractions), détention et mise en vente de produits non conformes (1.587
infractions), opposition au contrôle (1.331 infractions) et défaut de certificat
de garantie (787 infractions).
Importations: refus d'admission de près de 59.000 tonnes de marchandises
Au titre du contrôle de la conformité des produits importés, il a été procédé
à l'examen de 50.968 dossiers d'importation pour une quantité de 14,83
millions de tonnes.
Cette opération a donné lieu au refus d'admission sur le territoire national
de 854 cargaisons pour une quantité de 58.400 tonnes représentant une
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valeur globale de 9,89 mds DA et l'élaboration de 224 dossiers de poursuites
judiciaires à l'encontre des importateurs défaillants.
Analyse des produits: présence de bactéries fécales dans des pâtisseries
S'agissant des opérations de contrôle analytique et d'inspection des
laboratoires, sur 10.509 de prélèvements d'échantillons, 1.076 se sont
avérés non conformes, soit un taux de non conformité de 10,23%.
Les principales non conformités ont trait à la présence de coliformes et
coliformes fécaux dans les pâtisseries, de salmonelles dans les merguez, au
manque d'iode dans le sel alimentaire, à la présence de moisissures dans
les arachides et les amandes et à la faiblesse du taux de protéines dans la
poudre de lait.
Il a aussi été prélevé 133 échantillons de produits industriels, notamment
les matériaux de construction, les appareils électroménagers et les
appareils à gaz dont 14 se sont avérés non conformes.
Les services du contrôle ont également inspecté 669 laboratoires de
prestations de service, ayant permis de constater 13 infractions liées
essentiellement au défaut d'hygiène et au manquement dans l'organisation
interne des laboratoires, donnant lieu à 4 procès-verbaux et des poursuites
judicaires.
Globalement, au 1er semestre 2016, le bilan de l'activité du contrôle
économique et de la répression des fraudes relève un nombre total
d'interventions de 879.183, en hausse de 12% par rapport à la même
période de 2015, tandis que le nombre des infractions a augmenté de 4%
(118.744 infractions).
Coopération /Partenariat
Veille
L’Algérie déploie des efforts considérables en matière de lutte
préventive antiacridienne (APS)
Le secrétaire exécutif de la Commission de lutte contre le criquet pèlerin
dans la région occidentale (CLCPRO), relevant de la FAO, a indiqué, lundi à
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Oran, que l’Algérie fait des efforts considérables en matière de lutte
préventive contre le criquet pèlerin.
S’exprimant à l’APS, en marge d’une formation régionale à la
communication de crise organisée par la commission citée, en collaboration
avec le ministère de l’agriculture, du développement rural et de la Pêche,
Hamouny Mohamed Lemine a souligné que "l’Algérie joue un rôle important
dans la lutte préventive contre le criquet pèlerin".
Il a expliqué que le criquet dans cette zone se reproduit deux fois par an,
durant les saisons d’hiver et d’été, contrairement à d’autres pays ou il ne
se reproduit qu’une seule fois. "L’Algérie, de ce fait, se trouve en face de
deux périodes charnières à confronter", a-t-il ajouté.
La CLCPRO comprend dix pays, l’Algérie, le Maroc, la Tunisie, la Libye, la
Mauritanie, le Burkina Faso, le Mali, le Niger, le Sénégal et le Tchad. Sept
de ces membres sont des pays de confrontation directe avec ce fléau
comportant des foyers de reproduction du criquet pèlerin. "Toutefois, la
charge de lutte est menée par des pays ayant les moyens nécessaires,
principalement sur l’Algérie et le Maroc", a-t-on précisé.
"Grâce à cette lutte préventive menée par certains pays faisant face à ce
fléau, comme l’Algérie, nous avons réussi à traiter plus de 65.000 hectares
et réduire la propagation de criquet pèlerin", a précisé M. Hamouny.
S’agissant de la session de formation, ouverte dimanche et assurée par un
consultant américain, spécialiste en la matière, le responsable a souligné
qu'elle intervenait dans le cadre de la formation des responsables en
charge de la lutte antiacridienne des dix pays membres de cette instance
basé en Algérie.
"Les responsables chargés de la lutte antiacridienne sont des techniciens et
des ingénieurs agronomes de formation, sans aucune relation ni expérience
avec les médias. Nous leur avons organisé cette formation pour leur donner
les moyens nécessaires pour communiquer avec les médias et les acteurs
dans le domaine en période de crise", a-t-il ajouté.
Pour sa part, Khaled Moumen, directeur de la protection des végétaux et du
contrôle technique au ministère de l’Agriculture, du développement rural et
de la Pêche, a souligné que cette session de formation, devant prendre fin
mercredi, intervient dans le cadre de la gestion de la lutte contre le criquet
pèlerin, caractérisée par un manque de communication.
"Durant la grande invasion du criquet pèlerin de l’année 2005, nous avons
constaté un grand manque d’informations à ce sujet. La mission
d’évaluation de la gestion de cette crise a relevé, entre autres, le manque
de communication. C’est pour pallier à cette défaillance que cette session a
été organisée aujourd’hui", a-t-il déclaré.
Plusieurs problématiques sont abordées lors de cette session comme
comment communiquer en période de crise, comment faire passer les
messages, les messages les plus importants à faire passer. Des scénarios
propres à chaque pays ont été préparés pour voir les réactions des acteurs
concernés et dégager les recommandations nécessaires en matière de
communication de crise.
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